Cher nal,
En ce dimanche automnal qui ici reste bien doux, je prends ma plume mon clavier pour te parler d'un fait qui me taraude. Oui, je sais, ça fait longtemps que je te laisse prendre la poussière, je n'écris jamais, ne me coupe pas la parole, ta gueule quand je te parle !
Notre outils à tous, cette merveilleuse technologie m'inquiète un peu plus chaque jour.
Il n'y a pas loin de 15 ans, on sentait bien les limites de (…)