Mais oui, j'avais oublié Ubuntu, dans le genre crapware sur dépôts officiels. :(
Des exemples ?
Tu dis qu’il y a des crapwares, d’autres que non (et je ne suis pas extrêmement familier avec Ubuntu et le contenu de ses dépôts). Le plus simple est que tu donnes des exemples de ce que tu considères comme crapware et qui est sur les dépôts d’Ubuntu.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Soit un mec qui essaie d’utiliser des cartes de crédit volées, soit simplement quelqu’un qui a pris le max de carte de crédits qu’il a pu et les a toutes grillées en achetant du matos informatique qui de nos jours ne vaut plus un radis (je l’imagine en train d’essayer d’échapper aux huissiers avec son matos dans les bras…).
Quoiqu’il en soit, vu de trois quarts arrière, on ne peut pas le reconnaître, personne ne le prendra pour un sale pirate en le croisant dans la rue.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Sous LibreOffice, Grammalecte rate aussi la première et détecte la seconde comme un accord de nombre erroné : « rouge » devrait être au singulier.
LanguageTool signale pour la première que « et » n’est pas un verbe, et pour la seconde que « son » et « rouges » ne semblent pas bien accordés en nombre.
Si j’ajoute un S à « son » ou que je supprime celui de « rouges », les deux correcteurs sont satisfaits.
Cela dit, peut-être ces exemples ne sont-ils pas faciles pour un correcteur automatique (« rouge » est aussi un nom commun). À l’usage, il m’a semblé qu’ils détectent plutôt bien les fautes d’accord et pour le reste, je ne sais pas vraiment (je pense faire surtout des fautes de frappe ou d’accord).
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En l'occurrence, le serveur sun de pépé, je suis à peu près sur qu'il faisait tourner plus d'un service, et ca je suis pas sûr que ça soit tres unix, ni top moumoute pour la dispo.
La dispo, ça allait… une fois que tu en avais viré les utilisateurs, ce qui demandait éventuellement d’obtenir d’abord un serveur supplémentaire dédié — et à ce stade, on avait déjà changé d’époque. Ben oui, à l’époque de papy, les serveurs étaient chers, alors il fallait les rentabiliser ; le serveur NIS, NFS, etc. servait aussi de serveur de calcul.
Bon, ce n’était probablement pas pareil dans les grosses structures, mais il y avait plus de petites structures autonomes (sur le plan informatique) à l’époque. D’un autre côté, un réseau à 10 Mb/s non commuté n’incitait pas à faire de grosses structures…
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Par contre, il a des destructeurs. J’espère donc qu’il supplantera Ruby.
Cela dit, la mention d’un garbage collector sans précision sur son fonctionnement est un peu inquiétante, pas seulement pour le fonctionnement des destructeurs. Enfin peut-être celui-ci (voire celui de Ruby) fonctionne-t-il mieux que ce que j’ai eu l’occasion de voir avec d’autres langages (pas de libération de mémoire quand on en manque, lancement éventuel du garbage collector… au moment où l’en aurait besoin de performances).
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Ce qui fait qu'il y a que ~5 thèmes pour le moment au total qui sont utilisables…
Saurais-tu où les trouver ?
J’ai l’intention de faire un thème avec les mêmes couleurs que mon thème Gtk 2, mais ce serait plus facile en partant d’un thème fonctionnel (et pas le thème par défaut qui n’a plus de fichiers)…
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Personnellement, le seul truc qui a réglé mes problèmes de transpiration a été mon changement de régime alimentaire. Je transpire encore, mais beacoup moins, et ça sent aussi moins fort.
Ah ???
Là, tu m’interpelles.
Quels sont les aliments qui font transpirer ?
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Si on est sur la forme :
– « de type Linux », pas de S à « type » (il y a une occurrence avec au début, une autre sans vers la fin),
– « beigEasse », sinon ça se prononce comme « gare » et pas comme « figea ».
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Mais il y a pleins de politique possible comme avoir un groupe de contrôle par bureau et donner une priorité au bureau courant. Ça n'a rien de compliqué à mettre en place et ça rend la machine entre un peu plus agréable.
Voilà, je vais faire mon dinomasque : AmigaOS le faisait il y a 30 ans ! (P…, ça ne me rajeunit pas !)
Sous AmigaOS, les programmes étaient des processus légers (comme des threads ; pas de MMU à l’origine), avec un multitâche préemptif.
La couche graphique, appelée Intuition, qui prenait en charge la souris, le déplacement des fenêtres et la base de l’interface graphique (enfoncement-relâchement des boutons, etc.), était un processus avec la priorité absolue sur les programmes utilisateur.
Le programme dont la fenêtre était sélectionnée avait aussi quasiment la priorité absolue sur les autres.
Au final, ça donnait une impression de grande réactivité (par rapport aux machines de l’époque, mais même encore longtemps après pour les Amiga les plus rapides), parfaitement adaptée à une utilisation personnelle (ça ne l’aurait évidemment pas été pour un serveur), sans nécessiter pour autant plus d’un thread pour l’interface graphique ou pour un logiciel.
C’était là à mon avis la plus grande qualité de l’Amiga, au delà de son interface graphique, excellente pour l’époque, mais néanmoins perfectible.
À l’opposé, les choix faits pour Unix et Linux sont clairement plus adaptés pour un serveur. C’est surtout la spectaculaire augmentation de puissance depuis l’époque de l’Amiga qui rend Linux et X.org réactifs (bien que Gnome 3 tente d’y remédier).
Tant qu’à remettre les choses à plat pour Wayland, je regrette que ses concepteurs soient allés dans le sens opposé aux choix d’AmigaOS en déléguant plus de choses aux logiciels, leur imposant quasiment d’être multithreads pour avoir une interface réactive.
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la barre de tâche située en bas de l'écran, doublée d'un menu, me semble invasive et malcommode.
Je préfère de loin ce genre d'artefact placé verticalement et à droite.
Xfce permet cela.
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Je l’ai bien connu. Tu es sûr que ce n’est pas la nostalgie de ta jeunesse qui parle ?
C’était formidable pour l’époque et j’en garde un excellent souvenir, mais quand on avait lancé un certain nombre d’applications (ou ouvert un certain nombre de fenêtres de répertoires), il fallait repasser les fenêtres à l’arrière-plan une par une pour accéder à une autre recouverte et les bouger pour dégager les icônes du bureau si on avait besoin d’y accéder.
Côté Unix, les gestionnaires de fenêtres de l’époque permettaient d’icônifier les fenêtres, mais les icônes se retrouvaient sur le bureau en dessous de toutes les fenêtres non encore icônifiées, donc ce n’était pas forcément immédiat de les désicônifier. Ce n’était pas tellement génial non plus.
La « barre des tâches » toujours accessible a été un progrès réel d’un point de vue pratique (accès aux fenêtres recouvertes direct, possibilité de masquer toutes les fenêtres pour accéder au bureau), pouvoir y ajouter des « lanceurs » (terminologie Xfce, c’est la seule qui me vient) aussi (il y avait bien des logiciels de dock pour Amiga, mais recouvrables par les autres fenêtres et assez encombrants sur les petits écrans de l’époque), et les bureaux multiples aussi (l’Amiga permettait les écrans virtuels multiples, ce qui était révolutionnaire à l’époque, mais pas pour le bureau, uniquement pour les logiciels qui en faisaient eux-mêmes l’usage).
Nous avons eu la chance sous Linux d’avoir des environnements de bureau qui ont intégré toutes ces améliorations.
Compliquer l’accès aux autres applications et aux bureaux multiples comme le fait Gnome 3 (en tout cas par défaut) est pour moi simplement une régression. Après, sur une petite tablette voire un téléphone où l’on pointe avec de gros doigts, je comprends bien qu’il faille une autre interface, mais pour un ordinateur de bureau…
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Je suis d'accord. Mais c'est ennuyeux de devoir récupérer un gestionnaire de fichiers tiers et le greffer dans Xfce :(
Pourquoi ? C’est même proposé dans les paramètres.
Ce n’est pas non plus comme utiliser une application KDE qui induit le lancement d’un tas de trucs de KDE en tâche de fond, ou une application Gnome qui s’intègre mal.
L’intérêt d’utiliser un environnement de bureau « normal », c’est bien d’avoir de la souplesse au niveau du choix des applications.
Pour ma part, j’utilise Xfce comme environnement, mais xterm comme terminal, pluma comma éditeur simple, atril comme visionneuse PDF (et autres), geeqie comme visionneuse d’images…
Comme à la bonne époque où les environnements n’imposaient pas leurs applications, et les applications leur environnement. Hors de Gnome et KDE, on a encore la liberté de choix.
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Xfce 4.12 semble tourner au ralenti actuellement avec un crash intempestif de Thunar dans certaines conditions.
Normalement, il est possible de choisir un gestionnaire de fichiers différent avec Xfce, par exemple Caja (celui de MATE) ou PCManFM (celui de LXDE). Paramètres/Applications favorites est censé gérer cela.
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Bien joué !
On s’attendait à un (éventuel) poisson concernant le site, pas les relations entre les modérateurs.
Vous aurez du mal à trouver aussi original pour la prochaine fois, avec moins d’effet de surprise (LinuxFr n’avait pas eu de poisson pendant plusieurs années).
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Allez savoir pourquoi, la motivation est revenue avec quelques préparations houblonnées, et nous avons orchestré une guerre de modération en ce premier avril 2016 qui combinait le vendredi jour de débats argumentés, la tradition du poisson et la chance du vendredi 13.
Bien joué ! On s’attendait à un éventuel poisson concernant le site, pas les relations entre les modérateurs.
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Alors quand on épluche un peu l’article et le graphique, on voit qu’en fait :
– le nombre de développeurs utilisant Linux est en légère augmentation (donc contrairement à ce que le titre incite à croire, les développeurs ne se détournent pas de Linux pour aller sur MacOS X ; enfin il n’en part pas plus qu’il n’en arrive) ;
– celui des développeurs de Mac OS X croit au dépens de celui des développeurs utilisant Windows ;
– celui des développeurs utilisant Windows reste malgré cela nettement majoritaire (leur graphique sépare chaque version de Windows et classe Windows 10 dans « autres » ! du coup Mac OS X paraît devant…).
Leur article a beau affirmer gratuitement qu’« il n'est plus nécessaire de développer à partir d'un OS spécifique pour s'exprimer sans contrainte », il faut bien des gens sous Windows pour développer les logiciels commerciaux natifs qui abondent sur ce système…
Donc un titre biaisé contre Linux et une analyse biaisée en faveur de MacOS X (par rapport à Windows et Linux), le tout ponctué de perspectives discutables. Du grand journalisme…
Si au moins les données qui ont servi à faire le graphique sont vraies, je trouve que Linux s’en sort très bien, avec 21 % de développeurs, en légère augmentation, alors qu’il n’est crédité par ailleurs que de quelques pourcents d’utilisateurs.
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Historiquement, LinuxFr.org traite l'actualité du Logiciel Libre, et incluait une tradition sur le cinéma. Incluait, car personne n'a osé proposer une dépêche sur le sujet depuis quelques années.
Elle perdure encore un peu dans les journaux.
Il y a aussi la tradition de la rubrique nécrologique, principalement dans les journaux, qui survit (!) aussi.
Plus globalement, l’idée du HS était de discuter entre passionnés d’informatique libre d’autres sujets. Ce serait bien dommage de perdre cette possibilité. J’aime bien les journaux sur le cinéma, les livres, la rubrique nécrologique (même si ça pourrait paraître curieux à certains ; c’est l’occasion d’évoquer des gens qui ont laissé une trace dans l’informatique voire la musique ou la littérature), et les discussions politiques (j’ai même apprécié deux ou trois journaux politiques récents de Zenitram, contrairement à ses nombreux commentaires énervants dans le style « saloperie de réalité, Je détiens La Vérité et vous êtes tous des idiots »).
Cela dit, si LinuxFr est envahi de trolleurs sans intérêt pour le logiciel libre qui viennent juste pour « vendre leur soupe » ou pourrir l’ambiance, c’est un réel problème, dont je n’ai pas la solution.
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En tous cas il est important de savoir qu'on peut quasiment choisir le lieu de l'hébergement, et que c'est pas un critère anodin, c'est vrai.
L’endroit où est basée la société est important aussi. Compte tenu justement du Patriot Act, il n’est pas évident pour une société américaine de refuser aux agences américaines l’accès aux données situées sur ses serveurs à l’étranger.
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À mon sens, ce n’est pas un avantage. Si je voulais un serveur (dédié ou virtuel), je souhaiterais justement qu’il ne soit pas hébergé dans un pays ayant légalisé la surveillance de masse (et que la société n’y soit pas basée non plus).
En attendant que les hébergeurs français tiennent la promesse qu’ils avaient faite de partir si la loi passait, quelqu’un connaît-il des fournisseurs fiables (par rapport au respect de la vie privée) en Suède (ou dans un autre pays qui respecte encore la vie privée… s’il y en a) ?
Je pourrais envisager de m’y monter un serveur mail (ce qui me freine étant qu’il faudrait que je convainque mes correspondants de déménager leur mail aussi pour que ça serve à quelque chose)…
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[^] # Re: Crapware
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Quand 01net nous explique ce qu’est un hacker. Évalué à 10.
Des exemples ?
Tu dis qu’il y a des crapwares, d’autres que non (et je ne suis pas extrêmement familier avec Ubuntu et le contenu de ses dépôts). Le plus simple est que tu donnes des exemples de ce que tu considères comme crapware et qui est sur les dépôts d’Ubuntu.
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[^] # Re: photo surdessinée ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Quand 01net nous explique ce qu’est un hacker. Évalué à 3.
Soit un mec qui essaie d’utiliser des cartes de crédit volées, soit simplement quelqu’un qui a pris le max de carte de crédits qu’il a pu et les a toutes grillées en achetant du matos informatique qui de nos jours ne vaut plus un radis (je l’imagine en train d’essayer d’échapper aux huissiers avec son matos dans les bras…).
Quoiqu’il en soit, vu de trois quarts arrière, on ne peut pas le reconnaître, personne ne le prendra pour un sale pirate en le croisant dans la rue.
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[^] # Re: photo surdessinée ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Quand 01net nous explique ce qu’est un hacker. Évalué à 7.
Dire qu’il aurait suffi que les deux illustrations soient inversées…
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[^] # Problèmes pas que sous Firefox
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Grammalecte est enfin disponible pour Firefox. Évalué à 4. Dernière modification le 17 mai 2016 à 18:41.
Sous LibreOffice, Grammalecte rate aussi la première et détecte la seconde comme un accord de nombre erroné : « rouge » devrait être au singulier.
LanguageTool signale pour la première que « et » n’est pas un verbe, et pour la seconde que « son » et « rouges » ne semblent pas bien accordés en nombre.
Si j’ajoute un S à « son » ou que je supprime celui de « rouges », les deux correcteurs sont satisfaits.
Cela dit, peut-être ces exemples ne sont-ils pas faciles pour un correcteur automatique (« rouge » est aussi un nom commun). À l’usage, il m’a semblé qu’ils détectent plutôt bien les fautes d’accord et pour le reste, je ne sais pas vraiment (je pense faire surtout des fautes de frappe ou d’accord).
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[^] # Re: dispo
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'informatique de papa. Évalué à 2.
La dispo, ça allait… une fois que tu en avais viré les utilisateurs, ce qui demandait éventuellement d’obtenir d’abord un serveur supplémentaire dédié — et à ce stade, on avait déjà changé d’époque. Ben oui, à l’époque de papy, les serveurs étaient chers, alors il fallait les rentabiliser ; le serveur NIS, NFS, etc. servait aussi de serveur de calcul.
Bon, ce n’était probablement pas pareil dans les grosses structures, mais il y avait plus de petites structures autonomes (sur le plan informatique) à l’époque. D’un autre côté, un réseau à 10 Mb/s non commuté n’incitait pas à faire de grosses structures…
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# Destructeurs
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Crystal, un langage proche de Ruby, en version 0.16. Évalué à 3.
Ce n’est pas un avantage à mon goût…
Par contre, il a des destructeurs. J’espère donc qu’il supplantera Ruby.
Cela dit, la mention d’un garbage collector sans précision sur son fonctionnement est un peu inquiétante, pas seulement pour le fonctionnement des destructeurs. Enfin peut-être celui-ci (voire celui de Ruby) fonctionne-t-il mieux que ce que j’ai eu l’occasion de voir avec d’autres langages (pas de libération de mémoire quand on en manque, lancement éventuel du garbage collector… au moment où l’en aurait besoin de performances).
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[^] # Re: GTK3
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Thunderbird 45 est sorti. Évalué à 3.
Saurais-tu où les trouver ?
J’ai l’intention de faire un thème avec les mêmes couleurs que mon thème Gtk 2, mais ce serait plus facile en partant d’un thème fonctionnel (et pas le thème par défaut qui n’a plus de fichiers)…
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[^] # Transpiration
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal You are legion. Évalué à 2.
Ah ???
Là, tu m’interpelles.
Quels sont les aliments qui font transpirer ?
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[^] # Re: Forme
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Linux sur le bureau : combien de régressions ?. Évalué à 3.
Si on est sur la forme :
– « de type Linux », pas de S à « type » (il y a une occurrence avec au début, une autre sans vers la fin),
– « beigEasse », sinon ça se prononce comme « gare » et pas comme « figea ».
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[^] # AmigaOS le faisait déjà il y a 30 ans !
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de Mate Desktop Environment 1.14. Évalué à 3.
Voilà, je vais faire mon dinomasque : AmigaOS le faisait il y a 30 ans ! (P…, ça ne me rajeunit pas !)
Sous AmigaOS, les programmes étaient des processus légers (comme des threads ; pas de MMU à l’origine), avec un multitâche préemptif.
La couche graphique, appelée Intuition, qui prenait en charge la souris, le déplacement des fenêtres et la base de l’interface graphique (enfoncement-relâchement des boutons, etc.), était un processus avec la priorité absolue sur les programmes utilisateur.
Le programme dont la fenêtre était sélectionnée avait aussi quasiment la priorité absolue sur les autres.
Au final, ça donnait une impression de grande réactivité (par rapport aux machines de l’époque, mais même encore longtemps après pour les Amiga les plus rapides), parfaitement adaptée à une utilisation personnelle (ça ne l’aurait évidemment pas été pour un serveur), sans nécessiter pour autant plus d’un thread pour l’interface graphique ou pour un logiciel.
C’était là à mon avis la plus grande qualité de l’Amiga, au delà de son interface graphique, excellente pour l’époque, mais néanmoins perfectible.
À l’opposé, les choix faits pour Unix et Linux sont clairement plus adaptés pour un serveur. C’est surtout la spectaculaire augmentation de puissance depuis l’époque de l’Amiga qui rend Linux et X.org réactifs (bien que Gnome 3 tente d’y remédier).
Tant qu’à remettre les choses à plat pour Wayland, je regrette que ses concepteurs soient allés dans le sens opposé aux choix d’AmigaOS en déléguant plus de choses aux logiciels, leur imposant quasiment d’être multithreads pour avoir une interface réactive.
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[^] # Déjà fait
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Ce logiciel qui choisit ta fac. Évalué à 5.
Comme ça ?
Tu arrives légèrement après la bataille…
Ça n’empêche pas qu’à une période où l’on doit faire venir des médecins de l’étranger, relever le numerus clausus ne serait pas une mauvaise idée.
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[^] # Barre à droite (non, ça ne parle pas du gouvernement)
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de Mate Desktop Environment 1.14. Évalué à 8.
Xfce permet cela.
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[^] # Nostalgie de ta jeunesse ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de Mate Desktop Environment 1.14. Évalué à 10.
Je l’ai bien connu. Tu es sûr que ce n’est pas la nostalgie de ta jeunesse qui parle ?
C’était formidable pour l’époque et j’en garde un excellent souvenir, mais quand on avait lancé un certain nombre d’applications (ou ouvert un certain nombre de fenêtres de répertoires), il fallait repasser les fenêtres à l’arrière-plan une par une pour accéder à une autre recouverte et les bouger pour dégager les icônes du bureau si on avait besoin d’y accéder.
Côté Unix, les gestionnaires de fenêtres de l’époque permettaient d’icônifier les fenêtres, mais les icônes se retrouvaient sur le bureau en dessous de toutes les fenêtres non encore icônifiées, donc ce n’était pas forcément immédiat de les désicônifier. Ce n’était pas tellement génial non plus.
La « barre des tâches » toujours accessible a été un progrès réel d’un point de vue pratique (accès aux fenêtres recouvertes direct, possibilité de masquer toutes les fenêtres pour accéder au bureau), pouvoir y ajouter des « lanceurs » (terminologie Xfce, c’est la seule qui me vient) aussi (il y avait bien des logiciels de dock pour Amiga, mais recouvrables par les autres fenêtres et assez encombrants sur les petits écrans de l’époque), et les bureaux multiples aussi (l’Amiga permettait les écrans virtuels multiples, ce qui était révolutionnaire à l’époque, mais pas pour le bureau, uniquement pour les logiciels qui en faisaient eux-mêmes l’usage).
Nous avons eu la chance sous Linux d’avoir des environnements de bureau qui ont intégré toutes ces améliorations.
Compliquer l’accès aux autres applications et aux bureaux multiples comme le fait Gnome 3 (en tout cas par défaut) est pour moi simplement une régression. Après, sur une petite tablette voire un téléphone où l’on pointe avec de gros doigts, je comprends bien qu’il faille une autre interface, mais pour un ordinateur de bureau…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Liberté de choix
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de Mate Desktop Environment 1.14. Évalué à 10.
Pourquoi ? C’est même proposé dans les paramètres.
Ce n’est pas non plus comme utiliser une application KDE qui induit le lancement d’un tas de trucs de KDE en tâche de fond, ou une application Gnome qui s’intègre mal.
L’intérêt d’utiliser un environnement de bureau « normal », c’est bien d’avoir de la souplesse au niveau du choix des applications.
Pour ma part, j’utilise Xfce comme environnement, mais xterm comme terminal, pluma comma éditeur simple, atril comme visionneuse PDF (et autres), geeqie comme visionneuse d’images…
Comme à la bonne époque où les environnements n’imposaient pas leurs applications, et les applications leur environnement. Hors de Gnome et KDE, on a encore la liberté de choix.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Gestionnaire de fichiers
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de Mate Desktop Environment 1.14. Évalué à 6.
Normalement, il est possible de choisir un gestionnaire de fichiers différent avec Xfce, par exemple Caja (celui de MATE) ou PCManFM (celui de LXDE). Paramètres/Applications favorites est censé gérer cela.
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[^] # C’est une question de distribution
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche LibreSSL 2.3.3. Évalué à 6.
Void est passé à LibreSSL par défaut.
Après, c’est un choix de chaque distribution de rester avec OpenSSL ou de passer à LibreSSL (et quand)…
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[^] # Re: Le poisson d’avril est mort
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal LinuxFr.org n'aime pas discuter du hors sujet [titre réécrit]. Évalué à 2. Dernière modification le 03 avril 2016 à 14:15.
Bien joué !
On s’attendait à un (éventuel) poisson concernant le site, pas les relations entre les modérateurs.
Vous aurez du mal à trouver aussi original pour la prochaine fois, avec moins d’effet de surprise (LinuxFr n’avait pas eu de poisson pendant plusieurs années).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Bien joué !
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Poissons d'avril de 2016. Évalué à 5.
Bien joué ! On s’attendait à un éventuel poisson concernant le site, pas les relations entre les modérateurs.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# LinuxFr
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Où est le "vrai Linux"?. Évalué à 7.
Linux, c’est ce que nous faisons, parce que Linux, c’est faire.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Les développeurs désormais plus friands d'OS X que de Linux… d’après ZDNet
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Revue de presse de l'April pour la semaine 12 de l'année 2016. Évalué à 5. Dernière modification le 01 avril 2016 à 21:57.
Alors quand on épluche un peu l’article et le graphique, on voit qu’en fait :
– le nombre de développeurs utilisant Linux est en légère augmentation (donc contrairement à ce que le titre incite à croire, les développeurs ne se détournent pas de Linux pour aller sur MacOS X ; enfin il n’en part pas plus qu’il n’en arrive) ;
– celui des développeurs de Mac OS X croit au dépens de celui des développeurs utilisant Windows ;
– celui des développeurs utilisant Windows reste malgré cela nettement majoritaire (leur graphique sépare chaque version de Windows et classe Windows 10 dans « autres » ! du coup Mac OS X paraît devant…).
Leur article a beau affirmer gratuitement qu’« il n'est plus nécessaire de développer à partir d'un OS spécifique pour s'exprimer sans contrainte », il faut bien des gens sous Windows pour développer les logiciels commerciaux natifs qui abondent sur ce système…
Donc un titre biaisé contre Linux et une analyse biaisée en faveur de MacOS X (par rapport à Windows et Linux), le tout ponctué de perspectives discutables. Du grand journalisme…
Si au moins les données qui ont servi à faire le graphique sont vraies, je trouve que Linux s’en sort très bien, avec 21 % de développeurs, en légère augmentation, alors qu’il n’est crédité par ailleurs que de quelques pourcents d’utilisateurs.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Le poisson d’avril est mort (et personne n’en a acheté un autre chez le marchand pour le remplacer)
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal LinuxFr.org n'aime pas discuter du hors sujet [titre réécrit]. Évalué à 3.
S’il y a une chose qui a disparu de LinuxFr depuis plusieurs années, c’est bien le poisson d’avril.
C’est triste de vieillir…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Cloud ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Son propre cloud à pas cher. Évalué à 5.
J’aurais plutôt dit « nébuleux »… ;-)
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Traditions du HS
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal LinuxFr.org n'aime pas discuter du hors sujet [titre réécrit]. Évalué à 8.
Elle perdure encore un peu dans les journaux.
Il y a aussi la tradition de la rubrique nécrologique, principalement dans les journaux, qui survit (!) aussi.
Plus globalement, l’idée du HS était de discuter entre passionnés d’informatique libre d’autres sujets. Ce serait bien dommage de perdre cette possibilité. J’aime bien les journaux sur le cinéma, les livres, la rubrique nécrologique (même si ça pourrait paraître curieux à certains ; c’est l’occasion d’évoquer des gens qui ont laissé une trace dans l’informatique voire la musique ou la littérature), et les discussions politiques (j’ai même apprécié deux ou trois journaux politiques récents de Zenitram, contrairement à ses nombreux commentaires énervants dans le style « saloperie de réalité, Je détiens La Vérité et vous êtes tous des idiots »).
Cela dit, si LinuxFr est envahi de trolleurs sans intérêt pour le logiciel libre qui viennent juste pour « vendre leur soupe » ou pourrir l’ambiance, c’est un réel problème, dont je n’ai pas la solution.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Pays
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Son propre cloud à pas cher. Évalué à 5.
L’endroit où est basée la société est important aussi. Compte tenu justement du Patriot Act, il n’est pas évident pour une société américaine de refuser aux agences américaines l’accès aux données situées sur ses serveurs à l’étranger.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Pays
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Son propre cloud à pas cher. Évalué à 10.
À mon sens, ce n’est pas un avantage. Si je voulais un serveur (dédié ou virtuel), je souhaiterais justement qu’il ne soit pas hébergé dans un pays ayant légalisé la surveillance de masse (et que la société n’y soit pas basée non plus).
En attendant que les hébergeurs français tiennent la promesse qu’ils avaient faite de partir si la loi passait, quelqu’un connaît-il des fournisseurs fiables (par rapport au respect de la vie privée) en Suède (ou dans un autre pays qui respecte encore la vie privée… s’il y en a) ?
Je pourrais envisager de m’y monter un serveur mail (ce qui me freine étant qu’il faudrait que je convainque mes correspondants de déménager leur mail aussi pour que ça serve à quelque chose)…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone