prends juste la version libre, elle est la pour ça...
En fait, c'est ce que je fais depuis...
Aorès, s'il y a des trucs propriétaires dont j'ai vraiment besoin, je me les installe après un par un : comme ça, ça m'évite le risque de m'habituer à des trucs propriétaires sans même m'en apercevoir.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Des éléments non libres qui étaient avant réservés aux Clubbers et qui permettent d'avoir un système fonctionnel à 100% quand on veut utiliser les drivers proprios.
C'est donc un peu plus que "juste rajouter" un petit truc; c'est d'une part un risque commercial parce que ces drivers faisaient partie des "avantages" du Club, c'est d'autre part suivre au plus près les demandes des utilisateurs.
Je ne dois pas être un utilisateur standard alors.
Moi, les drivers proprios, c'est le premier truc que je vire (j'ai une Radeon 9200 sur ma machine perso principale et juste un chip Intel sur celle du boulot exprès pour pouvoir m'en passer), et en plus, la dernière fois ils plantaient net le système au chargement de X ! (ben la Mandriva me les avait mis d'office sans me demander mon avis, donc il a bien fallu que je boote avec avant de les enlever).
Bon, ma Radeon de marque bizarre est peut-être un peu louche aussi, mais j'ai aussi vu le freeze systématique du noyau à la mise en veille de l'écran avec le driver nVidia sur des machines de (bonne) marque... et tout ça en passant sur le fait que c'est du code fermé qui tourne en mode noyau et pourrait faire n'importe quoi (en plus de planter le système, ce qui est déjà établi).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Cette page devrait être mise à jour et indiquer la durée
OK, merci.
Cela dit, si la même politique est conservée, ça répond déjà à ma question : le temps de support est encore réduit depuis l'allongement du temps entre les sorties, pour peu qu'on n'installe pas une Mandriva aussitôt après sa sortie.
Supposons que j'aie installé une Mandriva 2006 à un ami qui veut découvrir Linux mi-septembre. 7 mois plus tard (13 avril 2007), il faudrait que j'aille le revoir pouir lui dire : "ah, au fait, la distribution que je viens de t'installer, il faut que je te la change pour des raisons de sécurité, elle n'est plus maintenue". Totalement ridicule !
Beaucoup de gens qui ont de leur ordinateur un usage assez basique s'attendent à pouvoir l'utiliser toute sa vie (plutôt 5 ans) sans changer le système. Et pourquoi ne devrait-ce pas être possible ?
Bon, évidemment, reste la possibilité de mettre à jour dans la version suivante, mais ce n'est déjà pas anodin (j'ai laissé tomber cette possibilité à l'époque où la Mandrake Linux avait un temps de support plus long, parce qu'elle donnait parfois des résultats un peu bizarres quant à la configuration et au fonctionnement des applis)...
La Mandriva a beau être la distribution que je préfère à l'utilisation et pour le choix de paquets, je ne vais toujours pas la conseiller. Même pas la mettre sur toutes les machines que j'utilise : j'ai moi-même autre chose à foutre que de changer ma distribution sans arrêt.
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Quelle est maintenant la durée pendant laquelle sont fournies des mises à jour de sécurité sur une Mandriva ?
Voire même plus directement la date de fin de support pour la 2006 et pour la 2007 ?
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Sur ma machine, ça marche sous même xterm.
Par contre, sous les applis GTK, ça plafonne effectivement à ³ par défaut.
C'est dû à Cedilla, la méthode de saisie "intelligente" utilisée par GTK par défaut.
Mais si on lui explique d'utiliser celle de X par la variable d'environnement appropriée : export GTK_IM_MODULE=xim
les application GTK fonctionnent alors correctement, comme les autres.
Dans fr-latin9 oe est sur la touche ² (première touche de la ligne de chiffres).
Pour ma part, j'ai tendance à le chercher sur AltGr-O (en fait, c'est là qu'il est sur la distribution qui est sur cette machine (Option "XkbLayout" "fr"), mais c'est probablement juste un coup de bol : ce n'est pas le cas sur toutes les machines que j'utilise et je sais que j'en ai configuré certaines avec fr-latin9). En plus, j'utilise de temps en temps ² (peut-être plus souvent que ½)...
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À moins d'avoir vu l'adaptation TV (en VO uniquement, même les sous-titres de la version DVD) ou cinéma (qui, il me semble, reprend les noms de la VO et non ceux de la VF).
Même si le film est un peu plat à mon goût, c'est sa large diffusion qui garantit le mieux qu'on soit plus de deux (trois ?) à comprendre de quoi on parle. ;-)
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Tu ne confonds pas noms différents et signatures différentes ?
Là, tu penses probablement au C++.
Moi, je pense en particulier à Perl, où le constructeur est juste une méthode de classe qui a la particularité de retourner un nouvel objet de la classe. La convention suggère de l'appeler new, mais on peut aussi bien l'appeler zorglub ou en faire plusieurs.
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"A constructor is used to create an instance of an object. A constructor's name is always the same as the object's name. Since a constructor's name is unchangeable, its name is unable to communicate the work it is performing. "
C'est moins vrai dans le cas de langages qui autorisent plusieurs constructeurs de noms différents (pas le genre de truc qui me sert tous les jours, mais c'est vrai que quelquefois, c'est sympa)...
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puisque le système de blocs de ruby (de même que les fermetures en Python ou beaucoup d'autres langages) n'est pas limité à l'utilisation dans le cadre d'un constructeur.
Évidemment, mais si je programme déclaratif à fond, je n'ai pratiquement que des constructeurs dans les blocs de haut niveau, donc ça revient à ça.
Quoiqu'il en soit, ce n'est pas transparent à l'utilisation.
Par exemple, si je suis un serveur Web qui exécute un traitement CGI, je ne renverrai pas le même code de retour HTTP selon que le CGI termine bien ou qu'il me pète à la tronche.
En même temps, vu qu'un destructeur est typiquement le truc qui ne rend rien, là il faudra bien utiliser explicitement autre chose pour avoir un code de retour (quitte pour moi à me résoudre à ne pas faire du 100% déclaratif ;-) ; de toute façon, à un certain niveau, il faut bien que je mette des instructions pour que mon programme fasse quelque chose)...
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Je ne sais pas ce que tu veux dire par 'implémenter complètement le paradigme objet'
Pour moi, les destructeurs font partie du paradigme objet.
File.open {|f|
# Faire des trucs avec f ...
}
Je sais, mais à ce stade-là, soit il faut systématiquement mettre l'utilisation de tous tes objets dans des blocs passés au constructeurs, ce que je trouve très moche (cela dit, c'est une question de goût), soit le jour où tu changes ton implémentation et où tu t'aperçois que tu as besoin de faire une finalisation, eh bien il faut modifier toutes les utilisations de ta classe.
Donc peut-être que tu as une approche qui n'est pas compatible avec la 'manière de faire' Ruby.
C'est exactement ça. Donc j'en reste à un langage qui ne m'impose pas sa manière de faire.
Cependant, il est appelé 'après' la destruction de l'objet.
Comme les finaliseurs, sur lesquels il se base certainement. Cela limite fortement l'intérêt : quand tu as quelque chose à faire en fin de vie d'un objet, c'est généralement dépendant des attributs de cet objet...
J'espere avoir ravivé ton interêt pour le Ruby :)
Eh non, désolé.
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[ ] l'installation facile sur mon vieil ultra-portable d'occase sans CD.
Bonjour Mandriva.
Dommage les autres.
[ ] le support de ma bécane bleeding edge avec le chipset qui vient de sortir avec le SATA pas tout-à-fait comme sur le précédent et la carte graphique de la mort qui vient de sortir aussi.
Plus qu'à prendre la dernière distribution sortie, quoi que ce soit sauf Debian.
[ ] la durée suffisante de support par mises à jour de sécurité.
Dommage Mandriva.
Bonjour CentOS, Ubuntu LTS et Debian.
[ ] l'installation qui ne s'arrête pas net sous prétexte d'un paquet manquant sur le DVD qu'on a pourtant fait vérfier au programme d'installation.
Dommage Fedora.
[ ] la rapidité d'installation parce que j'ai pas que ça à foutre.
Dommage Gentoo.
[ ] la maîtrise (déjà dit dans les commentaires).
Dommage SUSE.
[ ] les choses simples sont simples.
Dommage Debian.
[ ] les logiciels ne sont pas périmés depuis 2 ou 4 ans.
Dommage CentOS et Debian stable (respectivement).
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Il n'y a pas de "destructeur" à la (C++/)Perl/Python puisque le GC ne fonctionne pas par compteur de référence comme chez eux mais par mark & sweep, et qu'il fait son ménage quand bon lui semble.
Je sais. La conclusion qui s'imposait était donc qu'un garbage collector (dans le cas de Perl et Python, comme tu le dis, ce ne sont pas de "vrais" GC) est totalement inadapté pour un langage orienté objet.
cependant dans la pratique (en tous cas ma pratique assez poussée du java et du ruby) ça ne m'a jamais manqué.
Question de style plus que de pratique poussée : moi, ça m'a manqué dès mon programme d'essai (un petit programme pour mouliner du XML simpliste et en sortir des pages HTML). J'en ai donc tiré la conclusion qui s'imposait et arrêté le Ruby avec résignation dans la foulée où je l'avais commencé avec enthousiasme.
Reste quand même qu'avec Ruby le finalizer est garanti de passer avant la fin du programme, ce qui n'est pas le cas dans la JVM.
Merci. Je ne me suis jamais mis au Java parce qu'il ne m'attire pas (il est loin d'avoir comme Ruby une certaine élégance conceptuelle qui suscite l'intérêt), que le peu que j'en ai vu m'a surtout donné l'impression qu'il impose pas mal de complications inutiles, et qu'il ne supporte pas vraiment l'héritage multiple.
Tu viens de me donner une bonne raison supplémentaire de ne jamais m'y mettre (jusqu'ici, celle-ci m'avait échappée).
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Sans vouloir lancer un troll, je me demande : quels sont les intérêts indispensables d'un destructeur ?
Rien n'est indispensable, on peut tout programmer en assembleur ou avec une machine de Turing. Après, il y a juste des trucs plus pratiques...
Concernant les desturcteurs en particulier, l'intérêt de base est de faire le nettoyage (notamment des ressources éventuellement allouées) ou la sauvegarde de l'état final à la fin de la vie de l'objet de manière automatique et transparente pour l'utilisateur de l'objet (qui n'est pas forcément la personne qui a programmé la classe).
SI tu programmes en style objet un peu extrême, le corps de ton appli consiste principalement en une suite de déclaration d'objets interdépendants, qui gèrent après leurs interactions entre eux, donc par conséquent, une bonne partie du code est localisé au niveau des constructeurs... et des destructeurs, encore faut-il qu'il y en ait.
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Je ne l'ai pas vu dans la liste déroulante des différents thèmes.
C'est normal, il vient d'être supprimé pour "inactivité" (voir http://linuxfr.org/2006/08/21/21220.html ).
Pas de bol, l'article arrive trois jours trop tard pour sauver la rubrique...
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Ben, comme d'hab, après qlq semaines je me retrouve avec un système hyper lent because fragmentation.
Bref, je tente la défragmentation avec l'outil intégré à xp et rien n'y fit, pas de résultats.
Pour info, le fichier d'échange (swap) est par défaut redimensionné dynamiquement et se retrouve donc rapidement fragmenté. S'en suit une dégradation des performances terrible dès qu'on "tape" un peu dedans. Évidemment, il ne peut pas être défragmenté pendant qu'on l'utilise (à moins que ça n'ait changé récemment; plus ça va, plus j'essaie d'éviter au maximum de toucher à Windows)...
La solution la plus simple et la plus efficace : fixer sa taille à peine vient-on d'installer le Windows.
Sinon, le mettre à 0, défragmenter, puis fixer une taille appropriée.
Mieux, évidemment : arrêter Windows, de toute façon, je ne sais pas comment on peut supporter les versions récentes, où retrouver où ils ont caché les fonctionnalités dont on a besoin tient du jeu de piste, voire de l'enquête de police.
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Le but est d'avoir le meilleure compromis entre les fonctionnalités et la sécurité, pas de forcer les gens à utiliser mutt & vi pour leurs correspondances.
Bah quoi ? C'est ce que j'utilise. :-)
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Il manquait la fonction random.
En fait elle est toute simple (son seul intérêt, c'est qu'elle était partagée par plusieurs fonctions, et donc que ça facilitait un éventuel changement).
sub random {
my ($sup) = @_;
return int rand $sup;
}
Cela dit, tant qu'à faire, on peut écrire une version moins verbeuse (mais probablement moins performante) de salt : sub salt {
my @space = unpack 'C*', join '', 'A'..'Z', 'a'..'z', 0 .. 9, "./";
return join '', map { chr($space[int rand scalar @space]); } 1 .. $_[0];
}
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adduser n'admet pas d'argument '-p' ... useradd si.
N'importe comment, il s'attend à ce qu'on lui donne déjà crypté, d'après le man : -p mot_de_passe
Le mot de passe chiffré, comme renvoyé par crypt(3). Le com-
portement par défaut est de désactiver le compte.
Pour avoir un mot de passe DES (le format "classique") : my $pass_des = crypt($mot, salt(2));
Pour avoir un mot de passe MD5 (c'est plutôt ce format qui est utilisé sous linux actuellement) : my $pass_md5 = crypt($mot, '$1$' . salt(8) . '$');
où sub salt {
my @space = unpack 'C*', "ABCDEFGHIJKLMNOPQRSTUVWXYZabcdefghijklmnopqrstuvwxyz0123456789./";
my $result = '';
for (my ($n) = @_; $n > 0; --$n) {
$result .= chr($space[random(scalar @space)]);
}
return $result;
}
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Si tu te documentes un peu, tu decouvriras que si un large laxisme apparent existe, la censure en Chine est plus fine :
- le gouvernement ne communique pas sur le detail des moyens mais fait savoir a tout le monde que c'est surveillé
- les prestataires FAI, hebergeurs, cybercafé .... sont responsables des contenuset activités et les dirigeants doivent exercer une trés efficace auto-censure basee sur de vagues principes et de tres reelles mesures repressives
- les sujets interdits quoi que connus ne sont jamais précises laissant planner le doute sur les limites (completement arbitraires)
- les communications sont relativement libres mais tout appel a l'organisation ou a la contestation sont condamnes de peines atteignant les dizaines d'annees de prison.
Bref, ils sont très en avance sur nous, mais grâce aux "mesures courageuses" de nos gouvernements récents, notamment pour "lutter contre le terrorisme", les pays du "monde libre" suivent la "bonne voie" pour les rattraper un jour.
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[^] # Re: NON aux drivers propriétaires
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Mandriva Linux 2007 disponible pour tous. Évalué à 1.
Par curiosité, ont-ils aussi abandonné le support de chips dont la 3D n'est pas supportée par le pilote libre faute de spécifications ?
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[^] # Re: NON aux drivers propriétaires
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Mandriva Linux 2007 disponible pour tous. Évalué à 2.
Juste pour pas vous faire perdre du temps à chercher dans ma faute de frappe une signification profonde...
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[^] # Re: NON aux drivers propriétaires
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Mandriva Linux 2007 disponible pour tous. Évalué à 2.
En fait, c'est ce que je fais depuis...
Aorès, s'il y a des trucs propriétaires dont j'ai vraiment besoin, je me les installe après un par un : comme ça, ça m'évite le risque de m'habituer à des trucs propriétaires sans même m'en apercevoir.
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[^] # NON aux drivers propriétaires
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Mandriva Linux 2007 disponible pour tous. Évalué à 1.
Je ne dois pas être un utilisateur standard alors.
Moi, les drivers proprios, c'est le premier truc que je vire (j'ai une Radeon 9200 sur ma machine perso principale et juste un chip Intel sur celle du boulot exprès pour pouvoir m'en passer), et en plus, la dernière fois ils plantaient net le système au chargement de X ! (ben la Mandriva me les avait mis d'office sans me demander mon avis, donc il a bien fallu que je boote avec avant de les enlever).
Bon, ma Radeon de marque bizarre est peut-être un peu louche aussi, mais j'ai aussi vu le freeze systématique du noyau à la mise en veille de l'écran avec le driver nVidia sur des machines de (bonne) marque... et tout ça en passant sur le fait que c'est du code fermé qui tourne en mode noyau et pourrait faire n'importe quoi (en plus de planter le système, ce qui est déjà établi).
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[^] # Re: Temps de support par mises à jour ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Mandriva Linux 2007 disponible pour tous. Évalué à 3.
OK, merci.
Cela dit, si la même politique est conservée, ça répond déjà à ma question : le temps de support est encore réduit depuis l'allongement du temps entre les sorties, pour peu qu'on n'installe pas une Mandriva aussitôt après sa sortie.
Supposons que j'aie installé une Mandriva 2006 à un ami qui veut découvrir Linux mi-septembre. 7 mois plus tard (13 avril 2007), il faudrait que j'aille le revoir pouir lui dire : "ah, au fait, la distribution que je viens de t'installer, il faut que je te la change pour des raisons de sécurité, elle n'est plus maintenue". Totalement ridicule !
Beaucoup de gens qui ont de leur ordinateur un usage assez basique s'attendent à pouvoir l'utiliser toute sa vie (plutôt 5 ans) sans changer le système. Et pourquoi ne devrait-ce pas être possible ?
Bon, évidemment, reste la possibilité de mettre à jour dans la version suivante, mais ce n'est déjà pas anodin (j'ai laissé tomber cette possibilité à l'époque où la Mandrake Linux avait un temps de support plus long, parce qu'elle donnait parfois des résultats un peu bizarres quant à la configuration et au fonctionnement des applis)...
La Mandriva a beau être la distribution que je préfère à l'utilisation et pour le choix de paquets, je ne vais toujours pas la conseiller. Même pas la mettre sur toutes les machines que j'utilise : j'ai moi-même autre chose à foutre que de changer ma distribution sans arrêt.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Temps de support par mises à jour ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Mandriva Linux 2007 disponible pour tous. Évalué à 2.
Voire même plus directement la date de fin de support pour la 2006 et pour la 2007 ?
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[^] # ⁴⁵⁶... sous GTK
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche [RFC] Évolution du clavier « fr-latin9 ». Évalué à 1.
Sur ma machine, ça marche sous même xterm.
Par contre, sous les applis GTK, ça plafonne effectivement à ³ par défaut.
C'est dû à Cedilla, la méthode de saisie "intelligente" utilisée par GTK par défaut.
Mais si on lui explique d'utiliser celle de X par la variable d'environnement appropriée :
export GTK_IM_MODULE=xim
les application GTK fonctionnent alors correctement, comme les autres.
J'avais trouvé le truc (à un autre propos) sur la page de Bouill ( http://www.bouil.org/w/Taper_les_caract%C3%A8res_Esp%C3%A9ra(...) ), mais c'est une coïncidence (j'avais dû tomber dessus depuis un moteur de recherche).
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[^] # Re: non
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche [RFC] Évolution du clavier « fr-latin9 ». Évalué à 1.
Pour ma part : ŭ (ubreve).
Bon, je ne prétendrai pas être représentatif...
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[^] # Re: Touche compose par défaut ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche [RFC] Évolution du clavier « fr-latin9 ». Évalué à 2.
Pour ma part, j'ai tendance à le chercher sur AltGr-O (en fait, c'est là qu'il est sur la distribution qui est sur cette machine (Option "XkbLayout" "fr"), mais c'est probablement juste un coup de bol : ce n'est pas le cas sur toutes les machines que j'utilise et je sais que j'en ai configuré certaines avec fr-latin9). En plus, j'utilise de temps en temps ² (peut-être plus souvent que ½)...
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[^] # Re: Le nom
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Première publication du projet Magrathea. Évalué à 0.
Même si le film est un peu plat à mon goût, c'est sa large diffusion qui garantit le mieux qu'on soit plus de deux (trois ?) à comprendre de quoi on parle. ;-)
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[^] # Le nom
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Première publication du projet Magrathea. Évalué à 0.
Le nom. :-)
(Pour ceux qui connaissent...)
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[^] # Re: Destructeurs
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de Ruby 1.8.5. Évalué à 1.
Là, tu penses probablement au C++.
Moi, je pense en particulier à Perl, où le constructeur est juste une méthode de classe qui a la particularité de retourner un nouvel objet de la classe. La convention suggère de l'appeler new, mais on peut aussi bien l'appeler zorglub ou en faire plusieurs.
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[^] # Re: Destructeurs
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de Ruby 1.8.5. Évalué à 1.
C'est moins vrai dans le cas de langages qui autorisent plusieurs constructeurs de noms différents (pas le genre de truc qui me sert tous les jours, mais c'est vrai que quelquefois, c'est sympa)...
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[^] # Re: Destructeurs
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de Ruby 1.8.5. Évalué à 1.
Évidemment, mais si je programme déclaratif à fond, je n'ai pratiquement que des constructeurs dans les blocs de haut niveau, donc ça revient à ça.
Quoiqu'il en soit, ce n'est pas transparent à l'utilisation.
En même temps, vu qu'un destructeur est typiquement le truc qui ne rend rien, là il faudra bien utiliser explicitement autre chose pour avoir un code de retour (quitte pour moi à me résoudre à ne pas faire du 100% déclaratif ;-) ; de toute façon, à un certain niveau, il faut bien que je mette des instructions pour que mon programme fasse quelque chose)...
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[^] # Re: Destructeurs
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de Ruby 1.8.5. Évalué à 0.
Pour moi, les destructeurs font partie du paradigme objet.
Je sais, mais à ce stade-là, soit il faut systématiquement mettre l'utilisation de tous tes objets dans des blocs passés au constructeurs, ce que je trouve très moche (cela dit, c'est une question de goût), soit le jour où tu changes ton implémentation et où tu t'aperçois que tu as besoin de faire une finalisation, eh bien il faut modifier toutes les utilisations de ta classe.
C'est exactement ça. Donc j'en reste à un langage qui ne m'impose pas sa manière de faire.
Comme les finaliseurs, sur lesquels il se base certainement. Cela limite fortement l'intérêt : quand tu as quelque chose à faire en fin de vie d'un objet, c'est généralement dépendant des attributs de cet objet...
Eh non, désolé.
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# Manque...
Posté par Arthur Accroc . En réponse au sondage La raison principale à l'origine du choix de ma distribution est :. Évalué à -3.
Bonjour Mandriva.
Dommage les autres.
[ ] le support de ma bécane bleeding edge avec le chipset qui vient de sortir avec le SATA pas tout-à-fait comme sur le précédent et la carte graphique de la mort qui vient de sortir aussi.
Plus qu'à prendre la dernière distribution sortie, quoi que ce soit sauf Debian.
[ ] la durée suffisante de support par mises à jour de sécurité.
Dommage Mandriva.
Bonjour CentOS, Ubuntu LTS et Debian.
[ ] l'installation qui ne s'arrête pas net sous prétexte d'un paquet manquant sur le DVD qu'on a pourtant fait vérfier au programme d'installation.
Dommage Fedora.
[ ] la rapidité d'installation parce que j'ai pas que ça à foutre.
Dommage Gentoo.
[ ] la maîtrise (déjà dit dans les commentaires).
Dommage SUSE.
[ ] les choses simples sont simples.
Dommage Debian.
[ ] les logiciels ne sont pas périmés depuis 2 ou 4 ans.
Dommage CentOS et Debian stable (respectivement).
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[^] # Re: Langage OO ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de Ruby 1.8.5. Évalué à -1.
Je sais. La conclusion qui s'imposait était donc qu'un garbage collector (dans le cas de Perl et Python, comme tu le dis, ce ne sont pas de "vrais" GC) est totalement inadapté pour un langage orienté objet.
Question de style plus que de pratique poussée : moi, ça m'a manqué dès mon programme d'essai (un petit programme pour mouliner du XML simpliste et en sortir des pages HTML). J'en ai donc tiré la conclusion qui s'imposait et arrêté le Ruby avec résignation dans la foulée où je l'avais commencé avec enthousiasme.
Merci. Je ne me suis jamais mis au Java parce qu'il ne m'attire pas (il est loin d'avoir comme Ruby une certaine élégance conceptuelle qui suscite l'intérêt), que le peu que j'en ai vu m'a surtout donné l'impression qu'il impose pas mal de complications inutiles, et qu'il ne supporte pas vraiment l'héritage multiple.
Tu viens de me donner une bonne raison supplémentaire de ne jamais m'y mettre (jusqu'ici, celle-ci m'avait échappée).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Destructeurs
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de Ruby 1.8.5. Évalué à 5.
Rien n'est indispensable, on peut tout programmer en assembleur ou avec une machine de Turing. Après, il y a juste des trucs plus pratiques...
Concernant les desturcteurs en particulier, l'intérêt de base est de faire le nettoyage (notamment des ressources éventuellement allouées) ou la sauvegarde de l'état final à la fin de la vie de l'objet de manière automatique et transparente pour l'utilisateur de l'objet (qui n'est pas forcément la personne qui a programmé la classe).
SI tu programmes en style objet un peu extrême, le corps de ton appli consiste principalement en une suite de déclaration d'objets interdépendants, qui gèrent après leurs interactions entre eux, donc par conséquent, une bonne partie du code est localisé au niveau des constructeurs... et des destructeurs, encore faut-il qu'il y en ait.
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[^] # Langage OO ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de Ruby 1.8.5. Évalué à -2.
Il y a enfin des destructeurs ???
Non ? Alors tant pis, je préfère en rester à des langages qui implémentent complètement le paradigme objet...
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[^] # Re: Le Commentaire Obligatoire
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Haïku fête ses 5 ans. Évalué à 1.
C'est normal, il vient d'être supprimé pour "inactivité" (voir http://linuxfr.org/2006/08/21/21220.html ).
Pas de bol, l'article arrive trois jours trop tard pour sauver la rubrique...
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[^] # Hors sujet (Windows, désolé)
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Ubuntu : le canard pimpant est arrivé !. Évalué à 1.
Pour info, le fichier d'échange (swap) est par défaut redimensionné dynamiquement et se retrouve donc rapidement fragmenté. S'en suit une dégradation des performances terrible dès qu'on "tape" un peu dedans. Évidemment, il ne peut pas être défragmenté pendant qu'on l'utilise (à moins que ça n'ait changé récemment; plus ça va, plus j'essaie d'éviter au maximum de toucher à Windows)...
La solution la plus simple et la plus efficace : fixer sa taille à peine vient-on d'installer le Windows.
Sinon, le mettre à 0, défragmenter, puis fixer une taille appropriée.
Mieux, évidemment : arrêter Windows, de toute façon, je ne sais pas comment on peut supporter les versions récentes, où retrouver où ils ont caché les fonctionnalités dont on a besoin tient du jeu de piste, voire de l'enquête de police.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Hors sujet
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Important appel d'offres du ministère de l'intérieur. Évalué à 3.
Bah quoi ? C'est ce que j'utilise. :-)
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[^] # Compléments
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message creation d'un utilisateur avec un simple programme perl. Évalué à 1.
En fait elle est toute simple (son seul intérêt, c'est qu'elle était partagée par plusieurs fonctions, et donc que ça facilitait un éventuel changement).
sub random {
my ($sup) = @_;
return int rand $sup;
}
Cela dit, tant qu'à faire, on peut écrire une version moins verbeuse (mais probablement moins performante) de salt :
sub salt {
my @space = unpack 'C*', join '', 'A'..'Z', 'a'..'z', 0 .. 9, "./";
return join '', map { chr($space[int rand scalar @space]); } 1 .. $_[0];
}
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[^] # La solution, c'est d'utiliser la fonction crypt
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message creation d'un utilisateur avec un simple programme perl. Évalué à 1.
N'importe comment, il s'attend à ce qu'on lui donne déjà crypté, d'après le man :
-p mot_de_passe
Le mot de passe chiffré, comme renvoyé par crypt(3). Le com-
portement par défaut est de désactiver le compte.
Pour avoir un mot de passe DES (le format "classique") :
my $pass_des = crypt($mot, salt(2));
Pour avoir un mot de passe MD5 (c'est plutôt ce format qui est utilisé sous linux actuellement) :
my $pass_md5 = crypt($mot, '$1$' . salt(8) . '$');
où
sub salt {
my @space = unpack 'C*', "ABCDEFGHIJKLMNOPQRSTUVWXYZabcdefghijklmnopqrstuvwxyz0123456789./";
my $result = '';
for (my ($n) = @_; $n > 0; --$n) {
$result .= chr($space[random(scalar @space)]);
}
return $result;
}
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[^] # Re: Liberté sous contrôle…
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Quand la liberté viendra de Chine.... Évalué à 3.
Bref, ils sont très en avance sur nous, mais grâce aux "mesures courageuses" de nos gouvernements récents, notamment pour "lutter contre le terrorisme", les pays du "monde libre" suivent la "bonne voie" pour les rattraper un jour.
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