Un petit journal bookmark parce que j'ai beau chercher, j'ai rien à ajouter à ce lien : http://huet.blog.lemonde.fr/2016/06/28/supercalculateurs-la-chine-creuse-lecart/ qui pourrait tout à fait être une dépêche d'ici.
Journal Une autre entité de la défense américaine fait confiance à une société Européenne !
Alors que l'Ecole Centrale de Paris héberge les données sensibles de ses étudiants par une société américaine, le Département de la défense US fait le contraire : Air Force Research Laboratory vient d'acquérir un supercalculateur SGI qui fonctionne avec une version Européenne de Linux :
SGI
On pourrait se demander si cette société ne va pas transmettre à l'Union Européenne des données confidentielles US notamment sur les recherches aérospatiales.
Encore une victoire pour Linux, encore une victoire pour l'Europe !
Journal Le département de la défense US s'appuie sur SGI et Linux !
Un supercomputer petaflops est en cours de mise au point par SGI pour le département de la défense US. Ce sera l'un des 10 ordinateurs les plus puissants au mondE.
Linux a été choisi, ce qui n'est pas une surprise, mise à part que l'OS ne sera pas américain.
Architecture Haswell, processeurs Xeon : la bête aura une puissance de calcul maximale de 4,5 petaflops.
Kalray un processeur massivement parallèle très impressionnant : Qu’il est loin le temps de mon ZX81
Quand je regarde les ordinateurs de compétition que nous utilisons aujourd’hui et ceux avec lesquels j’ai découvert l’informatique, j’ai l’impression de voir l’évolution de la vie sur terre — qui a commencé il y a environ 3,5 milliards d’années avec l’apparition des premières bactéries, pour arriver jusqu’à l’homme plus ou moins évolué que nous sommes aujourd’hui — ramenée à une soixaine d’années si l’on part du transistor jusqu’aux processeurs les plus avancés d’aujourd’hui, parmi lesquels le processeur MPPA MANYCORE de Kalray.
Sortie du Top 500 de juin 2013
Le quarante‐et‐unième Top 500 des super‐calculateurs mondiaux est sorti aujourd’hui à l’occasion de l’International Supercomputing Conference qui a lieu à Hambourg en Allemagne.
Rappelons que le Top 500 se base sur une soumission volontaire (de nombreuses machines puissantes mais classifiées ne participent pas à la course) et sur un comparateur de performances spécifique extrêmement parallélisable (le code Linpack qui concerne la résolution de systèmes d’équations linéaires).
L’analyse dans la suite de la dépêche.
Le Top 500 de novembre 2012
Le quarantième Top 500 des supercalculateurs mondiaux est sorti aujourd’hui à l’occasion de la conférence Supercomputing 2012 qui a lieu à Salt Lake City aux États‐Unis.
Rappelons que le Top 500 se base sur une soumission volontaire (de nombreuses machines, puissantes mais classifiées ne participent pas à la course) et sur un comparateur spécifique de performances extrêmement parallélisable (le code Linpack qui concerne la résolution de systèmes d’équations linéaires).
L’analyse dans la suite de la dépêche…
Sortie du Top 500 de juin 2012
Le trente‐neuvième Top 500 des super‐calculateurs mondiaux est sorti aujourd’hui à l’occasion de l’« International Supercomputing Conference » qui a lieu à Hambourg en Allemagne.
Rappelons que le Top 500 se base sur une soumission volontaire (de nombreuses machines puissantes mais classifiées ne participent pas à la course) et sur un comparateur de performances spécifique extrêmement parallélisable (le code Linpack qui concerne la résolution de systèmes d’équations linéaires).
L’analyse dans la suite de la dépêche.
Le Top 500 de novembre 2011
Le trente‐huitième Top 500 des supercalculateurs mondiaux est sorti aujourd’hui à l’occasion de la conférence Supercomputing 2011 qui a lieu à Seattle aux États‐Unis.
Rappelons que le Top 500 se base sur une soumission volontaire (de nombreuses machines puissantes mais classifiées ne participent pas à la course) et sur un comparateur spécifique de performances extrêmement parallélisable (le code Linpack qui concerne la résolution de systèmes d’équations linéaires).
L’analyse dans la suite de la dépêche…
IBM lance la mémoire transactionnelle dans le matériel
Le supercalculateur Sequoia (prévu pour être le plus puissant supercalculateur lors de sa sortie) ne fera pas que battre des records de FLOPS, il utilisera aussi des processeurs BlueGene/Q d’IBM, les premiers processeurs commerciaux à utiliser une mémoire transactionnelle matérielle. Le processeur développé par Sun et annulé avec le rachat par Oracle, aurait également dû le prendre en charge.
C’est l’occasion d’expliquer ce qu’est la mémoire transactionnelle : une technique peu connue car elle pose des problèmes de performance lorsque plusieurs processus ou fils d’exécution (threads) doivent accéder à une valeur partagée.
N. D. A. : Merci à Nÿco, NeoX et Michel Barret pour leur aide lors de la rédaction de cette dépêche.