Sylvain Sauvage a écrit 2932 commentaires

  • [^] # Re: Pauvreté de l'offre européenne

    Posté par  . En réponse à la dépêche Préoccupés par ce qu'on ne peut pas vous dire ? Nous aussi (Google Transparency Report). Évalué à 8.

    Le meilleur moyen […]

    La seule solution, […]

    Pourquoi pas ceinture et bretelles ?

    Et puis, l’auto-hébergement, c’est gentil mais il faut regarder la réalité en face : ça concerne quelle proportion de la population ?

    Et même s’il y avait une espèce de FreedomBox simple à installer/configurer (à qui il faudrait faire confiance), les gens sont (ont été ?) persuadés qu’on n’a pas besoin d’apprendre à se servir d’un ordinateur, ils ne jettent déjà pas même un coup d’œil au manuel de leur frigo (la partie la plus froide n’est pas toujours la même…). Combien laissent leur routeur WiFi avec la configuration (trouée) d’usine parce que « je branche, ça fonctionne » ? Il y a vraiment beaucoup de boulot, donc beaucoup de temps avant que l’auto-hébergement soit une solution viable pour tous.

  • [^] # Re: crashdump.net

    Posté par  . En réponse à la dépêche Décès de Cédric Blancher, chercheur en sécurité informatique. Évalué à 10.

  • # Hein ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche [Conférence] OpenShift : JEE dans les nuages. Évalué à 3.

    « [É]tend votre expérience utilisateur », même en passant par l’anglais, je n’ai aucune idée de ce que ça pourrait bien vouloir dire…

  • # Hein ?

    Posté par  . En réponse au journal Auto-hébergement et sécurisation des accès via HTTPS. Évalué à 5.

    il faut communiquer la clef privée par un canal sécurisé à chacun des utilisateurs des services hébergés

    Pourquoi distribuer la clef privée ? Les clients ont juste besoin du certificat (= clef publique). Bon, il vaut mieux diffuser le certificat aux clients de façon sécurisée (ou au moins son empreinte, pour qu’ils puissent la vérifier quand leur navigateur leur demandera d’accepter le certificat). Mais publique.

    Si tes clients ont besoin d’une clef privée, ce serait pour du TLS mutuel. Et tu n’en parles pas dans les autres cas…

  • [^] # Re: Intervention PETA

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de Linux 3.12. Évalué à 4.

    Pas sûr, c’est costaud ces petites bêtes et, plus on est petit et léger, moins les chutes ont d’effet. (Cf. celles qui voyagent via des tornades.)

  • # Apprends ce mot nouveau

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de Linux 3.12. Évalué à 4.

    « Dupliqua », vraiment ?

    Quelqu’un l’a dans un « dictionnaire » (ou dans une utilisation dans un autre texte) ?
    (Autrement que comme la conjugaison du verbe dupliquer s’entend.)

    Qu’est-ce qui ne va pas avec « double » ? ou « copie » ? ou « autre exemplaire » ?

    Ou quitte à translater de l’anglais et pour éviter la connotation « copie secondaire » de duplicata, pourquoi pas l’orthographe « duplicat » ?

  • [^] # Re: Coïncidence...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Droit des Logiciels : Un livre de référence pour les juristes et les informaticiens. Évalué à 10.

    Ils font les choses à Poitiers.

    →[]

  • # Kio gopher

    Posté par  . En réponse au journal Wikipedia sous Gopher. Évalué à 7.

    KDE a un KIO pour gopher. Donc, une fois ce KIO installé, n’importe quelle application KDE peut ouvrir une URL gopher://.

    (Il y a aussi d’autres clients gohper, dont gopher qui est plus vieux (comme le temps) que lynx…)

  • [^] # Re: Pour ma part

    Posté par  . En réponse au journal Votre police préférée. Évalué à 6. Dernière modification le 06 septembre 2013 à 17:08.

    C’est quand ils poursuivent des jeunes dans des transfos EDF…

    Allez : chasser, sens 9.

  • [^] # Re: Intérêt des empattements

    Posté par  . En réponse au journal Votre police préférée. Évalué à 5.

    Ah bon, pourquoi ?

    D’abord, parce que c’est moche.
    Ensuite, parce que ce n’est pas parce que l’on peut tout choisir dans un style (au sens « apparence d’un type d’élément ») qu’il faut que tous les styles soient tous différents en tout. Parce que les styles, ils sont là pour marquer une différence entre des éléments, pas pour montrer qu’on a plein de fontes installées ou que l’on sait jouer avec sa souris.

    Les deux motivations de la typographie sont le confort de lecture et la transmission de l’information (ceci est un titre, ceci est une citation, etc.). La graisse, la mise ou non en italique, la taille, la position, les espaces autour, l’alinéa (ou son absence) permettent suffisamment de variété pour transmettre l’information sur le type d’un élément sans trop gêner la lecture. Changer de police perturbe la lecture, l’œil est trop accroché. De la même façon, on n’utilise pas le gras pour mettre en évidence quelques mots dans un texte : l’œil est attiré par les mots en gras et cela perturbe son trajet habituel. C’est pour cela que l’on préfère l’italique ou les guillemets.

    Ce sont des règles simples de typographie. Voir l’article de Wikipédia pour des pointeurs.

    Évidemment, ceci concerne les textes qui ont quelque chose à dire (livres, thèses, rapports, articles, journaux…), qui ont du contenu. Et si par « page web », tu entends plutôt « affiche de pub », les règles ne sont plus les mêmes (quoique, il faut connaître les règles pour les briser).

    Oh, ça me fait penser qu’il y a aussi le problème des niveaux de titre : ce n’est pas parce qu’on peut en avoir un grand nombre qu’il le faut. Si on a trop de niveaux, c’est que c’est mal rangé. Avec l’exemple classique de la « documentation IBM » (c’est comme ça qu’on l’appelait quand j’étais jeune), bourrée de section presque vide ou du genre :

    10.2.5.4.2
    Voir section 12.5.9.1

    et

    12.5.9.1
    Voir section 10.2.5.4.2

  • # Intérêt des empattements

    Posté par  . En réponse au journal Votre police préférée. Évalué à 5.

    L’intérêt des empattements est de marquer la ligne de base et donc de permettre de mieux accrocher la ligne et de lire sans utiliser son doigt ou, plus sérieusement, de resserrer les lignes et d’avoir un plus joli gris.

    J’exècre les textes en linéal (y compris les rapports et autres documents techniques) et j’abhorre les andouilles qui mélangent linéal et romaine dans un même texte (titres en linéal, texte en romaine…).

  • [^] # Re: Le jeu des quatre familles

    Posté par  . En réponse au journal Votre police préférée. Évalué à 6.

    « quatre (…) (auxquelles il faut ajouter les écritures) » = cinq.

  • [^] # Re: d'autres traductions et nimages

    Posté par  . En réponse à la dépêche Blagues d'informaticiens. Évalué à 2.

    Continuons : Non, châtel, avec l’accent. Encore.

    Creusons : de chastel, de castel, du latin castellum, lui-même diminutif de castrum (camp), du proto-indo-européen *kes- (couper, séparer).

  • [^] # Re: d'autres traductions et nimages

    Posté par  . En réponse à la dépêche Blagues d'informaticiens. Évalué à 6.

    Châtal, avec l’accent ! La réforme de 1990 n’est pas passée par là (et ne passera pas ailleurs !).

  • [^] # Re: Petite correction

    Posté par  . En réponse à la dépêche Blagues d'informaticiens. Évalué à 10.

    Il n’y a pas eu d’inversion, c’est juste une question d’étymologie :
    — lettres capitales : caractères utilisés sur les frontons (front/tête → caput) des bâtiments, notamment romains, et non pas « en tête [de mot] » ;
    — majuscules : en système avec minuscules, donc des petites lettres et des grosses lettres. Là, la forme choisie (typo) a servi (et sert encore) à marquer certains sens (c’est le début de la phrase, c’est un nom propre, etc.), d’où l’utilisation du même mot, « majuscule » pour regrouper tous ces sens. On aurait pu dire « les noms propres (et Cie) sont marqués » mais comme la marque est typographique, on préfère dire « les noms propres (et Cie) prennent une majuscule (en première lettre) ».

    Après, il y a beaucoup de fontes qui utilisent une forme capitale pour leurs majuscules (et une dérivée de la caroline pour les minuscules).

  • [^] # Re: Pourquoi ?

    Posté par  . En réponse au journal Un langage de description de diagramme/figure. Évalué à 4.

    Susceptible, hein ?
    Remarque pourtant que je n’ai pas dit « ça ne sert à rien » ou « ça existe déjà ». J’ai demandé « pourquoi ? ».

    Ton journal ne dit pas pourquoi tu veux faire un langage dédié. Tu donnes juste quelques exemples et tu poses quelques questions sur comment inclure deux fonctionnalités (ancrage et encrage).

    Comment veux-tu que l’on réponde à ces questions si on ne sait pas à quoi ça va servir ?

    Ensuite, je demande pourquoi tu ne te bases sur un format ou langage existant. La problématique d’un langage descriptif de dessin vectoriel a déjà été traitée plusieurs fois. Et les questions que tu exposes ont aussi été traitées par ces formats. En quoi les réponses données ne te vont pas ? Pourquoi ne pas utiliser ce qui existe déjà ? Au moins comme base de réflexion ou d’explication, ou comme substrat (p.ex. en supposant que ton langage pourrait être transformé/compilé (facilement) en un de ces formats) ?

    Et ne méprends pas ce que je dis, comme tu l’as déjà si facilement fait avec ta gueulante. Je ne dis pas qu’il ne faut rien inventer, que tout est parfait. Je dis qu’il y a eu des réponses, que ces réponses peuvent avoir des défauts mais que jeter tout ce qui existe sans critique, c’est-à-dire sans étudier les forces et les faiblesses, est une attitude puérile et non constructive.

    Et la nimage, en plus d’être une obligation de répétition, est un rappel que simplement se plaindre que ce qui existe n’est pas « assez bien » et pondre un bouzin de plus n’est pas suffisant.

    Et, moi aussi, je peux pousser une gueulante, envers tout ceux qui, quand on leur pose une question pour qu’ils approfondissent leur questionnement, pensent immédiatement et sans aucun doute que l’on n’est rien que des méchants vilains qui veulent tuer leur merveilleuse idée dans l’œuf, empêcher toute forme d’innovation et dénier leur fabuleuse créativité.

  • # Pourquoi ?

    Posté par  . En réponse au journal Un langage de description de diagramme/figure. Évalué à 10.

    Pourquoi ne pas utiliser (ou étendre) un format existant ?

    C’est pas comme s’il n’en existait pas déjà plein. (Au hasard, SVG, PGF/TikZ…)

    Pouf, nimage

  • [^] # Re: Serveur web

    Posté par  . En réponse au journal emacs - l'innovation qui marche au poil. Évalué à 2.

    Ça dépend où tu les cognes…

  • # Moins moins

    Posté par  . En réponse au journal Source Sans Pro : nouvelle police libre d'Adobe. Évalué à 3.

    Dommage, le tiret (-), utilisé par la grande majorité (tous ?) des langages sources pour le signe moins (−), est trop petit pour moi. C’est très bien un tiret court pour du texte mais ASCII et compatibilité font qu’il sert aussi pour la soustraction et, dans du code, un moins trop court ce n’est pas très visible.
    Comparez avec celui d’Inconsolata p.ex. (Notez, je n’utilise pas Inconsolata pour la raison citée par Tanguy plus haut : elle est trop petite pour sa taille.)

    Ok, « conçue prinicipalement pour les interfaces graphiques », et le nom « Source » doit sûrement plus avoir un rapport avec « Open Source » qu’avec du code, mais y z’avaient qu’à pas mettre du code comme exemple.

  • [^] # Re: Quel intérêt ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Rekonq 1.0. Évalué à 6.

    1.
    > qui a peu de plugins

    Tu ne peux pas comparer des navigateurs sur le nombre de « plugins », tout simplement parce que ce terme n’a pas la même signification pour tous.
    Pour Konqueror, un plugin, c’est flash.
    Pour Firefox, c’est flash, java ou acroread mais aussi la localisation, adblock, noscript, colorer ses onglets, ajouter des barres d’outil… Pour certains de ces plugins, Konqueror utilise les kparts, pour d’autres, il a des options intégrées (java, adblock, aide au débogage…).

    2.
    > Rekonq qui part de zéro mais prend le même chemin.
    > Pourquoi ?

    Parce que, quand Rekonq a été lancé, Konqueror utilisait seulement le moteur khtml, était très lié à khtml et que khtml est très difficile à modifier (perte des connaissances nécessaires), que Webkit était « l’avenir », que Konqueror faisait tout, notamment grâce aux kparts mais aussi tout seul, comme gestionnaire de fichiers (au sens très large avec les kio : protocoles fish, smb, svn…).

    Rekonq voulait être juste un navigateur (ce qu’il est toujours) qui utilise Webkit comme moteur, pour offrir une alternative « seulement navigateur » pour ceux qui ne veulent pas d’un navigateur qui fasse tout Tout comme Dolphin est juste un gestionnaire de fichiers.

    Même si l’avenir de Konqueror a été incertain et l’opportunité de le maintenir questionnée, depuis, Konqueror a été remanié, permet d’utiliser Webkit comme moteur, ne fait plus lui-même gestionnaire de fichiers (il utilise la kpart Dolphin). Donc Rekonq reste une alternative, ce n’est pas un remplaçant. Et comme tous les deux sont KDE, on peut utiliser Konqueror ou Rekonq ou alterner et on a les mêmes signets et options pour les deux.

  • [^] # Re: Excusez moi mais…

    Posté par  . En réponse au journal De la façon dont un problème de boot est résolu sous FreeBSD. Évalué à 10.

    dont la grammaire fairait tomber en syncope un grammairien français

    Boum.

  • [^] # Re: En effet

    Posté par  . En réponse à la dépêche Petite rétrospective diversité, sexisme, harcèlement et humour vaseux. Évalué à 3.

    Cette excuse est toujours sortie pour expliquer la rétroactivité des lois fiscales.

    Cette excuse est bidon : l’argent, il a déjà été gagné quand la loi est passée (ou une grande partie, notamment pour l’IR).

    On devrait faire comme au pénal où c’est la date de l’action jugée qui est importante et on prend la version la plus légère de la loi au moment du jugement. On devrait donc prendre la version la plus arrangeante pour le contribuable : soit celle du moment où il a gagné l’argent / effectué la transaction taxée, soit la dernière version.

    Ne pas savoir à quelle sauce on va être mangé a de grosses conséquences : frilosité des investissements, évasion vers des pays aux taxes certes plus légères mais aussi plus claires…

  • [^] # Re: Taille

    Posté par  . En réponse au journal La guérilla contre les TMS. Évalué à 2.

    « Normalement », elle est de « 1 à 2 cm » (v. au hasard , chercher « travailleurs diurnes »).
    Sans écart type, 3 cm n’est pas très éloigné de la « norme ».

    Sinon, teste toi-même : passe une demi-journée à glandouiller dans une piscine (en t’hydratant), mesure-toi, passe le reste de la journée à transporter des sacs de ciment (et crève de soif), mesure-toi et reviens nous voir.

  • # Taille

    Posté par  . En réponse au journal La guérilla contre les TMS. Évalué à 3.

    je mesure entre 176 et 179 centimètres (selon le médecin qui mesure)

    Et sûrement selon l’heure à laquelle la mesure est faite et les activités que tu as eu avant la mesure…

  • [^] # Re: Mouais

    Posté par  . En réponse au journal Le Figaro montre ce qu'est la liberté de la presse.. Évalué à 9.

    étique : adj., d’une maigreur extrême

    Je n’avais pas l’impression que Mougeotte avait besoin de maigrir…

    →o