D'après l'annonce, Cyril était le représentant de XAnge, une boite d'investissement, spécalisée dans l'investissement dans les startup pour revendre quand ça vaut beaucoup plus. C'était donc tout à fait normal qu'il finisse par partir.
Oui, oui, c'est bien la normalité du business as usual et de la "naïveté" européenne. De l'autre côté de l'atlantique, les actifs qui peuvent être cédés à des capitaux européens sont ceux à problèmes comme Monsanto, Lucent,…
Et cela ne change rien à mon propos, le remplacement d'un investisseur historique européen par un fond d'investissement états-unien n'a rien d'une bonne nouvelle pour qui au contraire pense que l'Europe doit tout faire pour se soustraire à la mainmise malheureusement croissante des USA sur ses systèmes numériques.
le fondateur d’Odoo souhaite garder la majorité des actions pour garantir la pérennité du projet libre sur le long terme.
C'est un simple souhait, déjà bien moins qu'une ferme volonté qui même si elle avait été affichée m'aurait laissé dubitatif.
Ah, quand mon boucher me demande des euros en échange de quelques côtelettes, c'est parce qu'il a "besoin d'argent" pour changer sa vitrine.
Cela ne m'était jamais venu à l'esprit…
D’où mon erreur de contextualisation; désolé
Je me fait l'avocat d'Odoo parce que ça m'énerve cette façon de critiquer sans connaître (alors que Fabien Pinkaers a très souvent présenté ici même la raison des modules propriétaires), d'être suspicieux face à une entreprise qui grandit et a besoin d'argent pour financer les évolutions,…
Et bien non justement, il ne s'agit pas du tout de cela comme le précise l'annonce originale d'Odoo :
This is a lot of money. It's great for our ego… but it won't impact the company, or the community, as there will be no cash injected in the company. Why didn't we do a capital increase? Mostly because we don't need to: Odoo is profitable, and our cash flow allows us to sustain a growth of 60% per year.
Encore un avocat qui n'a pas lu le dossier de son client. ;-)
De l'art de présenter une mauvaise nouvelle comme une bonne :
Un certain Cyrl, membre du conseil d'administration et probablement actionnaire depuis l'origine d'Odoo, se fait la malle en la remplissant de 180 millions d'euros aimablement livrés par un fond d'investissement originaire comme d'habitude du pays qui possède la monnaie dominante au niveau mondial, le dollar US, pays qui en créé à volonté pour piller les autres économies par le biais financier (ou quand ce n'est pas possible ou rapide en usant de sa puissance militaire également gracieusement financée par le dieu $).
Conséquences
À court terme
Le(s) dirigeant(s) historique(s) d'Odoo restant s'en trouve(nt) affaibli(s) avec un contrôle moindre sur le capital et avec un nouvel actionnaire susceptible d'avoir l'appétit du loup qui vient d'entrer dans la bergerie.
L'opération n'apporte aucun argent frais à l'entreprise et n'a donc aucun intérêt pour le quotidien opérationnel de l'entreprise.
Devant cette mauvaise nouvelle, il s'agit donc comme souvent de faire bonne figure, de trouver matière à se réjouir et de générer un peu de bruit médiatique : le couplet classique est sur l'air fameux "rien ne change" mais ne permet pas de cacher que l'agneau comme d'habitude est en train de se faire croquer par le loup, voila qui est propre à rassurer les "milieux économiques" et à attirer de nouvelles entreprises comme clients ne doutant plus de la viabilité d'Odoo en tant qu'elle est devenue une entreprise identifiée comme proie par les forces dominantes du système économique.
À moyen/long terme
Une entreprise belge dont le capital sera détenu par des intérêts états-uniens / mondialisés qui décideront à leurs guises de son avenir et éventuellement de sa fusion/absorption avec une autre marque et un autre modèle économique, d'autres localisations des emplois,… et le tout possiblement toujours plus éloigné de l'éthique du logiciel libre.
Bref "business as usual" dans ce monde de concentration effrénée du capital dans la main des sociétés par actions et d'obligation de croître de ces dernières pour repousser un peu l'échéance de l'effondrement systémique, quitte, bien sûr, à détruire l’écosystème au niveau planétaire.
Y a t-il lieu de célébrer cette nouvelle sur LinuxFr ?
Vu qu'il n'y a, pour l'instant que 20 réponses dans cette case, séparer les distros n'a plus de sens et les commentaires sont là pour ça.
Pas convaincu, d'autant plus qu'il y en a 21 :-)
De plus n'ayant pas d'affinité avec la case "Linux, mais je ne sais pas encore quelle distribution choisir, Mobian peut-être", je me suis donc rabattu sur "Autre OS parce qu’il faut bien une case autre et au cas où on en aurait oublié" en faisant un effort pour dépasser ma répugnance pour "OS".
Mon premier réflexe avait été de ne pas répondre du tout, il est possible que d'autres l'un ou l'autre de ces deux cheminements.
Sinon, ce qui serait bien, c'est que tu parles de ton expérience d'utilisateur d'Ubuntu Touch. Cela pourrait pousser des gens à l'adopter (ou pas).
À mon sens, la communauté UBports qui développe Ubuntu Touch est vraiment digne d'intérêt pour quiconque a envie de contribuer à un système d'exploitation mobile de confiance plutôt que d'être limité au rang d'utilisateur (dans le pire des cas d'un système privateur et attentatoire à la vie privée).
Elle est très facile à intégrer grâce à sa structuration (multilingue, multicanal,…), elle est "pacifique" grâce à un code de conduite mis en application par des modérateurs très efficaces, elle est très ouverte à la collaboration avec d'autres communautés du libre (projets Halium, Lomiri, UBports-Installer, remontées de code vers Debian,…).
Contribuer est dans cette communauté un plaisir et utiliser Ubuntu Touch également (même si cela dépend plus d'habitudes, de préférences, de "besoins" personnels ou sociaux).
Le système d'exploitation s'appelle toujours Ubuntu Touch et le sujet du sondage est "Sous quel système d'exploitation tourne votre téléphone ?"
La communauté UBports soutenue par la fondation UBports porte le projet Ubuntu Touch et d'autres projets, l'environnement graphique Lomiri qui peut être (et qui est) installé sur d'autres distributions GNU/Linux, l'installeur UBports qui rend facile l'installation d'Ubuntu Touch mais aussi de VollaOS (et d'autres à venir) et participe avec d'autres communautés au projet halium.
Et ce n'est pas Ubuntu qui a abandonné Ubuntu Touch mais Canonical qui a en arrêté le développement (en se séparant de 120 collaborateurs) tout en rendant possible et même en facilitant sa reprise par le communauté UBports.
C'est un Linux non ? Donc c'est à mettre dans la case Linux :-)
Android et les dérivés d'AOSP sont des "Linux", Ubuntu Touch (et Mobian et d'autres) sont plutôt des GNU/Linux.
Honnêtement je n'allais pas mettre toutes les distro qui ont fait ou vont faire une distro pour le Pinephone.
Ubuntu Touch tourne sur des dizaines d'appareils, existe depuis 2013, est supporté par une fondation,…
Mettre sur le même pied les distributions qui ont démarré seulement en 2020 avec le (et grâce au) PinePhone a ses limites.
Il y en a actuellement une soixantaine listés sur le site officiel de la fondation UBports (qui pilote le développement d'Ubuntu Touch) : https://devices.ubuntu-touch.io/
différents environnements pourront être installés à l’instar de KDE Plasma Mobile, UBports, LuneOS ;
UBports n'est pas le nom d'un "environnement" (ni d'un système d'exploitation) mais celui d'une fondation et d'une communauté qui contribuent au dévelloppement d'Ubuntu Touch, système d'exploitation pour mobiles.
citation Concernant le PinePhone, il est étonnant de voir le PinePhone considéré comme ne bénéficiant que d’un portage partiel alors qu'il a été proposé par son constructeur dans une version Ubuntu Touch.
Le PinePhone est certes sorti en version Ubuntu Touch avec en plus les logos d'UBports dans le cadre d'une collaboration entre Pine64 et UBports. Mais il était clairement indiqué qu'il s'agissait d'un appareil destiné seulement aux développeurs et aux adopteurs précoces ayant une vaste expérience de Linux. Il ne s'agissait pas d'un appareil destiné aux utilisateurs lambda pour un usage quotidien.
L'idée est de rendre accessible un matériel pour que de multiples communautés GNU/Linux puissent porter leur distributions, l'adapter à un usage en mobilité et collaborer.
De plus,le PinePhone est le premier appareil non android (en excluant le portage à peine amorcé du Librem 5, pour l'instant à l'arrêt) sur le quel est porté Ubuntu Touch. Le second étant la tablette PineTab qui embarque le même SOC. Il n'utilise n'y un kernel modifié pour Android ni les pilotes Android. De plus, les couches graphiques diffèrent de celles utilisées pour les appareils Android.
Autrement dit Ubuntu Touch sur le PinePhone (et la PineTab) diffère très sensiblement d'Ubuntu Touch sur les appareils android, son développement est plus récent et en conséquence, il n'y a rien d'étonnant à ce que son niveau de maturité soit moindre.
Il pourrait être utile également de rappeler qu'une alternative est d'utiliser des systèmes libres plus sûrs par conception sur certains smartphones livrés avec android, tels que :
[^] # Re: La seule raison que me faisait préférer Ubuntu !
Posté par libremax . En réponse à la dépêche Debian 12 : le début d'une nouvelle ère. Évalué à 1.
Des raisons de préférer Ubuntu ? Pour certains cela peut être, par exemple :
10 ans de mises à jour de sécurité gratuites (jusqu'à 5 machines) avec Ubuntu Pro,
Le support communautaire sur forum.ubuntu-fr.org,
…
[^] # Re: Faux semblants
Posté par libremax . En réponse à la dépêche L’envolée de Odoo, le logiciel de gestion open source. Évalué à -3.
La dépêche est centrée sur Odoo pas sur XAnge.
Ce qui est normal ou bon pour XAnge n'est pas le sujet…
[^] # Re: Faux semblants
Posté par libremax . En réponse à la dépêche L’envolée de Odoo, le logiciel de gestion open source. Évalué à 1.
Oui, oui, c'est bien la normalité du business as usual et de la "naïveté" européenne. De l'autre côté de l'atlantique, les actifs qui peuvent être cédés à des capitaux européens sont ceux à problèmes comme Monsanto, Lucent,…
Et cela ne change rien à mon propos, le remplacement d'un investisseur historique européen par un fond d'investissement états-unien n'a rien d'une bonne nouvelle pour qui au contraire pense que l'Europe doit tout faire pour se soustraire à la mainmise malheureusement croissante des USA sur ses systèmes numériques.
C'est un simple souhait, déjà bien moins qu'une ferme volonté qui même si elle avait été affichée m'aurait laissé dubitatif.
[^] # Re: Alternatives à Odoo
Posté par libremax . En réponse à la dépêche L’envolée de Odoo, le logiciel de gestion open source. Évalué à -7.
Ah, quand mon boucher me demande des euros en échange de quelques côtelettes, c'est parce qu'il a "besoin d'argent" pour changer sa vitrine.
Cela ne m'était jamais venu à l'esprit…
D’où mon erreur de contextualisation; désolé
[^] # Re: Alternatives à Odoo
Posté par libremax . En réponse à la dépêche L’envolée de Odoo, le logiciel de gestion open source. Évalué à -4.
Et bien non justement, il ne s'agit pas du tout de cela comme le précise l'annonce originale d'Odoo :
Encore un avocat qui n'a pas lu le dossier de son client. ;-)
# Faux semblants
Posté par libremax . En réponse à la dépêche L’envolée de Odoo, le logiciel de gestion open source. Évalué à 5.
De l'art de présenter une mauvaise nouvelle comme une bonne :
Un certain Cyrl, membre du conseil d'administration et probablement actionnaire depuis l'origine d'Odoo, se fait la malle en la remplissant de 180 millions d'euros aimablement livrés par un fond d'investissement originaire comme d'habitude du pays qui possède la monnaie dominante au niveau mondial, le dollar US, pays qui en créé à volonté pour piller les autres économies par le biais financier (ou quand ce n'est pas possible ou rapide en usant de sa puissance militaire également gracieusement financée par le dieu $).
Conséquences
Le(s) dirigeant(s) historique(s) d'Odoo restant s'en trouve(nt) affaibli(s) avec un contrôle moindre sur le capital et avec un nouvel actionnaire susceptible d'avoir l'appétit du loup qui vient d'entrer dans la bergerie.
L'opération n'apporte aucun argent frais à l'entreprise et n'a donc aucun intérêt pour le quotidien opérationnel de l'entreprise.
Devant cette mauvaise nouvelle, il s'agit donc comme souvent de faire bonne figure, de trouver matière à se réjouir et de générer un peu de bruit médiatique : le couplet classique est sur l'air fameux "rien ne change" mais ne permet pas de cacher que l'agneau comme d'habitude est en train de se faire croquer par le loup, voila qui est propre à rassurer les "milieux économiques" et à attirer de nouvelles entreprises comme clients ne doutant plus de la viabilité d'Odoo en tant qu'elle est devenue une entreprise identifiée comme proie par les forces dominantes du système économique.
Une entreprise belge dont le capital sera détenu par des intérêts états-uniens / mondialisés qui décideront à leurs guises de son avenir et éventuellement de sa fusion/absorption avec une autre marque et un autre modèle économique, d'autres localisations des emplois,… et le tout possiblement toujours plus éloigné de l'éthique du logiciel libre.
Bref "business as usual" dans ce monde de concentration effrénée du capital dans la main des sociétés par actions et d'obligation de croître de ces dernières pour repousser un peu l'échéance de l'effondrement systémique, quitte, bien sûr, à détruire l’écosystème au niveau planétaire.
Y a t-il lieu de célébrer cette nouvelle sur LinuxFr ?
[^] # Re: Ubuntu Touch
Posté par libremax . En réponse au sondage Sous quel système d'exploitation tourne votre téléphone ?. Évalué à 3.
Pas convaincu, d'autant plus qu'il y en a 21 :-)
De plus n'ayant pas d'affinité avec la case "Linux, mais je ne sais pas encore quelle distribution choisir, Mobian peut-être", je me suis donc rabattu sur "Autre OS parce qu’il faut bien une case autre et au cas où on en aurait oublié" en faisant un effort pour dépasser ma répugnance pour "OS".
Mon premier réflexe avait été de ne pas répondre du tout, il est possible que d'autres l'un ou l'autre de ces deux cheminements.
À mon sens, la communauté UBports qui développe Ubuntu Touch est vraiment digne d'intérêt pour quiconque a envie de contribuer à un système d'exploitation mobile de confiance plutôt que d'être limité au rang d'utilisateur (dans le pire des cas d'un système privateur et attentatoire à la vie privée).
Elle est très facile à intégrer grâce à sa structuration (multilingue, multicanal,…), elle est "pacifique" grâce à un code de conduite mis en application par des modérateurs très efficaces, elle est très ouverte à la collaboration avec d'autres communautés du libre (projets Halium, Lomiri, UBports-Installer, remontées de code vers Debian,…).
Contribuer est dans cette communauté un plaisir et utiliser Ubuntu Touch également (même si cela dépend plus d'habitudes, de préférences, de "besoins" personnels ou sociaux).
[^] # Re: Ubuntu Touch
Posté par libremax . En réponse au sondage Sous quel système d'exploitation tourne votre téléphone ?. Évalué à 2.
Le système d'exploitation s'appelle toujours Ubuntu Touch et le sujet du sondage est "Sous quel système d'exploitation tourne votre téléphone ?"
La communauté UBports soutenue par la fondation UBports porte le projet Ubuntu Touch et d'autres projets, l'environnement graphique Lomiri qui peut être (et qui est) installé sur d'autres distributions GNU/Linux, l'installeur UBports qui rend facile l'installation d'Ubuntu Touch mais aussi de VollaOS (et d'autres à venir) et participe avec d'autres communautés au projet halium.
Et ce n'est pas Ubuntu qui a abandonné Ubuntu Touch mais Canonical qui a en arrêté le développement (en se séparant de 120 collaborateurs) tout en rendant possible et même en facilitant sa reprise par le communauté UBports.
[^] # Re: Ubuntu Touch
Posté par libremax . En réponse au sondage Sous quel système d'exploitation tourne votre téléphone ?. Évalué à 2.
Android et les dérivés d'AOSP sont des "Linux", Ubuntu Touch (et Mobian et d'autres) sont plutôt des GNU/Linux.
Ubuntu Touch tourne sur des dizaines d'appareils, existe depuis 2013, est supporté par une fondation,…
Mettre sur le même pied les distributions qui ont démarré seulement en 2020 avec le (et grâce au) PinePhone a ses limites.
# Appareils compatibles avec Ubuntu Touch
Posté par libremax . En réponse à la dépêche Quel téléphone (plus ou moins) libre en 2021 ?. Évalué à 1.
Il y en a actuellement une soixantaine listés sur le site officiel de la fondation UBports (qui pilote le développement d'Ubuntu Touch) : https://devices.ubuntu-touch.io/
Il est possible en cherchant bien d'en trouver d'autres sur https://gitlab.com/ubports/community-ports et sur XDA developers Forum :https://forum.xda-developers.com/search/16314915/?q=Ubuntu+Touch&o=relevance
UBports n'est pas le nom d'un "environnement" (ni d'un système d'exploitation) mais celui d'une fondation et d'une communauté qui contribuent au dévelloppement d'Ubuntu Touch, système d'exploitation pour mobiles.
# Ubuntu Touch
Posté par libremax . En réponse au sondage Sous quel système d'exploitation tourne votre téléphone ?. Évalué à 1.
Assez curieux qu'Ubuntu Touch ne figure pas dans la liste alors qu'il fait par ailleurs l'objet d'une dépêche : https://linuxfr.org/news/systemes-d-exploitation-pour-telephones-partie-5-ubuntu#comment-1840055
# Précisions relatives à UT sur le PinePhone
Posté par libremax . En réponse à la dépêche Systèmes d'exploitation pour téléphones — partie 5 : Ubuntu 🖥️📲. Évalué à 4.
Le PinePhone est certes sorti en version Ubuntu Touch avec en plus les logos d'UBports dans le cadre d'une collaboration entre Pine64 et UBports. Mais il était clairement indiqué qu'il s'agissait d'un appareil destiné seulement aux développeurs et aux adopteurs précoces ayant une vaste expérience de Linux. Il ne s'agissait pas d'un appareil destiné aux utilisateurs lambda pour un usage quotidien.
L'idée est de rendre accessible un matériel pour que de multiples communautés GNU/Linux puissent porter leur distributions, l'adapter à un usage en mobilité et collaborer.
De plus,le PinePhone est le premier appareil non android (en excluant le portage à peine amorcé du Librem 5, pour l'instant à l'arrêt) sur le quel est porté Ubuntu Touch. Le second étant la tablette PineTab qui embarque le même SOC. Il n'utilise n'y un kernel modifié pour Android ni les pilotes Android. De plus, les couches graphiques diffèrent de celles utilisées pour les appareils Android.
Autrement dit Ubuntu Touch sur le PinePhone (et la PineTab) diffère très sensiblement d'Ubuntu Touch sur les appareils android, son développement est plus récent et en conséquence, il n'y a rien d'étonnant à ce que son niveau de maturité soit moindre.
# Alternatives à android
Posté par libremax . En réponse à la dépêche Utiliser son Android de façon plus sécurisée. Évalué à 1.
Il pourrait être utile également de rappeler qu'une alternative est d'utiliser des systèmes libres plus sûrs par conception sur certains smartphones livrés avec android, tels que :
UBports Ubuntu Touch : https://www.ubports.com
Plasma mobile : https://www.plasma-mobile.org
# Dons et plate-forme de dons
Posté par libremax . En réponse à la dépêche La vidéo pour expliquer le logiciel libre à votre voisin. Évalué à 0.
Dans une vidéo centrée sur "Le logiciel libre", évoquer votre compte Tipee, pour illustrer le sujet majeur des dons est tout à fait inconsistant.
Pour l'occasion, vous créer un compte Liberapay ne vous aurait pris que quelques secondes et vous aurait permis ainsi de rester dans le sujet.
Même si elle reste critiquable et perfectible la plate-forme Liberapay repose indubitablement sur du logiciel libre.
A part cela, le sujet est traité plutôt correctement. Je vais la tester sur des cerveaux totalement neufs.