Déjà trois numéros de publiés pour Le Lama déchainé de l’April. Le premier contre Microsoft et la fin du support de Windows 10, le deuxième avait un petit côté éducatif/entraide. Pour ce troisième opus, le numéro 2, quelques touches artistiques parsèment la gazette. Et toujours le dessin de Gee, qui pourrait être un jeu de 7 différences…

La plume invitée est David Revoy, il a dû être surpris que l’April lui demande un texte et pas un dessin. Il est connu pour sa bande dessinée Pepper et Carrot et pour son travail avec la fondation Blender. Qui de mieux qu’un artiste pour parler de licence et de partage ?
L’écho des associations est consacré à l’association ACIAH (Accessibilité, Communication, Information, Accompagnement du Handicap). Chaleureuse et humaine.
Le logiciel Androïd proposé par Michaël cette semaine est Radiodroïd, pour écouter des émissions de radio sans les trucs privateurs des appli. Vous connaissez ? Vous l’avez déjà utilisé ?
Nous avions promis de présenter à chaque numéro du Lama déchainé une distribution Libre. Nous continuons donc avec Ubuntu, la distribution libre la plus grand public, de l’avis de la personne qui écrit la rubrique. L’ordre a été rediscuté plusieurs fois, remis en question, surtout qu'à l’April, on utilise plutôt Debian. Mais nous resterons fidèles dans les prochaines publications à l’ordre donné dans le numéro 0.
Vous pourrez également découvrir la première étape pour construire votre Lama Photonique Interpellant. LPI pour les intimes !
Et comme chaque semaine, retrouvez la parole de, l’anecdote, le saviez-vous ?, l’idée à déconstruire, l’ineptIA, une des chroniques de Libre à vous ! , une citation de Libre à Lire !, le chiffre de la semaine et bien sûr les mots croisés !

Cette gazette est là pour vous présenter les actions de l’April sur plusieurs semaines, de manière plus légère que les lettres d’informations.
Afin d’assurer la pérennité de nos activités, nous cherchons à récolter une somme de 30 000€ avant le 31 décembre. Si vous pensez que l’April doit continuer à exister dans ce contexte où l’hégémonie des géants du logiciel privateur se fait toujours plus forte, vous pouvez adhérer ou faire un don.
Merci de votre lecture, de vos commentaires, de votre soutien !
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# Grille presque remplie
Posté par Stéphane Ascoët (site web personnel) . Évalué à 1 (+0/-0).
Ils sont difficiles cette saison
[^] # Re: Grille presque remplie
Posté par vpo . Évalué à 1 (+0/-0). Dernière modification le 29 octobre 2025 à 11:50.
Oui, l'an dernier les mots étaient souvent liés aux thèmes des articles ou à l'informatique en général, donc les solutions me semblaient plus évidentes.
Pour la 15 j'aurais bien proposé "aurait pu être poli" comme définition avec un changement de lettre dans la solution bien entendu ;-)
# Monétisation de l'art
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . Évalué à 2 (+0/-0).
Tien, ce numéro et son illustration me font penser qu'hier C. Doctorow faisait la promotion d'un bouquin traitant des difficultés liées à la monétisation de la production artistique. Pour ceux que ça intéresse… Le billet de blog en question n'est pas forcément le plus passionnant, mais tout de même riche de tranches de vie et réflexions.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Monétisation de l'art
Posté par vpo . Évalué à 2 (+1/-0).
Après, le fait que vivre de son art est difficile ne date pas d'hier.
Sous l'Ancien Régime, les artistes travaillaient à la commande pour l’aristocratie, l’Église ou des mécènes privés, sans garantie d’indépendance ni de stabilité. Et je ne parle même pas du spectacle vivant où c'était tellement bien considéré que l'église refusait les derniers sacrements aux comédiens, même pour des gens ultra célèbres comme Molière. Il a fallu que Louis XIV himself intervienne pour qu'il lui soit donnés, et encore en catimini.
Avec l'avènement des classes moyennes et d'une société de loisirs au siècle dernier, c'est même bien la première fois que l'on voit des artistes devenir millionnaires en si grand nombre. Mais c'est surtout dans la musique et le cinéma et de temps en temps dans la littérature, pas de bol pour les arts plastiques sauf pour des gens comme Jeff Koons. Je vois dans sa bio qu'il a fait de la vente dans sa jeunesse. Une expérience en marketing ne doit certainement pas nuire dans le créneau qui est le sien :-)
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