ステファン a écrit 35 commentaires

  • [^] # Re: Test

    Posté par  . En réponse au journal Test de la slackintosh 12. Évalué à 3.

    Ben PPC est beaucoup beaucoup moins utilisé.
    Les stats smol [...]


    Ca dépend. Je peux te donner les stats luigi :

    ppc32 : 50%
    ppc64: 25%
    M68k: 25%
    x86+x86-64: 0%

    Hum, et niveau distib on a du Debian 75%

    mata ne
  • [^] # Re: Bravo

    Posté par  . En réponse au journal Vendredi 27 juillet \o/. Évalué à 2.

    En ce qui concerne les équations, le concept WYSIWYM de lyx permet d'avoir un rendu proche du WYSIWYG des formules. Il y a une palette mathématique qui permet d'entrer des formules sans trop de difficultés, et pour ceux qui connaissent les commandes LaTeX, elles sont directement reconnues, donc inutiles pour eux de lever les doigts du clavier.

    Il y a pas mal de templates directement prises en comptes, mais pour celles qui ne le sont pas, il est très simple de customiser le préambule LaTeX qui servira pour le rendu. Je n'ai jamiais eu de problème pour la composition de mes articles. Pour la composition des articles, je trouve que c'est assez pratique car il cache le code LaTeX tout en le mettant en évidance par le rendu à l'écran, et LyX est un bon centre de commande pour les outils et les infos (nombre de caractères, de mots, ...), la correction orthographique, etc... Pour l'instant, il n'y a que la correction grammaticale anglaise que je fasse directement en ligne de commande.

    Enfin pour l'import LaTeX, il n'est pas parfait, mais il se débrouille généralement pas trop mal. J'ai eu l'occasion de l'utiliser pour inclure une section écrite par un doctorant du labo dans mon article. Cela a bien marché pour le texte, et j'en ai été quitte pour 10 minute d'édition et de remise en forme pour les figures directement écrites en LaTeX. Dans l'autre sens, je connais assez bien la structure LaTeX des documents générés avec LyX, et à part quelques macro spécifiques, c'est du code sans surprise et facile à comprendre.
    Par exemple, j'ai récemment fait une traduction de texte japonais pour la Fac (devoir à faire chez soi), et j'ai utilisé une vieille version de LyX (1.3.4) pour le LaTeX de base, puis je l'ai converti en unicode avec convert, et j'ai mis les quelques insert en japonais pour les notes de bas de page. A priori, la nouvelle version de LyX devrait me permettre de faire la même chose directement, sans conversion ni édition du code LaTeX final (juste avec quelques insertions de code LaTeX brut dans le corps de la composition LyX pour les citations japonaise dans un texte français).
  • [^] # Re: Joyeux anniversaire

    Posté par  . En réponse au journal Vendredi 27 juillet \o/. Évalué à 0.

    Merci quand même ^^;
  • [^] # Re: Bravo

    Posté par  . En réponse au journal Vendredi 27 juillet \o/. Évalué à 4.

    Merci. Dommage, je n'ai pas trouvé comment on faisait les liens (mais je n'ai pas beaucoup cherché non plus).
    Donc ici : http://www.lyx.org

    Sinon, pour compléter ce qui a été dit par ailleurs, LyX est idéal si on ne veut pas trop s'embéter avec LaTeX directement tout en profitant de ses qualité de mise en page et de rendu. Il est idéal pour les long documents écrits seul ou de façon collaborative (par rapport à LaTeX il dispose d'un suivi de modification qui peut être utile, bien que je ne l'ai jamais testé) et de l'insertion de document LyX à l'intérieur d'un document LyX.

    LaTeX ou LyX sont idéaux si on veut un rendu impécable, indépendant de la plateforme (portable), sans s'occuper de placer les figures et les tableaux au pixel près. Il arrive souvent par exemple que les collègues qui utilisent Word doivent tout remettre en page parce qu'ils ont ajouté une ligne à un endroit, et du coup les figures suivantes sont toutes décallées, les titres des sections se retrouvent orphelins en bas de page ou autre (sans compter que sous MS-Word, cela dépend aussi de choses stupides comme le réglage de l'imprimante, etc...). Ici, pas de soucis, la remise en page est automatique et sans défauts majeurs quelque soit ce qu'on fasse.

    Il comprend aussi la plupart des formats graphiques (raster bien entendu : jpeg, gif, png, mais aussi vectoriel : svg, eps, pdf).

    Mon utilisation personnelle est pour l'écriture de documentations, de cours, de rapports, d'articles scientifiques, de lettres administratives et de présentations (en particulier par le paquage Beamer).

    Les limitations de LyX sont à deux niveaux :
    - il ne comprend parfaitement qu'un sous-ensemble de LaTeX et de ses nombreux paquets d'extension. Ce sous-ensemble augmente à chaque version de LyX, mais pour faire des choses un peu subtiles, il faut parfois insérer une commande LaTeX brute de temps en temps (il y a un mode prévu pour ça directement dans LyX, ce n'est pas une «bidouille», mais cela demande d'avoir des idées sur LaTeX).
    - dans l'état actuel des choses, pour un document complet, il fait comme LaTeX: les figures et la bibliographie sont des fichiers externes au fichier LyX et il faut les fournir avec le fichier LyX, sinon on aura un document final rendu sans figures ni biblio. Pour compenser, les fichiers LyX autant que LaTeX sont extrèment léger (par exemple, ma thèse complète tient facilement sur une disquette, figure incluses).
  • [^] # Re: trolleur professionnel

    Posté par  . En réponse au journal Tanenbaum et les microkernels. Évalué à 9.

    Le chinois est une langue syllabique.

    J'étudie le japonais, pas le chinois, même si je pense que j'essayerai d'apprendre quelques bases de chinois, ma seule connaissance du chinois vient du japonais).

    Chaque syllabe correspond à un mot ou au moins à un champ sémantique. Même s'il y a 4 tons différents pour les 5 voyelles, il y a je pense quand même un certain nombre d'homophones.
    On peut les différencier grâce à leur champ sémantique.

    Les idéogrames chinois, en simplifiant, comportent généralement 2 partie :
    - une clef, qui justement donne le champ sémantique (clef de l'eau pour les liquides, clef des fleurs pour les plantes, etc). Il y a 230 clefs officielles, à peu près.
    - une seconde partie (optionnelle, car les clefs elle-même sont des idéogrammes) qui est utilisée pour sa valeur phonétique et qui donne au ton près la façon dont se prononce le caractère.

    De ce fait, il ne faut pas tant de connaissances que cela pour lire du chinois, de ce que j'en sais (c'est une autre paire de manche pour le japonais qui n'est pas une langue syllabique, mais qui utilise au moins en partie les idéogrammes chinois).

    Pour donner un exemple tiré des prononciations sino-japonaise des caractères chinois :
    clef de la parole 言 et prononciation GO 吾 donne le caractère 語 de langage ou histoire, qui se prononce GO (en japonais comme en chinois de Han, mais je n'ai pas le ton dans mon dico)

    Mais il faut voir les idéogrammes comme des radicaux (comme les radicaux latins ou grecs) que comme des mots isolé.

    Exemples : (pierre)(huile) 石油 -> pétrole (petrus)(oleum)
    (vie)(chose) 生物 -> être vivant
    [être vivant](étude) 生物学 -> biologie (bio)(logos)
    (main)(papier) 手紙 -> (c'est un exemple célèbre) "papier toilette" en chinois, et "lettre postale" en japonais.

    Bonne année du 亥
  • [^] # Re: religion et rationnalité

    Posté par  . En réponse au journal [HS] Pour un athéisme de combat. Évalué à 2.

    la réincarnation des bouddhistes c'est quand même plus bandant que de croire au néant


    ???
    Tu te rend compte que pour les boudhistes, la réincarnation est un échec ?
  • [^] # Re: Vendredi...

    Posté par  . En réponse au journal Enquête langages. Évalué à 10.

    Et maintenant, c'est samedi, et personne n'a relevé l'insulte suprème qui consiste à mettre C et C++ dans la même catégorie.

    C'est un sondage de Windowsien adepte de Windev et de Visual TrucMuche ? :p
  • [^] # Re: pouet !

    Posté par  . En réponse au journal Ju-jitsu ou karaté. Évalué à 2.

    pour le kyudo j'ai plus de doute pour l'apprentissage du ma-ai


    Ben, en fait si. Même si cela semble étonnant au premier abort, ma-ai, mezukai et autres iki-ai sont des parties intrisèques et importantes du kyûdô également. Sans ma-ai aucune chance d'être en harmonie avec les autres archers dans les kata et encore moins de se retrouver correctement en face de sa cible (on ne regarde pas la cible avant de faire le dernier pas) : c'est un art-martial complet au même titre que les autres art-martiaux traditionnels japonais.

    Personnellement je trouve le Kyûdô sympa car c'est un art martial avec un parti pris estétique fort et que l'on pratique avec des partenaires et pas tout seul comme l'iai-dô ou contre des aversaires comme beaucoup d'autres. Par contre il ne répond effectivement à aucun principe d'auto-défense ^_^; (directement en tout cas).
  • [^] # Re: Compréhensible

    Posté par  . En réponse au journal La fin de Sun Microsystem?. Évalué à 1.

    [...] ils s'éparpillent un peu entre les trucs propriétaires qu'il font (Solaris, Sparc) et les produits plus "ouvert" (Linux et Opteron) qu'ils vendent depuis quelques mois.


    Si je comprend bien, Solaris est propriétaire (<http://www.opensolaris.org/os/ >) ainsi que SPARC (<http://www.sun.com/processors/opensparc/ >) bien que ce soit une norme relativement ouverte (<http://www.sparc.org/standards.html >) avec un comité de normalisation dans les règle de l'art industriel.
    Je ne conteste pas qu'OpenSolaris soit encore loin de l'ouverture de Linux, mais ce n'est pas si mal si on compare aux autre fournisseur d'OS, hors Linux. Par contre, considérer les processeurs SPARC comme propriétaire et l'Opteron "ouvert", je ne vois pas bien pourquoi...
  • [^] # Re: Sympa

    Posté par  . En réponse à la dépêche RMLL 2006 : repas-débat chez l'habitant. Évalué à 9.

    J'approuve, c'est a priori sympa. Mais, ça doit être mon côté parano, je ne peux m'empécher de tiquer un peu.

    Voyons, un diner où un invite un type pour parler de chose ésothérique à un petit comité familial non initié. Ça me rappelle quelque chose, mais je n'arrive pas à mettre le doigt dessus. J'ai un ami qui s'appelle Juste Leblanc, je vais lui faire un mail pour voir s'il a une meilleure idée que moi en la matière...