Vous avez vraiment des problèmes avec les ordres de grandeur, tu as 100x plus de chances de mourir sur la route, d'un cancer, d'un suicide, que par la main d'un terroriste !
Il me semblait que l'on pouvait facilement retrouver la valeur de la clef du XOR si on xor 2 valeurs, ayant été "xoré". Je me trompe ? C'est le principe du 1 time padding, si jamais tu utilises 2 fois la clef, tu es mort.
Vu d'ici, les américains ont l'air d'investir pour éviter de perdre le concours de b. avec les chinois.
Sinon d'un point de point de vue simulation, j'ai l'impression que cela se démocratise. Il existe des "cloud" de calcul, ce qui facilite l'usage de logiciel dédiés (genre ceux de mes employeurs ANSYS).
je pense que tu fais un gros raccourci la dessus. Elle pourrait très bien être une apprenti jedi sans mémoire. D'ailleurs, elle manipule la force après que l'apprenti Vador la lui fouille.
Tu oublis aussi que même si il arrête les laser d'une main, le méchant en a pris une bonne dans la hanche (même si il ne saigne pas beaucoup).
Dès lors, obtenir l'accord d'autres personnes complique le changement de licence
Ce n'est pas la GPL qui complique, c'est GPL + quelque chose en plus car la GPL seule ne fait rien à ce sujet.
Seul le propriétaire des droits d'auteur peuvent changer la licence sur une nouvelle version, quelques soient la licence précédente.
Quand plusieurs propriétaires ont du code à eux dans un logiciel, il faut l'accord de tous pour changer de licence lors d'une nouvelle version.
La GPL n'est qu'un type de licence donné par les propriétaires du code, ils peuvent donc en changer quand ils veulent.
Ce genre de merdier (+DRM) visent les copieurs du dimanche, ceux qui faisait des copies de CD. Mais bon, aujourd'hui, tout se trouve en ligne déjà joliment empaqueté.
Je n'ai tellement pas réfléchit au sujet qu'il y a plus de 10 ans, j'écrivais dessus dans Linux Magasine.
Tu prends un argument pour les formats ouvert et dis qu'il faut du logiciel libre, ha ha ha.
As-tu été à une seule conférence de RMS ? J'en ai vu 2 : celle sur le logiciel libre (l'histoire du driver d'imprimante fermé et avec la vanne sur l'église d'emacs, la 3ième fois, c'est moins drôle) et celle sur les brevets logiciels. Et je les ai vu plusieurs fois (RMLL, Fosdem, etc…).
Mais bon, Zentram est plus fort que Chuck Norris, il sait mieux que RMS, ce que RMS pense.
Ce n'est que ton avis. C'est seulement la base du discourt de RMS concernant la nécessité des logiciels libres. C'est pour cette raison principale qu'il a créé la GPL et le mouvement du logiciel libre. Mais je comprends que tu penses qu'il a eu complètement tort.
Si je fais un logiciel libre dont j'interdit la redistribution de version modifiée (donc pas vraiment libre), la liberté de l'utilisateur concernant ses données est respectée.
Ce n'est donc pas un logiciel libre, tu n'as rien montré. De plus, cela pose plein de problème connexe comme l'évolutivité de ton logiciel par rapport à tes besoins. Changer de logiciel n'est pas forcément possible.
Hors, dans un environnement connecté, ce qui est important, ce n'est pas que le logiciel soit libre, ni que le serveur sur lequel on se connecte/communique soit libre.
Tu oublis complètement que les service en ligne, sont bien plus récent que la GPL…
Dans un cadre connecté, ce problème est orthogonal au caractère libre ou non d'un logiciel (qu'il soit client ou serveur) car se situe au niveau du service rendu et non des logiciels en eux-même.
C'est pour cela qu'il y a des versions modifiées de la GPL ( http://affero.org/oagpl.html ). La GPL V3.0 tentait aussi de modifier ce comportement (surtout pour la tivoisation, et les attaques par brevet par la perte de la licence).
En gros, tu ne connais pas le discourt de RMS, mais tu arrives à le commenter. J'adore.
manipulations du copyleft transformé en produit d'appel pour vendre du pur proprio
Cela n'a jamais été interdit. C'est connu depuis MySQL et Qt. C'est aussi très difficile à tenir, car il faut que chaque contributeur te donne leur droit d'auteur, pour pouvoir changer de licence ou se passer de contributeur, ce qui limite beaucoup l’intérêt du logiciel par rapport à un freeware.
aux autres formes d’œuvre comme les images et les sons qui sont tous aussi importants dans un logiciel que le code pur et doivent donc être libres aussi sinon on a un moteur de voiture invendable car sans carrosserie etc…)
Tu mélanges 2 choses : le droit d'une image qui peut être en creative common, que RMS a laissé à d'autre le soin de le mettre en place.
Ensuite, tu as la licence d'un logiciel ou son code source, et la licence des images (ou "artwork"). A priori, le fait de faire un code libre, un logiciel libre mais des artwork non libre, ne serait pas légal en France, car tu ne pourrais pas avoir 2 licences pour le même logiciel.
, j'avoue ne pas comprendre tout à fait le cheminement logique) "la licence BSD croyait à la bonté humaine" en mettant RMS comme un grand penseur :).
C'est pourtant exactement le discourt de RMS. La BSD pensent que les gens sont assez bon pour se partager le code. La GPL pensent le contraire et force à rester libre (la BSD existait avant la GPL).
Si on regarde le monde "BSD", il est remplit de fork incompatible, et des versions propriétaires: l'OS lui-même, X11, spice,… L'écosystème est bien plus petit.
, alors le seul moyen vraiment sûr pour l'éditeur d'un logiciel est de fournir un environnement de compilation dudit logiciel (machine virtuelle, docker, etc…)
Non, il peut fournir les scripts de build (difficile de s'en passer) mais pas les compilateurs. Il existe depuis longtemps un exemple d'unix en code source fournis avec un compilateur qui introduisait une faille de sécurité volontaire. ( http://scienceblogs.com/goodmath/2007/04/15/strange-loops-dennis-ritchie-a/ )
Sinon, il y a tellement de paramètres à prendre en compte que c'est difficilement tenable (version du compilateur, option de compilation, système hôte, architecture hôte & cible (cross-compilation), version des bibliothèques utilisées, etc…)
Tous les logiciels libres le font pour entrer dans les distributions Linux. Il n'y a rien d’infaisable, il suffit d'être "propre".
j'ai fais un raccourci, mais le discourt de RMS concerne surtout la liberté de l'utilisateur concernant ses données, qui ne peut être atteinte sans logiciel libre.
non, ce n'est pas orthogonal. Typiquement le domaine publique est libre et n'est jamais propriétaire.
Une licence BSD/MIT/Apache est très proche du domaine public. La licence existe surtout car il est impossible de dire qu'une création est directement mis en domaine publique.
Tu fais erreur, il existe un tas de licence libre qui n'oblige pas à la redistribution des modifications. C'est un ajout de RMS, qui ne croyait pas à la bonté humaine, comme peut le faire la licence BSD.
Tu peux partir de cette histoire qui justifie la propriété privé https://fr.wikipedia.org/wiki/Trag%C3%A9die_des_biens_communs Et l'on voit que cela ne s'applique pas du tout au numérique, car ce ne sont pas de biens rivaux, ni limité en quantité (on ne vole pas du feu ou une idée, le feu et l'idée sont toujours à disposition de la première personne).
| "Un logiciel peut être privateur et transparent."
C'est très difficile. si tu ne peux pas reconstruire ton système à l'identique à partie des sources, la transparence est illusoire (même un ordinateur de vote libre n'offre pas une transparence suffisante).
Tu perds aussi toute la notion d'indépendance de l'utilisateur d'avec son fournisseur. Les données des utilisateurs ne peuvent être libre sans logiciel libre. Le vendeur "lock-in" est aussi un grave problème.
[^] # Re: Quadrature du cercle...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Sortir de l'état d'urgence. Évalué à 6.
Vous avez vraiment des problèmes avec les ordres de grandeur, tu as 100x plus de chances de mourir sur la route, d'un cancer, d'un suicide, que par la main d'un terroriste !
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Journal bookmark inutile.
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal faille Linux 0 day du 19 janvier 2016 . Évalué à 3.
Il me semblait que l'on pouvait facilement retrouver la valeur de la clef du XOR si on xor 2 valeurs, ayant été "xoré". Je me trompe ? C'est le principe du 1 time padding, si jamais tu utilises 2 fois la clef, tu es mort.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: support du streaming ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de Mixxx 2.0. Évalué à 1.
Tu peux facilement "stocker en local", mais tu n'as pas accès à leur fichier, j'imagine qu'il faut utiliser leur api.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Inquiétude
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le Top 500 des supercalculateurs de novembre 2015. Évalué à 2.
Vu d'ici, les américains ont l'air d'investir pour éviter de perdre le concours de b. avec les chinois.
Sinon d'un point de point de vue simulation, j'ai l'impression que cela se démocratise. Il existe des "cloud" de calcul, ce qui facilite l'usage de logiciel dédiés (genre ceux de mes employeurs ANSYS).
"La première sécurité est la liberté"
# support du streaming ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de Mixxx 2.0. Évalué à 1.
Est-ce que ce genre de logiciel peut lire du spotify ou du deezer ?
Leur interface debase est très moyenne pour faire une soirée.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: SW
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Qui nous sauvera de J. J. Abrams ?. Évalué à 4. Dernière modification le 19 janvier 2016 à 09:23.
je pense que tu fais un gros raccourci la dessus. Elle pourrait très bien être une apprenti jedi sans mémoire. D'ailleurs, elle manipule la force après que l'apprenti Vador la lui fouille.
Tu oublis aussi que même si il arrête les laser d'une main, le méchant en a pris une bonne dans la hanche (même si il ne saigne pas beaucoup).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: analogie
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Logiciels libres vs privateurs, les analogies et paraboles rhétoriques !?.. Évalué à 2.
Seul le propriétaire des droits d'auteur peuvent changer la licence sur une nouvelle version, quelques soient la licence précédente.
Quand plusieurs propriétaires ont du code à eux dans un logiciel, il faut l'accord de tous pour changer de licence lors d'une nouvelle version.
La GPL n'est qu'un type de licence donné par les propriétaires du code, ils peuvent donc en changer quand ils veulent.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: analogie
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Logiciels libres vs privateurs, les analogies et paraboles rhétoriques !?.. Évalué à 6.
Qt vivait aussi de ça; tu veux faire un logiciel proprio tu paye, tu veux faire un logiciel GPL, c'est gratuit. C'est un bon deal je trouve.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Toujours le même duel...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Logiciels libres vs privateurs, les analogies et paraboles rhétoriques !?.. Évalué à -2. Dernière modification le 15 janvier 2016 à 16:40.
Et toi tu es trop limité pour comprendre que je parlais du point de vue du créateur de la GPL depuis le début du thread, pas le mien.
Mais, ton cerveau refuse de le comprendre, car cela empêcherait de lâcher ton venin.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Exemple de Benjamin Bayard
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Logiciels libres vs privateurs, les analogies et paraboles rhétoriques !?.. Évalué à 3.
Ce genre de merdier (+DRM) visent les copieurs du dimanche, ceux qui faisait des copies de CD. Mais bon, aujourd'hui, tout se trouve en ligne déjà joliment empaqueté.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Toujours le même duel...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Logiciels libres vs privateurs, les analogies et paraboles rhétoriques !?.. Évalué à -2.
Je n'ai tellement pas réfléchit au sujet qu'il y a plus de 10 ans, j'écrivais dessus dans Linux Magasine.
As-tu été à une seule conférence de RMS ? J'en ai vu 2 : celle sur le logiciel libre (l'histoire du driver d'imprimante fermé et avec la vanne sur l'église d'emacs, la 3ième fois, c'est moins drôle) et celle sur les brevets logiciels. Et je les ai vu plusieurs fois (RMLL, Fosdem, etc…).
Mais bon, Zentram est plus fort que Chuck Norris, il sait mieux que RMS, ce que RMS pense.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Exemple de Benjamin Bayard
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Logiciels libres vs privateurs, les analogies et paraboles rhétoriques !?.. Évalué à 3.
Pour rien au monde je ne changerais mon vieux lecteur DVD qui a un firmware alternatif qui commence le film dés l'introduction du DVD.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Toujours le même duel...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Logiciels libres vs privateurs, les analogies et paraboles rhétoriques !?.. Évalué à 0.
Ce n'est que ton avis. C'est seulement la base du discourt de RMS concernant la nécessité des logiciels libres. C'est pour cette raison principale qu'il a créé la GPL et le mouvement du logiciel libre. Mais je comprends que tu penses qu'il a eu complètement tort.
Ce n'est donc pas un logiciel libre, tu n'as rien montré. De plus, cela pose plein de problème connexe comme l'évolutivité de ton logiciel par rapport à tes besoins. Changer de logiciel n'est pas forcément possible.
Tu oublis complètement que les service en ligne, sont bien plus récent que la GPL…
C'est pour cela qu'il y a des versions modifiées de la GPL ( http://affero.org/oagpl.html ). La GPL V3.0 tentait aussi de modifier ce comportement (surtout pour la tivoisation, et les attaques par brevet par la perte de la licence).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Toujours le même duel...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Logiciels libres vs privateurs, les analogies et paraboles rhétoriques !?.. Évalué à 2.
C'est vrai. Il me semble que Debian a un projet dans ce sens.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: analogie
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Logiciels libres vs privateurs, les analogies et paraboles rhétoriques !?.. Évalué à 2.
En gros, tu ne connais pas le discourt de RMS, mais tu arrives à le commenter. J'adore.
Cela n'a jamais été interdit. C'est connu depuis MySQL et Qt. C'est aussi très difficile à tenir, car il faut que chaque contributeur te donne leur droit d'auteur, pour pouvoir changer de licence ou se passer de contributeur, ce qui limite beaucoup l’intérêt du logiciel par rapport à un freeware.
Tu mélanges 2 choses : le droit d'une image qui peut être en creative common, que RMS a laissé à d'autre le soin de le mettre en place.
Ensuite, tu as la licence d'un logiciel ou son code source, et la licence des images (ou "artwork"). A priori, le fait de faire un code libre, un logiciel libre mais des artwork non libre, ne serait pas légal en France, car tu ne pourrais pas avoir 2 licences pour le même logiciel.
C'est pourtant exactement le discourt de RMS. La BSD pensent que les gens sont assez bon pour se partager le code. La GPL pensent le contraire et force à rester libre (la BSD existait avant la GPL).
Si on regarde le monde "BSD", il est remplit de fork incompatible, et des versions propriétaires: l'OS lui-même, X11, spice,… L'écosystème est bien plus petit.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: analogie
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Logiciels libres vs privateurs, les analogies et paraboles rhétoriques !?.. Évalué à 2.
Je parlais évidement de licence de code source.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Toujours le même duel...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Logiciels libres vs privateurs, les analogies et paraboles rhétoriques !?.. Évalué à 4.
Non, il peut fournir les scripts de build (difficile de s'en passer) mais pas les compilateurs. Il existe depuis longtemps un exemple d'unix en code source fournis avec un compilateur qui introduisait une faille de sécurité volontaire. ( http://scienceblogs.com/goodmath/2007/04/15/strange-loops-dennis-ritchie-a/ )
Tous les logiciels libres le font pour entrer dans les distributions Linux. Il n'y a rien d’infaisable, il suffit d'être "propre".
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Toujours le même duel...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Logiciels libres vs privateurs, les analogies et paraboles rhétoriques !?.. Évalué à 1.
j'ai fais un raccourci, mais le discourt de RMS concerne surtout la liberté de l'utilisateur concernant ses données, qui ne peut être atteinte sans logiciel libre.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: analogie
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Logiciels libres vs privateurs, les analogies et paraboles rhétoriques !?.. Évalué à 0. Dernière modification le 14 janvier 2016 à 17:59.
non, ce n'est pas orthogonal. Typiquement le domaine publique est libre et n'est jamais propriétaire.
Une licence BSD/MIT/Apache est très proche du domaine public. La licence existe surtout car il est impossible de dire qu'une création est directement mis en domaine publique.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: analogie
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Logiciels libres vs privateurs, les analogies et paraboles rhétoriques !?.. Évalué à 1.
Tu fais erreur, il existe un tas de licence libre qui n'oblige pas à la redistribution des modifications. C'est un ajout de RMS, qui ne croyait pas à la bonté humaine, comme peut le faire la licence BSD.
"La première sécurité est la liberté"
# analogie
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Logiciels libres vs privateurs, les analogies et paraboles rhétoriques !?.. Évalué à 2.
Tu peux partir de cette histoire qui justifie la propriété privé https://fr.wikipedia.org/wiki/Trag%C3%A9die_des_biens_communs Et l'on voit que cela ne s'applique pas du tout au numérique, car ce ne sont pas de biens rivaux, ni limité en quantité (on ne vole pas du feu ou une idée, le feu et l'idée sont toujours à disposition de la première personne).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Toujours le même duel...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Logiciels libres vs privateurs, les analogies et paraboles rhétoriques !?.. Évalué à 3.
| "Un logiciel peut être privateur et transparent."
C'est très difficile. si tu ne peux pas reconstruire ton système à l'identique à partie des sources, la transparence est illusoire (même un ordinateur de vote libre n'offre pas une transparence suffisante).
Tu perds aussi toute la notion d'indépendance de l'utilisateur d'avec son fournisseur. Les données des utilisateurs ne peuvent être libre sans logiciel libre. Le vendeur "lock-in" est aussi un grave problème.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Au service de le France
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Pour ceux qui trouvent que les séries c'est beaucoup trop long.... Évalué à 2.
"- il il … a des affaires.
- des quoi ?
- il voit des femmes.
- et ?
- ben, il trompe sa femme.
- Et ?
- C'est pas bon pour son image !
… mdr … lol…"
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Absence de "double clic"
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal L'escroquerie Contact+. Évalué à 7.
Venant de SFR, cela t'étonne encore ?
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: merci qui, merci microsoft...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Analyse de l'origine d'un virus. Évalué à 5.
ça c'est encore pire.
"La première sécurité est la liberté"