Leirda a écrit 37 commentaires

Tu pourrais ouvrir un serveur web avec python avec le terminal de ton téléphone style

pythom -m http.server

Mais là pour le coup, l’interface graphique, en tout cas pour le téléphone, c’est râpé (c’est la page web pour le navigateur), et puis c’est pas super sécurisé, il vaut mieux éviter de faire ça sur un réseau public…

Sinon perso j’utilise LANDrop depuis quelques temps, il y en a plein d’autres similaires, mais l’interface de celui-ci me convient, il est vraiment multiplateforme, il est sécurisé et il marche bien (et sous licence BSD).

J’ai bien conscience que la solution souhaitée doit s’intégrer à SSH, mais j’ai l’impression que le besoin de base c’est du transfert de fichier.
Après si l’objectif c’est pas seulement du transfert de fichier, mais c’est un accès au shell ce que je raconte ne répond effectivement pas à la question ^^'

Mais si au moins ça peut te permettre de transférer tes fichiers le temps de trouver plus complet.

Merci pour cette entrée, j’ai découvert d’autres possibilités avec la commande history et !! grâce à toi :3

Sinon c’est pas la question, mais pour faire ce genre de trucs je me suis habitué à :
C-P : récupérer la ligne précédente
C-A : sauter au début de la ligne
Esc-D (ou M-D) : supprimer le premier mot vers la droite

donc concrètement je récupère la ligne mkdir -p truc, je vais au début de la ligne, je supprime deux fois le mot vers la droite (pour enlever le -p aussi) puis j’écris cd.

C’est pas du tout la réponse à la question que tu posais (je ne connaissais pas!), juste une manière de plus d’arriver au même résultat ^{^}

Il y a aussi la couverture du merveilleux « The Linux Programming Interface » !
Une de mes couvertures préférées !
Mais c’est vrai que les couvertures marquantes comme celles-ci ne courent pas les rues…

Je plussoie la raspberry et suggère yunohost dans « ce que tu veux ».

Avec les enjeux suivants néanmoins dans le cas de l’auto-hébergement :
- installer la raspberry à un endroit où elle peut rester allumée
- un endroit où elle peut accéder à internet, idéalement par voie filaire
- un FAI qui propose des adresses ips statiques n’est pas du luxe
- jouer un peu à rediriger des ports (NAT) dans l’interface de configuration du routeur du précédent FAI

Pour le reste, je trouve que c’est une méthode qui devient de plus en plus accessible, même pour des pas administrateur·rice·s système et qui a de nombreux atouts, en terme d’indépendance, de liberté de choix et de changements, de découvertes / initiation et apprentissage…

Disclaimer Je ne suis pas (plus) utilisateur de Mac depuis belle-lurette, mais oui effectivement les shells et programmes utilitaires des deux systèmes sont relativement identiques.

Notamment, le shell par défaut de MacOS est zsh, mais tu peux tout à fait utiliser bash ou un autre shell, POSIX ou non.

Quant aux commandes, tous les utilitaires styles coreutils (cat, ls, grep…) sont présents sous Mac (avec quelques subtilités, genre sous linux rm prend -r ou -R pour supprimer récursivement là où MacOS n’acceptera que -R), tu vas retrouver tous les outils classiques de la ligne de commande style ssh, nmap, les utilitaires ip, ifconfig (je crois, à vérifier), tu vas même retrouver ton éditeur de texte (vim (ou emacs)) favoris, etc.

Ce qui va beaucoup changer par contre, c’est la hiérarchie du système de fichier, et les procédures d’installation de programmes / gestion de dépendances.
Sous linux, on retrouve les binaires dans /bin, /usr/bin/, /opt, usr/local/bin, etc. et les bibliothèques dans (/usr)?/lib{32,64}, tandis que Mac va fonctionner complètement différemment (j’crois qu’il y a une histoire de /system ou une dinguerie, je me souviens plus bien… pareil, les programmes c’est des images disques ou chépakoi… J’suis pas le mieux placé pour te renseigner là-dessus).

Pareil, pour l’installation et la gestion de paquets, il me semble que la solution relativement standard pour MacOS c’est Brew, qui contrairement aux gestionnaires de paquets des distributions GNU/Linux (apt, pkg, pacman, zypper etc) n’est /pas/ un outil officiel fourni par Apple.
Mais bon, ça fonctionne paraît-il plutôt bien,
=> https://brew.sh/index_fr

Et puis PowerShell !

Je suis pour la dépêche sur PowerShell !

Avertissement : Je sais bien que c’est pas trolldi, mais je me sens d’humeur >:D

Simplement une question, est-ce que ce n’est pas encore un mauvais coup de python sur la volonté de rétro-compatibilité que cette notion de soft keywords ?

Ça m’a l’air d’être relativement complexe à implémenter correctement au niveau du compilateur, et puis si le match en bénéficie, pourquoi pas le if, ou le for, puis à ce train là, pourquoi tous les keywords ne seraient-ils pas soft ?

Est-ce qu’on aurait pas eu intérêt à casser ça dès maintenant, quitte à se prendre un petit tollé tout de suite, que de risquer de se le prendre plus fort plus tard en réalisant qu’on ne peut pas continuer dans cette direction, à l’instar de python 2 ? :)

Est-ce qu’il y a des langages qui implémentent déjà des mécanismes similaires sur les mot-clefs, et dont python pourrait s’inspirer (ou s’inspire!) pour faire les choses le mieux possible, pour maintenant et plus tard ?

J’ai peur que tu te sois trompé de sens… Une faute d’inattention sans doute ;)
C’est sûrement de u dont il s’agit, ou bien C-/ chez les infidèles.

J’ai longtemps galéré justement avec le combo Vim et Bépo, jusqu’à tomber un jour sur le plugin vim-bepoptimist. Je le recommande chaudement à tout vimiste bépoiste, et je me l’installe systématiquement sur les postes de travail où j’ai l’occasion de bosser un peu plus que régulièrement (sinon les flèches font temporairement le taff, on s’adapte…).
Il a plein de raccourcis bien sympas, style « et » qui fonctionnent comme < et > ou encore T et N pour naviguer entre les buffers, et je profite de ce commentaire pour remercier sheoak et les différent·e·s contributeur·rice·s pour leurs efforts sur cet excellent plugin !!

Sinon pour la double vie, personnellement je suis devenu très lent en azerty, même s’il m’arrive encore de m’en servir, à de rares occasions ; la majorité de mes connaissances étant sur un poste linux. Je suis presque toujours à une commande de passer en bépo.
D’ailleurs, sous X, j’ai bien souvent tapé trap EXIT 'setxbmap fr azerty' pour repasser en azerty en fermant le terminal…, avant ça je laissais mes connaissances en Bépo… La misère pour les convaincre de s’en servir après !

Pour vérifier sous quel système de fichier est formaté ton disque, tu peux exécuter lsblk --fs.

Le programme à installer sous ubuntu pour le support des systèmes de fichier NTFS s’appelle « ntfs-3g ».
Tu peux donc exécuter en tant qu’administrateur la commande apt install -y ntfs-3g.

Si jamais ça ne fonctionne toujours pas, tu peux essayer, en tant qu’administrateur, de démonter puis de remonter le disque à la ligne de commande. Genre à gros coup de :

umount /dev/sdXn
mount /dev/sdXn /mnt
lsblk /dev/sdXn
touch /mnt/écriture

Pour le fait que l’interface graphique t’affiche un type de système de fichier « fuse », ça veut principalement dire qu’ubuntu ne le monte qu’avec des privilèges pour ton utilisateur.
Donc même en root, tu ne pourras pas accéder à son contenu.

DISCLAIMER: Je n’ai pas d’ubuntu pour tester sous la main, encore moins de disque en NTFS, ni n’utilise fuse dans mon usage quotidien…

Hello !

Il peut aussi être intéressant de faire un tour vers son cousin Snap !

Je le préfère notamment pour des raisons de performances, d’extensibilité, d’esthétisme (très subjectif!) et de lisibilité de l’interface.

Il est aussi intéressant par le fait qu’il permet de programmer dans des styles impératifs, mais également objets et fonctionnels.

Je le trouve très adapté, non seulement pour des enfants, mais également pour des adultes qui souhaiteraient découvrir / enseigner.

Après que le Conseil ait décidé […] -> Après que le conseil a décidé […]