Cher journal,
sous ce titre (jeu de mots dont je ne suis pas fier), je veux expliquer une mésaventure qui, si elle est loin d'être vitale, ne m'en a pas moins été désagréable. Voilà en résumé ce qui s'est passé tout à l'heure :
[ Je prend le portable de mon père pour appeler le service client pourri ]
Moi : - Bonsoir, je vous appel pour vous indiquer que nous sommes prêts à être d'encore meilleurs clients, faire des (…)
Journal Orange pourri(e)s, ouais !
18
nov.
2004






