Michaël a écrit 2935 commentaires

  • [^] # Re: Ou en trollant

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Comment réfuter. Évalué à 4.

    Le deuxième niveau de lecture pousse à se demander qu'est-ce qui valide une argumentation bien formée. Ça n'est visiblement pas la logique (puisque l'on démontré tout d'abord que la logique pouvait être biaisée à travers lesdits stratagèmes).

    La logique seule ne saurait suffire, mais elle est une condition nécessaire!

    Pour apprendre à bien argumenter, le plus simple est de lire de bonnes argumentations. On peut relire le classique Symposium de Platon ou des textes plus récents mais d'une clarté tout aussi admirable, comme De la division du travail social par Émile Durkheim.

  • # Quelles attaques

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Protection contre différentes types d'attaques. Évalué à 2.

    J'utilise virtualmin/webmin pour la gestion des sous-domaines et je voulais juste vous demander d'où je pourrais commencer pour me protéger des attaques. Je ne suis pas un experte mais je crois que je pourrais arriver a me débrouiller

    Le premier point à régler n'est il pas de déterminer le type d'attaques contre lesquelles tu veux te protéger? Je ne travaille pas dans les métiers de la sécurité, mais cette perspective est absente de ton message, je me permets donc ce rappel élémentaire.

  • [^] # Re: Quelques remarques en vrac

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Changer de formation en informatique en cours d’année?. Évalué à 2.

    EDIT : Puis en général les facilités viennent d'un entrainement provenant de ton éducation, c'est rarement inné.

    Par exemple Grothendieck se décrit dans Récoltes et semailles comme une personne n'ayant aucune facilité particulière et ayant même l'impression d'avoir besoin de beaucoup plus de temps que les autres (par exemple ses camarades d'études) pour assimiler de nouvelles notions! Il avoue par contre sans pudeur avoir beaucoup travaillé!

    C'est néanmoins une question très difficile de distinguer l'inné et l'acquis, mais même si on accepte que chacun ait des facilités dans un domaine ou l'autre, devenir bon demande du travail.

  • # Quelques remarques en vrac

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Changer de formation en informatique en cours d’année?. Évalué à 3.

    Je revis l’horreur de la fin de ma terminale où les maths et la physique, matières que j’aimais bien, sont devenues des matières que je détestais, et où j’espérais malgré mes mauvaises notes que ça allais s’arranger. Sauf que là ça n’est pas le BAC dans quelques mois mais trois années qui se profilent devant moi.

    Est-ce que tu as essayé d'analyser l'origine de ce changement? Ça me semble une question importante pour adapter ta position.

    Il parait que je risque d’avoir des problèmes avec le conseil de classe […]

    Ça ce n'est pas super du tout! Ce qui serait très mauvais, c'est que tu te mettes dans la situation où les enseignants pensent que tu as décrochés alors que tu n'en ramasses pas une alors que le problème semble être d'une autre nature. Un conseil: n'attend pas que le conseil vienne te chercher pour aborder ton absence et demande toi-même à rencontrer les enseignants ou le personnel adapté. Tout le monde a des problèmes, les assumer et essayer de les surmonter fait partie de ce qu'on attend d'un adulte. En faisant la démarche, tu passes d'une situation passive à une situation active, c'est bien meilleur pour l'image de toi (et celle que tu as de toi, et celle qu'ont les enseignants de toi).

    Ça fait des mois que je me dis qu’il faut que je bosse plus les maths et la physique pour surmonter les difficultés, mais j’y arrive pas, j’ai du mal à me mettre à bosser et quand je m’y mets je suis écrasé par la difficulté. C’est trop théorique, ça ne m’intéresse pas, c’est trop abstrait. À bien y réfléchir, les fois où j’ai abattu le plus de boulot c’était pour les projets informatique.

    Ça m'étonnerait bien que les maths que tu fais soient vraiment beaucoup plus abstraites que l'info. Si tu fais des études d'info tu as certainement assez d'abstraction pour étudier ce qu'on te propose. Si tu n'as pas réussi à te mettre au travail tu peux essayer de montre un groupe de travail avec d'autres étudiants pour te stimuler. Un problème plus important est que peut-être les objectifs des cours ne sont pas bien définis pour toi: si tu n'as pas une idée claire des compétences que tu dois acquérir, tu n'as aucune chance de mettre au point une stratégie pour les acquérir. Si les attentes ne sont pas claires, parles-en à tes enseignants et n'hésite pas à y aller franco “Bon voilà, j'ai du mal avec le cours de maths… j'ai un peu du mal à hiérarchiser les contenus et à comprendre quelles compétences sont attendues de moi. Sur quoi dois-je me concentrer pour sauver les meubles à l'exam sans forcément briller.”

    Je n’ai jamais été confronté à ce genre de situation, et l’école en elle-même coute très cher, d’où le blocage (entre autres) pour en parler à ma famille, ce qui fait que non content de me sentir assez mal je peux difficilement en parler autour de moi.

    Un jour ou l'autre il faudra bien en parler… c'est normal que tu ne sois pas très à l'aise pour aborder le sujet directement avec tes parents. Peut-être que tu peux aborder plus facilement ce sujet avec un oncle ou tante qui pourrait t'aider à préparer la conversation avec tes parents, ou qui pourrait même t'aider à engager cette conversation.

    Je me dis que ça serait dommage d’arrêter les études si je peux continuer.

    Effectivement. On rencontre des difficultés tout au long de la vie, et c'est normal. Mais si on ne peut pas espérer échapper toujours aux difficultés, on peut apprendre à les surmonter.

  • [^] # Re: merci

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Alexandre Grothendieck est bronsonisé. Évalué à 3.

    C'est un ouvrage très intéressant, même pour les non mathématiciens, dont je ne peux que recommander la lecture à tout le monde.

  • [^] # Re: CAPES du numérique

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Rapport Lemoine : 180 propositions pour "numériser" notre économie. Évalué à 4. Dernière modification le 12 novembre 2014 à 12:02.

    Si on lit le rapport du jury (qui est public parce que c'est un concours, ça fait partie des avantages),

    J'avais oublié ça, mais profiter des rapports pour préparer les concours est très important puisque le jury se donne la peine d'indiquer ce qui marche bien et moins bien, ce qu'il attend des candidats, etc. Et puis les oraux sont publics (même si le candidat a le droit de demander au public de sortir, je n'ai jamais vu cela arriver), ce qui est aussi une source d'information très importante!

    Et toute ces informations sont clairement un atout pour les candidats que ne leur offrent pas les autres modes de recrutement.

  • [^] # Re: CAPES du numérique

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Rapport Lemoine : 180 propositions pour "numériser" notre économie. Évalué à 8. Dernière modification le 12 novembre 2014 à 11:04.

    un CAPES d'informatique n'est pas en soi la seule façon de recruter des enseignants en info au collège, on peut également supprimer le concours (pour tout le monde, cela va s'en dire).

    Ce serait une énorme réforme. Et puis s'ils ne sont pas parfaits, les concours ont aussi des avantages, et changer le mode de recrutement reviendrait à avoir un système avec des avantages et des inconvénients différents… décider si l'un ou l'autre est mieux est une question très complexe, qu'on peut se poser — mais alors il faut le faire sérieusement.

    Prenons pour comparer, l'exemple de l'Allemagne où les professeurs:

    1. Doivent trouver un lycée qui les recrute, c'est-à-dire qu'ils se retrouvent avec une formation pas très intéressante sur le marché du travail hors de l'éducation (les profs étudient deux matières et la pédagogie, ce qui leur donne un profil très généraliste) et pas de garantie d'embauche. En France, Le concours demande un an de préparation mais est un concours de recrutement et si on échoue, on a toujours une formation pointue dans la discipline qu'on a choisie, qui est plus facile à faire valoir sur le marché du travail qu'un profil généraliste.

    2. Doivent obtenir un diplôme d'État, délivré par une université, ce qui induit une distorsion de la reconnaissance, par exemple les profs titulaires d'un diplôme de NRW n'ont en pratique aucune chance de trouver un poste en Bavière. En France, on peut en principe travailler à Versailles dans n'importe quelle région. Pour les étudiants, c'est aussi intéressant d'avoir affaire à un processus très normalisé (la méthode de préparation et le niveau d'exigences sont très clairs) plutôt que de devoir s'adapter aux conditions de la fac où ils étudient.

    3. Doivent se décider assez tôt pour cette carrière, car leurs études incluent des stages nécessaire. Donc si on se plante (cf. 1) c'est beaucoup plus qu'un an qu'on perd.

    Bien-sûr les concours ont aussi plein d'inconvénients, mais je me vois pas décider si un système avec ou sans concours serait meilleur sans passer par une étude approfondie, et surtout une formulation claire de “meilleur” ­— ce qui est au fond une question politique.

    D'ailleurs, quand on voit le nombre de poste non pourvus en maths (c'est à dire qu'on refuse des candidats qui théoriquement devraient être admis)

    Qui théoriquement pourraient être admis, nuance importante! ☺ Le concours teste l'excellence académique, donc si ce critère n'est pas là, c'est normal de ne pas pourvoir les postes — du point de vue du recruteur, qui a décidé que l'excellence académique est un critère très important pour recruter des professeurs.

    Le problème du tarissement des candidats, vient du fait que c'est un travail difficile, peu reconnu socialement (ah ha, ces profs! tous des branleurs de gauche toujours en grève!), et franchement très mal payé.

    Dans mes amis, j'ai un prof de maths en prépa en toute fin de carrière, agrégé hors classe, chaire de machin bidule de prestige, qui fait des heures sups, il gagne dans les 5500€ brut par mois. À titre de comparaison, j'ai une amie prof en Allemagne, elle a 37 ans, pas forcément plus de travail que le précédent et fait 4800€ par mois. Donc les profs en France sont beaucoup plus mal payés qu'en Allemagne. Avec une qualification analogue, on n'a vraiment pas besoin d'attendre d'avoir 57 ans pour dépasser ce genre de salaires — mais un style de vie très différent! Mais au moins, on est sûr que ceux qui se présentent au concours ont la vocation! ☺

  • [^] # Re: Update

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qpsycle, un studio modulaire de création musicale, cherche des développeurs. Évalué à 1.

    Question: J'ai un clavier Akai MPK mini, un USM/MIDI avec des «pads» de percussion, est-ce que tu connais un logiciel qui me permettrait de connecter le clavier d'une part et les pads d'autre part à deux instruments logiciels différents? Ce serait assez chouette parceque c'est quand-meme à ça que ça sert!

  • [^] # Re: CAPES du numérique

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Rapport Lemoine : 180 propositions pour "numériser" notre économie. Évalué à 5.

    Le vrai débat serait plutôt : doit-on continuer à embaucher les profs sur concours (qui a la particularité de sélectionner les personnes sur tout sauf la pédagogie et la vocation, même si je suis persuadé que la plupart ont ces deux qualités) ?

    En quoi c'est un problème de ne pas faire entrer A et B dans les critères de recrutement si la plupart des candidats au recrutement on déjà A et B ? Je ne comprends pas très bien ton point de vue!

    Je n'ai pas suivi les derniers développements, mais avant Sarkozy (encore lui!) il y avait une année de stage pratique avec une formation pédagogique et la titularisation n'était pas automatique — même si les cas de non titularisation sont rares ils existent et leur proportion corroborent ton sentiment.

    Sans pour autant renoncer au concours comme forme principale de recrutement, ce serait intéressant de créer des ponts pratiquables entre les métiers de l'enseignement et les parcours professionnels classiques.

  • [^] # Re: Titre

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Du xml dans vos outils CLI. Évalué à 2.

    Plus de redondance ne fait pas plus de contexte…

    Un document XML peut être comparé à une DTD ce qui permet à des éditeurs spécialisés de donner une information du type “vous êtes en train d'éditer la propriété auteur du document bidule dans la bibliothèque xy et vous pouvez ajouter à cet endroit un élément homepage”. C'est le contexte dont je parle et ce type d'information n'est pas disponible pour les formats qui ne précisent pas la structure du document.

  • [^] # Re: Titre

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Du xml dans vos outils CLI. Évalué à 2.

    Localiser et modifier la partie adéquate d'une S-expression dans un gros fichier est difficile sinon impossible. Pour continuer la comparaison, faire la même chose avec XML est plus facile car un document XML expose beaucoup plus de contexte que ne le fait une S-expression.

  • [^] # Re: Titre

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Du xml dans vos outils CLI. Évalué à 3.

    Le XML n'est pas seulement un format permettant la sérialisation mais aussi — et surtout? — un format permettant la validation des documents. Il y a trois stratégies pour la sérialisation de données, qu'on peut comparer ainsi:

    • Un format comme SGML ou XML permet en outre de valider le document lu par un “validateur XML ou SGML” i.e. un composant logiciel standard, en principe bien testé.

    • Un format comme JSON ou les ProperyList n'offre pas de méthode de validation standard: soit on valide à la main, soit on utilise un outil générique mais ce dernier cas de figure revient à utiliser une forme bridée et non normalisée du SGML.

    • Un format comme les S-expressions, n'offre pas de méthode de validation et on ne peut pas vraiment imaginer éditer des S-expressions à la main.

  • [^] # Re: Le libre se diffuse

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Du xml dans vos outils CLI. Évalué à 2.

    Sur ma machine (FreeBSD 10) la commande bsdgrep est certes disponible mais /usr/bin/grep est toujours la version GNU.

  • [^] # Re: Licence

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Du xml dans vos outils CLI. Évalué à 2.

    Je sais ce que je dis c'est que c'est dommage de devoir deviner à partir du texte que c'est une BSD 2 clause.

    Ah oui, pardon j'ai survolé le fil un peu trop rapidement. C'est vrai qu'afficher clairement le nom de la licence serait plus pratique!

  • [^] # Re: Le libre se diffuse

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Du xml dans vos outils CLI. Évalué à 3.

    je vois pas pourquoi les binutils améliorés ne finiront pas dans nos distributions?

    La plupart des distributions Linux utilisent certainement une version GNU des programmes classiques tels que wc alors que FreeBSD utilise souvent des implémentations spécifiques (à l'exception notoire de grep(1)).

  • [^] # Re: Licence

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Du xml dans vos outils CLI. Évalué à 2.

    C'est la licence BSD sous laquelle est distribué FreeBSD. (BSD 2 clauses).

  • [^] # Re: GNU Make

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Préparation de documents LaTeX avec BSD Owl. Évalué à 2.

    Si tu as un comptes GitHub, n'hésite pas à marquer le projet, comme ça tu seras au courant des nouvelles versions.

  • [^] # Re: Mais non, il ne faut pas un makefile pour gérer du latex !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Préparation de documents LaTeX avec BSD Owl. Évalué à 2.

    Le plus souvent, tu recompiles pour voir ce que cela donne sur les quelques paragraphes que tu as travaillé, tu te fout alors des références bibliographiques ou autres. J'avais dans mes Makefile un simple target 'pdf' et j'avais remarqué que dans 99% des cas, je n'utilisais que celui-la.

    C'est aussi mon constat et la raison pour laquelle j'ai choisi cette approche dans BSD Owl.

  • [^] # Re: Mais non, il ne faut pas un makefile pour gérer du latex !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Préparation de documents LaTeX avec BSD Owl. Évalué à 2.

    Je pense que si tu en étais resté purement aux points techniquement faibles du système que latexmk résout, ton message aurait été beaucoup mieux reçu

    Absolument, son attitude m'ôte vraiment toute envie de discuter avec lui — d'autant que la discussion ne semble pas vraiment possible.

    Concernant le nombre de compilations, latexmk va procéder a 5 compilations, ou moins s'il s'aperçoit qu'aucune compilations supplémentaire n'est nécessaire. La stratégie de bsdowl consistant à faire un nombre prédéterminé de compilations n'est pas à des années-lumières. Et on attend toujours un exemple de document “de la vraie vie” (par exemple une référence sur arXiv.org) qui est bien compilé en 3 ou 4 passes mais mal compilé en 5 passes.

  • [^] # Re: Mais non, il ne faut pas un makefile pour gérer du latex !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Préparation de documents LaTeX avec BSD Owl. Évalué à 1.

    Le programme latexmk considère a priori qu'il ne faut pas plus de 5 passes pour compiler un document LaTeX non pathologique:

    $max_repeat [5]
     The maximum number of times latexmk will run latex/pdflatex before deciding that there may be
     an infinite loop and that it needs to bail out, rather than rerunning latex/pdflatex again
     to resolve cross-references, etc. The default value covers all normal cases.
    
  • [^] # Re: Mais non, il ne faut pas un makefile pour gérer du latex !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Préparation de documents LaTeX avec BSD Owl. Évalué à 5.

    C'est triste de te voir attaquer comme cela quelqu'un qui propose son travail qui ne te nuit en rien.

    La dernière année de ma thèse j'ai lu «Récoltes et Semailles» une autobiographie du mathématicien Alexandre Grothendieck. Il y fait un portrait du mathématicien successful typique de son époque: un aspirant champion du monde en poids et haltères, exhibitionniste, vouant par réflexe un mépris affiché à toutes les approches qui ne sont pas les siennes. Un portrait dont les traits dominants sont aux antipodes de la curiosité et de la générosité qui animent toute démarche scientifique sincère.

    Pour la petite histoire, la prise de conscience de l'existence de ce stéréotype et du fait qu'il en était lui-même devenu un parfait stéréotype l'ont amené à pratiquement renoncer à sa carrière prestigieuse pour se rapprocher de la générosité et de la curiosité qu'il avait délaissées pendant de nombreuses années, comme il le raconte dans son livre.

  • [^] # Re: Transformée Mojette

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal QRaidCODE, stocker des données sécurisée sur qrcodes. Évalué à 2.

    Ouh — la partie où je peux être utile c'est la multiplication de polynômes sur un corps de Galois, je n'ai pas réussi à identifier cette partie.

  • [^] # Re: Mais non, il ne faut pas un makefile pour gérer du latex !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Préparation de documents LaTeX avec BSD Owl. Évalué à 0.

    mais que tu préfères m'insulter. Chacun son truc.

    Ce n'est pas une insulte, c'est juste de l'information, Mr. Schocked.

    Je remarque que tu ne réponds toujours rien sur la confusion entre date de compilation et date d'écriture (après des pirouettes du type « ah ouai bibtex, mais moi, tu vois, je ne compile qu'une fois sauf à la fin »)

    https://linuxfr.org/news/preparation-de-documents-latex-avec-bsd-owl#comment-1570760

    Je remarque que tu ne réponds toujours rien à plein de points, que tu ne donnes pas d'exemples concrêts de documents problématiques, avec des sources, etc.

    J'en reste là, je ne vois plus d'intérêt de continuer de discuter avec toi.

  • [^] # Re: Mais non, il ne faut pas un makefile pour gérer du latex !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Préparation de documents LaTeX avec BSD Owl. Évalué à 2.

    Tu es vraiment hallucinant d'arrogance! C'est trop drôle!

  • [^] # Re: Mais non, il ne faut pas un makefile pour gérer du latex !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Préparation de documents LaTeX avec BSD Owl. Évalué à 3.

    C'est dangereux. Un de mes thésards a un jour soumis un article mal compilé ([?] pour les références) avec de genre de méthode.

    Je ne vois pas le rapport avec “compiler plus que nécessaire”. Au contraire ici, il n'a pas assez compilé!

    Pour ce qui est de bsdowl les messages de Warning ou Error LaTeX sur les références non définies est transformé en erreur de compilation par bsdowl et une liste récapitulative de tous les Warnings et de tous les Erros est affichée.

    Pour la soumission, d'article c'est un peu sa faute s'il ne vérifie pas ce qu'il envoie non? Même avec un système réputé fiable il faut vérifier ce qu'on envoie quand c'est important. Donc ici, c'est une erreur humaine, avant tout.

    Évidemment, si tu ne veux pas obtenir le vrai document final à chaque instant (chacun son truc, encore une fois), alors un makefile est suffisant mais à mon avis sans intérêt : pourquoi taper make plutôt que (pdf)latex ? La logique m'échappe, sauf dans un workflow complexe et là, la gestion manuelle des dépendances est tellement pénible que je ne vois pas non plus l'intérêt de gérer la compilation latex elle-même par le makefile.

    C'est justement (pour la deuxième fois) les “Workflow complexes” qui sont mis en avant par la dépêche, et ce que tu dis est écrit noir sur blanc dans la dépêche (par moi):

    La préparation d'un document simple avec LaTeX est en elle-même particulièrement simple, l'utilisation de bsdowl pourrait donc sembler une complication inutile. Cependant, même dans ce cas, l'utilisation de bsdowl rend d'appréciables services, comme l'installation et l'horodatage des fichiers produits.

    Néanmoins, la partie vraiment intéressante se situe dans la partie avancée.