LibreOffice, les sorties d’été

Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Édité par ZeroHeure, Benoît Sibaud et Davy Defaud. Modéré par Pierre Jarillon. Licence CC By‑SA.
42
20
août
2019
Bureautique

Rien à voir avec les concerts au Parc floral de Vincennes ou l’un des nombreux festivals de la saison mais tout avec les nouvelles versions de LibreOffice. En effet, la suite bureautique libre vient de sortir une nouvelle version 6.2 : la 6.2.6, et la version 6.3. À vous de voir laquelle des deux a votre préférence. Il m’a semblé utile, d’une part, de vous présenter les deux versions, les différences fondamentales et une cohabitation possible, et, d’autre part, de vous donner une idée de quelques nouveautés de la version 6.3. On trouvera un autre choix de nouveautés dans ce journal et, évidemment tout dans les notes de version.

Sommaire

6.2.6 et 6.3 sont dans un bateau, laquelle laisser tomber à l’eau ?

Si vous êtes du style à préférer la version de la TDF (TheDocumentFoundation) à celle de votre distribution, vous vous demandez peut‐être (c’est une question qui s’est posée sur les listes user et discuss de LibreOffice) les différences entre les deux.

La version au plus petit numéro, 6.2.6 en l’occurrence, est maintenue, corrections de bogues critiques et de problèmes de sécurité éventuels, mais plus développée, pas d’ajouts de fonctionnalités. La 6.3 est en cours de développement. Elle ne nécessite pas un esprit particulièrement aventureux mais peut poser des problèmes, particulièrement en entreprise, notamment :

  • s’il y a des liens entre la suite et un logiciel métier ;
  • s’il y a des macros, certaines sont susceptibles de ne plus passer ;
  • s’il y a un profil particulier, ou une gestion spécifique des profils.

Il faut donc, dans ce cas‐là, bien évidemment, la tester avant de l’installer ; enfin, c’est vous qui voyez.

Si vous voulez jouer avec la version 6.3 mais garder en parallèle celle de votre distribution, c’est possible, pas parfaitement, mais possible. Il suffit de ne pas désinstaller cette dernière, de télécharger les paquets LibreOffice — application, packs de langue et aide intégrée1 —, de les décompresser et les installer en ligne de commande selon la procédure habituelle pour votre distribution en suivant cet ordre : application, pack de langue (langpack) et aide (helppack).

Les deux LibreOffice utiliseront le même profil, ce qui peut être pratique ou gênant, c’est selon. On peut, toutefois, paramétrer une autre adresse (voir le guide de Jean‐François Nifenecker, « LibreOffice : le profil utilisateur », page 12). J’avoue ne pas avoir testé cette possibilité mais elle devrait permettre de mieux jouer entre les deux versions.

Ne pas oublier, le cas échéant, que vous ne gardiez que cette version 6.3 ou que vous conserviez les deux, de reparamétrer les associations de fichier.

Qu’apporte LibreOffice 6.3 ?

Des astuces au démarrage

Au démarrage, LibreOffice 6.3 ouvre aussi l’astuce du jour (ou du moment). Cette fonctionnalité, parfois agaçante, parfois utile, peut toutefois être désactivée dans le menu Outils > Options > Général.

LibreOffice 6.3, les premières fois que vous le démarrez, vous propose aussi d’aller voir les notes de version.

Meilleure prise en compte de KDE

Elle prend mieux en compte KDE 5. il faut savoir que LibreOffice a mis un certain temps à adopter cette version de l’environnement de bureau, ce qui pose un certain nombre de problèmes. On ne saurait trop vous conseiller à ce sujet, d’opter pour la version LibreOffice de votre distribution si vous travaillez sous KDE et si votre LibreOffice est antérieur aux versions 6.2.

Writer

Les copier‐coller de Calc vers Writer ont été nettement améliorés (tdf#124646) : quand on colle des cellules copiées à partir d’un filtre dans un tableau de Calc, on ne colle plus que les cellules sélectionnées apparentes, et non plus aussi celles qui étaient cachées par le filtre.

La compatibilité avec Word est encore améliorée : nouveau sens d’écriture, importation de graphiques, champs de formulaire interopérables.

On peut sélectionner une phrase par triple clic. C’est également possible dans les autres applications de la suite.

Calc

Il y a quelques fonctions améliorées ou nouvelles (Fourier, au cas où ça parlerait à d’aucuns et d’aucunes ici). Mais aussi, au niveau de l’interface, dans la barre de formule l’icône de Somme, ∑, est remplacée par une liste déroulante qui permet de choisir entre les opérations les plus courantes (somme, moyenne, minimum, maximum et nb) — tdf#120697.

Dans la série « rien que pour vos yeux », les onglets et la barre de formule de Calc ont été retravaillés pour gagner en visibilité. 

Base

L’assistant de migration Firebird est passé du mode expérimental au mode « normal ». Si vous avez encore des bases HSQLDB intégrées, il faut vraiment les migrer sous Firebird. Ce n’est pas nécessaire si la base de données est une base HSQLDB connectée qui est plus sécurisée (en cas de pépin avec la base, on ne risque pas de tout perdre comme en version HSQLDB intégrée).

Amélioration des filtres d’exportation et d’importation

On relèvera notamment, l’ajout de la prise en charge de l’exportation PDF/A-2. À l’exportation en PDF, on peut choisir entre les versions A-1 ou A-2. Je suggère très fortement, à ce sujet, de remplacer le bouton d’exportation PDF par défaut des barres d’outils par un autre qui permet d’ouvrir la boîte de dialogue d’exportation en PDF et de choisir les options. Cela se fait par le menu Outils > Personnaliser > Barre d’outils.

On notera également une amélioration des filtres OOXML : exportation des modèles au format XLTX et DOTX, interopérabilité des tables dynamiques XLSX et préservation des SmartArts lors de l’exportation en PPTX.

Interface utilisateur

La méta‐barre, interface à onglets, est terminée. Vous pouvez l’adopter en passant par Affichage > Interface utilisateur. Et vous pouvez toujours revenir en arrière par le même procédé si elle ne vous satisfait pas. Notez qu’elle est très personnalisable de même que les autres barres d’outils « normales » de LibreOffice via le menu Outils > Personnaliser > Barre d’outils.

Vue de la méta‐barre

Et, bon à savoir, le jeu d’icônes Karaja Jaga a été retravaillé, mais surtout, il est en version SVG, ce qui devrait faciliter la vie aux personnes qui ajoutent leurs icônes personnalisées aux barres d’outils. Pour le choisir aller dans le menu Outils > Options > Affichage.

Amusez‐vous bien avec LibreOffice et bons baisers de Paris.


  1. L’aide en ligne de LibreOffice passe par le moteur de recherche Google. 

Aller plus loin

  • # Eh, c'est drôle...

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4.

    … je viens à l'instant d'envoyer ma thèse rédigée avec Libreoffice.

    • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

      Posté par  . Évalué à 10. Dernière modification le 21 août 2019 à 06:03.

      La touche '\' de ton clavier ne fonctionnait pas et tu n'as pas pu la rédiger en LaTex ?

      • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3. Dernière modification le 21 août 2019 à 08:09.

        Malheureusement, un de mes directeurs de thèse a refusé que j'utilise LaTeX car il était moins pratique pour le suivi des corrections.

        • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

          D'ailleurs, dans le cadre de cette rédaction, j'ai eu l'occasion de comparer OpenOffice 4.1.6 et Libreoffice 6.2. Si OpenOffice propose moins de fonctionnalités que LibreOffice, une fois qu'il est ouvert, la rédaction d'un fichier avec OpenOffice est beaucoup rapide qu'avec Libreoffice.

          À noter également, je ne suis pas certain que ça soit lié, mais qu'Antidote fonctionne mieux avec OpenOffice qu'avec LibreOffice. La synchronisation entre le fichier en cours d'édition et le fichier ouvert par Libreoffice, une tâche qu'Antidote effectue régulièrement est beaucoup plus rapide. C'est un point important car, lorsqu'on rédige un document volumineux, Antidote rame beaucoup… À tel point qu'il en est inutilisable. Et la relecture du fichier de manière segmenter, juste la partie sélectionnée, fonctionne de manière aléatoire. Des fois, Antidote relie effectivement la partie sélectionnée, des fois, tout le texte.

          • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

            Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 1.

            Pour avoir utilisé Antidote et Grammalecte, une chose est sûre, au niveau de la qualité de la correction, les deux se valent. Le formateur de texte de Grammalecte étant, de mon point de vue, mieux que celui d'Antidote. Et Antidote est lent.

            Je ne suis pas si sûre que rédiger avec LibreOffice soit si lent si on travaille sur un modèle correctement conçu au départ cela dit. D'un autre côté OpenOffice n'ayant pas évolué vraiment depuis 2015, il est possible qu'il soit moins gourmand en ressources.

            « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

            • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

              Posté par  . Évalué à 2.

              si on travaille sur un modèle correctement conçu au départ

              Pourrais-tu préciser ? Qu'appelles-tu un modèle "correctement conçu" ?

              • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

                Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 9.

                Alors, un modèle correctement conçu repose sur des styles et au maximum sur la, large, bibliothèque de styles proposée par LibreOffice (inutile de réinventer la roue ils sont là pour ça).

                Lorsque les puces sont des images, elles doivent être étudiées pour et non pas être des grandes images que LibreOffice doit redimensionner drastiquement à chaque fois et on les configure via les styles. Il ne doit pas y avoir trente-six mille sortes de puces ni, d'ailleurs quarante-douze mille polices différentes. Une de titraille, une de labeur suffisent (éventuellement, une spécifique pour les lettrines).

                Les styles de page doivent être aussi configurés avec le contenu des entêtes et pieds de page en évitant de le faire figurer des zones de texte (dans des cadres de texte par contre, pourquoi pas). On configurera aussi les styles de cadres et d'images pour faciliter notamment leur placement et leur rapport au texte.

                Idéalement (ça ne passe pas sous Word qui ne sait pas faire), si on veut des colonnes dans un pied de page ou un entête, on utilisera, ben des colonnes et pas un tableau. Cela permet en outre de mieux faire évoluer le document.

                Bref, il faut que la structuration et la mise en forme du texte soit facile et puisse ne se faire que via le volet latéral, panneau Styles de LibreOffice. On ne doit pas avoir à se bagarrer contre le modèle pour ceci ou cela parce qu'il aura été bricolé. On ne doit pas avoir à bidouiller un truc (genre ajouter un cache-misère et faire un tableau pour avoir du texte en colonne) parce qu'on ne sait pas faire autrement et que le modèle n'est pas conçu pour ou, au contraire, impose des horreurs techniques.

                Le bonus c'est qu'un modèle conçu sur ses bases, même si on le trouve très laid, peut être modifié, simplement, en modifiant les styles, via le panneau du même nom donc rapidement et sans toucher au texte, pour devenir tout à fait choucard.

                « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

                • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

                  Posté par  . Évalué à 6.

                  Je me suis fait un style "LaTeX-like". C'est aussi joli qu'un rendu LaTeX, mais aussi pratique à mettre en page que du LibreOffice. Est-ce que ça compte ou je vais me faire caillasser par les LaTeX-fans et les LO-fans ?

                  Blague mise à part, c'est surtout le combo style de paragraphe + style de caractère qui change ma vie. Plus besoin de faire de bidouille étrange pour un rendu spécifique, les styles suffisent avec le panneau latéral : finalement seuls quelques boutons me sont nécessaires sur le menu old-school ou truc à onglets. Et si je dois faire des bidouilles, c'est que j'essaie de faire un truc trop spécifique qui cassera l'homogénéité globale du document ; donc je fais pas. Quand on n'utilise pas correctement les styles, ça se voit sur le rendu général, ça donne une impression patchwork. Au boulot, on me fait souvent la remarque "hey tu l'as trouvé où ton modèle de document, le dernier dans la base des modèles officiels remonte à 2003 et il est moche" (modulo un logo qui change souvent), ma première réponse n'est pas "j'utilise LibreOffice au lieu de M$Office", mais "j'utilise des styles".

                  C'est mon cheval de bataille pour convertir mes collègues à LibreOffice : ça donne des documents plus jolis (même si j'avoue, ce n'est pas que le logiciel qui change la donne … la base, c'est le style). Et en bonus, je recode leurs macros.

                  • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

                    Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 8.

                    Et apprendre à utiliser les styles n'est absolument pas compliqué, plus simple que de bidouiller en fait. Mais c'est très difficile d'enseigner cela à des personnes qui se pensent très compétentes car elles bidouillent comme des chefs, mais pas comme des pros. J'en ai encore vu, genre "moi je maîtrise super bien mon traitement de texte" qui plaçaient les éléments à coups de tabulations standard et d'espaces ou encore, pour ce genre de courrier avec une première page dont la marge comporte plein d'informations, la première page est un tableau (et alors pour saisir le courrier qui peut tenir sur plus d'une page, je raconte pas la galère).

                    Quand je suis sur des stands grand public, je prévoie des documents assez complexes et avec plusieurs entêtes et pieds de page différents et je charge les styles d'un autre modèle dessus pour montrer que tout change et que les pieds de page et les entêtes se modifient aussi automatiquement !

                    Donc l'intérêt c'est que si le modèle est moche mais que les styles sont ceux de la bibliothèque de styles ou basés dessus, on peut le mettre à son goût sans risquer de bousiller le document et en très peu de temps.

                    « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

                    • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

                      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4. Dernière modification le 22 août 2019 à 00:42.

                      à vous deux vous pourriez peut-être faire revenir sur les innombrables bugs signalant que la fenêtre de style s'ouvrant systématiquement avec OOo était déroutante et qui a fini par la faire enlever (appuyer sur F11 la fait réapparaître et on peut même la détacher comme avant).

                      C'était un choix de mise en avant des styles, mais "ne fonctionnant pas comme word" donc « c'est pas normal », ça a fini sous le tapis :/ Dommage que cela n'ait pas été mieux compris, ça reste facilement disponible via la touche F11 mais encore faut-il savoir que cela existe et que c'est la bonne manière de faire… Un peu comme la différence entre ceux qui utilisent les styles pour faire leur table des matières et ceux qui la font à la main (ça prend 2 min à appliquer les styles sur un doc' de 60 pages, noter les n° de page/appliquer un style manuel prend un peu plus de temps, genre de l'ordre de l'heure à chaque fois qu'un n° de page change…).

                      Pour moi, c'était le gros avantage de cohérence de OOo : la gestion des marges est dans le menu Format / choix Page (et non dans le menu fichier, ce qui est absurde…). Et en plus il y a des styles par page (caractère, paragraphe, page : c'est cohérent, bon j'ai aussi pratiqué FrameMaker / Pagemaker puis Scribus ce qui me donne un peu de recul par rapport aux différentes approches et celles que je préfère :p).

                      • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

                        Posté par  . Évalué à 2.

                        En effet, les déboires autour de cette fenêtre des styles me faisaient peur à chaque montée de version, craignant quelle ne disparaisse définitivement … Mais maintenant dans LO je trouve que c'est bien intégré dans le volet à droite. Style de page, style de paragraphe, style de caractère. Que demande le peuple ! Attendons que ça rentre dans les mœurs. Le passage de "sans style" vers "style de paragraphe" est plus difficile que celui entre "style de paragraphe" et "combo des trois styles". D'abord c'est vu comme de l'avant-gardisme, et ensuite ça devient du bon sens.

                        Ça m'arrive parfois de reprendre Scribus sur les documents complètement déstructurés, où la philosophie des styles est complètement différente. LO/OOo c'est la production industrielle en quantité et efficacité, Scribus c'est l'artisanat de joaillerie. Je passe mon temps à décider où insérer les passages à la ligne, pour ne pas couper grammaticalement ou sémantiquement via un vulgaire retour à la ligne automatique, à adapter les zones en fonction de leur contenu, à choisir une couleur plutôt qu'une autre dans la palette générale, etc. Bref, plein de trucs qu'une machine ne peut pas deviner seule (pour l'instant ?). Et les suites bureautiques classiques, c'est pas du tout adapté à ça (c'est même à l'origine d'une nouvelle maladie : Death by PowerPoint)

                        • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

                          Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 6.

                          Quand on sait bien se servir de LibreOffice on fait de la PAO. C'est parfait pour des documents longs et très bien pour la plupart des prospectus. Mais évidemment si on veut une mise en page très complexe, ce n'est plus adapté. C'est du ressort des outils comme Scribus (que je n'arrive pas à trouver performant d'ailleurs, mais bon).

                          « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

            • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

              Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

              une blague j'espère?

              Grammalecte est même pas du niveau de correcteur 101…

              j'ai pas de ralentissement avec antidote et libre office.

              www.solutions-norenda.com

              • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

                Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 4.

                Non je les ai vraiment étudié tous les deux sérieusement. Simplement Grammalecte n'offre pas toute la panoplie de documents annexes d'Antidote. Mais il est d'une efficacité redoutable.

                « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

              • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

                Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1.

                Pour les ralentissements avec Antidote, il faut des documents un peu complexes quand même avant que ça rame: à partir d'une cinquantaine de pages, avec des tableaux, des liens, des renvois, des références biblio, des images. Avec des documents courts, aucun souci.

                Et au vu des commentaires qu'on trouve sur Internet, je ne suis pas le seul à avoir ce problème là.

                Si tu veux tester, je t'envoie ma thèse et tu me dis si ça marche bien chez toi :)

                • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

                  Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2. Dernière modification le 22 août 2019 à 00:54.

                  Si tu veux tester, je t'envoie ma thèse et tu me dis si ça marche bien chez toi :)

                  j'espère que tu as pu la mettre en libre (faut un papier de ton univ'/école…) afin de la mettre en ligne pour tout le monde « à la mode de Linus » : tu le mets sur un ftp et zou, sans rien avoir à faire, c'est répliqué de partout ensuite :p

                  D'autant que LibreOffice est preneur de documents représentatifs de tests « dans la vraie vie » pour vérifier qu'il n'y a pas de régression (bon, je ne retrouve pas le lien :/)

                  • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

                    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4.

                    En fait, dans la charte d'inscription en tant que doctorant que j'ai signée, il est bien précisé que le doctorant possède les droits d'auteur de sa thèse.
                    Après, ça sera complexe à gérer au niveau des données qui ne m'appartiennent pas, issues d'un contexte où le droit d'auteur est complexe et n'a pas du tout la même histoire que celle que nous pouvons connaître.

          • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

            Posté par  . Évalué à 4.

            C'est LibreOffice qui est plus lent (ça veut dire quoi précisément ?) ou c'est Antidote qui est mal intégré à LibreOffice ?
            Pour en savoir plus il faudrait tester AOO et LO sans Antidote.
            Cela dit, quel format de fichier as-tu utilisé pour ta thèse, odt ou docx ?

            • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

              Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 3.

              Antidote rame dès lors qu'il ne s'agit pas d'applications MsOffice, j'avais fini par l'abandonner à cause de ça.

              « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

            • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

              Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

              J'ai testé LibreOffice et OpenOffice sans Antidote.

              Mon impression, c'est que l'ouverture de la thèse, un fichier assez complexe d'un peu moins 400 pages, est plus rapide avec LibreOffice, mais par contre, l'affiche, le défilement notamment, était plus rapide avec OpenOffice.

              Quant à Antidote, LibreO et OpenO, ce qui est étrange, c'est que Druide, la société derrière Antidote, avait arrêté leur extension pour OpenO, et vienne seulement de la réactiver. Et j'ai trouvé son fonctionnement bien plus fluide avec OpenO que LibreO.

              Sinon, concernant Grammalecte et Antidote, ben, j'utilise les deux en parallèle. Grammalecte ne me détecte pratiquement jamais d'erreurs alors qu'Antidote en détecte certaines. Alors effectivement, Antidote me retourne pas mal de faux positifs, mais je les identifie rapidement. Par contre, Grammalecte, juste les fautes de frappe…

              Puis Antidote, c'est beaucoup d'autres fonctions, comme la redondance, les phrases longues, les répétitions…

        • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

          Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

          Il ne sait pas utiliser un gestionnaire de versions basés sur des graphes orientés acycliques ? Le nul!

          Le post ci-dessus est une grosse connerie, ne le lisez pas sérieusement.

    • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

      Posté par  . Évalué à -1.

      Bonjour,
      Moi j'ai dû renoncer à utiliser libreoffice au bénéfice d'un concurrent (dont je tairai le nom pour éviter les troll !) simplement à cause des formules mathématiques. Avez-vous déjà essayé de mettre une formule en plus gros ou de la mettre dans un titre avec style ? Ça finit par planter !
      J'ai aussi utiliser LateX, mais lorsqu'on maîtrise les styles (j'ai fait de la PAO avec InDesign), il n'y a plus beaucoup d'avantage à LateX (encore un Toll !). Lorsque j'ai utiliser des schéma mathématiques, j'utilisais des outils Latex pour générer mes graphs, que je transformais en objet emf pour les intégrer dans Word ! C'est le meilleur compromis que j'ai trouvé.

      J'essaye de réutiliser régulièrement LibreOffice, mais je trouve qu'il manque d'ergonomie. Pourtant, pour de mises en pages complexes, je l'ai trouvé plus souple que MS Office !

      Bon WE.

      Alfafa

      • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

        Posté par  . Évalué à 4.

        Avez-vous déjà essayé de mettre une formule en plus gros

        Ben oui, ça se fait avec la commande size. À un moment on a pu modifier la taille d'une formule en tirant sur un bord de son cadre comme une image, mais c'est une absurdité car une formule n'est ni une image ni un dessin.

        ou de la mettre dans un titre avec style ? Ça finit par planter !

        Quel genre de formule dans un titre ? Comment sais-tu que le plantage a un rapport avec ça ?

        • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

          Posté par  . Évalué à 1.

          Merci pour la commande SIZE, je n'y avais jamais pensé ! Mais c'est vrai que ce serai plus pratique qu'il reprenne les paramètres du style.

          Le plantage, j'arrivais à le reproduire en manipulant les formules. Malheureusement, je n'avais pas le temps à l'époque de faire un rapport de bug.

          • [^] # Re: Eh, c'est drôle...

            Posté par  . Évalué à 3.

            En me reposant la question, je découvre l'extension à Libreoffice : TexMaths. Elle permet de taper du code Latex directement dans un document, et donc d'y insérer un graphique.
            Si c'était à refaire, c'est la solution que j’emploierai !

  • # correctifs de sécurité

    Posté par  . Évalué à 6.

    J'ajouterais que LO 6.2.6 (comme 6.3.0 bien sûr) corrige plusieurs failles de sécurité :

    CVE-2019-9850 : Insufficient url validation allowing LibreLogo script execution
    CVE-2019-9851 : LibreLogo global-event script execution
    CVE-2019-9852 : Insufficient URL encoding flaw in allowed script location check

    Référence : https://www.libreoffice.org/about-us/security/advisories/

    Il est donc important, quelque soit l'OS, de mettre à jour sa version de LibreOffice si on a LibreOffice 6.2.5 ou une version antérieure.
    Si j'en crois l'avis de sécurité d'Ubuntu, Ubuntu a rétro-porté ces correctifs sur la version 6.0.7 pour Ubuntu 18.04 LTS et sur la version 5.1.6 pour Ubuntu 16.04 LTS.

  • # styles par défaut sympa ?

    Posté par  . Évalué à 10.

    À quand des styles par défaut plus à la mode ?

    Parce que comparé à MS Words, qui te fais par défaut le titre en bleu foncé, les titre 1 et titre 2 en bleu jolie, on se retrouve sur Writter avec une police moche et des styles brutes de décoffrages. Quand on montre ça à quelqu'un qui hésite à adopter writter, cela le refroidit un peu.

    • [^] # Re: styles par défaut sympa ?

      Posté par  . Évalué à 2. Dernière modification le 21 août 2019 à 09:00.

      #retroussetesmanches

      ⚓ À g'Auch TOUTE! http://afdgauch.online.fr

    • [^] # Re: styles par défaut sympa ?

      Posté par  . Évalué à 7.

      question de goût, je ne m'imagine par exemple pas DU TOUT avoir des titres en couleurs dans mes documents…

      L'acacia acajou de l'académie acoustique est acquitté de ses acrobaties. Tout le reste prend "acc".

    • [^] # Re: styles par défaut sympa ?

      Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 10.

      J'ai fait pousser des râles de plaisir dans des salles de formations à des gens rien qu'en leur montrant comment un texte structuré (article long de Wikipedia par exemple) se mettait en place correctement dans un document avec des entêtes et pieds en place automatiquement sans prise de tête.

      « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

    • [^] # Re: styles par défaut sympa ?

      Posté par  . Évalué à 6.

      C'est clairement le gros manque de LO. Le problème c'est que tout ce qui touche aux styles est subjectif donc c'est pas demain la veille qu'il y aura un consensus pour changer. MSO résout le problème en offrant une (très) large gamme de styles prédéfinis où je pense que chacun peut trouver son compte, et même au sein d'un style on a encore la possibilité de jouer simplement sur les variations de couleur utilisées (pour ceux qui ne veulent pas de couleur dans les documents).
      Avec l'adoption du ruban (les résistants au changement qui ne s'en sont jamais servi plus de 2mn d'affilé détestent mais je n'ai encore croisé personne l'utilisant quotidiennement et voulant revenir aux menus) on monte d'un cran dans la modernité mais on dirait que c'est plus dans l'esprit d'une maxi-barre d'outils que dans celui du ruban proprement dit

      • [^] # Re: styles par défaut sympa ?

        Posté par  . Évalué à 9.

        je n'ai encore croisé personne l'utilisant quotidiennement et voulant revenir aux menus

        Moi.
        J’aimais l’idée des rubans avant de les utiliser, puis je les ai utilisés (avec Word 2010), et j’ai totalement détesté.
        C’est plus beau, mais c’est moins rapide, et ça me gonflait de devoir tout le temps basculer d’un ruban à l’autre.
        Je préfère de loin les barres d’outils ordinaires.

      • [^] # Re: styles par défaut sympa ?

        Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 6.

        Je connais plus d'une personne qui n'aime pas. Le ruban Ms Office n'est pas adapté aux formats d'écrans actuels et propose une organisation des fonctionnalités pas forcément rationnelle ou logique. Ce qui fait qu'il faut passer son temps à aller d'un onglet à l'autre. C'est bien pour la bidouille, mais dès qu'on change de niveau, ça devient pesant.

        Et puis franchement, sur bien des points, Word, est indigent si pas indigeste : gestion des styles minables, gestion des couleurs pitoyable, gestion des champs pas évidente. Bref. Certes, il y a plein de bling-bling, mais on s'en lasse assez vite. Des modèles de Word aussi d'ailleurs. On finit par les repérer. Il en va de même maintenant avec Powerpoint et Impress. Impress, certes propose moins de dispositions et ne permet pas d'en ajouter dans le masque (ou page maîtresse), mais on a une bonne gestion des styles qui permet de faire du travail vraiment propre (par contre, j'aimerais bien pouvoir faire des copier-coller d'éléments animés avec leur animation et que le nom de la diapo reprenne automatiquement son titre).

        Je crois que en fait que ce ruban est encore pire dans Excel.

        Et avec LibreOffice on peut vraiment personnaliser aux petits oignons.

        « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

      • [^] # Re: styles par défaut sympa ?

        Posté par  . Évalué à 10.

        je n'ai encore croisé personne l'utilisant quotidiennement et voulant revenir aux menus

        En plus des deux commentaires précédents qui ont déjà donné leur point de vue sur les sujets, j'aimerais ajouter un autre bémol aux louanges sur les rubans.

        La transition menus => rubans est consommatrice en place. Remplacer un menu textuel par un texte et des icônes (ou l'un des deux), prend plus de place sur l'écran. On peut arguer que la taille des écrans augmente et que ça apporte un plus grand confort d'utilisation qui est plus important que la maximisation de la surface de rédaction de document.

        Mais

        Malgré tout, même en prenant plus de place, il est impossible de faire tenir l'intégralité de ce qui était disponible dans les menus et sous-menus (et sous-sous-menu) dans les rubans. Il a fallu faire un arbitrage et arrêter des choix. Beaucoup de fonctions ont soit sauté, soit ont été reléguées dans un obscur menu « plus d'options », derrière un bouton « avancé » ou derrière un [+] qui étend le menu.

        Donc que le ruban soit une avancée niveau confort pour les personnes qui n'utilisent que des fonctions de base, je le conçois. Mais dès qu'une utilisation sort du modèle de base, ça devient compliqué.

        Comme pour quelqu'un qui aurait appris à conduire une voiture automatique. C'est indubitablement plus simple à apprendre/utiliser. Mais dès que tu as besoin de gérer finement ton régime moteur, ça devient un handicap.

        • [^] # Re: styles par défaut sympa ?

          Posté par  . Évalué à 3.

          Je plussoie. Et au moins, avec les menus je pouvais désactiver la fonction de reconfiguration automatique en fonction de l'utilisation, qui me faisait perdre du temps à retrouver les commandes.
          Comme tu le soulignes, la place importante prise par le ruban rend indispensable la reconfiguration dynamique. J'ai encore passé 5 minutes hier à chercher une commande dans Outlook avant de me rendre compte qu'elle avait disparu lors d'un changement de taille de la fenêtre.

  • # Triple clic

    Posté par  . Évalué à 1. Dernière modification le 21 août 2019 à 13:39.

    On peut sélectionner une phrase par triple clic. C’est également possible dans les autres applications de la suite.

    J'ai la version 6.2.4.2.0+, et ça fonctionne aussi (testé sur Calc et Writer).

  • # C'est vous qui voyez

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 4.

    Il faut donc, dans ce cas‐là, bien évidemment, la tester avant de l’installer ; enfin, c’est vous qui voyez.

    Y'en a qui ont essayé. Ils ont eu des problèmes.

    Un LUG en Lorraine : https://enunclic-cappel.fr

    • [^] # Re: C'est vous qui voyez

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 1. Dernière modification le 22 août 2019 à 01:12.

      Ils ont eu des problèmes.

      et ils l'ont remonté sur le bugzilla, ce qui a permis de les corriger (voire ils ont fourni le patch :p)

      ou comment passer d'utilisateur, à testeur, à contributeur upstream^W en amont et ainsi participer à l'amélioration directement vu que c'est libre :-)

      tu n'es pas à l'abri d'avoir des réponses directes des développeurs principaux \o/

  • # Traduction ?

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

    Je viens d'installer la 6.3 (sur Lubuntu 18.04) : il n'y a pas de traduction pour la boite "Tip of the day", ni pour le bandeau jaune qui propose … des news (il me semble ou peut-être les notes de version).

    Ce n'est que chez moi ou bien chez vous aussi ?

    • [^] # Re: Traduction ?

      Posté par  . Évalué à 4.

      As-tu installé le paquet de traduction ?
      Si tu as téléchargé LO 6.3 depuis https://fr.libreoffice.org/download/telecharger-libreoffice/ c'est expliqué :

      Téléchargements supplémentaires :

      Si LibreOffice est déjà installé dans une autre langue, vous pouvez lui ajouter la votre. Le bouton ci-dessous télécharge uniquement l'interface utilisateur dans votre langue. Si vous ne l'avez pas déjà fait, vous devez d'abord télécharger puis installer le package logiciel principal LibreOffice (ci-dessus).
      Utilisateurs Mac OS : veuillez lancer une première fois LibreOffice avant d'installer un pack de langue.
      Interface utilisateur traduite: français (Torrent, Informations)
      Aide pour l'utilisation hors ligne: français (Torrent, Informations)

  • # de caviardage

    Posté par  (Mastodon) . Évalué à 4.

    Il ne me semble pas l'avoir vu mentionné dans l'article, mais une des nouveautés que je trouve intéressante dans la version 6.3 est la possibilité de caviarder un document (le faux-ami redaction/redacting in Engliche) accessible via le menu Outils. C'est bien pratique pour anonymiser ou "censurer" certains documents (surtout quand une administration se voit contrainte de communiquer des documents via la CADA ;-)

    • [^] # Re: de caviardage

      Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 4.

      C'est dans le journal auquel renvoie aussi cette dépêche.

      « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

      • [^] # Re: de caviardage

        Posté par  (Mastodon) . Évalué à 4.

        Oui, bien sûr, mais je signalais cette nouveauté parce que je ne suis pas sûr que tout le monde a le temps de lire le journal en détail, d'où ma tentative de faire remonter l'info au niveau de la dépêche parce que cela me semblait intéressant (maintenant, pas sûr que tout le monde suive le fil des commentaires de la dépêche, aussi long que le journal ;-)

        • [^] # Re: de caviardage

          Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 2.

          Je viens de tester la fonctionnalité avec la version 6.3.1.2. Une chose est sûre c'est qu'elle n'est pas au point. Le seul résultat que j'obtiens est un pdf avec du texte visible (les zones caviardée sont caviardées par de la couleur transparente, pas moyen de corriger ça) mais insélectionnable. L'intérêt est donc mince, très mince en l'état.

          Oui j'ai suivi les notes de version. Il y a un truc qui cloche donc.

          « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

          • [^] # Re: de caviardage

            Posté par  . Évalué à 2.

            Non, tu as sans doute confondu l'export PDF et l'aperçu en PDF qui permet de voir ce qui sera caviardé. Pratique pour faire valider le caviardage avant réalisation. Il y a un rapport de bug là dessus (https://bugs.documentfoundation.org/show_bug.cgi?id=126915) et la solution adoptée et de mettre une infobulle plus explicite.

            • [^] # Re: de caviardage

              Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 2.

              Non je n'ai pas confondu, j'ai exporté plusieurs fois en pdf. C'était ouvert dans mon lecteur de pdf et j'ai réouvert les documents.

              Donc oui ça merdouille en ce qui me concerne.

              « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

              • [^] # Re: de caviardage

                Posté par  . Évalué à 2.

                Dans la barre d'outils de caviardage (Titre Redaction, bizarre ce n'est pas traduit), il faut choisir le 3e bouton, celui avec une flèche, qui permet d'exporter en pdf le document caviardé en blanc ou en noir. Chez moi cela marche très bien, j'obtiens un fichier pdf avec du texte non sélectionnable et de beaux pavés noirs ou blancs.

                • [^] # Re: de caviardage

                  Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Évalué à 2.

                  Ta confiance en moi m'honore…

                  Donc :

                  1. je n'ai pas de Caviardage dans le menu Outil de Draw ;
                  2. dans la barre d'outils caviardage quand je clique sur l'un ou l'autre bouton d'export en pdf j'obtiens le même résultat, à savoir un document dont tout le texte ne peut être sélectionné et qui comporte les zones caviardées en grisé transparent parfaitement lisibles.

                  La preuve, puisque tu ne me crois pas : caviar blanc et caviar noir.

                  Que cela fonctionne comme il faut chez toi, c'est très bien, mais chez moi cela ne donne pas du tout le résultat attendu.

                  Configuration :
                  Version: 6.3.1.2
                  Build ID: b79626edf0065ac373bd1df5c28bd630b4424273
                  Threads CPU : 4; OS : Linux 5.2; UI Render : par défaut; VCL: gtk3;
                  Locale : fr-FR (fr_FR.UTF-8); Langue IHM : fr-FR
                  Calc: threaded

                  « Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

                  • [^] # Re: de caviardage

                    Posté par  . Évalué à 2.

                    Ta confiance en moi m'honore…

                    La question n'est pas de faire confiance, il s'agit d'éviter les malentendus. C'est bien pour ça que dans les rapports de bug on demande de décrire le scénario de reproduction du problème pas à pas, clic de souris par clic de souris. Cela afin d'être bien sûr de parler de la même chose.
                    Comme tu n'indiquais pas que tu choisissais entre caviar blanc et caviar noir, il y avait un doute sur le bouton de la barre d'outils que tu utilisais.

                    je n'ai pas de Caviardage dans le menu Outil de Draw ;

                    Moi non plus. Je l'ai dans Writer, Calc et Impress.

                    La preuve, puisque tu ne me crois pas : caviar blanc et caviar noir.

                    OK, il ne reste plus qu'à explorer bugzilla pour chercher si un rapport de bug a déjà été fait là dessus.

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