librelune a écrit 17 commentaires

  • # ACTION

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le Medef prend position pour les brevets logiciels. Évalué à 4.

    Bonjour

    N'ayant pas le courage de lire la totalité des articles, je pose un préalable :
    L'action proposée est guidée par un pur pragmatisme ayant pour objectif de prendre position contre le brevet logiciel, pas d'idéologie, par de prise de position pour ou contre un groupe/syndicat ou autre.
    Quelques remarques de principe :
    La CGPME est un syndicat indépendant du MEDEF et parfois en opposition certe feutré mais réel (voire dure).
    Les positions prises par la CGPME sur le sujet doit être mis sur le compte de l'incompétence et de leur incompréhension de la problématique (bureau national...) que la position soit pour ou contre d'ailleurs.
    Le sujet peut-être traité par le syndicat si on lui donne les billes et la compréhension nécessaires, évidement le résultat n'est pas garantie, mais les atouts sont forts pour faire pencher du "bon côté".

    Action :
    pour se donner une chance d'obtenir un manifeste de la CGPME contre le brevet logiciel il me faut un écrit rationnel, juridiquement cohérent et bien écrit, en mettant en avant le bénéfice tiré par les tpe/pme/pmi.
    Évidement,le plus rapidement possible.
    Après je fais suivre aux personnes concernées et on espère une réaction appropriée.
    SVP, ne perdez pas de temps avec des critiques ou des remarques sur l'espoir ou autre, il faut le faire, c'est le moment.
    Donc pour les gens sont prés à agir concrètement, c'est le moment...

    Cordialement
    Vincent
  • [^] # Re: La fidélité, la confiance, ça ne s'achète pas, ça se mérite...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Intermittents de l'informatique, voici les "contrats de projet". Évalué à 2.

    Mon grand pére a fini la guerre dans les mines de sel, c'est le type de remarque qui me fait pas rire.
    Les mines c'était pas les camps, mais on est très loin de disneyland.
  • [^] # Re: La fidélité, la confiance, ça ne s'achète pas, ça se mérite...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Intermittents de l'informatique, voici les "contrats de projet". Évalué à 1.

    la finance en suisse : 8% de l'économie, les 92% restant vive quand même bien...
    La liste de leur production est trop grande pour ce forum, mais ils sont très très loin de la simple production de montre et de chocolat, même étonament compétitif dans l'industrie.

    Pour revenir au sujet, l'objectif c'est de garder des informaticiens en France, de toute façon les prisons sont moins compétitifs en coût global que la délocalisation (humour noir), les indiens délocalisent au vietnam pour avoir des coûts canons.

    Le travail n'est pas une liberté? c'est cour comme remarque, c'est quoi le travail?
  • [^] # Re: La fidélité, la confiance, ça ne s'achète pas, ça se mérite...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Intermittents de l'informatique, voici les "contrats de projet". Évalué à 1.

    seconde guerre mondiale : décision gouvernemantale, idéologique, collective et peut-être que les objectifs étaient supérieurs aux petites préoccupations économiques employés/patrons, non?

    3 millions d'américains travaillent en prison : 1- ils sont payés - 2- le faite d'être en prison n'est pas incompatible avec le droit de grevé - 3- pourquoi quand tu es en prison tu n'as pas le droit, la liberté, (une des rares qui te reste) de travailler (uniquement des volontaires).

    Pour consommer convenablement, patron ou pas, la collectivité doit avoir un certain niveau de vie, la richesse nationale n'est jamais traité, mais il est étonnant comme collectivement on est riche (route, école, hygiène....)
  • [^] # Re: La fidélité, la confiance, ça ne s'achète pas, ça se mérite...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Intermittents de l'informatique, voici les "contrats de projet". Évalué à 1.

    faut : l'esclavage est une nuisance pour l'entreprise. Pas de salaire, pas de consommateur.

    L'exemple de la Corée est très drôle. Pays qui est entrée dans l'OCDE, un niveau de vie étonnant et des entreprises dynamique qui commence d'ailleurs à délocaliser en chine et dans le nord du pays.
    Décollage économique qui profite directement au occidentaux par le marché qu'il a fait émerger. La Corrée nous fournis du travail et son dynamisme favorise l'emploi en France.

    Mais la Suisse? la logique elle est ou dans votre cas?
  • [^] # Re: La fidélité, la confiance, ça ne s'achète pas, ça se mérite...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Intermittents de l'informatique, voici les "contrats de projet". Évalué à 1.

    *le chômage en suisse : autour de 3% je crois, avec licenciement expéditif et charges sociales minimum, niveau de vie pour la population maximum, le plus élevé au monde ou presque!

    Y à comme un problème non?
  • [^] # Re: La fidélité, la confiance, ça ne s'achète pas, ça se mérite...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Intermittents de l'informatique, voici les "contrats de projet". Évalué à 1.

    Et nous sommes qu'au début :
    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3234,36-349382,0.html(...)

    (attention, il parle de l'europe à 25, vous savez, la lituanie, pologne....)

    Alors on joue à l'autruche ou on refléchit pour AGIR?
  • [^] # Re: La fidélité, la confiance, ça ne s'achète pas, ça se mérite...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Intermittents de l'informatique, voici les "contrats de projet". Évalué à 1.

    Le cdi n'est en rien "responsable" de la fidélité ou non d'un employé.
    En général une personne compétente et efficace change rapidement d'entreprise si il ne peut pas évoluer comme il le souhaite. Les autres restent par manque de possibilité. (la compétence est pour moi variée - technique - participative - leadership - autonomie - relationnel...)
    L'entreprise peut, parfois, fidéliser des employés par un ensemble d'actions et de participations beaucoup plus vaste que le contrat de travail et le salaire.
    Par contre, je doutes fortement de l'intérêt des employés pour leur entreprise, en dehors des exceptions et des gens d'un certain âge...

    Si un employé est qualifié, que cette qualification est utile pour l'entreprise, et surtout, si elle est rare, l'entreprise qui a les moyens s'en charge, les autres (entreprises) : tant pis. Voilà l'état de la situation.
    Le MEDEF y est peut-être pour beaucoup, mais les grosses entreprises n'ont pas de problème avec ou sans le contrat de projet, en faite il s'en fout, c'est plutôt une cerise pour lui. Pour la CGPME, les pme/tpe/pmi, c'est une histoire de survie.

    Par contre nous recevons deux à trois fois par mois des propostions pour de la sous-traitance en roumanie, Russie ou autre à un prix dérisoire avec l'accompagnement qui va bien pour la gestion du bordel. Les qualifications sont étonnantes.
    Plus drôle (c'est ironique) et moins connue : un employé travaillant en Suisse, nettement mieux payés qu'en France coûte au final moins à l'entreprise. De plus il fait du 40H par semaine, les jours fériés sont moins nombreux qu'en France, le licenciement d'une simplicité biblique, ect...

    L'informatique est comme le textile, sauf que le mouvement est plus rapide. Si la structure du coût du travail et sa gestion ne change pas, va falloir penser à changer de secteur, fissa.
    Le logiciel libre est un paramètre qui peut freiner, voire fortement limité la délocalisation, pour revenir au sujet du site.

    Conclusion : pourquoi s'emmerder encore avec des employés autre que les courois de transmissions en France, pourquoi essayer de changer les choses?
    Il va falloir admettre que l'entrepreneur à parfois une morale, accepte et adopte une responsabilité sociale et est souvent attentif à son environnement social, même si il doit regarder par l'autre côté de la lorgnette, c'est la même de lorgnette.

    Par contre la concurrence et le client n'attend pas lui...

    Et si il y a le bordel, les roumains sont biens diciplinés eux (hélas pour tous le monde)
  • # voici les "contrats de projet"

    Posté par  . En réponse à la dépêche Intermittents de l'informatique, voici les "contrats de projet". Évalué à 5.

    je suis volontaire pour le casse pipe...:

    Principe universel de base : une entreprise est faite pour gagner de l'argent, l'embauche n'est qu'une des nombreuses conséquences de ce principe.

    Principe d'une tpe/pme/tpi : le propriaitaire de l'entreprise prend le risque d'entreprendre sur son patrimoine, pas de chômage pour lui, risque maximum pour avoir le rôle que beaucoup considère comme un salaud ou un privilégié. (l'aventure et la liberté on un coût financier/personnel, pour les volontaires, vous voilà prévenu).
    Ceci pour faire la différence avec un "grand patron" type en général MEDEF qui touche des millions (en euros) pour fermer une boîte que des financier jugent pas assez rentable. Mais ceux-là non pas besoin de contrat de projet pour rouler tout le monde dans la farine.

    Imaginer pour une petite entreprise d'informatique, qui ne peut pas prendre le risque d'embaucher une personne vue le coût et la difficulté à licencié et l'incertitude du business ambiant.
    On lui propose un contrat qu'elle peut interrompre à tout moment, simplement et sans frais astronomique. (le simplement et bien plus important que les frais, quoi qu'on en pense).
    Avec le contrat de projet (je suppose) Les paramètres sont fondamentalement différent et cette petite entreprise peut, enfin, embaucher en gardant un risque mesurer, en tout cas qu'elle pourra assumer.
    Donc fluidification de l'embauche, donc plus d'emploi au final (si l'entreprise n'embauche pas, c'est surtout qu'elle se retrouve coincé en cas de difficulté, risque financier largement supérieur au gain potentiel).

    Pour l'informaticien (au hasard), il gagne un contrat de travail avec les nombreux avantages liées, comme des horaires normales (légale), un droit au chômage, une capacité d'emprunt auprès d'une banque, la sécurité sociale, voire une mutuelle grâce à l'entreprise...

    un freelance subit les contraintes fortes pour avoir un espoir de travailler, et souvent mal payer et n'a aucune protection sociale digne de ce nom (chômage...), aucune "confiance sociale" (banque...)

    une entreprise de petite taille qui fait la bêtise d'embaucher un cdd ou cdi peut fermer rapidement, avec pour résultat plus de licenciements que la ou les personnes en trop, situation souvent dramatique pour l'entrepreneur qui a sacrifier salaire, pardon, indemnité et niveau de vie pour soutenir sa boîte, voire endettement. (j'en ai vu plusieurs en 2003) en versant les salaires habituels aux personnels.

    Alors si ce nouveau contrat peut débloquer la situation et lutter efficacement contre l'offshore et le chômage, pourquoi pas!

    Cordialement, une réflexion qui demande à être réfléchi.
  • [^] # Re: Pro/Engineer sous Linux

    Posté par  . En réponse à la dépêche Pro/Engineer sous Linux. Évalué à 4.

    Pou EADS, soit airbus, c'est un logiciel libre qu'ils utilisent. Il s'appelle Open Cascade et est d'origine MATRA. Il fait parti d'un de mes grands exemples pour ma conf sur le logiciel libre.

    http://www.opencascade.org/(...)
  • # Re: Le gouvernement britannique teste Linux avec IBM

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le gouvernement britannique teste Linux avec IBM. Évalué à 4.

    Je vous invite au travail de fourmis :
    conférence "rationnelle" sur l'économie du logiciel libre, soutenue avec des exemples précis et concrets, ça marche...
    Créneau porteur auprès des politiques (viser régions, métropole et mairie) : l'emploi
    Expliquer la rationnalité de l'économie du libre, évacuer la notion de gratuit, faite connaître les délocalisations et la capacité du libre à garder des emplois de proximité (pour faire évoluer les besoins locaux ect...)
    C'est long, parfois fastidieux, toujours surprenant.... par contre les retours commencent à se faire sentir, courage.
    C'est peut-être terre à terre, mais terriblement efficace.

    Cordialement
  • [^] # Re: EGOVOS 3 : Usage des logiciels libres et des standards ouverts au sein des gouvernements

    Posté par  . En réponse à la dépêche EGOVOS 3 : Usage des logiciels libres et des standards ouverts au sein des gouvernements. Évalué à 1.

    Les choses sont lentes, je veux juste donner un espoir (réel), mais pas gâché une démarche. Donc des que les nouvelles seront confirmés (plusieurs mois, patience), mon devoir sera de vous en faire un article...

    (oui, je suis un peu parano, mais c'est à l'usure...)
  • [^] # Re: EGOVOS 3 : Usage des logiciels libres et des standards ouverts au sein des gouvernements

    Posté par  . En réponse à la dépêche EGOVOS 3 : Usage des logiciels libres et des standards ouverts au sein des gouvernements. Évalué à 2.

    Peut-être une région, on y travail...
  • [^] # Re: Vers un véritable ERP libre ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche PimenGest : application GPL de gestion commerciale. Évalué à 2.

    Société de service informatique, nous rencontrons un problème certain avec le logiciel de gestion. Nous n'espérons même pas avoir un jour un libre dessus, efficace pour une PME, mais simplement avoir un logiciel payant qui tourne sur linux....
    Et l'objectif est déjà TRES difficile à atteindre. Le quasi monopole sur les postes clients ne pourra sérieusement être bouté hors de l'entreprise sans un bon logiciel de gestion/compta sur linux. Il faut que le marché exerce une très grosse pression pour changer les choses, si il y a des volontaires, nous nous sentirons moins seuls.....

    @+
  • [^] # Re: Le format PNG sur nos sites WEB

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le format PNG sur nos sites WEB. Évalué à 1.

    en plus le brevet logiciel n'est pas valable en europe....
  • # Re: Le format PNG sur nos sites WEB

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le format PNG sur nos sites WEB. Évalué à 2.

    Note: sur le lien : http://www.gnu.org/philosophy/gif.fr.html(...)
    il est noté que le brevet est valable jusqu'en 2003...

    Deviné, nous sommes en 2003, donc le problème du brevet est virtuellement résolue.
    Heureusement, car l'approche "humaine" du problème est "oui, il faudrait, mais bon....".
    De plus, les société de graphisme/design/com ont l'habitude de payer les photos, les polices, ect... ils sont rarement réceptif à une démarche "libre".
  • [^] # Re: Faire tourner des applications MS sous Linux

    Posté par  . En réponse à la dépêche Faire tourner des applications MS sous Linux. Évalué à 1.

    Le GROS problème est la comptabilité dans une tpe ou pme. Nous avons une migration complète vers du 100% open source pour une petite pme, notre unique blocage est la compta, ciel sous wine ne marche pas.... Nous n'avons pas de petit logiciel de compta sous linux, que se soit en proprio ou libre.
    nous devons donc temporiser avec vmware, une licence windows (récup de l'ancien) et ciel.
    Pour information, un logiciel comme "grisbi" ne suffit pas.
    Le problème sera résolue à terme quand la société débloquera le budget non négligeable pour passer à une compta "sérieuse" proprétaire mais 100% sous linux.

    Une autre migration type 50/50 sous windows mais avec open office et le fameux logiciel de compta, ici ebp, est revenue en arrirére.
    Cause : la société devait sortir des fichiers word pour les pièces jointes vers les clients. Petit problème de mise ne page, mais surtout gestion (lourde) en double des fichiers.
    Conclusion : il faut traiter toute la chaîne du document pour passer avec une solution libre, maintenant nous pourrions utiliser un module gratuit pour pondre du pdf : double avantage, les clients peuvent lire et en plus ils ne peuvent (en générale ) pas modifier.
    Mais nous avons toujours le problème de la compta....