paladar a écrit 377 commentaires

  • [^] # Re: Euh...

    Posté par  . En réponse au journal Vers la fin des offres sectorisées dans le marché commun ?. Évalué à 6.

    Si un modérateur veut bien remplacer le lien de numérama par celui-ci : http://www.numerama.com/magazine/20038-droit-d-auteur-l-exclusivite-territoriale-jugee-illegale-en-europe.html

    Je copie-colle l'info importante, ie titre et intro, ci-dessous. Le reste est de l'enrobage ou de l'explication.

    Droit d'auteur : l'exclusivité territoriale jugée illégale en Europe

    Dans un arrêt publié ce mardi, la Cour de Justice de l'Union Européenne a jugé que les accords de licence qui imposent aux diffuseurs de limiter leur clientèle à un seul état membre étaient illégaux. Si elle concerne en premier lieu les diffusions par satellite, la jurisprudence devrait en principe s'appliquer également aux restrictions géographiques imposées sur Internet.

  • [^] # Re: OpenData

    Posté par  . En réponse au journal La Saône et Loire libère ses données. Évalué à 1.

    Ça m'a l'air d'être une notion récente, et le mot reste à inventer, à traduire, ou à être repris d'un vieux mot en français. Donc pourquoi pas données ouvertes ? ≠ données libres ≠ données d'accès libre.

  • [^] # Re: Upload

    Posté par  . En réponse au journal La rue Valois (la Culture) ouvre un wiki pour remplacer l'Académie Française. Évalué à 1.

    Là-dedans, il me semble qu'on devrait plutôt dire courrier numérique qu'électronique. On numérise mais personne n'électronise…

  • [^] # Re: Upload

    Posté par  . En réponse au journal La rue Valois (la Culture) ouvre un wiki pour remplacer l'Académie Française. Évalué à 1.

    J'ai employé un temps volontairement courriel, mais je l'utilise de moins en moins.

    Contrairement à ses débuts, j'ai l'impression que tout le monde comprend le terme. Mais j'ai aussi l'impression que c'est un terme qui est surtout utilisé à l'écrit. Et que mail fait un peu langage courant et courriel fait langage plus soutenu. D'autant qu'à la manière dont les gens prononcent mail, c'est soit mèïlle, soit mèl, voir mél. On prononce souvent en faisant pas trop d'effort pour adopter la prononciation d'origine (et c'est pas bien grave, mais moins "classe").

    Le seul truc un peu lourd mais pas bien grave avec mail, c'est que ça s'écrit pareil que mail, le jardin public qui vient du latin et se rapproche de l'anglais mall, alors que ça se prononce pas du tout pareil chez moi (maïlle à ce moment).

    Sinon il y a un truc qui aurait pu venir de l'anglais mais s'annonce mal pour le terme anglais, c'est ebook reader, ou e-reader. Personne ne parle de lecteurel en français, mais on a ressorti la bonne vieille liseuse, qui était inusitée et change de sens pour l'occasion. Ou alors on parle de lecteur de livre numérique comme on parle de lecteur de fichiers musicaux.

  • [^] # Re: Upload

    Posté par  . En réponse au journal La rue Valois (la Culture) ouvre un wiki pour remplacer l'Académie Française. Évalué à 0.

    Ah, parce que quand on traduit des termes de l'anglais ça doit toujours être des termes supra-balaises au point que la traduction paraît encore plus extraterrestre que l'original ? Une bonne traduction passe inaperçue. C'est le cas d'envoyer et recevoir. Je vais pas téléenvoyer ou téléverser pour faire savant. J'utilise mail et message, mais quand j'utilise message ça peut aussi être «je t'ai envoyé un message par mail» :)

  • [^] # Re: Upload

    Posté par  . En réponse au journal La rue Valois (la Culture) ouvre un wiki pour remplacer l'Académie Française. Évalué à 3.

    C'est pas parce que les langues ne sont pas identiques qu'on a pas des mécanismes efficaces dans tous les cas. Simplement pas toujours pour les mêmes choses.

    L'allemand et l'anglais sont bien plus des langues légo que le français qui utilise moins de verbes composés ou en tout cas sépare moins les radicaux des affixes. Les allemands comme les anglais font un usage hyper-intensif de leurs affixes style auf bei nach von aus bis zu, ou up to un down from.

    Nos pré, ex, dé et autres re-asse et jaunisse on les utilise moins. Ça sera plutôt envoyer/recevoir/détourner/"le sens que tu veux" là où un anglais reste avec une seule racine et change seulement de radical pour donner le sens. Tu vois ça comme une richesse ou une perte de temps et de mémoire, au choix.

    Et en français ou en allemand on utilise aussi un peu plus de tournures réflexives qu'en anglais. Ce qui fait que je le «je me demande» qui passe inaperçu en français est plus lourd en anglais «I am asking to myself». Personne dit ça, ça sera «I am wondering». En allemand «Ich frage mich» ça passe. Quand l'allemand «steht sich auf» ou plus simplement «steht auf» et que le français se lève, l'anglais «is awakening».

    Sinon les français utilisent des formules parfois plus longues mais moins rythmées qu'en anglais et surtout qu'en allemand. Là où les allemands, en allemand standard, détachent ou alors suppriment les syllabes superflues, les français suppriment aussi quelques syllabes mais font beaucoup de liaisons qui facilitent la prononciation.

    Pour des raisons qui me sont inconnues, dans toutes les langues il y a des «optimisations», mais elles sont rarement au même endroit.

  • [^] # Re: Upload

    Posté par  . En réponse au journal La rue Valois (la Culture) ouvre un wiki pour remplacer l'Académie Française. Évalué à 1.

    C'est ce que j'utilise tout le temps : débit montant/descendant. Envoyer au serveur, recevoir du serveur. Débit en émission/en réception. Ça colle avec envoyer/recevoir un mail, ou boîte de réception et messages envoyés. Sinon j'utilise tout bêtement mettre sur le serveur.

    Je dis aussi, plutôt quand c'est des gros fichiers et que ça prend du temps : (télé)charger sur le serveur et télécharger du serveur. Le sens de la transaction est compris dans le «sur» et le «du». Télécharger tout seul correspond toujours au sens descendant, vu que je suis le centre du monde… Je précise presque toujours où je charge quelque chose.

    Ça donne «je charge les dossiers de photos sur le ftp», «j'envoie un mail que tu auras bientôt dans ta boîte de réception» et «je mets les photos sur Flickr» et «ton débit montant est vraiment pourrave».

  • [^] # Re: S'il n'yavait que la démat...

    Posté par  . En réponse au journal Les finances publiques pilotées par SAP : qu'en penser ?. Évalué à 1.

    Rassurant de voir que les consultants en prennent aussi un peu pour leur grade. De même que les employés «normaux» quand ils travaillent de travers. Je m'attendais à ce que des histoires pareilles puissent finir au tribunal, mais c'est sans doute très difficile de démontrer clairement que les torts ne sont pas partagés dans ces cas-là.

  • [^] # Re: Pour ceux qui se demandent pourquoi SAP ?

    Posté par  . En réponse au journal Les finances publiques pilotées par SAP : qu'en penser ?. Évalué à -1.

    Pour une fois que l'on a un champion europeen on peut s'en réjouir.

    D'après le Morgen Post de Hambourg, au niveau taxes etc… le gouvernement allemand est cool avec SAP. Mieux, ils leur concoctent des contrats avec les Chinois.

  • [^] # Re: S'il n'yavait que la démat...

    Posté par  . En réponse au journal Les finances publiques pilotées par SAP : qu'en penser ?. Évalué à 1.

    Oui, mais avec un raisonnement pareil il n'aurait déjà pas fallu utiliser Microsoft ni passer son temps à sous-traiter son informatique pour soit-disant faire des économies. L'État Français aurait par exemple financé sa propre suite bureautique et on fonctionnerait tous sous Linux, et aurait accompagné toutes ses évolutions bureaucratiques de logiciels taillés pour elles par ses administrations.

    En plus de faire des réductions de personnel dans l'administration on serait un pays leader sur les hautes techno de l'administration, ce qui par ricochet nous positionnerait bien ailleurs aussi. Mais bon, il faut croire que nos dirigeants n'ont rien vu venir, ou s'en foutent.

  • [^] # Re: S'il n'yavait que la démat...

    Posté par  . En réponse au journal Les finances publiques pilotées par SAP : qu'en penser ?. Évalué à 1.

    Par ailleurs quelques faillites mémorables ont été due à une mauvaise implémentation de SAP.

    Très bon :) Qui est sur la sellette à ce moment outre le personnel de la boîte en faillite ?

  • [^] # Re: SAP=logiciel privateur

    Posté par  . En réponse au journal Les finances publiques pilotées par SAP : qu'en penser ?. Évalué à 4.

    ait pue faire ce choix
    Pas pour les odeurs en tout cas…

  • [^] # Re: Qui fait quoi

    Posté par  . En réponse au journal Les finances publiques pilotées par SAP : qu'en penser ?. Évalué à 1.

    C'est pourtant l'idée de gérer l'État comme une boîte privée, qui doit donc aussi être relativement rentable, qui semble gouverner cette fameuse [RGPP] où des consultants viennent nous expliquer comment gérer les musées. Le site officiel truqué de sigles incompréhensibles pour qui n'est pas averti un minimum. Là les histoires de fact-checking dans le journalisme auraient un sens.

  • [^] # Re: Pas libre

    Posté par  . En réponse au journal La rue Valois (la Culture) ouvre un wiki pour remplacer l'Académie Française. Évalué à 2.

    Très juste, je pensais que c'était l'interface qui faisait fuir, mais là c'est vraiment pas terrible du coup comme site. Ceci dit ça me manque de temps en temps, un site où on aurait les académiciens et le public pour donner leur avis sur les termes à adopter.

  • [^] # Re: Qui fait quoi

    Posté par  . En réponse au journal Les finances publiques pilotées par SAP : qu'en penser ?. Évalué à 2.

    Bien sûr. Je suis certain que ça intéressera certains qui passeront ici d'avoir la liste des technos qu'utilise l'État dans ses infras informatiques. C'est un peu comme quand on apprend par un commentaire que Facebook est entièrement sous Linux et utilise Bittorrent pour pousser ses updates journalières : 1 mn pour des dizaines de milliers de serveurs et quelques MB. Ça donne une idée de leur propre efficacité et de ce qui marche ou pas comme techno.

  • [^] # Re: Qui fait quoi

    Posté par  . En réponse au journal Les finances publiques pilotées par SAP : qu'en penser ?. Évalué à 2.

    Les marchés publics sont systématiquement rendus publics sur la place de marchés interministérielle, le quidam peut les télécharger. Bon, ça réclame un peu de boulot pour se tenir au courant ! https://www.marches-publics.gouv.fr/

    Mais bien sûr :) À moins de vivre dans le milieu, ça serait pas plutôt un boulot de journaliste que de faire ça ? Un peu ingrat par rapport aux potins et accouplements intempestifs de nos politiques mais utile au moins comme "surveillance citoyenne".

  • [^] # Re: Qui fait quoi

    Posté par  . En réponse au journal Les finances publiques pilotées par SAP : qu'en penser ?. Évalué à 3.

    Je copie-colle ce qui est affiché sur la page Wikipédia Chorus_(logiciel) dont le lien n'est pas passé, pour préciser les fonctions de chacun dans les intégrateurs de départ :

    Le projet est piloté opérationnellement par l’Agence pour l'Informatique Financière de l'État (AIFE).
    La réalisation de l'application Chorus fait l'objet d'un marché public divisé en quatre lots, attribués après appels à candidatures. Le montant total de ce marché est estimé à 180 millions d'euros. Source LeMonde.fr
    -- Steria & Accenture pour l'intégration des fonctions du cœur de Chorus et la tierce maintenance applicative;
    -- Logica pour l'infocentre;
    -- Sopra et sa filiale Axway pour le système d'échange de données avec certaines applications ministérielles et interministérielles. Source Sopra.com
    -- Bull pour la fourniture de l'architecture technique

  • [^] # Re: Beurk caca bouh pas bien

    Posté par  . En réponse au journal Piratage : les éditeurs allemands sont des rigolos. Évalué à 2.

    Surtout que comme on le fait remarquer plus haut, il est imaginable d'avoir des plates-formes innovatives libres et plébiscitées par le public parce que jolies, finies, pratiques, intégrées, interopérables, extensibles, propres, avec du contenu dans le catalogue, etc…

    C'était le cas de Firefox en son temps (Chrome passe devant maintenant). Ce pourrait être le cas des environnements de bureau comme KDE et Gnome. Ça aurait pu être le cas de Diaspora (ça le sera peut-être, sait-on jamais), dont l'interface et les aspects se sont fait repomper par Google +.

  • [^] # Re: Beurk caca bouh pas bien

    Posté par  . En réponse au journal Piratage : les éditeurs allemands sont des rigolos. Évalué à 1.

    Très juste. «Les gens» veulent ni plus ni moins que ça marche, que ça soit pratique, et que ça soit joli. « Polish et écosystème » Après ça si c'est libre et gratuit c'est un plus.

    Les distributions linux les plus répandues sont pas les plus libres, mais celles qui évitent à l'utilisateur de réfléchir. Genre ubuntu ou fedora au hasard.

    Je ne mets jamais plus de 15 mns à réinstaller une distro pour les étapes de base. C'est bien. Je passe trois heures après pour la joliesse du truc et tout installer, pour que ça me plaise, et je n'y touche plus pendant minimum 6 mois. Ce sont trois heures de trop pour un utilisateur fainéant, pas passionné. Twitter, ça met 5 minutes à changer le thème et la photo et je suis content.

    Je n'utilise pas d'Iphone, mais plus d'une fois j'ai entendu quelqu'un dire quand il m'expliquait pourquoi il avait acheté un truc : « Ben j'ai trouvé ça pratique, et ça coûtait que 3 €. T'as vu, c'est bien présenté hein ! »

  • [^] # Re: Quel rapport avec les allemands ?

    Posté par  . En réponse au journal Piratage : les éditeurs allemands sont des rigolos. Évalué à 2.

    «Tout le monde lui tomberait dessus». Très bien. Tout le monde est tombé sur Amazon qui devient éditeur aux USA. Mais sans Amazon ils ne vendent à personne. Donc ils se taisent au final. Si Hachette vend ses propres tablettes ou met son magasin d'ebook en ligne, «tout le monde va lui tomber dessus». Mais entre voir son marché se réduire à peau de chagrin et ses auteurs partir chez Amazon, et rebondir sur le nouveau, que vaut-il mieux faire ?

  • [^] # Re: Quel rapport avec les allemands ?

    Posté par  . En réponse au journal Piratage : les éditeurs allemands sont des rigolos. Évalué à 2.

    Aucun rapport avec les allemands, sinon que ce sont les éditeurs allemands qui font le coup aujourd'hui. Demain ça sera sans doute les français, si ce n'est déjà fait.

    Je suis d'accord avec tout ce que tu dis, à propos des peurs, des commentaires des patrons et des études qui sont du flan, parce que bourrées d'amalgames. Mais ça a eu lieu aux USA aussi. Or la France n'a pas suivi exactement le même chemin pour la musique que les USA. Pour le livre, les éditeurs français comme allemands continuent à se tâter, demander à l'État, etc… tandis que leurs équivalents américains sont partis, eux.

    Je ne connais pas assez bien les différences entre les USA et les pays UE dont la France pour savoir exactement si la phrase qui te fait tiquer est juste ou pas. Mais le fait est qu'Apple est parti des USA alors que en France on n'est pas plus idiots qu'eux, et que les américains n'ont pas eu droit à une imposition aussi zélée de la riposte graduée que chez nous. J'enchaîne trop vite en déclarant que nos industriels sont plus passéistes que les américains et nos politiciens plus paternalistes avec leurs industries. Bon, c'est plausible, l'amalgame est tentant.

  • [^] # Re: Episode de South Park sur le piratage

    Posté par  . En réponse au journal Piratage : les éditeurs allemands sont des rigolos. Évalué à 2.

    C'est tout à fait ça ! Pour les gens qui comme moi connaissent mal South Park, comment on retrouve le passage ?

  • [^] # Re: Beurk caca bouh pas bien

    Posté par  . En réponse au journal Piratage : les éditeurs allemands sont des rigolos. Évalué à 3.

    Oui, enfin les baladeurs mp3 et walkman existait avant Apple.

    Sans magasin derrière : pour remplir le baladeur, c'était plus simple de pirater.

    Il est difficile de refaire l'histoire et d'imaginer ce qui se serait passé si … >>Mais la force d'Apple c'est de tout verrouiller et d'avoir une chaine complète de >>la distribution jusqu'au enceintes. Du coup, avec un modèle plus libre, tu >>pourrais acheter chez eux et écouter facilement sur un autre appareil, ou alors >>acheter leur lecteur mp3 et mettre de la musique avec autre chose que Itune et ils >>ne gagneraient pas autant d'argent.

    Bien sûr, ils auraient plus de concurrence. Et bien sûr, avec des si on met Paris en bouteille. Mais j'ai été surpris du succès des stores divers et variés. Le market de Google fonctionne bien, sans être autant fermé que celui d'Apple. Les ventes d'ebooks d'Amazon et Barnes & Noble ne sont pas négligeables. Les magasins du style http://www.comixology.com/ tournent aussi. Il doit bien y avoir une explication autre que la fermeture ! Les sécurités se craquent, et les applications ou les ebooks sont parfois dispos ailleurs.

    J'ai fini par penser que ce qui décourageait le plus le piratage, ce n'était pas forcément que des verrous et des barreaux soient mis de tout côté, mais qu'il soit galère et incertain (pour la qualité des fichiers) par rapport au légal. Le temps c'est aussi de l'argent. Si je me considère comme suffisamment riche pour que je préfère avoir une dizaine de fichiers en 10 secondes chrono au lieu de passer 1/4 heure à chercher, télécharger et essayer chaque fichier, je peux choisir d'acheter.

    C'est peut-être trop optimiste comme vue.

  • [^] # Re: Beurk caca bouh pas bien

    Posté par  . En réponse au journal Piratage : les éditeurs allemands sont des rigolos. Évalué à 10.

    Je ne sais pas pourquoi tu es sur LinuxFR, mais moi en tant que libriste je trouve ça un tantinet triste.

    Je suis un tantinet vexé. Je ne suis pas un fanboy Apple, et je suis au courant des dangers que tu listes.

    Je constatais surtout que du côté d'Apple, on n'a pas nécessairement besoin de faire appel à des lois liberticides pour que l'argent rentre, piratage ou pas. Certes ce sont leurs logiciels qui sont liberticides par eux-mêmes, mais je ne suis pas certain que leur modèle ne serait pas viable si Itunes ou leur plateforme étaient plus libres.

    Apple faciliterait le piratage et vendrait sans doute un peu moins de musique, mais ils feraient quand même des thunes par leur store (1/ c'est légal 2/ c'est simple), et continueraient à vendre des appareils, ce qui nourrit déjà.

    Si Apple ne va jamais libérer sa plateforme, c'est essentiellement pour freiner la concurrence/garder captif ses clients. Ce serait stupide pour eux de se faire forker leurs appareils comme leurs logiciels.

    Comme Julien le fait remarquer, c'est sur la capacité d'innovation que j'insiste. Faire des offres couplées n'équivaut pas à faire des offres verrouillés. Les plates-formes verrouillées sont seulement plus pratiques pour les marchands, pour l'espionner et le contrôler. Comme les clients les acceptent, je ne vois pas pourquoi les marchands se priveraient.

    Concernant les ebooks, le Nook, sous Android, lit les EPUBs, à la différence du Kindle. Et il est possible et pas économiquement aberrant de vendre des lecteurs qui supportent plusieurs magasins en ligne, et permettent d'acheter via la 3G n'importe où et n'importe quand. Rien n'oblige à ce que ces lecteurs soient bardés de verrous ou entièrement sous logiciel propriétaire. C'est un risque prenable à mon sens, vu que le marché de l'ebook décolle, avec ou sans piratage.

  • [^] # Re: La solution : supprimer les panneaux de signalisation !

    Posté par  . En réponse au journal Les cyclistes cette engeance du d.... ..... qui puent des pieds en plus!. Évalué à 1.

    Oui. Bien sûr j'exagère un peu. Les sens de circulation, ou circuler à droite et pas à gauche, ça évite les embouteillages par exemple.