openSUSE Leap 42.2 est sortie !

Posté par  (site web personnel) . Édité par Davy Defaud, Nils Ratusznik, bubar🦥, ZeroHeure, palm123 et Benoît Sibaud. Modéré par patrick_g. Licence CC By‑SA.
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nov.
2016
openSUSE

openSUSE Leap 42.2 est sortie le 16 novembre dernier. C’est la deuxième version qui porte le nom de Leap. Cette dénomination rappelle le changement opéré l’an dernier dans la façon de construire la distribution : le cœur du système — noyau, système d’initialisation… — est celui de SLE, la distribution commerciale de SUSE.

L’aspect communautaire reste fort cependant, des centaines de logiciels étant ajoutés par dessus cette base, par des caméléons de tous bords. En ce sens, Leap 42.2 est un exemple : 1 400 nouveaux paquets ont été incorporés et surtout le nouveau bureau KDE Plasma 5.8 LTS a été intégré, entièrement par la communauté.

Logo d'openSUSE Leap

Sommaire

Note : ce qui suit s’inspire librement de l’annonce de sortie officielle.

En bref

Si l’on devait résumer cette nouvelle version en quatre points clefs, on pourrait dire qu’openSUSE Leap 42.2 est…

Encore un peu plus orientée entreprise

Peluche caméléon SUSE

C’est vrai.

openSUSE Leap est basée sur SLE (SUSE Linux Enterprise), la distribution commerciale de SUSE. La version 42.2 de Leap partage encore plus de code source avec SLE, en l’occurrence avec sa version 12 SP 2.

Des technologies comme NVDIMM, OmniPATH et DPDK avec Open vSwitch sont maintenant prises en charge. Xen ne requiert plus son propre noyau et est pris en charge par le noyau par défaut.

En même temps que la base de code de SLE, openSUSE Leap 42.2 reçoit les paquets, la maintenance et les correctifs de la communauté openSUSE et des ingénieurs de SUSE. La série 42 de Leap est officiellement prise en charge pour au moins 36 mois à compter de la version 42.1, c’est‐à‐dire jusqu’en novembre 2018. Cela inclut des mises à jour de maintenance et de sécurité.

Prête pour les serveurs

Network

openSUSE Leap 42.2 est la première version de Leap à offrir un profil « Serveur » durant l’installation. Lancer une plate‐forme Web ou de courriel est plus facile, tout comme gérer des projets plus complexes utilisant la virtualisation ou des technologies à base de conteneurs.

Il est aussi bon de rappeler que Leap et toutes les autres distributions openSUSE proposent un installateur complet en mode texte, donnant les mêmes fonctionnalités que l’installateur graphique sans pour autant utiliser X. Cet installateur est aussi capable de faire des installations à distance en utilisant VNC ou SSH, permettant ainsi de mettre en place openSUSE Leap sur un serveur sans accès physique.

Folle de Konqi !

Konqi, la mascotte de KDE

Konqi, le petit dragon vert de KDE est de retour et en pleine forme ! Plasma 5.8 donne une nouvelle dimension à openSUSE Leap. Cette version du bureau KDE, estampillée LTS, devrait plaire aux utilisateurs soucieux de stabilité. Combiné avec Qt 5.6 et KDE Frameworks 5.26, Plasma 5.8 apporte aux utilisateurs de Leap 42.2 stabilité et fiabilité.

Amatrice de noyaux LTS

Tux

Le noyau Linux 4.4 LTS pour openSUSE Leap 42.2 améliore les performances et les fonctionnalités du systèmes de fichiers Btrfs, avec notamment un nouveau « filtre d’équilibrage » ( balance filter). La para‐virtualisation est activée dans le noyau par défaut. Ce noyau améliore la cryptographie ainsi que la prise en charge du standard TPM (Trusted Platform Module) version 2.0 et la virtualisation imbriquée via KVM.

En détails

Pour les utilisateurs

KDE

Bureau KDE Plasma 5.8

openSUSE Leap 42.2 est donc la première distribution à offrir le bureau Plasma LTS du projet KDE. L’environnement par défaut est en effet Plasma 5.8, riche en fonctionnalités et offrant de bonnes performances. Les utilisateurs de KDE qui étaient passés à autre chose devraient réévaluer cette version qui apporte des améliorations majeures en termes de stabilité et de fonctionnalités.

KRunner n’ouvre plus seulement des applications ; il peut aussi lancer certaines actions quand l’application démarre : ce sont les Jump List Actions.

La prise en charge du glisser‐déposer a été ajoutée pour apporter des résultats de recherche à n’importe quelle application.

Les utilisateurs de téléphones intelligents sous Android peuvent obtenir l’intégration de leur appareil avec l’application KDE Connect (disponible sur Google Play). Elle permet aux utilisateurs de recevoir des SMS sur leur poste de travail ou transférer des fichiers vers leur téléphone. Pour que ça marche, il ne faut pas oublier d’autoriser le service KDE Connect dans le module pare‐feu de YaST.

Enfin, les administrateurs système apprécieront la prise en charge de Kiosk permettant de fixer et déployer des profils de bureau.

GNOME

Bureau GNOME 3.20

GNOME 3.20 offre aux utilisateurs de nouveaux contrôles de vie privée, notamment la possibilité d’autoriser la géolocalisation par application, un accès aux contrôles multimédia directement depuis la zone notification/date/calendrier et une nouvelle fenêtre listant les différents raccourcis clavier et gestes disponibles. Cette dernière peut être ouverte dans la plupart des applications GNOME, depuis le menu ou en utilisant le raccourci Ctrl + ? ou Ctrl + F1. GNOME permet également accéder à Google Drive directement depuis l’application Fichiers.

Grâce à près de 870 contributeurs, plus de 28 000 changements ont eu lieu depuis la version précédente. Tous les détails dans les notes de version de GNOME 3.20.

Autres bureaux

Bureau LXQt 0.11.0 en action sur openSUSE Leap 42.2

openSUSE Leap 42.2 offre à ses utilisateurs la possibilité de choisir d’autres bureaux. Vous pouvez essayer, par exemple, Xfce, Enlightenment, MATE, Cinnamon et LXQt. Seuls Xfce et Enlightenment sont disponibles sur l’image DVD d’installation ; ils sont cependant tous disponibles en ajoutant les dépôts en ligne ou en utilisant l’image d’installation par le réseau.

LXQt 0.11.0, dont l’expérience utilisateur a été grandement améliorée grâce à la correction de nombreux bogues, introduit pavucontrol-Qt, le portage Qt de pavucontrol, le mixeur PulseAudio basé sur GTK.

Pour les administrateurs système

Virtualisation

Installation des outils KVM avec YaST

openSUSE est une plate‐forme relativement complète pour faire de la virtualisation. On retrouve notamment QEMU 2.6.1, VirtualBox 5.0, GNOME Boxes 3.20, Xen et KVM, ainsi que des solutions à base de conteneurs comme Docker et LXC. Une partie de la configuration peut se faire avec YaST, permettant de déployer des solutions plus rapidement et plus facilement.

YaST

L’âne de YaST

Les sprints de l’équipe YaST menés jusqu’à la sortie de Leap 42.2 ont apporté pas mal de bonnes choses et ont rendu YaST (un peu) plus intuitif. La communauté YaST a remodelé l’interface utilisateur pour améliorer l’utilisabilité et continue d’ajouter de nouveaux outils et modules, après qu’ils ont fait leurs preuves dans Tumbleweed.

yast2-alternatives est un nouveau module, créé lors du GSoC 2016, pour gérer le système d’alternatives d’openSUSE (issu de Debian). Un autre module, yast2-vpn, permet de configurer des passerelles et des clients de réseaux privés virtuels (RPV/VPN]. yast2-auth-client, qui permet de configurer un système d’authentification centralisé, a été presque complètement réécrit. La gestion du chargeur d’amorçage a été améliorée pour élargir la prise en charge du Trusted Boot et la configuration de la protection du mot de passe a été refaite au propre. yast2-firewall prend maintenant en charge firewalld, en plus du vénérable SuSEFirewall2.

En cas d’incident lors de l’installation, il est maintenant possible de lancer un débogueur. Les utilisateurs ayant une connaissance de Ruby peuvent l’utiliser pour tracer ce qui s’est passé et trouver une solution voire un contournement.

L’impact sur la mémoire vive a été considérablement réduit, et la configuration du clavier et des polices de caractères de la console a été adaptée pour une meilleure compatibilité avec systemd.

Gestion des systèmes

Module snapper de YaST

Snapper peut maintenant utiliser les quotas Btrfs pour gérer le nettoyage des instantanés. Fini les partitions racines saturées à cause d’un trop grand nombre de d’instantanés !

openSUSE Leap dispose de Samba 4.4.2, qui fonctionne mieux avec les domaines Windows 2003.

systemd 228 apporte un changement notable au niveau des fichiers temporaires : les attributs v, q et Q créeront désormais de simples répertoires, même sous Btrfs (pas de sous‐volume), si le répertoire racine est un simple répertoire. Cela devrait simplifier les choses avec certains environnements chroot qui ne connaissent pas le concept de sous‐volume Btrfs.

La version d’AppStream améliore l’interaction avec les dépôts de logiciels.

La version de MariaDB ne bouge pas par rapport à la 42.1 et la petite mise à jour de MySQL vers la version 5.1.35 résout plusieurs soucis touchant le basculement vers un système de secours (failover).

Rappelons qu’openSUSE Leap utilise des Delta RPM pour les mises à jour de maintenance, réduisant l’impact sur la bande passante.

Pour les développeurs

EDI et outillage

Capture d’écran de KDevelop 5.0.1
   Avec le bureau KDE vient KDevelop 5.0.1.

Une version mûre du Qt 5 GUI Toolkit, la 5.6, est incluse dans Leap 42.2. On recense plus de 800 améliorations depuis la version présente dans openSUSE Leap 42.1. Qt 5.6 est une version LTS et apporte des corrections de sécurité dans le cadriciel Qt, ainsi que dans des bibliothèques tierces.

GTK+ 3.20, partagé avec SLE 12 SP 2, fournit un toolkit solide et stable pour construire des applications. GNOME Builder est disponible en tant qu’EDI et permet non seulement de coder des applications GTK en C, C++ et Vala, mais aussi de réaliser des projets dans de nombreux autres langages.

Pour tous vos besoin en compilation, Leap 42.2 contient GCC 4.8.5, 5.3.1 et 6.1.1. LLVM/Clang 3.8.0 est également disponible. CMake 3.5 est aussi de la partie, en fournissant un environnement de construction puissant et multi‐plate‐forme pour les développeurs de projets libres.

Enfin, niveau cryptographie, la version d’OpenSSL que l’on retrouve dans Leap 42.2 est la 1.0.2h, qui modifie le comportement d’ALPN et empêche ASN.1 BIO de faire des allocations mémoire excessives. OpenSSH est à la version 7.2p2 et assainit les informations d’identification pour X11.

Langages et bibliothèques

Parmi les langages de programmation présents dans openSUSE Leap 42.2, on retrouve notamment Python 2.7, Ruby 2.1 et Perl 5.18.

Cette version de Leap fournit également de nouvelles versions majeures pour libvirt (2.0) et libzypp (16.2).

Leap dispose d’une glibc 2.22 bien établie, ainsi que de libsigc++ 2.8.

En plus

Images d’installation

Icône de téléchargement

Si vous voulez installer openSUSE Leap 42.2, rendez‐vous sur software.opensuse.org/422. À noter que l’architecture i586 n’est plus disponible depuis Leap 42.1.

Des portages sont disponibles pour les architectures ARM et PowerPC.

Enfin, il est tout à fait possible de mettre à niveau une installation de Leap 42.1 vers Leap 42.2, en utilisant la commande zypper dup. N’oubliez pas alors de lire les notes de version par rapport aux paquets supprimés ou renommés depuis la version 42.1.

Pour les contributeurs

Logo de Weblate
Leap 42.2 est la première version d’openSUSE (en dehors de Tumbleweed) à utiliser Weblate pour gérer la traduction du système dans plus de 50 langues. Cette application Web permet à tous, du traducteur professionnel au contributeur occasionnel, de prendre part au processus et rend possible la fusion des traductions d’openSUSE avec celles de SLE.

Logo d’openQA
Un autre outil qui est de plus en plus utilisé par openSUSE est openQA, un logiciel pour tester des systèmes d’exploitation en faisant de la comparaison de captures d’écran. Il est également utilisé par Fedora.

Logo d’Open Build Service
Enfin, l’outil le plus connu et le plus utilisé est l’Open Build Service, un système permettant de construire des paquets RPM, deb et autres de façon automatisée. À noter que le projet openSUSE est impliqué, tout comme bien d’autres distributions, à rendre reproductibles la compilation et l’empaquetage des logiciels qu’elle distribue.

Tumbleweed

Logo d’openSUSE Tumbleweed
Si Leap se porte bien, Tumbleweed, la distribution en publication continue (rolling release) du projet openSUSE, est en pleine forme. L’important travail d’intégration en amont de chaque nouvel instantané permet d’éviter beaucoup de régressions. Et, sur le long terme, c’est aussi openSUSE Leap qui bénéficie de ces efforts… juste quelques mois plus tard !

Aller plus loin

  • # Merci !

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

    Merci pour ce super article AR7, gros boulot. Je n'ai pas trop eu le temps de contribuer cette année.

    La précédente openSUSE inaugurait le partage sur la base de SUSE Linux Entreprise, des gros changements qui pouvait faire craindre de l'instabilité mais au final ça c'est bien passé et cette première mise à jour vient stabiliser le tout un an après.

  • # Et l'éthique dans tout ça ?

    Posté par  . Évalué à -10. Dernière modification le 22 novembre 2016 à 03:05.

    Vu le passé « douteux » de Suse, ça serait bien de rajouter un paragraphe pour faire un point sur les liens entre Suse et Microsoft, notamment sur la reconnaissance des brevets logiciels indélicats et du chantage aux brevets logiciels.

    Quelques articles pour rafraîchir la mémoire :

    • [^] # Re: Et l'éthique dans tout ça ?

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 7. Dernière modification le 22 novembre 2016 à 07:46.

      Vu le passé « douteux » de Suse, ça serait bien de rajouter un paragraphe pour faire un point sur les liens entre Suse et Microsoft, notamment sur la reconnaissance des brevets logiciels indélicats et du chantage aux brevets logiciels.

      Oui ça aurait été bien :-) Mais malheureusement tu ne l'as pas fait.

    • [^] # Re: Et l'éthique dans tout ça ?

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

      Ça tombe bien, on parle de OpenSuse là, par de Suse…

    • [^] # Re: Et l'éthique dans tout ça ?

      Posté par  . Évalué à 4.

      SUSE n’appartient plus à Novell et est depuis (2011) une entreprise séparée de sa société mère, alors Attachmate, aujourd’hui Micro Focus International. Dès l’annonce conjointe de Novell et Microsoft, le projet openSUSE prenait d’ailleurs ses distances.

    • [^] # Re: Et l'éthique dans tout ça ?

      Posté par  . Évalué à 4.

      Dans ce que je lis du premier article:

      Novell […] protégeraient ses clients de potentielles réclamations liées aux brevets liés à Linux détenus par Microsoft

      Pour moi, ça ne dit pas que ça valide les brevets détenus par Microsoft mais que Microsoft s'engage à ne pas attaquer les clients de Novell pour l'utilisation de Linux. Ça fait juste des économies de frais de justice (vu que j'imagine que Novell s'engage à défendre ses clients s'ils sont attaqués sur ses produits que l'attaque soit justifiée ou pas).

      « Rappelez-vous toujours que si la Gestapo avait les moyens de vous faire parler, les politiciens ont, eux, les moyens de vous faire taire. » Coluche

  • # éthique ?

    Posté par  . Évalué à -1.

    cpm : Tu leur reproche quoi en terme d'éthique ?
    Windows vient d'intégrer la Linux foundation, ca en fait t'il des gens moins "douteux" ? Cela fait t'il de la LF un organisme douteux également ?
    http://www.zdnet.fr/actualites/microsoft-fait-une-entree-remarquee-a-la-linux-foundation-c-est-serieux-39844730.htm

    • [^] # Re: éthique ?

      Posté par  . Évalué à 4. Dernière modification le 24 novembre 2016 à 05:41.

      Microsoft est connu pour faire du racket au brevet logiciel sur Linux. Suse est connue pour avoir signé un accord de partenariat avec Microsoft, accord qui reconnaissait et légitimait les brevets logiciels de Microsoft sur Linux
      Donc, oui, Suse est parée d'un aura de « douteux ».

      Ce n'est pas Windows qui est devenu membre de la Linux Foundation, mais Microsoft.

      Le fait que Microsoft devienne membre de la Linux Foundation juste parce qu'ils font un chèque de 500 000 $ ne la transforme pas en ange : Microsoft continue sont racket aux brevets logiciels, collecte encore plus de données personnelles, dépense encore plus d'argent en lobby pour modifier la loi et restreindre les libertés des européens, produit des formats non-interopérables, etc.

      La Linux Foundation ne se pose pas la question de l'éthique, juste défend l'approche open-source et donc la liberté de ceux qui produisent du logiciel. C'est donc à nous de nous poser des questions et de défendre nos libertés en tant qu'utilisateurs. :-)

  • # Opensuse Leap, un pari réussi

    Posté par  . Évalué à 2.

    Un peu suspicieux au début sur la stabilité de Leap 42.1 avec plasma 5 l'an dernier, mais tout a roulé tranquille au fur et à mesure. L'upgrade vers 42.2 a très bien fonctionné, et tous les éventuels petits bugs que j'avais ont disparu. Plasma 5.8 est maintenant un bureau vraiment stable. Pour moi opensuse Leap est donc un pari réussi, fiable et solide, elle fonctionne bien mieux que ubuntu 16.04 sur mon ordinateur. C'est juste dommage pour la version de gnome qui est resté en 3.20, mais là encore, bien que opensuse soit "kde-centriste", Opensuse avec gnome (ou même mate) est très bien aussi au niveau stabilité.
    Voilà c'était histoire de donner un avis positif un peu, au delà des querelles sur l'"éthique" dans les précédents commentaires :)

  • # KDE Connect

    Posté par  . Évalué à 1.

    Je ne connaissais pas l'appli (côté KDE et côté Android), je viens de tester, c'est absolument géniale. Ne serait-ce que pour cela, merci de l'article.

  • # poweroff

    Posté par  . Évalué à 1.

    J'ai remarqué une différence entre 42.1 et 42.2.
    Lorsque j'arrête mon pc portable en 42.1, la connexion au modem de mon fournisseur internet s'éteint (la lampe verte s'éteint). Lorsque je fais la même opéraztion en 42.2 la connexion ne s'arrête pas complètement (la lampe verte devient orage mais ne s'éteint pas.

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