herodiade a écrit 808 commentaires

  • [^] # Re: Meilleur et moins cher que le RAID5 ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Deux analyses précieuses sur la fiabilité et la longévité des disques durs. Évalué à 2.

    Pour du « stockage perso pas hyper sollicité » mais fiable on peut souvent se contenter de 3 disques ATA, dont le prix total sera inférieur à un seul disque SCSI.

    Éventuellement sans RAID, par exemple en répliquant avec rsync ou unison toutes les x minutes, ou en RAID 1 logiciel + réplication asynchrone, ou, avec plus de disques, en RAID-Z2 (Zfs sous FUSE le permet-il ?) ou RAID 6, etc.
  • [^] # Re: Très bien cet article !

    Posté par  . En réponse à la dépêche Deux analyses précieuses sur la fiabilité et la longévité des disques durs. Évalué à 10.

    Bah no pb, c'est un travail collectif de toutes façon (et puis je n'ai pas plus écrit les recherches de gogle/CMU, et c'est là le vai travail).
  • [^] # Re: Seagate

    Posté par  . En réponse au journal Deux analyses précieuses sur la fiabilité et la longévité des disques durs. Évalué à 2.

    Un grand distributeur russe a publié ses statistiques de retours pour le premier semestre 2005.

    Article en Russe : http://pro.sunrise.ru/articletext.asp?reg=30&id=283
    Traduit à l'emporte pièce par Google : http://translate.google.com/translate?u=http%3A%2F%2Fpro.sun(...)

    Segate s'en sort assez bien, tandis que les produits Maxtor semblent peu fiables.
  • [^] # Re: Par pitié...

    Posté par  . En réponse au journal Deux analyses précieuses sur la fiabilité et la longévité des disques durs. Évalué à 4.

    ... mais encore :

    - s/se montrent réticent/se montrent réticents/
    - s/de la carte/du contrôleur/
  • [^] # Re: Par pitié...

    Posté par  . En réponse au journal Deux analyses précieuses sur la fiabilité et la longévité des disques durs. Évalué à 4.

    ... et aussi :

    - s/des échantillon/des échantillons/
    - s/array/grappe/
    - s/indiquées officiellement/telle qu'indiquée officiellement/
    - s/chipsets/circuits intégrés/
    - s/ Failures): / Failures) : / (typo)
  • [^] # Re: Par pitié...

    Posté par  . En réponse au journal Deux analyses précieuses sur la fiabilité et la longévité des disques durs. Évalué à 10.

    Ce n'est pas un copié-collé.
    Je n'avais pas le temps de faire la dizaine de cycle relectures + retouches nécessaire à un article, donc un doute sur la qualité de la forme (justifié : je viens de m'apercevoir qu'il aurait fallut utiliser de vraies listes à puces au lieu des astérisques, certaines phrases sont maladroites, s/ont étés présentées/ont été présentées/ (ou mieux : furent), ...), donc journal. Safe mode ;)
    Mais si un modérateur veut le vérifier et le déplacer, pas de problème.
    Un lien oublié : GFS (Google File System) : http://fr.wikipedia.org/wiki/Google_File_System
  • [^] # Re: Vocabulaire

    Posté par  . En réponse au journal Anime sympa pour apprendre le japonais ?. Évalué à 3.

    Ici tu trouvera un soft identique et tout fait (mais en python), il suffirait d'ajouter le dictionnaire chinois. Ou bien récupérer son dictionnaire pour ta propre appli :
    http://code.google.com/p/japanese-vocabulary/
  • [^] # Re: Linus en fait-il trop ?

    Posté par  . En réponse au journal Linus et Gnome, Round 2. Évalué à 10.

    En fait il a seulement déplacé ce commentaire (qui était déjà là) lors du refactoring, il ne l'a pas ajouté :

    + case META_ACTION_DOUBLE_CLICK_TITLEBAR_NONE:
    + /* Yaay, a sane user that doesn't use that other weird crap! */

    [...]

    - case META_ACTION_DOUBLE_CLICK_TITLEBAR_NONE:
    - /* Yaay, a sane user that doesn't use that other weird crap! */

    http://mail.gnome.org/archives/gnomecc-list/2007-February/ms(...)
  • [^] # Re: Mise à jour du BIOS et sécurité du noyau

    Posté par  . En réponse à la dépêche Bitfrost : Un nouveau modèle de sécurité. Évalué à 1.

    La formulation est ambigue je crois, parce qu'en le lisant j'ai compris l'inverse de toi : j'ai supposé que "bound to" indiquait que la clef permettait d'identifier l'auteur/signataire (ou plus précisément son laptop) (ce qui est un peu le but d'une clef, d'une certaine manière) et que "their own firmware" signifie "celui qu'ils ont fait" ou "leur firmware perso" (mais on peut comprendre aussi, comme tu dit, "celui de leur ordi"). Ton interprétation semble plus logique.
  • [^] # Re: Mise à jour du BIOS et sécurité du noyau

    Posté par  . En réponse à la dépêche Bitfrost : Un nouveau modèle de sécurité. Évalué à 2.

    Bah leur explication est ambigue, mais je ne doit pas comprendre ceci comme toi : « allows the child to flash any BIOS she wishes ».


    A child may request a so-called developer key from OLPC. This key, bound to
    the child's laptop's (SN, UUID) tuple, allows the child to flash any BIOS
    she wishes, to accommodate the use case of those children who progress to be
    very advanced developers and wish to modify their own firmware.

    (section "8.1. P_BIOS_CORE: core BIOS protection").
  • [^] # Re: Mise à jour du BIOS et sécurité du noyau

    Posté par  . En réponse à la dépêche Bitfrost : Un nouveau modèle de sécurité. Évalué à 1.

    Effectivement, je n'ai lu que l'article sur le BIOS (et les specs en diagonale seulement). Je vient de trouver le passage sur la « clef developpeur » dans la spec (mais du coup, je suis un peut surpris : bien que cela permette de retrouver le propriétaire de la clef qui est « bound to the child's laptop's (SN, UUID) tuple » elle peut servir a faire des BIOS redistribuables potentiellement vérolés).
  • [^] # Re: Fantastique!

    Posté par  . En réponse à la dépêche Bitfrost : Un nouveau modèle de sécurité. Évalué à 2.

    Bah, le projet n'était pas, justement, que les gouvernement donnent (ie. définitivement) les ordinateurs aux enfants ? (il me semblait ...).
  • # Mise à jour du BIOS et sécurité du noyau

    Posté par  . En réponse à la dépêche Bitfrost : Un nouveau modèle de sécurité. Évalué à 6.

    Si j'ai bien compris le principe, seuls les linuxbios signés avec la clef d'un organisme prévu pour (OLPC ou un gouvernement etc) pourront être utilisés pour les mises à jour. Donc, bien que le BIOS soit opensource, l'utilisateur de l'ordinateur ne pourra pas le bricoler (ou du moins, ne pourra pas utiliser le résultat de son bricolage). C'est un peu surprenant.

    Concernant la sécurité, si j'ai bien compris, tout repose sur les services de confinement offerts par le kernel. Les applis sont bien isolées, ont des droits finement restreints etc. grâce au noyau (vserver, capabilities, chroot etc.). C'est de la sécurité proactive : on ne connait pas encore de failles dans les applis, mais s'il y en a, elles seront surement contenues. Soit.
    Mais que se passera-t-il en cas de faille des services précités (ou d'autres ...) du noyau ? N'oublions pas que le noyau a lui aussi régulièrement des petits problèmes de sécurité, et que sa compromission pourrait permettre, à l'attaquant, de bloquer toutes les mises à jour ultérieures (donc les moyens de dévéroler efficacement les machines). Ont-ils prévus des mesures pour prévenir ce type de problèmes, ou pensent-ils que tout ce qui concerne le noyau n'est pas concerné par le processus de sécurisation ?
  • [^] # Re: Le wifi bouge

    Posté par  . En réponse au journal nouveau pilote wifi pour 3945ABG. Évalué à 1.

    Oui, c'est une question (d'où ma formulation, certes optimiste : il ne l'exclue pas, autrement dit, ça ne lui semble pas hors de question - comme par exemple l'intégration de reiser4 ou je ne sait quoi).

    Sinon, la suite :


    On Sat, Feb 10, 2007 at 12:53:51PM -0500, Pavel Roskin wrote:
    > Quoting "John W. Linville" <linville@tuxdriver.com>:
    >
    > > > Very cool! Is it likely that d80211 and iwlwifi will be pushed into
    > > > mainline in time for 2.6.21?
    > >
    > > Hmmm...I think we need to spend a cycle or so in -mm. 2.6.22 seems
    > > more likely for mainline.
    >
    > I think we should take this as a goal. Last time I checked, d80211 wasn't in
    > -mm. Perhaps it should go there. And by the way, the latest changes from
    > netdev->class_dev to netdev->dev break d80211. Perhaps we should rebase
    > wireless-dev immediately after 2.6.21-rc1, fix all compile issues and submit
    > the patch to -mm.

    That is basically the plan. :-)

    John
    --
    John W. Linville


    Source : http://marc.theaimsgroup.com/?l=linux-kernel&m=117114934(...)

    Je dirais : Wow, ça s'annonce de mieux en mieux ! :)
  • [^] # Re: Les LL au chapitre "économies"

    Posté par  . En réponse au journal Les 100 propositions de Ségolène Royal - Logiciels libres dans l'administration. Évalué à 2.

    Ça m'étonnerait :

    $ HEAD http://adhesion-lesverts.leserveur.com/
    200 OK
    Cache-Control: private
    Date: Mon, 12 Feb 2007 13:17:13 GMT
    Server: Microsoft-IIS/6.0
    Content-Length: 12848
    Content-Type: text/html
    Client-Date: Mon, 12 Feb 2007 13:17:14 GMT
    Client-Peer: 193.202.121.50:80
    Client-Response-Num: 1
    Set-Cookie: ASPSESSIONIDSQRSTRCR=AKJLOBMDMJCNEGNPKFCMLPKA; path=/
    X-Powered-By: ASP.NET
  • [^] # Re: Le wifi bouge

    Posté par  . En réponse au journal nouveau pilote wifi pour 3945ABG. Évalué à 2.

    La fameuse pile Devicescape semble faire son petit bonhomme de chemin, et la situation du wifi dans le noyau finalement s'améliorer, même si tout n'est pas encore rose. J'éspère qu'elle sera intégrée à court (on peut toujours rêver) ou moyen terme.

    Ça semble assez bien parti : Theodore Tso n'exclue pas son intégration dans le 2.6.21 [1], et John W. Linville (mainteneur de facto du sous-système wifi dans le noyau) penche plutôt pour le 2.6.22 (afin de lui laisser un cycle pour décanter dans la branche -mm) [2].


    [1] : http://marc.theaimsgroup.com/?l=linux-netdev&m=117112467(...)
    [2] : http://marc.theaimsgroup.com/?l=linux-netdev&m=117112594(...)
  • [^] # Re: Compat Rockbox ? -> iPodLinux plutot

    Posté par  . En réponse au journal Marre du Ipod.... Évalué à 2.

    Au temps pour moi, je voulais dire http://www.ipodlinux.org/Main_Page (censé supporter les 3G d'après http://en.wikipedia.org/wiki/IPodLinux ).
  • # Compat Rockbox ?

    Posté par  . En réponse au journal Marre du Ipod.... Évalué à 2.

    As-tu essayé de mettre un Linux dans ton iPod ?
    http://www.rockbox.org/
    D'après http://en.wikipedia.org/wiki/Rockbox c'est censé marcher aussi sur les 3eme génération « mais pas à 100% » (?) ...
  • [^] # Re: Comme d'hab...

    Posté par  . En réponse au journal Mandriva: trop cher?. Évalué à 3.

    C'est écrit dans la dépêche (en particulier dans la phrase que je cite).
  • [^] # Re: Comme d'hab...

    Posté par  . En réponse au journal Mandriva: trop cher?. Évalué à 1.

    Bah, pour être tout à fait clair, les deux projets d'OS libres que je préfère fonctionnent sans étayage corporate : Debian et OpenBSD (il existe des entreprises qui font leur beurre sur leur travail, mais ce ne sont pas elle qui décide des orientations).

    Est-ce un hasard si ces deux projets se montrent aussi intraitables sur les questions de qualité logicielle, et réussissent, in fine, à produire un truc aussi léché ? J'ai l'impression que dans le monde des OS, la démarche commerciale nuit aux décisions d'ordre technique.

    Bref, je suis intimement convaincu que Mandriva serait meilleure si elle était un projet avant tout communautaire et avant tout menée par des développeurs (plutôt que commercial, mené par des executives). Donc participer au titre de commercial serait nuire à un projet auquel je n'adhère pas. Voila.
  • # Comme d'hab...

    Posté par  . En réponse au journal Mandriva: trop cher?. Évalué à 3.

    une perte de 2,08 millions d'euros [ ... ] Mandriva a procédé début 2006 à une liquidation de 20 des 120 geeks qui développent du libre.

    Quand les commerciaux foirent leur boulot, on vire des développeurs... bravo...
  • [^] # Re: diffusion et dérivabilité

    Posté par  . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 1.

    Tu apprend le solfège, et ensuite tu sait retranscrire ce que tu veut . La musique est belle est bien son propre source.

    À part ça, très peu de musiques traditionnelles (y compris les très complexes râgas indiens) sont apprises par l'écriture. Sans parler d'un paquet de musiques populaires occidentales, pour lesquelles ce n'est / ne fut pas vraiment nécessaire (les musiques électroniques d'aujourd'hui, le blues d'autrefois, ...).
  • [^] # Re: diffusion et dérivabilité

    Posté par  . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 1.

    la musique n'est pas son propre code source, elle est l'interprétation d'un schéma mélodique et rythmique

    Bah, c'est oublier le fait que beaucoup de musiques ne sont pas écrites avant d'être jouées (et que bcp ne sont pas « transcriptibles » avec le solfège occidental).
    Je ne vois pas en quoi il est nécessaire d'avoir une transcription pour étudier une musique (surtout si on ne sait pas la transcrire soi même - le cas dont nous parlons).
  • [^] # Re: La question des partitions

    Posté par  . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 1.

    Oui c'est ce que je répond juste en dessous.

    D'ailleurs, pour les musiques écrites (nécessitant des partitions, comme le classique, jazz, rock, ...), les musiciens savent transcrire la partition en quelques minutes, seulement en écoutant le morceau (rien avoir avec la quasi impossibilité de trouver le source d'un logiciel à partir du binaire). Et pour les musiques où la partition n'a pas de sens (hip-hop, tek, electro, ...), les autres musiciens peuvent sampler et remixer (le but du code source, c'est bien de pouvoir faire une oeuvre dérivée non ?).

    Bref, la musique est elle-même son propre « code source », et il est idiot de vouloir y appliquer de force les contraintes du monde logiciel.
  • # diffusion et dérivabilité

    Posté par  . En réponse à la dépêche Qu'est ce que la musique libre a de commun avec le logiciel libre ?. Évalué à 1.

    Un point important à rappeler, c'est que les licences libres - qu'il s'agisse de logiciel ou de musique - concernent les modalités de diffusion . Et c'est d'ailleurs pour ça qu'une appli non diffusée, comme certaines applications web, n'est ni libre ni non-libre ; c'est aussi pour ça que des sociétés peuvent forker un logiciel libre pour usage interne sans diffuser leurs modifications (par exemple Coverty, qui a dérivé gcc pour son service d'audit des sources).

    Cette notion de « libertés (et devoirs) de diffusion » caractérise donc le logiciel libre. C'est une belle trouvaille de la part des fondateurs du libre (qui, en effet, aurait deviner que la diffusion était le point essentiel pour garantir l'ouverture d'un logiciel ?). Le monde des arts et de la musique, en revanche, est pleinement sensibilisé, dès le départ, à la lourdeur des problèmes et droits de diffusion.

    Le choix du médium (ou du label, etc.) est souvent l'affirmation d'une démarche militante, ou au moins d'un certain parti pris. Les licences libres adaptées aux arts arrivent peut-être un peut trop tard dans ce domaine (alors qu'elles sont arrivées tôt pour le monde logiciel) : les grandes sociétés de production (ou d'auteur, comme la SACEM) ont lourdement vérouillé le terrain, et les idéologues ont pris les devants dans les milieux alternatifs. Ainsi, dans la musique alternative, on fait plus souvent attention au label choisi qu'à la licence, ou on veut interdire les utilisations commerciales (NC) en réaction aux modèle des majors de la diffusion.
    C'est une embuche sur le chemin non idéologique, pragmatico-légal, proposé par le modèle du LL, mais c'est notre faute, nous aurions dû arriver plus tôt.

    Pour ce qui est de la dérivabilité et de l'accès aux sources : je ne comprend pas pourquoi l'auteur de cette dépêche se focalise sur les partitions. Les auteurs de Hip-Hop ou d'électro doivent-ils savoir écrire une partoche ? non. Et l'absence de partition, dans ces genres musicaux précisément, n'empêche pas de faire des oeuvres dérivées, de réutiliser le travail des autres, de partager etc. : merci aux samplers.

    On se rend bien compte que dans ce cas, ce qui importe, que la musique est en quelque sorte son propre code source : un musicien qualifié écoute un morceau, et il connait la partition. Ou il peut le sampler. Le remixer. Bref, les "sources" ne sont pas intéressantes dans ce cas, car elles ne sont pas nécessaires pour produire une oeuvre dérivée (à la différence du monde logiciel). C'est la même chose pour un livre : tout son matériau est là, prêt à être réutilisé, dérivé, et rediffusé.

    Tout ce qui importe pour rester dans l'esprit (plutôt que la lettre) du LL, c'est le droit de dériver (pas de ND donc) et de rediffuser (pas de NC donc).