Il y avait cette affiche qui me taquinait l'œil à chaque fois que je quitte les cours : « Tu as entre 18 et 24 ans ? Tu peux avoir le Nice-Matin offert tous les mercredis ! » et je me disais que je m'en fichais, je ne lis jamais la presse sauf quand un Canard ou un Charlie traîne, c'est pas en me l'offrant que je vais me mettre à lire.
Et puis on me parle de Mon Journal (…)