Robert VISEUR a écrit 765 commentaires

  • [^] # Re: Un projet d'OS en Java : JNode

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Un projet d'OS en Java : JNode. Évalué à 1.

    Je me souviens du JavaOS de Sun (ça remonte à 2000 plus ou moins). C'était écrit directement en Java ou bien en langage type C/C++ ?
  • [^] # Re: Monopole du propriétaire : la faute à l'Etat ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Monopole du propriétaire : la faute à l'Etat ?. Évalué à 2.

    > Vous ne devez pas souvent emprunter le réseau secondaire.

    Si, mais sur le réseau belge surtout. Côté français, je ne fais que Tournai-Lille et Lille-Calais (sur les grands axes) et quelques nationales du côté de Maubeuge. J'ai remarqué que le réseau français semble très inégal en terme de qualité (revêtement, éclairage, etc) et que les Français roulent globalement plus vite que les Belges (150/160 km/h sur trois bandes est une vitesse couramment pratiquée).
    Reste que je ne suis pas convaincu que les moyens à mettre en oeuvre pour améliorer la sécurité sur les routes doivent être si différents en Belgique et en France. Donc, formation d'abord, répression ensuite. Mais pas uniquement de la répression.

    > La signalisation existe

    Tu semblais dire le contraire dans ton post précédent, d'où ma remarque. Et si la signalisation existe, ma remarque reste valable. Contrôlons les points sensibles !
  • [^] # Re: Monopole du propriétaire : la faute à l'Etat ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Monopole du propriétaire : la faute à l'Etat ?. Évalué à 2.

    Quant il y a un danger, il y a généralement une limitation spécifique. Par exemple, s'il y a un tournant dangereux, la limitation passe de 90 à 70.

    Si le panneau n'existe pas, c'est qu'il y a un problème de signalisation. Et je dis : améliorons la signalisation plutôt que de mettre des radars. Ca coûte moins cher et c'est, selon moi, plus effice car ça prévient le danger.

    Et rien n'empêche de mettre un radar mobile pour de temps à autre vérifier le respect de cette limitation spécifique. Mais ce sera moins rentable (que sur une ligne droite d'une trois bandes), car une majorité de conducteurs fera attention (la limitation étant tout à fait justifiée) !

    Ce que je décrit s'inscrit dans une démarche pédagogique (éduquer est aussi punir) -donc efficace-, pas dans une démarche uniquement répressive (et marquée par la recherche de l'argent facile).
  • [^] # Re: Monopole du propriétaire : la faute à l'Etat ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Monopole du propriétaire : la faute à l'Etat ?. Évalué à -1.

    16,5 millions d'euros engrangés par l'Etat en six semaines d'utilisation des radars fixes ! Même M$ n'a pas une rentabilité pareille !!!

    Alors, je veux bien que quelques radars soient mis en quelques endroits pertinents, mais pour le grosse majorité (et notamment les fixes), ce sont des pompes à fric ! D'ailleurs, l'idée, c'est que la première vague de radards fixes finance la seconde. Ca en dit long selon moi.
  • # Re: Monopole du propriétaire : la faute à l'Etat ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Monopole du propriétaire : la faute à l'Etat ?. Évalué à 3.

    Perso, je trouve la comparaison morts sur la route / logiciels propriétaire complètement idiote.

    1/ Tu peux mettre autant de radar que tu veux sur la route, ça n'empêchera pas les vrais irresponsables de reprendre le volant avec 1gr d'alcool dans le sang ou de rouler à 160km/h sur des routes de campagne là où il n'y a pas de radar. Les radars sont mis là où la route tue le moins (sur les autoroutes), pas là où se serit utile (devant les écoles, sur les nationales, etc) ; les fixes sont clairement localisés (voir carte des radars dans la presse

    2/ Une politique routière efficace, ce serait de _former_ les gens, de leur apprendre les dangers de la route et comment maîtriser leur véhicule : comment aborder un freinage d'urgence, comment rattrapper un véhicule qui glisse, etc. Tout cela n'est pas appris dans le permis de conduire !

    3/ Pour le logiciel libre, c'est la même chose. Il faut informer objectivement les gens, en mettant en avant les aspects positifs et négatifs des logiciels libres, en tenant compte de l'usage que fait l'utilisateur de sa machine. Il faut aussi le former, pour ne pas le perturber dans son changement d'environnement. Et là, ce sera efficace !
  • [^] # Re: grillée ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Konqueror à détruit ma clé usb ??. Évalué à 1.

    Pour info (je viens de relire le journal), c'est aussi sous Mdk 9.2.
  • [^] # Re: grillée ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Konqueror à détruit ma clé usb ??. Évalué à 2.

    Mouais, ceci dit, Konqueror m'a déjà mis le bazar sur ma clef usb. J'avais créé deux répertoires via le menu Nouveau / Répertoire et, en fait, les deux répertoires pointaient vers le même contenu. Le temps de m'en rendre compte et j'avais supprimé quatre heures de boulot à la poubelle... Je n'ai pas trop approfondi la question, d'autant que ça ne s'est pas reproduit depuis, mais j'ai trouvé ça bizarre.
  • [^] # Re: Une petite question : License & Brevets

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Une petite question : License & Brevets. Évalué à 1.

    C'est vrai mais c'est très théorique. En effet, de nombreux brevets ont été déposés et couvrent des trucs qui existent depuis des années.

    Pourquoi ? Parce qu'un brevet doit être nouveaux par rapport à l'état de la science. Mais cette nouveauté est évaluée par rapport à quoi ? Notamment par rapport aux dépots de brevets antérieurs ! Donc, quand tu commences à autoriser la brevetabilité, l'état de la science est encore mal défini. Conséquence : plein de brevets stupides passent. Conséquences ultérieures : contestation, procès, etc.
  • [^] # Re: C'est n'importe quoi ton journal !!!!! MERDE !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal mots-clefs. Évalué à 1.

    ou référence ton site dans l'annuaire dmoz.org, qui inlfluence sur
    Google, Netscape et bien d'autres. C'est fait pour ça, c'est plus efficace et ça ne fait pas ch*** le monde...
  • [^] # Re: Une petite question : License & Brevets

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Une petite question : License & Brevets. Évalué à 1.

    Pour un brevet, tu comptes grosso modo entre 10.000 et 150.000 euros suivant la converture territoriale et les conseillers auxquels tu fais appel (il est conseillé de faire appel à un expert en écriture de brevets)
  • [^] # Re: Une petite question : License & Brevets

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Une petite question : License & Brevets. Évalué à 1.

    Je précise que les brevets ainsi déposés seraient restés libres d'accès pour les communauté (pour répondre préventivement aux posts plus haut).

    Maintenant, c'est clair que c'est clairement une restriction des libertés fondamentales du Libre (et pas compatible avec la GPL si je ne me trompe pas).
  • # Re: Une petite question : License & Brevets

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Une petite question : License & Brevets. Évalué à 3.

    Le principe des onglets est breveté, par Adobe si je me souviens bien. Je ne pense pas qu'appliqué à un navigateur il y ait une nouveauté suffisante pour que ce soit brevetable.

    Sinon, ton idée a déjà été développée par Jean-Paul Smets-Solanes en 2000 (peut-être avant, mais je l'ai pour ma part entendu en 2000). Son idée était de créer un fond commun de brevets pour protéger la communauté. Je ne sais pas ce que l'idée à donner.

    De toute façon, il faut bien se dire que (1) un brevet coûte très cher à déposer et (2) un brevet coûte encore plus cher à défendre en cas de litige. Je ne suis pas convaincu que ce soit tenable par la communauté.

    Au delà de cela, je pense que la communauté du Libre en prendrait un coup côté crédibilité, après la protestation contre la brevetabilité logicielle. Pour le public, ça ferait un fameux retournement de veste.
  • [^] # Re: DNS ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal 11 au 13 mars 2004 : Colloque "Brevet – Innovation – Intérêt général". Évalué à 1.

    Leur serveur déconne visiblement, il faut faire plusieurs reload de la page si ça ne marche pas et on a finalement la page (Sinon, je ne pense pas que ça dépende du navigateur mais je suis sous Mdk avec Konqueror).
  • [^] # Re: Microsoft brevète un format XML de traitement de texte

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Microsoft brevète un format XML de traitement de texte. Évalué à 1.

    Au vu du nombre de - que je me suis pris sur les deux posts précédents, certains n'ont pas l'air convaincu. Allez juste lire ceci (source connue dans la lutte contre les brevets logiciels) : http://swpat.ffii.org/stidi/komplex/ibm/index.en.html(...) et vous verrez que MS a probablement encore des leçons à prendre d'IBM (un gentil, grand défenseur de Linux, n'est-ce pas ? ;-) en matière de brevets, logiciels ou non !

    Et dans la foulée, il y a ça aussi : http://cloanto.com/users/mcb/19950127giflzw.html(...)
    Excellent article de synthèse retraçant la controverse CompuServe/Unisys au sujet du brevet de l'algorithme de compression LZW. On y apprend au passage que cet algorithme a été breveté plusieurs fois, par IBM (brevet US 4,814,746, claim 7) et Unisys (brevets US 4,558,302 et EP 0,129,439), alors que British Telecom possède un brevet similaire.

    PS : je n'ai rien contre IBM, c'est juste pour dire que c'est un peu idiot d'uniquement taper sur MS à propos des brevets quand les autres ne font franchement pas mieux.
  • [^] # Re: Microsoft brevète un format XML de traitement de texte

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Microsoft brevète un format XML de traitement de texte. Évalué à 0.

    Je n'ai plus le classement en tête, mais MS n'était que 3 ou 4ème. Rapporté à leur part de marché et au nombre de leurs produits, c'était encore raisonnable (comparé à d'autres). Et ne pas oublier que MS fait aussi du hard (souris, clavier, XBox,...), même si je t'accorde que ça n'est pas comparable à IBM (supercalculateurs, disques durs, etc). Ce que je voulais dire, c'est que ce ne sont pas les plus acharnés et qu'à mon avis ils ne sont pas disposer à encore payer pour des procès débiles comme Eolas !
  • # Re: Microsoft brevète un format XML de traitement de texte

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Microsoft brevète un format XML de traitement de texte. Évalué à 1.

    Au délà de ça, je pense que Microsoft cherche à se protéger d'autres fourberies, comme celle liée au projet Eolas. A la base, Microsoft n'est pas un breveteur acharné (comparaison : 3000 brevets pour IBM / an et 300 pour MS / an, de source IBM).
  • [^] # Re: Linux, fin prêt pour le desktop

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux, fin prêt pour le desktop. Évalué à 1.

    C'est effectivement de la maturité. Mais, potentiellement, ça peut conduire à de la fragmentation, si la spécialisation va "trop loin". Personnellement, je ne crois pas trop à une fragmentation, mais je ne suis pas devin non plus...

    Je suis d'accord avec toi pour les sociétés de service comme acteurs locaux (les éditeurs étant essentiellement globaux). C'est d'ailleurs sur ce plan là qu'il y a moyen de créer de l'emploi. Pour une administration, passer de Windows à Linux ne coûte pas forcément beaucoup moins cher que de mettre à jour Windows. Par contre, plutôt que de payer 100 à MS ou à un autre éditeur étranger, elle paie 100 à une SSLL locale pour faire la migration. D'un point de vue macro-économique (création d'emploi local, impôts, etc), c'est quand même mieux ! Sans compter l'importance de l'indépendance technologique.
  • [^] # Re: Linux, fin prêt pour le desktop

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux, fin prêt pour le desktop. Évalué à 2.

    > Marchés différents
    OK. Je parlais bien de spécialisation : Red Hat pour les serveurs critiques, SuSE pour les infrastructures d'entreprises, Mandrake pour les PME, etc.

    > Oubli des aspects locaux
    Non, je n'oublie pas. Red Hat est un acteur mondial, pas local. SuSE est plus local, par choix, comme ses partenaires de United Linux (un des buts : mutualisation des coûts) : Turbolinux au Japon, Connectiva au Brésil et Caldera aux USA.
    Mandrake, bien que française, est diffusé mondialement aussi.

    Ce qu'il ne faut pas oublier, c'est que pour réussir une stratégie d'édition dans ce domaine, il faut soit taper dans le haut de gamme (un peu ce que fait Red Hat depuis peu) soit taper dans de l'entrée de gamme à forte diffusion (ce que fait Mandrake). Et si tu veux une forte diffusion, tu dois t'internationaliser (car les marchés locaux sont encore restreints à l'heure actuel, donc non rentables).

    Tous les "gros" acteurs locaux en la matière sont morts en en voie de l'être : voir Connectiva, Turbolinux ou SCO pour ne citer qu'eux. Quant à SuSE, ils sont pour l'instant sauvés grâce à Novell. Sun se plantera (dispersé sur trop de fronts à la fois, dilue bêtement son énergie, cherche à ménager la chèvre Linux et le choux Solaris). Pour Mandrake, reste à voir comment il va gérer son redéploiement car son bilan est encore loin d'être brillant (le MandrakeClub est une bonne idée mais il faut du volume aussi !).

    Donc pour moi, les éditeurs doivent être mondiaux et spécialisés, tout en coopérant avec des boîtes de services. Des petits acteurs peuvent en plus travailler sur des marchés hyper-spécialisés (Progeny, par exemple, et ses distributions sur mesure). Mais avoir des grosses distributrions généralistes locales, je n'y crois pas et je n'en connais aucune qui marche commercialement (= rentable).

    Pour sortir du cadre commercial, Debian est mondialisé aussi !
  • [^] # Re: Linux, fin prêt pour le desktop

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux, fin prêt pour le desktop. Évalué à 1.

    Red Hat, aussi. Ca ne l'empêche pas de faire des produits qui marchent.
    L'annonce initiale de Lindows (qui annonçait la double compatibilité grâce à Wine) était une grosse erreur de leur part, car prématurée. SuSE a ressorti une offre de ce type (avec Crossover) il y a quelques mois et il faut rester très prudent : si ça peut être utile pour migrer en douceur certaines applications métiers, il est illusoire de vouloir tout faire fonctionner dans un système type Wine).
    Bref, c'est pas un problème de société capitaliste ou pas, c'est un problème d'effet d'annonce malheureux. Ce qui n'est pas le monopole des entreprises...
  • [^] # Re: Linux, fin prêt pour le desktop

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux, fin prêt pour le desktop. Évalué à 1.

    Les SSLL sont une sous-catégorie des SSII.
    Le terme SSLL est utilisé par les entreprises elles-mêmes (ex. : http://www.solinux.fr/(...)).
  • [^] # Re: Linux, fin prêt pour le desktop

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux, fin prêt pour le desktop. Évalué à 1.

    > Comment ne pas se fouttre de ta gueule (...)

    Hummm. Je serais plus prudent à ce propos. Les distributeurs Linux devront aller vers une forme de spécialisation pour survivre. C'est déjà une tendance lourde à l'heure actuelle. Les éditeurs commerciaux qui n'auront pas la taille critique disparaîtront. Ce sont les règles classiques de l'économie (seuil de rentabilité à atteindre, voir Red Hat par exemple). Ca ne veut pas dire que les applications seront incompatibles par exemple (il y a un intérêt des éidteurs eux-mêmes à disposer d'une base commune pour ne pas réitérer l'erreur des Unix), mais il faut être prudent sur le long terme (même si l'ouverture des sources prévient de bien des problèmes).

    Et si tu regardes déjà IBM, ils te vendent un GNU/Linux à leur sauce, mélange de soft proprio et de softs libres. Ca va à l'encontre de l'idée de base commune et ça permet, dans une certaine mesure, de rendre le client captif. Ne pas oublier que les clients d'IBM (ou de Novell ou ...) achètent une solution, pas un ensemble de logiciels.
  • [^] # Re: Linux, fin prêt pour le desktop

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux, fin prêt pour le desktop. Évalué à 1.

    Je ne crois pas trop à la fragmentation, car ça ne leur apporterait rien.

    Il y a bien un hyperchoix dans le domaine du Libre (c'est bien à cela que tu penses lorsque tu parles de fragmentation ?), mais seuls quelques éléments sont soutenus par les grands acteurs. On retrouve généralement deux environnements de bureau (Gnome et KDE), une suite bureautique (peut-être bientôt deux avec K-Office, mais il y a compatibilité de format), deux moteurs de rendu Web (Gecko et KHTML), etc.

    Je pense surtout qu'il ne va rester que quelques gros éditeurs spécialisés par marché (pour GNU/Linux : Red Hat sur les serveurs critiques, Novell sur les infrastructures d'entreprises, Mandrake sur les PME, etc) et quelques gros acteurs dans les services (un peu comme maintenant dans l'informatique proprio en fait). Tout cela n'empêchera cependant pas d'utiliser une distri communautaire ou de faire appel à une SSLL locale (ce que l'ouverture du code facilite).
  • [^] # Re: Linux, fin prêt pour le desktop

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux, fin prêt pour le desktop. Évalué à 1.

    > Lindows
    Procès Lindows : pour info, MS a quand même marqué un point en Suède. Et aux USA, je pense que le procès n'a pas encore eu lieu.
    > Excellence technique
    Il faut arrêter de croire que l'excellence technique fait tout. Novell s'est cassé la figure, car ils n'étaient pas foutu de vendre Netware. On en va pas reprocher à Microsoft de ne pas être une boîte d'ingénieur. Quant à IBM, s'ils avaient _vraiment_ soutenu OS/2...
    Ceci étant, ces pratiques, on appelle ça de l'abus de pouvoir. Mais, bon, les concurrents (Novell et Netware, IBM et son OS/2, etc) ont un peu aidé MS.
  • [^] # Re: Linux, fin prêt pour le desktop

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux, fin prêt pour le desktop. Évalué à 1.

    Un peu des deux, non :-) ?
    MS était là quand IBM avait besoin de lui, les clients ont plébiscité MS, MS en a retiré du pouvoir, le pouvoir lui a permis de contraindre dans une certaine mesure les fournisseurs de PC, la diffusion des produits MS a conduit à des contraintes de compatibilité (=> effet club), d'où choix "naturel" des clients, d'où encore plus de pouvoir pour Microsoft, etc.

    Jusquà ce que MS ne soit jeté de son piédestal par le marché et/ou la justice, comme tous les monopoleurs un jour ou l'autre (Rockfeller, IBM, Xerox, etc).
  • [^] # Re: Linux, fin prêt pour le desktop

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linux, fin prêt pour le desktop. Évalué à 1.

    Dans 80% des cas, d'accord.
    Mais si tel était le cas dans 100% des cas, le logiciel libre n'existerait pas. Je ne suis pas convaincu que Stallman ai lancé son projet par risque ou par recherche d'une récompense pécuniaire ou médiatique. Pas plus que des tonnes d'autres développeurs libres. Les gens peuvent être passionnés par un truc et faire de grandes choses ensemble. Alvin Toffler, dans sa troisième vague (ça date de 198O quand même), parlait déjà de ce prosomateur en son temps et de l'émergence d'une économie parallèle alimentée par certains loisirs actifs.