Christophe GRAND a écrit 258 commentaires

"il" est la personne à qui tu réponds.
"il" doit savoir ce qu'il veut même s'il s'est mal exprimé la première fois.

J'en profite pour relancer la discussion. Trs80 ecrivait :
C'est un problème de routeur, chez moi (debian) j'ai reglé ça comme ça: (tiré de debian quickref)

3.7.5 Étranges problèmes d'accès à certains sites web

Les noyaux Linux récents activent ECN par défaut, ce qui peut causer des problèmes d'accès à certains sites web situés derrière de mauvais routeurs. Pour vérifier l'état d'ECN

# cat /proc/sys/net/ipv4/tcp_ecn
... ou
# sysctl net.ipv4.tcp_ecn

Pour le désactiver, utilisez

# echo "0" > /proc/sys/net/ipv4/tcp_ecn
... ou
# sysctl -w net.ipv4.tcp_ecn=0

Pour désactiver TCP ECN à chaque démarrage, éditer /etc/sysctl.conf et ajouter :

net.ipv4.tcp_ecn = 0

Ca marche chez vous ? Parce que cheu moi (debian sid), ecn est déjà désactivé.

parce qu'il y a une config distincte pour la lecture et l'écriture et qu'une application qui joue un son ne va pas configurer l'acquisition (cf lien donné plus haut : http://www.oreilly.de/catalog/multilinux/excerpt/ch14-05.htm(...) )

ensuite, je maintiens que par défaut ce (in&out) sont deux flux séparés et que lire /dev/dsp c'est enregistrer ce qui vient du micro et pas ce qui vient (ou est en train) d'être envoyé sur les enceintes. (/dev/dsp ne se comporte pas comme un pipe nommé)




Addendum au poste plus haut : j'ai cherché rapidement, pas de module loopback mais un module dummy chez ALSA qu'il doit être possible de modifier à peu de frais pour que l'entrée de /dev/dsp soit pipée sur la sortie.

Même motif, même punition, l'acquisition se configure... avec ioctl
google : http://www.google.com/search?hl=en&ie=UTF-8&oe=UTF-8&q=(...)

parmi les premiers résultats celui-là à attirer mon attention :
http://www.oreilly.de/catalog/multilinux/excerpt/ch14-05.htm(...)

Maintenant : je ne sais pas si ce que tu veux faire est possible (lire /dev/dsp en espérant lire ce qui y est écrit). L'écriture va sur les enceintes, la lecture vient du micro ou de line-in. C'est le schéma de base. Peut-être est-il possible de remapper au niveau de la carte son (amha c'est dépendant du driver) les flux audios mais... si tu y arrives, fais le moi savoir ou fais un howto.

Sinon, autre piste, recherche voir si ce ne serait pas possible en utilisant un
[pause, avant de raconter une connerie, je vais voir comment fonctionne vsound]
.
.
.
[fin de pause, reprise du programme]
module noyau qui se substitue à ton module son.
En effet vsound marche par programme (ça a l'air d'être une lib en preload (man ld.so) ou qqch dans ce goût-là (je ne suis pas allé plus loins que la première page que j'ai trouvé)) or si tu veux capturer tous les programmes, ce n'est pas à la source (le pgm) qu'il faut agir, mais à la cible : le driver derrière /dev/dsp.

Pour une nouvelle c'est une bonne nouvelle.

Si, si, le truc important c'est qu'il ne se retire que du mainstream pas de la BD. En gros, il a gagné assez de pognon pour faire ce qu'il veut maintenant, au rythme qu'il veut. Il va expérimenter, se laisser libre court sans être astreint par les codes éditoriaux explicites et implicites (les habitudes des lecteurs).

Ca va être intéressant.

C'est l'ami Scott Mc Cloud qui va être content ;-)

Ça marche normalement... par contre si je fais cat fichier-wav-normal.wav > /dev/dsp alors j'ai le même effet que toi...

ioctl... je m'explique : /dev/dsp n'est pas magique, il ne devine pas tous seul le format des données (8, 16, 24 bits, échantillonage 44.1kHz, 48 kHz, 96kHz) sans parler de little et big endian, codage direct ou log. Sans parler de l'entête. C'est pour ça que vous avez de la neige dans les oreilles ;-)

Il faut configurer /dev/dsp puis lui envoyer les données qui vont bien vis-à-vis de la config que l'on vient de lui appliquer.
Cette étape de config se fait avec l'appel système générique ioctl et les docs qui vont bien (cf kernel et google).

En effet, je ne suis pas de près le développement de Gimp et j'en étais resté à ça :
http://www.mail-archive.com/gimp-developer@scam.xcf.berkeley.edu/ms(...)
(1.3.x -> 1.4 sans grosses innovations, surtout gtk+2, puis 1.9.x->2.0 avec plein de modifs fonctionelles.

quelqu'un pour me brieffer sur l'état actuel des développements et une éventuelle roadmap ?

Je mets en évidence (et je plussoie) le message subliminal :
Excellente bande dessinée parue à l'Association ce qui est un signe de qualité évident.

L'Association c'est bon, mangez en.

Je m'insurge, ce livre n'est attribué qu'à Raymond Queneau.
Son auteur en est Sally Mara, irlandaise elle aussi. Cf la préface à _Les oeuvres complètes de Sally Mara_ (coll. L'imaginaire, ed. Gallimard ISBN 2-07-028752-1).
D'ailleurs Queneau a réussi ce tour de force d'imposer son nom sur la couverture de ce dernier livre. Cela grâce aux postes importants qu'il a a occupé dans cette même maison (Gallimard). Ca me dégoûte les gens qui ne respectent pas le droit le plus inaliénable des auteurs : celui de revendiquer la paternité (ou maternité dans le cas de Sally) d'une oeuvre !

Queneau en prison !

Je recommande la lecture du journal intime de Sally Mara. Extrait :
[retour du père de Sally, qui a abandonné femme et enfants bien des années auparavant]
-- John, tu en as mis du temps du temps pour trouver une boîte d'allumettes.
-- Les allumettes, ça n'est rien, répondit Papa, le plus difficile c'était la boîte.

Un autre récit de Sally Mara avec quantité de Guiness et force ouisqui !

Finnegans Wake !

Le clavier va bien.
Xavier, lui, est blo

Ah ben ça, c'est sûr, à rester enchaîner dans une position peu confortable et bien le dos se blo

Solaris a une limite sur le nombre de processes par utilisateurs je crois.
La plupart des distribs Linux n'en ont pas par défaut.

cf. ulimit getrlimit setrlimit etc.

"[]->" Malheureux ! Tu vas faire rentrer tout ceux qui étaient sortis ! Tu as confondu avec "->[]" !

Vite un patch :
[]-> | ->[]

Enfin bref ya un truc qui cloche je trouve avec le http.

Il n'y a pas de problème avec http : tu ne réfléchis pas au bon niveau dans la pile de protocoles. Ton problème est au niveau supérieur.

D'ailleurs, ce que tu demandes (on change juste une option d'un select box par example et cela change la suite du formulaire) est dans xforms :
http://www.w3.org/TR/2003/PR-xforms-20030801/slice9.html#id2631664(...)

Quant à "faire des requêtes sql directement" si c'est envoyer par http une requête (en GET + url encoded ou en POST) et récupérer le résultat (sous forme d'un dump texte ou xml) en réponse, rien ne t'en empêche dans http.

C'est vaguement l'idée derrière sqlrest ( http://sqlrest.sourceforge.net/5-minutes-guide.htm(...) )

Le truc vicieux serait d'avoir les interfaces d'administrations en open source.
Une couche d'open source reposant sur une bonne couche de proprio miam ;-)

Nous ne nous comprenons pas : lorsque j'écris "l'intelligence est certes déplacée vers le client mais c'est encore à toi de l'écrire" je ne veux pas dire que c'est à toi d'écrire le client (navigateur) mais la partie de l'application qui tourne sur le client (l'intelligence) et qui, elle, est hébergée sur le serveur et développée par ceux qui sont du côté serveur.

Je n'étais pas dans un contexte intranet. La différence c'est que toi tu penses charge serveur et moi je pense charge développement et ajoute que cette dernière est plus importante (coût financier et humain) que la charge serveur.

Vois-tu ce que je veux dire ?

Avec Xforms, on peut soumettre du XML, avoir (enfin) accès à la méthode HTTP PUT ! Bref c'est que du bonheur pour ceux qui préfèrent les Web Services REST plutôt que les Web Services RPC (SOAP & cie la plupart du temps).

Une paire de lien :
http://www.prescod.net/rest/rest_vs_soap_overview/(...)
http://internet.conveyor.com/RESTwiki/moin.cgi/FrontPage(...)

XHTML c'est du HTML avec les contraintes de XML.
En (très) gros c'est du HTML bien formé. (ceci est surtout vrai pour la DTD transitionelle)

Pour les détails : http://www.w3.org/TR/xhtml1/#diffs(...)

Quant à la complexité croissante des navigateurs, je crois qu'elles relèvent surtout d'une autre tendance : déplacer le maximum d'«intelligence» vers le client sans compromettre la sécurité des données et du serveur lui-même. C'est une évolution qui ne me déplait pas. En abaissant les ressources nécessaires au niveau du serveur, on augmente la capacité réelle de tout à chacun de mettre en place le sien.

Je ne suis pas d'accord : la ressource économisée[1] au niveau serveur c'est uniquement du CPU, l'intelligence est certes déplacée vers le client mais c'est encore à toi de l'écrire et, là, la complexité ne change pas vraiment : ce que tu demandais au serveur de faire avant, tu le demandes aujourd'hui au client. Tu n'as pas sensiblement abaissé le coût d'entrée dans la réalisation d'une application Web : ce coût d'entrée c'est la main d'oeuvre, la masse de connaissance.

[1] : en plus même si on délègue du boulot au client, il faut vérifier qu'il la fait correctement. Il ne faut jamais faire confiance au client.

Admettons qu'un virus réuisse à mettre à genoux Internet. Ils croyent vraiment que leur super SkyNet peut aller s'introduire dans tous les pcs de la planète, passer à travers tous les parefeux comme ça, sans que personne ou gouvernement ne dise rien. ça voudrait dire qu'il y a des backdoors partout!


Mais non, pas de backdoor, SkyNet est certifié comme une application de confiance ce qui lui ouvre grand la porte de tous les PC TCPA.

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pas les etres vivants

Je m'insurge ! Il s'agit d'une épizootie touchant plusieurs espèces. Cet article évoque déjà :
- un nounours noir et blanc
- trois vers
- un chat

OCaml c'est beaucoup plus que CamlLight (<- c'est alléger c'est marqué dessus).
Au niveau de la concision, c'est kif kif.

Par contre au niveau efficacité : au revoir le byte code (enfin si on veut on peut quand même), bienvenue le code natif optimisé. Le code OCaml est aussi efficace que le C ou le C++ (cf. http://www.bagley.org/~doug/shootout/(...) )

Ami entends-tu le vol noir d' SCO sur le kernel ?

Ami entends-tu les cris sourds du pingouin qu'on enchaîne ?

Ohé partisans, ouvriers et paysans, C'est l'alarme !

Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du FUD et des larmes.

-> []

Certains agriculteurs (souvent mals perçus) proposent des souscriptions. Tu payes pour avoir droit à un certain pourcentage de la production.

Moi je trouve ça très bien mais c'est encore trop rare.

Remarquez que ce serait pas mal une vitrine sur web pour trouver les producteurs près de chez soi.

Tout est question de contexte : l'article donne une image positive des logiciels libres.
De plus c'est le mot "offrir" qui est utilisé : la symbolique du don est positive.

Le "ne lui appartiennent pas" est certes malheureux mais cela est présenté comme la conséquence d'un acte positif. De plus il est question ici des actes d'un individu pas de la licence ou du mouvement des logiciels libres.

Il aurait été beaucoup plus choquant de lire :
"Le logiciel libre repose sur l'abandon par l'auteur de ses droits".

"Les développements de Torvalds ne lui appartiennent pas, il les offre au public"

erm... zon pas tous compris la :/

Ceci n'est pas un article de référence mais un article de vulgarisation.
Cette phrase dans cet article-ci de Le Point ne me choque pas.