Si on est sur la forme :
– « de type Linux », pas de S à « type » (il y a une occurrence avec au début, une autre sans vers la fin),
– « beigEasse », sinon ça se prononce comme « gare » et pas comme « figea ».
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Mais il y a pleins de politique possible comme avoir un groupe de contrôle par bureau et donner une priorité au bureau courant. Ça n'a rien de compliqué à mettre en place et ça rend la machine entre un peu plus agréable.
Voilà, je vais faire mon dinomasque : AmigaOS le faisait il y a 30 ans ! (P…, ça ne me rajeunit pas !)
Sous AmigaOS, les programmes étaient des processus légers (comme des threads ; pas de MMU à l’origine), avec un multitâche préemptif.
La couche graphique, appelée Intuition, qui prenait en charge la souris, le déplacement des fenêtres et la base de l’interface graphique (enfoncement-relâchement des boutons, etc.), était un processus avec la priorité absolue sur les programmes utilisateur.
Le programme dont la fenêtre était sélectionnée avait aussi quasiment la priorité absolue sur les autres.
Au final, ça donnait une impression de grande réactivité (par rapport aux machines de l’époque, mais même encore longtemps après pour les Amiga les plus rapides), parfaitement adaptée à une utilisation personnelle (ça ne l’aurait évidemment pas été pour un serveur), sans nécessiter pour autant plus d’un thread pour l’interface graphique ou pour un logiciel.
C’était là à mon avis la plus grande qualité de l’Amiga, au delà de son interface graphique, excellente pour l’époque, mais néanmoins perfectible.
À l’opposé, les choix faits pour Unix et Linux sont clairement plus adaptés pour un serveur. C’est surtout la spectaculaire augmentation de puissance depuis l’époque de l’Amiga qui rend Linux et X.org réactifs (bien que Gnome 3 tente d’y remédier).
Tant qu’à remettre les choses à plat pour Wayland, je regrette que ses concepteurs soient allés dans le sens opposé aux choix d’AmigaOS en déléguant plus de choses aux logiciels, leur imposant quasiment d’être multithreads pour avoir une interface réactive.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
la barre de tâche située en bas de l'écran, doublée d'un menu, me semble invasive et malcommode.
Je préfère de loin ce genre d'artefact placé verticalement et à droite.
Xfce permet cela.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Je l’ai bien connu. Tu es sûr que ce n’est pas la nostalgie de ta jeunesse qui parle ?
C’était formidable pour l’époque et j’en garde un excellent souvenir, mais quand on avait lancé un certain nombre d’applications (ou ouvert un certain nombre de fenêtres de répertoires), il fallait repasser les fenêtres à l’arrière-plan une par une pour accéder à une autre recouverte et les bouger pour dégager les icônes du bureau si on avait besoin d’y accéder.
Côté Unix, les gestionnaires de fenêtres de l’époque permettaient d’icônifier les fenêtres, mais les icônes se retrouvaient sur le bureau en dessous de toutes les fenêtres non encore icônifiées, donc ce n’était pas forcément immédiat de les désicônifier. Ce n’était pas tellement génial non plus.
La « barre des tâches » toujours accessible a été un progrès réel d’un point de vue pratique (accès aux fenêtres recouvertes direct, possibilité de masquer toutes les fenêtres pour accéder au bureau), pouvoir y ajouter des « lanceurs » (terminologie Xfce, c’est la seule qui me vient) aussi (il y avait bien des logiciels de dock pour Amiga, mais recouvrables par les autres fenêtres et assez encombrants sur les petits écrans de l’époque), et les bureaux multiples aussi (l’Amiga permettait les écrans virtuels multiples, ce qui était révolutionnaire à l’époque, mais pas pour le bureau, uniquement pour les logiciels qui en faisaient eux-mêmes l’usage).
Nous avons eu la chance sous Linux d’avoir des environnements de bureau qui ont intégré toutes ces améliorations.
Compliquer l’accès aux autres applications et aux bureaux multiples comme le fait Gnome 3 (en tout cas par défaut) est pour moi simplement une régression. Après, sur une petite tablette voire un téléphone où l’on pointe avec de gros doigts, je comprends bien qu’il faille une autre interface, mais pour un ordinateur de bureau…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Je suis d'accord. Mais c'est ennuyeux de devoir récupérer un gestionnaire de fichiers tiers et le greffer dans Xfce :(
Pourquoi ? C’est même proposé dans les paramètres.
Ce n’est pas non plus comme utiliser une application KDE qui induit le lancement d’un tas de trucs de KDE en tâche de fond, ou une application Gnome qui s’intègre mal.
L’intérêt d’utiliser un environnement de bureau « normal », c’est bien d’avoir de la souplesse au niveau du choix des applications.
Pour ma part, j’utilise Xfce comme environnement, mais xterm comme terminal, pluma comma éditeur simple, atril comme visionneuse PDF (et autres), geeqie comme visionneuse d’images…
Comme à la bonne époque où les environnements n’imposaient pas leurs applications, et les applications leur environnement. Hors de Gnome et KDE, on a encore la liberté de choix.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Xfce 4.12 semble tourner au ralenti actuellement avec un crash intempestif de Thunar dans certaines conditions.
Normalement, il est possible de choisir un gestionnaire de fichiers différent avec Xfce, par exemple Caja (celui de MATE) ou PCManFM (celui de LXDE). Paramètres/Applications favorites est censé gérer cela.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Bien joué !
On s’attendait à un (éventuel) poisson concernant le site, pas les relations entre les modérateurs.
Vous aurez du mal à trouver aussi original pour la prochaine fois, avec moins d’effet de surprise (LinuxFr n’avait pas eu de poisson pendant plusieurs années).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Allez savoir pourquoi, la motivation est revenue avec quelques préparations houblonnées, et nous avons orchestré une guerre de modération en ce premier avril 2016 qui combinait le vendredi jour de débats argumentés, la tradition du poisson et la chance du vendredi 13.
Bien joué ! On s’attendait à un éventuel poisson concernant le site, pas les relations entre les modérateurs.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Alors quand on épluche un peu l’article et le graphique, on voit qu’en fait :
– le nombre de développeurs utilisant Linux est en légère augmentation (donc contrairement à ce que le titre incite à croire, les développeurs ne se détournent pas de Linux pour aller sur MacOS X ; enfin il n’en part pas plus qu’il n’en arrive) ;
– celui des développeurs de Mac OS X croit au dépens de celui des développeurs utilisant Windows ;
– celui des développeurs utilisant Windows reste malgré cela nettement majoritaire (leur graphique sépare chaque version de Windows et classe Windows 10 dans « autres » ! du coup Mac OS X paraît devant…).
Leur article a beau affirmer gratuitement qu’« il n'est plus nécessaire de développer à partir d'un OS spécifique pour s'exprimer sans contrainte », il faut bien des gens sous Windows pour développer les logiciels commerciaux natifs qui abondent sur ce système…
Donc un titre biaisé contre Linux et une analyse biaisée en faveur de MacOS X (par rapport à Windows et Linux), le tout ponctué de perspectives discutables. Du grand journalisme…
Si au moins les données qui ont servi à faire le graphique sont vraies, je trouve que Linux s’en sort très bien, avec 21 % de développeurs, en légère augmentation, alors qu’il n’est crédité par ailleurs que de quelques pourcents d’utilisateurs.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Historiquement, LinuxFr.org traite l'actualité du Logiciel Libre, et incluait une tradition sur le cinéma. Incluait, car personne n'a osé proposer une dépêche sur le sujet depuis quelques années.
Elle perdure encore un peu dans les journaux.
Il y a aussi la tradition de la rubrique nécrologique, principalement dans les journaux, qui survit (!) aussi.
Plus globalement, l’idée du HS était de discuter entre passionnés d’informatique libre d’autres sujets. Ce serait bien dommage de perdre cette possibilité. J’aime bien les journaux sur le cinéma, les livres, la rubrique nécrologique (même si ça pourrait paraître curieux à certains ; c’est l’occasion d’évoquer des gens qui ont laissé une trace dans l’informatique voire la musique ou la littérature), et les discussions politiques (j’ai même apprécié deux ou trois journaux politiques récents de Zenitram, contrairement à ses nombreux commentaires énervants dans le style « saloperie de réalité, Je détiens La Vérité et vous êtes tous des idiots »).
Cela dit, si LinuxFr est envahi de trolleurs sans intérêt pour le logiciel libre qui viennent juste pour « vendre leur soupe » ou pourrir l’ambiance, c’est un réel problème, dont je n’ai pas la solution.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
En tous cas il est important de savoir qu'on peut quasiment choisir le lieu de l'hébergement, et que c'est pas un critère anodin, c'est vrai.
L’endroit où est basée la société est important aussi. Compte tenu justement du Patriot Act, il n’est pas évident pour une société américaine de refuser aux agences américaines l’accès aux données situées sur ses serveurs à l’étranger.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
À mon sens, ce n’est pas un avantage. Si je voulais un serveur (dédié ou virtuel), je souhaiterais justement qu’il ne soit pas hébergé dans un pays ayant légalisé la surveillance de masse (et que la société n’y soit pas basée non plus).
En attendant que les hébergeurs français tiennent la promesse qu’ils avaient faite de partir si la loi passait, quelqu’un connaît-il des fournisseurs fiables (par rapport au respect de la vie privée) en Suède (ou dans un autre pays qui respecte encore la vie privée… s’il y en a) ?
Je pourrais envisager de m’y monter un serveur mail (ce qui me freine étant qu’il faudrait que je convainque mes correspondants de déménager leur mail aussi pour que ça serve à quelque chose)…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
L'idée sous-jacente à ma question est de répondre au fameux proverbe "C'est l'année de Linux sur le desktop!"
À l'époque de la création de ce proverbe, on disait "desktop" en équivalent à "pour Mme Michu".
Le nombre de smartphones a dépassé le nombre d'ordinateurs. Pour les personnes possédant aussi bien un smartphone qu'un ordinateur, l'usage de l'ordinateur diminue au profit de celui du smartphone.
Pour moi, « desktop », c’est l’ordinateur de bureau (à la rigueur l’ordinateur portable), pas le téléphone.
Après, Linux est-il prêt pour le « desktop », à mon avis oui, ça fait longtemps que je l’utilise sur mon ordinateur, même pour les tâches de bureautique. Au contraire, Windows ne permet même pas la frappe des majuscules accentuées (raisonnablement ; maintenir Alt et taper au moins trois chiffres…), il n’est manifestement pas prêt pour le bureau.
Dans la formule « Linux sur le desktop », la question est plutôt « est-ce que le péquin moyen est prêt pour Linux sur son ordinateur ? » et là… Mais bon, l’avis du péquin moyen est loin d’être un indicateur fiable de qualité (il n’y a qu’à voir les trois partis politiques qui récoltent le plus de voix en France…).
Sinon, sur la question « Android est-il un Linux ? », Android a un noyau Linux, mais quand j’utilise le terme Linux pour un système, je parle plutôt d’un système de type Unix utilisant le noyau Linux et permettant de faire tourner les logiciels prévus pour Unix. Je n’ai pas l’impression qu’Android permette ça sans efforts importants ; cela dit, je n’ai pas essayé : je n’ai pas encore de spyphone…
Là, accessoirement, on atteint la question de système loyal, c’est-à-dire qui ne raconte pas ta vie à son papa, ami de Mᵐᵉ NSA. Pour autant que je sache, GNU/Linux en est un, Android et Windows 10, clairement pas. C’est pour moi une différence majeure, plus importante que de savoir si on peut qualifier Android de système Linux ou pas.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Peut-être ont-ils trop compté sur Microsoft pour écrire le pilote.
Ou peut-être le raisonnement est-il que si les gens ont payé un nouveau Windows plus lourd, il peuvent bien payer une nouvelle imprimante…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Avec Le Crédit Lyonnais (je sais, ils ont changé de nom pour faire oublier leurs casseroles), l’interface, ça va.
Par contre, ils ont réussi à faire un Javascript pourri qui bloque le navigateur à chaque action pendant plusieurs minutes (avec Firefox/Seamonkey, je suppose que ça marche avec les navigateurs Microsoft : il y a ActiveX dans les noms de fonctions appelées).
Bon, ça pourrait être pire, ça pourrait être mon compte principal…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
C’est bizarre, je ne suis pas étonné.
J’en connais d’autres qui ont eu du matériel Canon (notamment un scanner haut de gamme avec chargeur automatique).
Pour résumer, pour un pilote Linux, tu peux aller te faire voir (ils ne communiquent pas les spécifications et trop de travail peut être confié au pilote pour que quelqu’un puisse raisonnablement en faire un par rétro-ingénierie) ; pour un pilote pour une nouvelle version de Windows alors que le modèle n’est plus fabriqué, tu peux aller te faire voir aussi.
Si tu veux utiliser ton périphérique sous Linux ou sous une future version de Windows, le plus simple est… d’acheter une autre marque !
Cela dit, ce n’est pas la seule marque à avoir ce type de comportement. J’ai vu le cas d’un contrôleur RAID Adaptec acheté à l’époque de Windows NT 4. Un peu après, Adaptec a racheté un fabricant de contrôleurs RAID plus performants et a arrêté les modèles qu’ils fabriquaient avant. Les pigeons qui en ont acheté ont pu aller se faire voir aussi : quand le Service Pack 3 est sorti, le pilote n’était pas compatible avec et il n’y en a pas eu de nouvelle version pour autant (et là, il ne s’agissait que de continuer le support pour le système de l’époque où il a été acheté, et pour un produit professionnel).
Moralité : prendre une marque qui facilite le support sous Linux donne au moins de bonnes chances de pouvoir utiliser son périphérique sous Linux. Il y a aussi d’assez bonnes chances qu’une marque qui fait ce genre d’efforts en fasse aussi pour les acheteurs d’anciens modèles qui sont sous Windows. C’est le choix de satisfaire l’acheteur en espérant le fidéliser pour ses achats ultérieurs, plutôt que de l’obliger à changer de matériel tout de suite en espérant qu’il soit assez bête pour racheter la même marque.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Je l'ai utilisé pendant un moment, les résultats ne sont pas terrible.
Ben normalement, ce sont les mêmes que sur Google sans ciblage. Donc la popularité passe avant ta requête exacte, ce qui te rend parfois des résultats médiocres.
En un sens, le ciblage est une façon de contourner le défaut de l’algorithme pagerank.
Je te conseillerais bien Ixquick, un méta-moteur sur d’autres moteurs de recherche que Google, fait par les mêmes que Startpage, mais j’ai l’impression que les autres moteurs de recherche se sont inspirés de Google au niveau de leur algorithme et que les résultats ne sont pas bien différents.
Normalement le champ « Tous ces mots » de la recherche avancée permet d’avoir des résultats correspondant plus à la requête (et moins à la mode) que la recherche de base.
Cela dit, je ne sais pas quel problème tu as exactement avec les résultats, donc ce n’est peut-être pas la solution que tu attends.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Et je trouve horrible ce ciblage qui fait qu'après avoir regardé une vidéos du bazar du grenier, il devient impossible de trouver la dernière vidéos documentaire Arte de "le dessous des cartes" juste parce que la chaîne du grenier a aussi des vidéos intitulé "dessous des cartes" (jeux vidéos).
Cela dit, en utilisant Startpage (un proxy anonymisant sur Google), tu devrais échapper au ciblage.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
La cerise sur le gâteau, c’est ceux qui mettent en lien une recherche sur Google…
Ça n’était déjà pas vraiment viable avant le profilage, où une recherche donnait le même résultat pour tout le monde à un même instant, mais potentiellement un résultat différent quelques jours plus tard.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Forme
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Linux sur le bureau : combien de régressions ?. Évalué à 3.
Si on est sur la forme :
– « de type Linux », pas de S à « type » (il y a une occurrence avec au début, une autre sans vers la fin),
– « beigEasse », sinon ça se prononce comme « gare » et pas comme « figea ».
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # AmigaOS le faisait déjà il y a 30 ans !
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de Mate Desktop Environment 1.14. Évalué à 3.
Voilà, je vais faire mon dinomasque : AmigaOS le faisait il y a 30 ans ! (P…, ça ne me rajeunit pas !)
Sous AmigaOS, les programmes étaient des processus légers (comme des threads ; pas de MMU à l’origine), avec un multitâche préemptif.
La couche graphique, appelée Intuition, qui prenait en charge la souris, le déplacement des fenêtres et la base de l’interface graphique (enfoncement-relâchement des boutons, etc.), était un processus avec la priorité absolue sur les programmes utilisateur.
Le programme dont la fenêtre était sélectionnée avait aussi quasiment la priorité absolue sur les autres.
Au final, ça donnait une impression de grande réactivité (par rapport aux machines de l’époque, mais même encore longtemps après pour les Amiga les plus rapides), parfaitement adaptée à une utilisation personnelle (ça ne l’aurait évidemment pas été pour un serveur), sans nécessiter pour autant plus d’un thread pour l’interface graphique ou pour un logiciel.
C’était là à mon avis la plus grande qualité de l’Amiga, au delà de son interface graphique, excellente pour l’époque, mais néanmoins perfectible.
À l’opposé, les choix faits pour Unix et Linux sont clairement plus adaptés pour un serveur. C’est surtout la spectaculaire augmentation de puissance depuis l’époque de l’Amiga qui rend Linux et X.org réactifs (bien que Gnome 3 tente d’y remédier).
Tant qu’à remettre les choses à plat pour Wayland, je regrette que ses concepteurs soient allés dans le sens opposé aux choix d’AmigaOS en déléguant plus de choses aux logiciels, leur imposant quasiment d’être multithreads pour avoir une interface réactive.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Déjà fait
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Ce logiciel qui choisit ta fac. Évalué à 5.
Comme ça ?
Tu arrives légèrement après la bataille…
Ça n’empêche pas qu’à une période où l’on doit faire venir des médecins de l’étranger, relever le numerus clausus ne serait pas une mauvaise idée.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Barre à droite (non, ça ne parle pas du gouvernement)
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de Mate Desktop Environment 1.14. Évalué à 8.
Xfce permet cela.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Nostalgie de ta jeunesse ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de Mate Desktop Environment 1.14. Évalué à 10.
Je l’ai bien connu. Tu es sûr que ce n’est pas la nostalgie de ta jeunesse qui parle ?
C’était formidable pour l’époque et j’en garde un excellent souvenir, mais quand on avait lancé un certain nombre d’applications (ou ouvert un certain nombre de fenêtres de répertoires), il fallait repasser les fenêtres à l’arrière-plan une par une pour accéder à une autre recouverte et les bouger pour dégager les icônes du bureau si on avait besoin d’y accéder.
Côté Unix, les gestionnaires de fenêtres de l’époque permettaient d’icônifier les fenêtres, mais les icônes se retrouvaient sur le bureau en dessous de toutes les fenêtres non encore icônifiées, donc ce n’était pas forcément immédiat de les désicônifier. Ce n’était pas tellement génial non plus.
La « barre des tâches » toujours accessible a été un progrès réel d’un point de vue pratique (accès aux fenêtres recouvertes direct, possibilité de masquer toutes les fenêtres pour accéder au bureau), pouvoir y ajouter des « lanceurs » (terminologie Xfce, c’est la seule qui me vient) aussi (il y avait bien des logiciels de dock pour Amiga, mais recouvrables par les autres fenêtres et assez encombrants sur les petits écrans de l’époque), et les bureaux multiples aussi (l’Amiga permettait les écrans virtuels multiples, ce qui était révolutionnaire à l’époque, mais pas pour le bureau, uniquement pour les logiciels qui en faisaient eux-mêmes l’usage).
Nous avons eu la chance sous Linux d’avoir des environnements de bureau qui ont intégré toutes ces améliorations.
Compliquer l’accès aux autres applications et aux bureaux multiples comme le fait Gnome 3 (en tout cas par défaut) est pour moi simplement une régression. Après, sur une petite tablette voire un téléphone où l’on pointe avec de gros doigts, je comprends bien qu’il faille une autre interface, mais pour un ordinateur de bureau…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Liberté de choix
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de Mate Desktop Environment 1.14. Évalué à 10.
Pourquoi ? C’est même proposé dans les paramètres.
Ce n’est pas non plus comme utiliser une application KDE qui induit le lancement d’un tas de trucs de KDE en tâche de fond, ou une application Gnome qui s’intègre mal.
L’intérêt d’utiliser un environnement de bureau « normal », c’est bien d’avoir de la souplesse au niveau du choix des applications.
Pour ma part, j’utilise Xfce comme environnement, mais xterm comme terminal, pluma comma éditeur simple, atril comme visionneuse PDF (et autres), geeqie comme visionneuse d’images…
Comme à la bonne époque où les environnements n’imposaient pas leurs applications, et les applications leur environnement. Hors de Gnome et KDE, on a encore la liberté de choix.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Gestionnaire de fichiers
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de Mate Desktop Environment 1.14. Évalué à 6.
Normalement, il est possible de choisir un gestionnaire de fichiers différent avec Xfce, par exemple Caja (celui de MATE) ou PCManFM (celui de LXDE). Paramètres/Applications favorites est censé gérer cela.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # C’est une question de distribution
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche LibreSSL 2.3.3. Évalué à 6.
Void est passé à LibreSSL par défaut.
Après, c’est un choix de chaque distribution de rester avec OpenSSL ou de passer à LibreSSL (et quand)…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Le poisson d’avril est mort
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal LinuxFr.org n'aime pas discuter du hors sujet [titre réécrit]. Évalué à 2. Dernière modification le 03 avril 2016 à 14:15.
Bien joué !
On s’attendait à un (éventuel) poisson concernant le site, pas les relations entre les modérateurs.
Vous aurez du mal à trouver aussi original pour la prochaine fois, avec moins d’effet de surprise (LinuxFr n’avait pas eu de poisson pendant plusieurs années).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Bien joué !
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Poissons d'avril de 2016. Évalué à 5.
Bien joué ! On s’attendait à un éventuel poisson concernant le site, pas les relations entre les modérateurs.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# LinuxFr
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Où est le "vrai Linux"?. Évalué à 7.
Linux, c’est ce que nous faisons, parce que Linux, c’est faire.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Les développeurs désormais plus friands d'OS X que de Linux… d’après ZDNet
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Revue de presse de l'April pour la semaine 12 de l'année 2016. Évalué à 5. Dernière modification le 01 avril 2016 à 21:57.
Alors quand on épluche un peu l’article et le graphique, on voit qu’en fait :
– le nombre de développeurs utilisant Linux est en légère augmentation (donc contrairement à ce que le titre incite à croire, les développeurs ne se détournent pas de Linux pour aller sur MacOS X ; enfin il n’en part pas plus qu’il n’en arrive) ;
– celui des développeurs de Mac OS X croit au dépens de celui des développeurs utilisant Windows ;
– celui des développeurs utilisant Windows reste malgré cela nettement majoritaire (leur graphique sépare chaque version de Windows et classe Windows 10 dans « autres » ! du coup Mac OS X paraît devant…).
Leur article a beau affirmer gratuitement qu’« il n'est plus nécessaire de développer à partir d'un OS spécifique pour s'exprimer sans contrainte », il faut bien des gens sous Windows pour développer les logiciels commerciaux natifs qui abondent sur ce système…
Donc un titre biaisé contre Linux et une analyse biaisée en faveur de MacOS X (par rapport à Windows et Linux), le tout ponctué de perspectives discutables. Du grand journalisme…
Si au moins les données qui ont servi à faire le graphique sont vraies, je trouve que Linux s’en sort très bien, avec 21 % de développeurs, en légère augmentation, alors qu’il n’est crédité par ailleurs que de quelques pourcents d’utilisateurs.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Le poisson d’avril est mort (et personne n’en a acheté un autre chez le marchand pour le remplacer)
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal LinuxFr.org n'aime pas discuter du hors sujet [titre réécrit]. Évalué à 3.
S’il y a une chose qui a disparu de LinuxFr depuis plusieurs années, c’est bien le poisson d’avril.
C’est triste de vieillir…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Cloud ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Son propre cloud à pas cher. Évalué à 5.
J’aurais plutôt dit « nébuleux »… ;-)
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Traditions du HS
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal LinuxFr.org n'aime pas discuter du hors sujet [titre réécrit]. Évalué à 8.
Elle perdure encore un peu dans les journaux.
Il y a aussi la tradition de la rubrique nécrologique, principalement dans les journaux, qui survit (!) aussi.
Plus globalement, l’idée du HS était de discuter entre passionnés d’informatique libre d’autres sujets. Ce serait bien dommage de perdre cette possibilité. J’aime bien les journaux sur le cinéma, les livres, la rubrique nécrologique (même si ça pourrait paraître curieux à certains ; c’est l’occasion d’évoquer des gens qui ont laissé une trace dans l’informatique voire la musique ou la littérature), et les discussions politiques (j’ai même apprécié deux ou trois journaux politiques récents de Zenitram, contrairement à ses nombreux commentaires énervants dans le style « saloperie de réalité, Je détiens La Vérité et vous êtes tous des idiots »).
Cela dit, si LinuxFr est envahi de trolleurs sans intérêt pour le logiciel libre qui viennent juste pour « vendre leur soupe » ou pourrir l’ambiance, c’est un réel problème, dont je n’ai pas la solution.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Pays
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Son propre cloud à pas cher. Évalué à 5.
L’endroit où est basée la société est important aussi. Compte tenu justement du Patriot Act, il n’est pas évident pour une société américaine de refuser aux agences américaines l’accès aux données situées sur ses serveurs à l’étranger.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Pays
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Son propre cloud à pas cher. Évalué à 10.
À mon sens, ce n’est pas un avantage. Si je voulais un serveur (dédié ou virtuel), je souhaiterais justement qu’il ne soit pas hébergé dans un pays ayant légalisé la surveillance de masse (et que la société n’y soit pas basée non plus).
En attendant que les hébergeurs français tiennent la promesse qu’ils avaient faite de partir si la loi passait, quelqu’un connaît-il des fournisseurs fiables (par rapport au respect de la vie privée) en Suède (ou dans un autre pays qui respecte encore la vie privée… s’il y en a) ?
Je pourrais envisager de m’y monter un serveur mail (ce qui me freine étant qu’il faudrait que je convainque mes correspondants de déménager leur mail aussi pour que ça serve à quelque chose)…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# « Desktop », Linux, Android…
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Où est le "vrai Linux"?. Évalué à 6.
Pour moi, « desktop », c’est l’ordinateur de bureau (à la rigueur l’ordinateur portable), pas le téléphone.
Après, Linux est-il prêt pour le « desktop », à mon avis oui, ça fait longtemps que je l’utilise sur mon ordinateur, même pour les tâches de bureautique. Au contraire, Windows ne permet même pas la frappe des majuscules accentuées (raisonnablement ; maintenir Alt et taper au moins trois chiffres…), il n’est manifestement pas prêt pour le bureau.
Dans la formule « Linux sur le desktop », la question est plutôt « est-ce que le péquin moyen est prêt pour Linux sur son ordinateur ? » et là… Mais bon, l’avis du péquin moyen est loin d’être un indicateur fiable de qualité (il n’y a qu’à voir les trois partis politiques qui récoltent le plus de voix en France…).
Sinon, sur la question « Android est-il un Linux ? », Android a un noyau Linux, mais quand j’utilise le terme Linux pour un système, je parle plutôt d’un système de type Unix utilisant le noyau Linux et permettant de faire tourner les logiciels prévus pour Unix. Je n’ai pas l’impression qu’Android permette ça sans efforts importants ; cela dit, je n’ai pas essayé : je n’ai pas encore de spyphone…
Là, accessoirement, on atteint la question de système loyal, c’est-à-dire qui ne raconte pas ta vie à son papa, ami de Mᵐᵉ NSA. Pour autant que je sache, GNU/Linux en est un, Android et Windows 10, clairement pas. C’est pour moi une différence majeure, plus importante que de savoir si on peut qualifier Android de système Linux ou pas.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Trop « humain » ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Microsoft muselle son robot devenu nazi en 24 heures. Évalué à 6.
Connerie naturelle ✔
Intelligence artificielle…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Toutes les marques ne sont pas égales
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche ReactOS 0.4.0. Évalué à 2.
Peut-être ont-ils trop compté sur Microsoft pour écrire le pilote.
Ou peut-être le raisonnement est-il que si les gens ont payé un nouveau Windows plus lourd, il peuvent bien payer une nouvelle imprimante…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Il n’y a pas que l’interface dans la vie
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Les interfaces tablettes. Évalué à 2.
Avec Le Crédit Lyonnais (je sais, ils ont changé de nom pour faire oublier leurs casseroles), l’interface, ça va.
Par contre, ils ont réussi à faire un Javascript pourri qui bloque le navigateur à chaque action pendant plusieurs minutes (avec Firefox/Seamonkey, je suppose que ça marche avec les navigateurs Microsoft : il y a ActiveX dans les noms de fonctions appelées).
Bon, ça pourrait être pire, ça pourrait être mon compte principal…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Toutes les marques ne sont pas égales
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche ReactOS 0.4.0. Évalué à 10.
C’est bizarre, je ne suis pas étonné.
J’en connais d’autres qui ont eu du matériel Canon (notamment un scanner haut de gamme avec chargeur automatique).
Pour résumer, pour un pilote Linux, tu peux aller te faire voir (ils ne communiquent pas les spécifications et trop de travail peut être confié au pilote pour que quelqu’un puisse raisonnablement en faire un par rétro-ingénierie) ; pour un pilote pour une nouvelle version de Windows alors que le modèle n’est plus fabriqué, tu peux aller te faire voir aussi.
Si tu veux utiliser ton périphérique sous Linux ou sous une future version de Windows, le plus simple est… d’acheter une autre marque !
Cela dit, ce n’est pas la seule marque à avoir ce type de comportement. J’ai vu le cas d’un contrôleur RAID Adaptec acheté à l’époque de Windows NT 4. Un peu après, Adaptec a racheté un fabricant de contrôleurs RAID plus performants et a arrêté les modèles qu’ils fabriquaient avant. Les pigeons qui en ont acheté ont pu aller se faire voir aussi : quand le Service Pack 3 est sorti, le pilote n’était pas compatible avec et il n’y en a pas eu de nouvelle version pour autant (et là, il ne s’agissait que de continuer le support pour le système de l’époque où il a été acheté, et pour un produit professionnel).
Moralité : prendre une marque qui facilite le support sous Linux donne au moins de bonnes chances de pouvoir utiliser son périphérique sous Linux. Il y a aussi d’assez bonnes chances qu’une marque qui fait ce genre d’efforts en fasse aussi pour les acheteurs d’anciens modèles qui sont sous Windows. C’est le choix de satisfaire l’acheteur en espérant le fidéliser pour ses achats ultérieurs, plutôt que de l’obliger à changer de matériel tout de suite en espérant qu’il soit assez bête pour racheter la même marque.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Startpage
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Google Stop. Évalué à 2.
Ben normalement, ce sont les mêmes que sur Google sans ciblage. Donc la popularité passe avant ta requête exacte, ce qui te rend parfois des résultats médiocres.
En un sens, le ciblage est une façon de contourner le défaut de l’algorithme pagerank.
Je te conseillerais bien Ixquick, un méta-moteur sur d’autres moteurs de recherche que Google, fait par les mêmes que Startpage, mais j’ai l’impression que les autres moteurs de recherche se sont inspirés de Google au niveau de leur algorithme et que les résultats ne sont pas bien différents.
Normalement le champ « Tous ces mots » de la recherche avancée permet d’avoir des résultats correspondant plus à la requête (et moins à la mode) que la recherche de base.
Cela dit, je ne sais pas quel problème tu as exactement avec les résultats, donc ce n’est peut-être pas la solution que tu attends.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Startpage
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Google Stop. Évalué à 2.
Cela dit, en utilisant Startpage (un proxy anonymisant sur Google), tu devrais échapper au ciblage.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Vision "corporations are evil" ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Google Stop. Évalué à 2.
La cerise sur le gâteau, c’est ceux qui mettent en lien une recherche sur Google…
Ça n’était déjà pas vraiment viable avant le profilage, où une recherche donnait le même résultat pour tout le monde à un même instant, mais potentiellement un résultat différent quelques jours plus tard.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone