PARIS (Reuters) - Le tribunal correctionnel d'Orléans (Loiret) a relaxé 49 personnes qui avaient volontairement fauché deux parcelles de maïs génétiquement modifié en 2004 et 2005.
Le tribunal a estimé qu'ils avaient agi "pour répondre de l'état de nécessité qui résulte du danger de diffusion incontrôlée de gènes provenant des organismes génétiquement modifiés, dont la dissémination avait été autorisée par la loi française, contrairement au droit constitutionnel à un environnement sain".
Le député Vert Noël Mamère, lui-même condamné à (…)
Journal Monsanto l'a dans le cul ;-)
10
déc.
2005
Bonsoir,





