Philip Marlowe a écrit 1176 commentaires

  • [^] # Re: ?

    Posté par  . En réponse au journal Pas rapide à la détente ?. Évalué à -3.

    Pour résumer c'est à moi de faire leur boulot.
  • # Et dedans, comment est-ce ?

    Posté par  . En réponse au journal la petite des Emachines ... ?. Évalué à 2.

    As-tu ouvert le boîtier ? Il reste de la place pour des cartes d'extension ? Il y a des slots libres ? S'il y en a, pourrais-tu indiquer le nombre et le type ?

    Selon tes réponses je pourrais être intéressé...
  • [^] # Re: J'ai trouvé

    Posté par  . En réponse au message Téléphonie fixe. Évalué à 2.

    Oui, Vous avez raison, nonas et NeoX. Pratiquement tous les téléphones DECT Siemens, y-compris les moins chers que j'ai passés en revue, permettent de les déclarer jusque sur quatre base. Ce n'est pas le cas des Motorola que nous possédions jusqu'ici.

    Je pense que nous allons prendre ça. Probablement le A580, 45 € HT le duo sans répondeur, et nous prendrons quelques combinés supplémentaires.

    Si ça vous intéresse, postez un mot et je vous raconterai comment ça s'est passé.
  • # J'ai trouvé

    Posté par  . En réponse au message Téléphonie fixe. Évalué à 1.

    J'ai trouvé l'information que je cherchais. Plus besoin de réponse.
  • [^] # Re: Et beh...

    Posté par  . En réponse au journal Chromium est bien plus lent que Firefox. Évalué à 4.

    Tu ne fréquenterais Frédéric Mitterrand, par hasard ?
  • [^] # Re: Bof

    Posté par  . En réponse au journal [HS] l'hyperlivre ou l'hypermoyen d'organiser l'hyperconsumérisme des hyperpigeons. Évalué à 1.

    Que la source soit un CD audio, un fichier FLAC ou autre chose de qualité équivalente, le son sortant du système de restitution est le même.

    Du point de vue de la lecture pure, la lecture sur papier et celle sur un écran sont de même nature. Il doit être possible de faire des écrans où la lecture est aussi confortable que sur du papier.

    Par contre, je n'arrive pas à te faire comprendre pourquoi un livre est directement lisible, pas en le touchant, sauf pour le braille. La manipulation, si son étymologie vient de main, concerne aussi le regard.

    Je ne cherche pas d'excuse. Je pourrais en chercher si je disais que j'emmerde les lecteurs de livres électroniques, mais ce n'est pas le cas. Pourquoi veux-tu à tout prix que je cherche des excuses ?

    Quand on aime, on aime, et il n'y a pas d'explications bâtardes. J'avais dit que je fermais le débat, mais bon. Ça me rappelle Boris Vian (de mémoire) :

    Si j'écris de la poésie
    C'est que ça m'amuse,
    C'est que ça m'amuse,
    C'est que ça m'amuse,
    Et je vous chie au nez.
  • [^] # Re: Bof

    Posté par  . En réponse au journal [HS] l'hyperlivre ou l'hypermoyen d'organiser l'hyperconsumérisme des hyperpigeons. Évalué à 1.

    Un livre est directement intelligible.

    Et? Qu'est-ce que ça apporte en plus?


    Ben c'est directement utilisable.

    Tu ne réponds d'ailleurs pas à la question : pourquoi acceptes-tu cette interface intermédiaire pour lire mon commentaire, et ne l'acceptes-tu pas pour lire un livre?

    Ça ne me dérange pas que ton commentaire soit rapidement biodégradable.

    Ne mélange pas les notions de toucher pour les CD et les livres. On n'écoute pas un CD en le touchant. Je crois l'avoir déjà écrit.

    Je clos le débat, commente à ton aise par la suite. Je ne suis pas atteint par la religion du progrès ou du prétendu progrès. Pour que j'adopte un progrès, il faut encore qu'il me plaise. Cela s'appelle la subjectivité. Ou alors il faut que j'y sois contraint.

    Avoir un ensemble de livres sur des choses qui ressemblent à des étagères, ce n'est pas la même chose quand on vit seul et quand on vit à plusieurs. Quand un ami ou un enfant prend un livre ou qu'on lui en montre un, que des discussions s'engagent, des conseils, des réflexions, des émotions s'échangent, ce genre de choses donnent l'impression d'appartenir au genre humain, me semblent plus difficile à susciter avec les ersatz que tu proposes. Le livre est un objet qui modèle notre, en tout cas mon environnement intime. Je n'ai pas envie d'habiter dans quelque chose qui ressemblerait à un réfrigérateur, qu'il y ait besoin d'une interface pour accéder à l'émotion.

    Ceci dit, il faut s'entendre : pour certains usages, je n'ai rien contre. Mais de là à le laisser remplacer le livre issu de l'imprimerie...
  • [^] # Re: Bof

    Posté par  . En réponse au journal [HS] l'hyperlivre ou l'hypermoyen d'organiser l'hyperconsumérisme des hyperpigeons. Évalué à 2.

    Tu évoques un aspect que j'avais oublié d'exprimer : ce dont je ne veux pas, c'est ne plus disposer que de ça.

    Que tu en aies besoin pour lire des livres en anglais, très bien. Même si pour cela aussi je préfère la version papier, d'ailleurs Amazon livre ça en deux jours. À chacun sa liberté.

    Ce qui m'avait fait réagir, ce sont les assertions du genre « les Français sont scandaleusement en retard pour les livres électroniques ». De quoi se mêle-t-on ? De nous faire la morale parce que nous ne consommons pas assez, ou pas ce qu'il faut ? Il ne me serait jamais venu à l'esprit de prendre l'initiative de venir dénigrer le livre électronique, quoique j'aie une prévention contre. Mais là ça confinait à la publicité sauvage.
  • [^] # Re: Bof

    Posté par  . En réponse au journal [HS] l'hyperlivre ou l'hypermoyen d'organiser l'hyperconsumérisme des hyperpigeons. Évalué à 2.

    Oui, je peux lire tes commentaires bien qu'ils ne soient pas dans un livre. En effet, il n'y a pas que les livres qui soient lisibles. Il n'y a cependant pas d'objet simple, comme un livre, qui jouerait de la musique sans le truchement de processus exécutés par l'objet. Ou plutôt si, ça existe, des partitions par exemple, ou des tablatures, d'autres formes d'écriture en somme.

    Alors recommençons, peut-être m'exprimé-je mal. Allons au plus près du concept. En court d'abord. Un livre est directement intelligible. Sans processus annexe. Il faut, certes, qu'il soit en suffisamment bon état. Que le lecteur soit alphabétisé dans la langue du livre, et en mesure de lire physiquement, c'est à dire avec une suffisamment bonne vue ou, s'il s'agit de braille, qu'il ne se soit pas en outre fait couper les doigts. En passant, je trouve extrêmement pertinente ta remarque à propos des livres électroniques et du mode d'affichage qui peut varier selon les besoins ou les handicaps des lecteurs.

    Ce n'est pas que viscéral. Il y a la nécessité d'une médiation supplémentaire entre l'ouvrage et le lecteur à tout moment, le livre électronique. Je répète : un livre est directement intelligible. Quel que soit la complexité de son processus de fabrication, une fois produit il est simplement et directement utilisable. Il n'y a pas besoin de médiation technologique. D'un lecteur qui peut casser. D'un format de stockage qui peut changer. Qui peut être changé sciemment. Quand j'ai un livre dans la main je n'ai besoin de rien d'autre pour le lire.

    Alors oui, peut-être, le livre électronique va-t-il supplanter le livre imprimé. Ça dépendra du marché et des individus. Si ceux qui acceptent le livre électronique sont suffisamment nombreux pour que le marché y trouve son compte. Si, dans le cas contraire, le marché a la volonté de l'imposer. N'oublions pas la fameuse remarque de Coluche, selon laquelle il suffit de ne pas acheter quelque chose pour que ça ne se vende pas.

    Enfin parlons de ton raisonnement par analogie avec les bouliers, qui a le grand mérite de montrer les limites du raisonnement par analogie. La calculatrice remplace le boulier en le dépassant. Est-ce vraiment le cas du livre électronique par rapport au livre imprimé ?

    Tu noteras par ailleurs que je n'exprime pas un rejet total du livre électronique. Pour les magazines, les livres techniques rapidement périmés, ça peut être très bien. Il faudra pourtant faire la part des choses entre ce qui peut être édité directement sur Internet et ce qui doit l'être sur le livre électronique, qui n'a décidément pas qu'un seul concurrent.

    Je laisse de côté les aspects environnementaux, le problème des pays pauvres, qui sont majoritaires et où le problème de l'éducation est souvent criant, où le coût du lecteur, qui peut te sembler modique, pourrait y être prohibitif.
  • [^] # Re: Bof

    Posté par  . En réponse au journal [HS] l'hyperlivre ou l'hypermoyen d'organiser l'hyperconsumérisme des hyperpigeons. Évalué à 1.

    Bon, d'abord, il n'y a pas besoin de DRM pour qu'on puisse conserver le support et perdre le contenu.

    Tu as fait le pas pour l'audio, tu n'as pas encore fait le pas pour le livre.

    Ce n'est pas la même chose. Manipuler le CD, ou le vinyle ça n'a rien à voir avec l'écouter. Par contre lire un livre sans le manipuler...

    D'autre part, j'ai vu des assertions sur la durabilité des livres, pas forcément par toi, qui me laissent perplexes. J'ai des vieux Jules Vernes et des Jack London qui datent de l'enfance de mon père, les années fin 1930 et 1940, dans une très ancienne Bibliothèque verte qui tiennent très bien le choc. J'en achète encore de temps en temps chez les bouquinistes. Des bouquins de math ou autre d'avant guerre ou d'immédiat après guerre qui me sont utiles et très précieux pour présenter parfois à mes enfants des notions qui sont expliquées de manière moins absconse que dans les livres d'école de maintenant.

    Et oui, ça me choque de devoir alimenter en énergie électrique des appareils censés remplacer les livres, qui n'en consomment qu'à la fabrication. D'avoir à suivre l'évolution des standards pour être sûrs qu'ils puissent rester lisibles. Tu as des cassettes VHS chez toi ? Tu les a transcodées ?

    Les livres me posent des problèmes simples. Les transporter, les ranger, en prendre soin, c'est simple. Lire trois livres en même temps (pas simultanément bien sûr), c'est simple. Pas besoin de s'y connaître dans un domaine technique. Quand j'achète dans une brocante La technique du coup d'état de Malaparte et que les pages sur ce qui s'est passé en 1920 à Varsovie ont été découpées propre par un de ses anciens possesseurs, je le vois, c'est une manière rudimentaire de caviarder un livre, pas besoin de fournir des méthodes plus élaborées à ceux qui peuvent avoir intérêt à ce genre de choses. Quand on aime lire, on ne se contente pas des livres neufs en vente sur le marché. Tu imagines, dans vingt ans un bouquiniste ou une brocante de livres numériques ?

    Ce n'est pas que la technique me pose problème. C'est que toutes nos activités n'ont pas fatalement besoin de mutations techniques. On a débattu ici de la durabilité comparée des deux formes de livres. C'est une question oiseuse. Le livre numérique n'aura pas besoin de subir des dégradations pour être à terme illisible.

    Je ne dis pas que c'est inutile : Engineering and Scientific Computing with Scilab ou PostgreSQL par la pratique, certaines revues et magazines, seraient avantageusement publiés sous cette forme.

    Ah oui, en dernier, puisque l'on envisage la disparition des livres avant celle des SDF, pour ceux qui vivent dans des conditions difficiles, ou pire, qui sont sans domicile ou en prison, le livre électronique pourrait être une forme supplémentaire d'exclusion.

    Voilà, je réponds en vrac, je vois tellement d'objections à faire que je ne sais pas par quoi commencer. J'ai un rejet autant viscéral que raisonné de ce genre de choses.
  • [^] # Re: Bof

    Posté par  . En réponse au journal [HS] l'hyperlivre ou l'hypermoyen d'organiser l'hyperconsumérisme des hyperpigeons. Évalué à 3.

    avec l'excuse des emplois, on aurait encore les poiçonneurs au métro

    Si tu me lis attentivement, tu constateras qu'en aucun cas je n'invoque ou ne cherche des excuses. Des excuses à propos de quoi, à quel titre ?

    Les poinçonneurs du métro sont particulièrement mal choisis ; savoir-faire proche de zéro, utilité purement économique, tant que le progrès technique n'avait pas fait mieux. Pour les employés de l'édition, de le même manière que ceux, disparus, de l'imprimerie dont j'ai dit pourquoi, particulièrement pour les correcteurs, on peut les regretter, la perte est celle d'emplois intellectuels utiles à une certaine forme de production.

    Ce que je crains ce n'est pas la perte d'un métier mais celle de certaines connaissances intellectuelles.

    Par ailleurs on a pu voir le gag (est-ce un gag ?) de la disparition de 1984 pour certains clients d'Amazon.

    Pour le livre classique, la perte du support équivaut à la perte du contenu. On a fait un progrès : désormais, on peut conserver le support et perdre le contenu.

    Question d'habitude : tu peux faire exactement la même chose avec un lecteur d'ebook.

    Avec les supports classiques, je ne cherche rien à faire quand je mémorise. C'est un résultat que j'obtiens à mon insu, sans le rechercher. Je ne suis pas sûr du tout d'obtenir le même résultat avec un livre électronique. La mémoire dont je parlais est étroitement liée à la manipulation physique de l'objet livre. Autant il est possible de se repérer spatialement sur les propriétés gauche et droite et en haut et en bas des pages, autant le repérage en début et en fin de livre risque de sauter.

    Je ne parlerai pas par crainte d'être partial de la notion physique d'être en fin de livre (est-ce que je veille un peu pour le finir ?) parce que le nombre de pages qui restent à lire se voit bien. Il est possible de trouver des succédanés.

    J'oubliais. Je suis intoxiqué jusqu'à la moelle par la lecture et par les livres. Il est normal que je craigne que le livre électronique soit une pauvre contrepartie au vrai livre.

    Ce qui me surprend, c'est le conservatisme par rapport à la technologie

    Je ne suis pas un conservateur. Pour la musique enregistrée, ça fait longtemps que j'ai converti en FLAC mes CD. Pour acheter directement du FLAC ou équivalent libre, j'attends qu'on m'en propose. En l'espèce le conservatisme n'est pas de mon côté. Je ne porte plus de chandails en laine d'animal, mais en polaire, tant qu'il y a du pétrole. J'attends des FAI qu'ils respectent la neutralité d'Internet, qu'on puisse faire de la téléphonie, et plus, sur IP. De ce côté-là aussi, ce n'est pas de mon bord que le progrès est bloqué.

    C'est pourquoi quand les marchands veulent me faire croire qu'ils sont plus progressistes que moi je me méfie... Dans le livre électronique, le principal progrès qu'ils attendent sont peut-être bien les DRM...

    Ceci dit, si un jour il n'y a plus que ça, je lirai mes livres sur un support électronique. C'est d'ailleurs un support qui se prête assez bien à certains types d'ouvrages, au contenu particulièrement labile, tels que les manuels de logiciels, toujours en évolution, ou les mémoires des vedettes du moment.
  • [^] # Re: Bof

    Posté par  . En réponse au journal [HS] l'hyperlivre ou l'hypermoyen d'organiser l'hyperconsumérisme des hyperpigeons. Évalué à 1.

    s/en éditions/en édition/
  • [^] # Re: Bof

    Posté par  . En réponse au journal [HS] l'hyperlivre ou l'hypermoyen d'organiser l'hyperconsumérisme des hyperpigeons. Évalué à 1.

    s/une rééditions/une réédition/
  • [^] # Re: Bof

    Posté par  . En réponse au journal [HS] l'hyperlivre ou l'hypermoyen d'organiser l'hyperconsumérisme des hyperpigeons. Évalué à 3.

    Il y a plusieurs sortes de rééditions. L'acte d'éditer, que ce soit des livres nouveaux, des rééditions de livres épuisés ou des livres tombés dans le domaine public est avant tout une entreprise intellectuelle avec des emplois, salariés ou non, de ce type. On garde une population de personnes compétentes dans ce domaine, qui embrasse tous les autres, architecture, littérature, sciences, etc. Le fait même que le moyen de production peut être qualifié d'archaïque par certains permet de voir encore des aventures de petits éditeurs qui échappent, pour un temps parfois, à la concentration éditoriale.

    Rééditer, c'est aussi créer des notes sur le texte, choisir des illustrations, expliquer des tournures anciennes. Je lis en ce moment une rééditions du Ventre de Paris d'Émile Zola, et je suis étonné par la teneur des notes en bas de page, qui expliquent des expressions ou des tournures de phrases que je connais la plupart du temps. Oui mais voilà j'ai cinquante-deux ans et, renseignement pris auprès d'eux, souvent mes enfants ne les connaissent pas. Ces notes augmentent la lisibilité du texte par des lecteurs d'aujourd'hui. L'édition est autre chose que de la copie bit à bit.

    Une chose n'a pas été évoquée : le processus de mémorisation. Quand dans un texte quelque chose me frappe, ou m'intéresse particulièrement, je suis souvent capable des années après l'avoir lu de me remémorer le livre, parfois la revue où ça se trouve, l'emplacement dans le livre, vers le début ou vers la fin pour ne pas parler du milieu, si c'est sur le page de gauche ou de droite et, sur cette page, si c'est vers le haut ou vers le bas. Renseignement pris auprès d'un échantillon représentatif de plusieurs personnes de mon entourage et de mes amis, je ne suis pas le seul dans ce cas. Par contre j'ai beaucoup de mal à mémoriser les informations que j'acquiers par écran interposé, qui se mélangent souvent dans ma tête comme une bouillie où je ne distingue plus les sites de provenance et les auteurs.

    Pour en revenir, en dernier, sur le maintien d'une population intellectuelle compétente, il faut se rappeler ce qui est déjà arrivé au livre avec l'apparition de la photocomposition et la disparition des ouvriers du livres, parmi lesquels les imprimeurs et, surtout, les correcteurs. Ces derniers formaient une authentique aristocratie ouvrière qui en faisaient les gardiens, parmi d'autres, de la langue française. Ils pouvaient téléphoner à un membre de l'Académie française pour lui demander si tel détail d'un de ses livres en éditions était un effet de style ou tout bonnement une faute d'orthographe ou, pire, de français. À comparer avec les multiples erreurs de ce genre qui émaillent désormais une certaine production éditoriale de notre époque. Ceci est bien expliqué dans un livre ou un article de Cavanna ; pour me contredire je ne sais plus où...
  • [^] # Re: il me manque les extensions ki-vont-bien

    Posté par  . En réponse au sondage Chromium / Google Chrome sous Linux. Évalué à 3.

    Je viens de faire un tour sur chateausaintjean.com et ça m'a bien fait rire de voir une option sobre de style d'affichage...
  • # le coin du feignant

    Posté par  . En réponse au journal Crème anglaise.. Évalué à 2.

    Quand je veux faire une île flottante, je m'inspire d'une de ces deux recettes sur marmiton.org :
    http://www.marmiton.org/Recettes/Recette_creme-anglaise-au-m(...)
    http://www.marmiton.org/Recettes/Recette_creme-anglaise-au-m(...)

    Ça fait un moment que je n'en ai pas fait, mais j'obtenais de bons résultats. Je verse plutôt dans le Tiramisu ces temps-ci.
  • [^] # Re: Surprise

    Posté par  . En réponse au journal Lisaac: sorti de la 0.39beta. Évalué à 2.

    N'oublie pas d'éteindre la lumière en partant.
  • [^] # Re: Surprise

    Posté par  . En réponse au journal Lisaac: sorti de la 0.39beta. Évalué à 3.

    Ça fait trois fois au moins que tu racontes la même ânerie, sur le ton docte de l'expert : le langage C n'est pas une machine virtuelle, on peut plutôt le considérer comme un assembleur portable.
  • [^] # Re: Surprise

    Posté par  . En réponse au journal Lisaac: sorti de la 0.39beta. Évalué à 2.

    Sauf qu'en SmartEiffel (c'est là que ça a été inventé) et en Lisaac, tes contrats sont hérités.
    Les contrats sont dans la spécification initiale du langage Eiffel (à une époque où il n'y avait encore aucune implémentation). SmartEiffel est une implémentation particulière de ce langage. De plus en plus particulière...
  • # Bravo !

    Posté par  . En réponse au journal Greg Egan: Océanique. Évalué à 9.

    Encore merci, Patrick_g, pour ce journal didactique, documenté et agréable à lire sur le nouveau noyau Linux. Comme toujours !
  • [^] # Re: Surprise

    Posté par  . En réponse au journal Lisaac: sorti de la 0.39beta. Évalué à 2.

    Oui, et au train où vont les choses, je ne serais pas étonné que Lisaac soit bientôt plus utilisé que SmartEiffel... Avec la version 2, tout le monde a fui. Il y a même un programmeur SmartEiffel 1.1 que je soupçonne de pulsions homicides contre le team depuis que toute la compatibilité entre les versions a été jetée aux orties. Il avait fait un gros projet qui, je crois, était une interface graphique de programmation pour le langage Ruby. Mais c'est une autre histoire...
  • [^] # Re: Surprise

    Posté par  . En réponse au journal Lisaac: sorti de la 0.39beta. Évalué à 2.

    Bien sûr que non. Avec un langage qui propose des assertions par contrat on peut éviter la plupart de ces call sur null.

    Chez Eiffel Software, qui propose un compilateur Eiffel, donc avec la programmation par contrat (qu'on utilise en produisant des assertions), ils ont dû trouver, mais ils ne doivent pas avoir ton niveau, que celle-ci ne permet pas totalement d'éviter les void calls. C'est pourquoi, avec la dernière mouture du compilateur/environnement de développement, il y a un mécanisme spécifique pour résoudre le problème avant la compilation.

    Un peu de lecture :
    http://qconlondon.com/london-2009/presentation/Null+Referenc(...)
    http://www.ddj.com/architect/219500827?cid=RSSfeed_DDJ_All

    Alors, oui, éviter les void calls avant l'exécution, ça vaut le coup. Merci à l'équipe de Lisaac pour ça. Et non, le recours aux contrats et autres assertions ne peut pas les éviter totalement. C'est le totalement qui est important.

    Incidemment, mettre les noms de classes et de types en majuscules ne me dérange pas, c'est déjà ce que je fais :) Je sais, je suis minoritaire...
  • [^] # Re: Surprise

    Posté par  . En réponse au journal Lisaac: sorti de la 0.39beta. Évalué à 3.

    Ce qui m'amène à cette question: pourquoi as-tu commencé d'en parler ?
  • [^] # Re: Surprise

    Posté par  . En réponse au journal Lisaac: sorti de la 0.39beta. Évalué à 3.

    Lisaac est donc maintenant compatible 16, 32, 64 bits et non plus seulement 32 bits.

    Je ne vois dans cette phrase rien qui revendique un quelconque caractère révolutionnaire ou avant-gardiste. Nulle part il n'est demandé au lecteur de s'extasier devant la caractéristique annoncée. C'est tout bonnement de l'information, il n'y a pas de quoi péter un câble, ou le trollomètre.
  • [^] # Re: Surprise

    Posté par  . En réponse au journal Lisaac: sorti de la 0.39beta. Évalué à 3.

    désolé, on va pas s'extasier sur le support 16 ou 64 bits

    C'est que tu ne vois pas l'intérêt de pouvoir utiliser un langage de haut niveau qui permet de faire de la programmation système, proche du matériel, et qui permet d'adresser des cibles en 16, 32 et 64 bits. Si tu n'en as pas besoin, on ne t'en veut pas, c'est juste que ce n'est pas ton problème.

    Ceux qui font de la programmation pour l'embarqué peuvent être autrement intéressés.