Ceci étant dit, au moins une release d'Ubuntu a existé qui avait un mode bien plus cinglé de la feature de recherche généralisé, et aucun paramètre dans la GUI pour supprimer cette merde.
J'ai eu toutes les versions d'Ubuntu avec cette "feature" de recherche "Amazon" et, sauf erreur de ma part, ça a toujours été désactivable via la GUI.
MAPS.ME est gratuit et basé sur OSM. Il a un mode navigation routière assez récent sans doute plus basique que les ténors du marché mais qui suffit peut-être (je ne l'ai pas essayé).
Je ne pense pas que tu puisses bénéficier des optimisations qui ont été faites sur les cartes graphiques pour afficher des buffers bitmaps.
Si j'ai bien compris (ce qui est loin d'être sûr), il s'agirait de faire le buffer bitmap dans le serveur d'affichage au lieu de le faire coté client. Du coup, je ne comprends pas la remarque ci-dessus puisqu'au final on enverrait toujours un buffer bitmap à la carte graphique.
Le mot de passe au login est celui de l'utilisateur. Le mot de passe pour installer un logiciel ou effectuer certains réglages (lesquels ?) est celui de l'administrateur. Si l'utilisateur a les droits "administrateur", c'est le même mot de passe, sinon il faut s'enquérir de celui de l'administrateur…
L'installation de Ubuntu (depuis une clé USB par exemple) va détecter la présence de Windows et proposer d'installer Ubuntu à la place ou à coté. Dans ce dernier cas, elle va aussi installer un menu de boot permettant de choisir entre les deux systèmes au démarrage (Ubuntu par défaut au bout de 10").
Attention, si tu es en bios UEFI je crois qu'il faut un Ubuntu 64 bits (pas 32 bits).
Hors sujet Tout smartphone bien configuré offre, parmi les suggestions de mot lors d'une frappe clavier, un qui correspond exactement à ce qui a été saisi. Par exemple, pour free, il me propose 'Frère' et 'Frères' mais aussi 'free'. Du coup, après avoir saisi 'free' il me suffit de cliquer sur le 'free' proposé pour que ça accepte le mot sans modification. Sinon, il va effectivement immanquablement corriger puisqu'il a été configuré pour ça (oui, en général, on peut aussi configurer l'application clavier pour qu'elle ne fasse pas de suggestion/correction).
Fin hors sujet
Le format raw n'est pas un format propriétaire… car n'est pas un format !
Je voulais bien sûr dire le format raw de chaque modèle d'appareil est un format propriétaire (et en général non documenté). Merci de l'avoir précisé.
Le format raw désigne le format brut utilisé par l'appareil photo qui contient les données brutes du capteur, sans traitement.
Ainsi que les données relatives à la prise de vue (y compris celles qui ne concernent que le jpeg).
Bon, en pratique, je ne suis pas sur que les grandes marques du marché (Canon, Nikon, etc…) sortent les spécifications de leurs formats respectifs.
Non (même si on peut supposer que Adobe a un peu de moins de mal à obtenir les infos que d'autres éditeurs plus petits…). Néanmoins certains utilisent le format DNG qui est un format en principe ouvert (Hasselblad, Leica, Ricoh, Pentax ou Samsung).
…ou de mauvais encodeurs de raw.
Il n'y a que l'appareil photo qui encode des raw. Ce n'est donc pas trop le sujet ici avec Darktable.
Dans le cas qui me concernait relatif à la modification d'une date exif dans le raw, les autres logiciels que j'avais testé (le logiciel d'Olympus, DxO et Lightroom) n'étaient pas gênés - en apparence du moins - par cette modification.
Néanmoins, le message du développeur de DT est que c'est fragile et dangereux (sauf si on garde aussi les raw d'origine). D'ailleurs je ne pense pas que Lighroom ou DxO autorisent la modification des fichiers raw.
Je vais regarder du côté d'exiftool. Et si vraiment ça pose un problème à darktable, alors tant pis, je laisserais tomber & mettrait peut-être ces valeurs en commentaire.
En principe ça doit marcher. Mais le développeur de DT qui s'occupe de la lecture du raw dit que c'est une aberration de modifier un raw car c'est un format propriétaire qu'il est donc très facile de casser par ignorance. Il donne l'exemple de certains fabricants qui chiffrent certaines parties de données exif (Sony notamment) et un scénario qui pourrait rendre ces données indéchiffrables si on modifie un truc à coté.
Le développeur de exiftool ne le voit pas comme ça et il pense qu'il n'y a pas de problème, seulement de "mauvais" décodeurs de raw…
Bref, j'ai eu droit à la correction d'un "bug" de décodage de .orf suite à la modification d'une date exif - après échanges entre Phil Harvey et le développeur de DT - mais ce dernier assure que c'est la dernière fois et qu'il ne fera plus de maintenance relative à des fichiers raw modifiés.
En bref, il y a de très fortes chances que ça marche mais garde une copie du raw avant exiftool jusqu'à avoir bien vérifié que DT ne bute pas dessus.
Tu notes ces valeurs à chaque fois que tu fais une photo avec un objectif "manuel" ?!
Tu pourrais peut-être les rajouter sous forme de commentaire ou de mot-clé ?
Je doute que les développeurs mettent en oeuvre un éditeur de données exif avec copie des valeurs modifiées dans le fichier xmp mais tu peux toujours faire une demande sur le bug tracker (http://redmine.darktable.org/projects/darktable/issues).
Je ne suis pas sûr d'avoir bien compris la question donc peut-être que mes réponses sont à coté de la plaque.
S'il s'agit de modifier réellement des exifs dans le fichier raw, la réponse est non et ça ne changera pas car modifier un fichier raw n'est absolument pas recommandable (dixit les développeurs de DT d'où quelques désaccords avec le développeur de exiftool qui permet ça).
S'il s'agit de décrire l'ouverture et la focale d'un objectif pour faire des corrections d'objectif (distorsions, etc…), le module "corrections d'objectif" le permet.
J'imagine plusieurs méthodes : des cookies, la même IP, la même adresse MAC (c'est une info transmise dans les paquets IP ?). Tu dis "j'utilise rarement Facebook sur mon 1er compte" ; en fait il suffit d'une fois pour faire le lien.
Mais je doute qu'il ait accès à des données fournies par Orange, ça me semble trop risqué pour Orange qui se ferait forcément prendre tôt ou tard (mais peut-être que je me fais des illusions).
Perso les logiciels à la Lightroom qui prennent la main sur les fichiers et t'obligent à passer par eux m'énervent profondément.
Je ne sais pas pour lightroom mais DT ne "prend pas la main" sur tes fichiers. Ils restent là où ils sont selon l'organisation que tu as choisi. Ce qu'on appelle importation n'est ici que l'opération consistant à dire à DT "lis ces images pour stocker leurs meta-données dans une base de données afin de permettre des recherches". De la même façon, je ne comprends pas bien en quoi DT t'oblige à passer par lui pour accéder à tes images.
En fait, comme dit par quelqu'un d'autre ici, si tu fais du catalogage il faut forcément quelque chose qui ressemble à un import. Ceci dit on peut très bien utiliser DT comme un pur développeur raw et ne pas s'occuper de ce qu'il catalogue.
Personnellement, j'ai une licence DxO Optic Pro mais je ne me sers plus que de DT. Il demande un peu de temps mais grâce à des gens comme carafife et ses vidéos cela peut aller assez vite et après on a vraiment un logiciel superbe à disposition.
Le développeur en charge du sujet dans Darktable est farouchement contre l'écriture d'informations dans un fichier raw. J'ai moi-même une fois voulu modifier la date exif dans des fichiers raw en utilisant pour cela exiftool - une référence en la matière - et cela a généré des erreurs sous Darktable. Mon problème a pu se régler via une discussion entre ce développeur et celui de exiftool (Phil Harvey) mais cela a renforcé l'opinion du développeur de DT que modifier un fichier raw était à proscrire absolument.
En tous cas, pour les métadonnées non exif (sujet, mots clé, etc…), ils conseillent fortement l'option de DT de les générer à coté dans un fichier xmp (i.e. xml).
Posté par mahikeulbody .
En réponse au journal Compteur communicant.
Évalué à 2.
Dernière modification le 21 décembre 2015 à 11:14.
Je reste persuadé que le boitier de Voltalis se substitue aux disjoncteurs du tableau électrique ou, plus précisément, à ceux qui contrôlent les sous-réseaux électriques pertinents : ballon eau chaude, chauffage chambre 1, chauffage chambre 2, etc… Ce n'est donc pas, à proprement parler, pièce par pièce mais sous-réseau par sous-réseau (ce qui ne revient pas tout à fait au même et est bien plus simple à mettre en place sur une installation existante).
Par ailleurs, je trouve que l'argument (cf. kelwatt) "Le boîtier Voltalis et le suivi consommation permettent de faire des économies significatives sur les factures en réduisant la consommation d'électricité jusqu'à 15%" est un peu attrape-nigaud : c'est sûr que si on consomme moins on paiera moins. Mais ici, l'idée c'est de consommer moins quand le réseau l'exige. Cette souplesse se marchande (cher) sur un marché spécifique dit "des ajustements" et c'est Voltalis qui empoche la mise tout seul, pas ses clients… (il faudrait cependant voir en combien de temps ils amortissent leur boîtier).
Je viens de consulter (rapidement) leur site et j'ai l'impression que leur système est plutôt capable de couper certains sous-réseaux du logement (un sous-réseau chauffage, le sous-réseau ballon électrique, le sous-réseau climatisation, etc…) comme si on ouvrait le disjoncteur correspondant. L'idée n'étant pas tant de surveiller la typologie de la consommation mais de couper certains équipements - sans impact immédiat sur le confort - en fonction des nécessités d'ajustement à la baisse (effacement), Voltalis proposant en temps réel sur le marché des ajustements les effacements de ses clients.
Ça me paraît d'ailleurs plus intelligent que de limiter globalement (et temporairement) la puissance du compteur comme le proposaient certains contrats EDF.
Quand Darktable reprendra l'implémentation de GEGL […].
Oui, ben ça ce n'est certainement pas pour demain et c'est même pas sûr que ça se fasse un jour (dixit un développeur de Darktable à qui j'ai posé la question il y a quelques mois).
Quand je parlais du "vrai" boulot du RTE, c'est selon la théorie. Théorie dans laquelle il y a des responsables d'équilibre (qui sinon ne servent à rien). Car en pratique je suis bien d'accord que
Globalement la conso ne change pas selon les opérateurs ou leur nombre, elle change à cause de la météo (température, ensoleillement), d’évènement particulier (changement d'heure, rentrée des classes, grève, coupe du monde…).
Tout comme je suis d'accord que
avoir une équipe qui s'occupe de la prévision, est économiquement bien plus rentable que d'avoir 50 sources + 1 équipe, mais il est vrai que ça fait moins de PIB et plus de chômage.
Mais le fait est qu'avec la dérégulation on n'est pas vraiment dans une logique d'optimisation des coûts vue la complexité introduite (les SSII, elles, se sont réjouîtes). Et c'est pareil dans le gaz…
Posté par mahikeulbody .
En réponse au journal Compteur communicant.
Évalué à 3.
Dernière modification le 15 décembre 2015 à 21:02.
Le marché français est dérégulé mais en pratique c'est EDF à 99%. Rien à voir avec certains pays nordiques où cette dérégulation se traduit par de multiples acteurs d'importance un peu plus comparables. Du coup, ça fonctionne un peu comme avant même si les apparences sont respectées.
C'est ainsi que le RTE fait effectivement une prévision aux points d'interconnexion du réseau de transport avec les réseaux de distribution alors que ce n'est pas vraiment son boulot dans la logique de la dérégulation. Son boulot est plutôt de consolider les prévisions présentées par les responsables d'équilibre et effectuer les achats/ventes sur le marché des ajustements pour pallier aux éventuels écarts (autres que ceux qui relèvent du réglage primaire des moyens de production), achats/ventes qu'il va ensuite répercuter sur les responsables d'équilibre en défaut.
N'oublions pas que s'il y a des écarts il faut acheter cher les ajustements nécessaires et le RTE n'a en principe ni raison - ni les moyens - d'être le payeur.
Disposer des mesures réelles au pas 10' dans un périmètre d'équilibre (et non plus des courbes estimées à partir de profils de consommation type) est ainsi une avancée pour la fiabilité de la prévision des responsables d'équilibre.
Je ne connais pas smappee* mais il s'agit de toutes façons de quelque chose en plus du compteur imposé par le gestionnaire du réseau de distribution (un compteur "classique" ou un Linky, par exemple).
* Il n'est d'ailleurs peut-être pas très heureux d'appeler ça un "compteur" même si ça compte aussi car ça peut créer une confusion.
La situation a évolué depuis : le marché de l'énergie est maintenant dérégulé. A l'époque du tout EDF le compteur EDF "connaissait" les tarifs EDF (au demeurant assez simples). Aujourd'hui, on peut souscrire un contrat d'énergie auprès de multiples commercialisateurs, chacun ayant ses propres offres plus ou moins complexes pour se démarquer de ses concurrents, et on peut changer tous les mois si on veut (et si le contrat n'implique pas un engagement minimal). Ce n'est plus un compteur d'un EDF à la fois commercialisateur, producteur, gestionnaire du réseau de transport et gestionnaire du réseau de distribution (et donc des compteurs) mais un compteur ERDF ou GEG, par exemple. Du coup, ce serait plus compliqué de pouvoir y programmer un tarif propre à un commercialisateur.
Posté par mahikeulbody .
En réponse au journal Compteur communicant.
Évalué à 1.
Dernière modification le 15 décembre 2015 à 01:05.
partant de là, «mesurer» toutes les minutes (ou toutes les secondes) pourquoi pas. Mais «transmettre» ? Quel intérêt ?
Il faut distinguer deux choses : les aspects techniques du contrat (la puissance max autorisée) et la facturation. Linky a bien sûr connaissance de la puissance max autorisée et est en mesure de couper si dépassement. En revanche, je ne pense pas que Linky ait connaissance du contrat (par exemple, côtoyer la puissance max pendant plus de 3' à l'heure de la pub sur TF1 entraîne une surfacturation de 2€ du KWh). Du coup, pour que le commercialisateur puisse facturer ce contrat, il faudrait que Linky mesure et transmette la courbe de consommation au pas 1' (par exemple).
Posté par mahikeulbody .
En réponse au journal Compteur communicant.
Évalué à 2.
Dernière modification le 15 décembre 2015 à 00:48.
> Du coup, ça serait plus logique de relever la consommation toutes les minutes.
Sauf que relever, transférer, stocker et traiter les courbes de consommation au pas 10' de dizaines de millions de clients est quelque chose d'assez énorme. Alors pour le faire, il faudrait que ça ait un réel intérêt. Et vu que le besoin coté gestion du réseau se satisfait d'un pas 10', le (gros) surcoût d'un système au pas 1' (là, je ne parle pas juste du compteur mais de toute la chaîne d'informations mutualisée entre tous les opérateurs concernés) devrait être pris en charge par les seuls commercialisateurs. Il faudrait donc qu'il y ait un réel bénéfice pour ceux-ci à proposer des tarifs reposant sur un suivi à la minute de la consommation. J'en doute un peu et le fait est qu'à ma connaissance aucun d'entre eux ne l'a demandé.
[^] # Re: Normal
Posté par mahikeulbody . En réponse au journal Choisir une licence : facile à comprendre ?. Évalué à 5.
propension ?
[^] # Re: Intérêt de ne pas faire la mise à jour ?
Posté par mahikeulbody . En réponse au journal Vague d’intérêt pour GNU/Linux vs Windows 10 « imposé » ?. Évalué à 3.
J'ai eu toutes les versions d'Ubuntu avec cette "feature" de recherche "Amazon" et, sauf erreur de ma part, ça a toujours été désactivable via la GUI.
[^] # Re: Nearline
Posté par mahikeulbody . En réponse au journal Du stockage en ligne (encore). Évalué à 1.
Ouai… mais de là à dire que cette nouvelle offre de Google est très prometteuse, il y a une légère exagération, non ?
[^] # Re: Nearline
Posté par mahikeulbody . En réponse au journal Du stockage en ligne (encore). Évalué à 0.
10$/To/mois, c'est plus cher que Crashplan cité juste au dessus, par exemple (et dont le client linux marche bien).
# MAPS.ME ?
Posté par mahikeulbody . En réponse au message Une appli de cartographie Androïd. Évalué à 2.
MAPS.ME est gratuit et basé sur OSM. Il a un mode navigation routière assez récent sans doute plus basique que les ténors du marché mais qui suffit peut-être (je ne l'ai pas essayé).
[^] # Re: Pas sûr que cela soit efficace
Posté par mahikeulbody . En réponse au journal Une idée à prendre : un nouveau type de serveur d’affichage (remplaçant X ou Wayland). Évalué à 3.
Si j'ai bien compris (ce qui est loin d'être sûr), il s'agirait de faire le buffer bitmap dans le serveur d'affichage au lieu de le faire coté client. Du coup, je ne comprends pas la remarque ci-dessus puisqu'au final on enverrait toujours un buffer bitmap à la carte graphique.
# mot de passe administrateur (root)
Posté par mahikeulbody . En réponse au message mot de passe -identifiant. Évalué à 1.
Le mot de passe au login est celui de l'utilisateur. Le mot de passe pour installer un logiciel ou effectuer certains réglages (lesquels ?) est celui de l'administrateur. Si l'utilisateur a les droits "administrateur", c'est le même mot de passe, sinon il faut s'enquérir de celui de l'administrateur…
# Ubuntu s'occupe de tout
Posté par mahikeulbody . En réponse au message installation de ubuntu. Évalué à 2.
L'installation de Ubuntu (depuis une clé USB par exemple) va détecter la présence de Windows et proposer d'installer Ubuntu à la place ou à coté. Dans ce dernier cas, elle va aussi installer un menu de boot permettant de choisir entre les deux systèmes au démarrage (Ubuntu par défaut au bout de 10").
Attention, si tu es en bios UEFI je crois qu'il faut un Ubuntu 64 bits (pas 32 bits).
[^] # Re: Difficile a dire
Posté par mahikeulbody . En réponse au message Open Hardware : est-ce vraiment libre ?. Évalué à 1.
Hors sujet
Tout smartphone bien configuré offre, parmi les suggestions de mot lors d'une frappe clavier, un qui correspond exactement à ce qui a été saisi. Par exemple, pour free, il me propose 'Frère' et 'Frères' mais aussi 'free'. Du coup, après avoir saisi 'free' il me suffit de cliquer sur le 'free' proposé pour que ça accepte le mot sans modification. Sinon, il va effectivement immanquablement corriger puisqu'il a été configuré pour ça (oui, en général, on peut aussi configurer l'application clavier pour qu'elle ne fasse pas de suggestion/correction).
Fin hors sujet
[^] # Re: Exifs
Posté par mahikeulbody . En réponse à la dépêche Darktable 2.0 : traitement et gestion de photographies. Évalué à 4.
Je voulais bien sûr dire le format raw de chaque modèle d'appareil est un format propriétaire (et en général non documenté). Merci de l'avoir précisé.
Ainsi que les données relatives à la prise de vue (y compris celles qui ne concernent que le jpeg).
Non (même si on peut supposer que Adobe a un peu de moins de mal à obtenir les infos que d'autres éditeurs plus petits…). Néanmoins certains utilisent le format DNG qui est un format en principe ouvert (Hasselblad, Leica, Ricoh, Pentax ou Samsung).
Il n'y a que l'appareil photo qui encode des raw. Ce n'est donc pas trop le sujet ici avec Darktable.
Dans le cas qui me concernait relatif à la modification d'une date exif dans le raw, les autres logiciels que j'avais testé (le logiciel d'Olympus, DxO et Lightroom) n'étaient pas gênés - en apparence du moins - par cette modification.
Néanmoins, le message du développeur de DT est que c'est fragile et dangereux (sauf si on garde aussi les raw d'origine). D'ailleurs je ne pense pas que Lighroom ou DxO autorisent la modification des fichiers raw.
[^] # Re: Exifs
Posté par mahikeulbody . En réponse à la dépêche Darktable 2.0 : traitement et gestion de photographies. Évalué à 2.
En principe ça doit marcher. Mais le développeur de DT qui s'occupe de la lecture du raw dit que c'est une aberration de modifier un raw car c'est un format propriétaire qu'il est donc très facile de casser par ignorance. Il donne l'exemple de certains fabricants qui chiffrent certaines parties de données exif (Sony notamment) et un scénario qui pourrait rendre ces données indéchiffrables si on modifie un truc à coté.
Le développeur de exiftool ne le voit pas comme ça et il pense qu'il n'y a pas de problème, seulement de "mauvais" décodeurs de raw…
Bref, j'ai eu droit à la correction d'un "bug" de décodage de .orf suite à la modification d'une date exif - après échanges entre Phil Harvey et le développeur de DT - mais ce dernier assure que c'est la dernière fois et qu'il ne fera plus de maintenance relative à des fichiers raw modifiés.
En bref, il y a de très fortes chances que ça marche mais garde une copie du raw avant exiftool jusqu'à avoir bien vérifié que DT ne bute pas dessus.
[^] # Re: Exifs
Posté par mahikeulbody . En réponse à la dépêche Darktable 2.0 : traitement et gestion de photographies. Évalué à 3.
Tu notes ces valeurs à chaque fois que tu fais une photo avec un objectif "manuel" ?!
Tu pourrais peut-être les rajouter sous forme de commentaire ou de mot-clé ?
Je doute que les développeurs mettent en oeuvre un éditeur de données exif avec copie des valeurs modifiées dans le fichier xmp mais tu peux toujours faire une demande sur le bug tracker (http://redmine.darktable.org/projects/darktable/issues).
[^] # Re: Exifs
Posté par mahikeulbody . En réponse à la dépêche Darktable 2.0 : traitement et gestion de photographies. Évalué à 1.
Je ne suis pas sûr d'avoir bien compris la question donc peut-être que mes réponses sont à coté de la plaque.
S'il s'agit de modifier réellement des exifs dans le fichier raw, la réponse est non et ça ne changera pas car modifier un fichier raw n'est absolument pas recommandable (dixit les développeurs de DT d'où quelques désaccords avec le développeur de exiftool qui permet ça).
S'il s'agit de décrire l'ouverture et la focale d'un objectif pour faire des corrections d'objectif (distorsions, etc…), le module "corrections d'objectif" le permet.
[^] # Re: Cookie
Posté par mahikeulbody . En réponse au message Facebook. Évalué à 2.
J'imagine plusieurs méthodes : des cookies, la même IP, la même adresse MAC (c'est une info transmise dans les paquets IP ?). Tu dis "j'utilise rarement Facebook sur mon 1er compte" ; en fait il suffit d'une fois pour faire le lien.
Mais je doute qu'il ait accès à des données fournies par Orange, ça me semble trop risqué pour Orange qui se ferait forcément prendre tôt ou tard (mais peut-être que je me fais des illusions).
[^] # Re: Abandon du 32bits
Posté par mahikeulbody . En réponse à la dépêche Darktable 2.0 : traitement et gestion de photographies. Évalué à 4. Dernière modification le 31 décembre 2015 à 13:52.
Je ne sais pas pour lightroom mais DT ne "prend pas la main" sur tes fichiers. Ils restent là où ils sont selon l'organisation que tu as choisi. Ce qu'on appelle importation n'est ici que l'opération consistant à dire à DT "lis ces images pour stocker leurs meta-données dans une base de données afin de permettre des recherches". De la même façon, je ne comprends pas bien en quoi DT t'oblige à passer par lui pour accéder à tes images.
En fait, comme dit par quelqu'un d'autre ici, si tu fais du catalogage il faut forcément quelque chose qui ressemble à un import. Ceci dit on peut très bien utiliser DT comme un pur développeur raw et ne pas s'occuper de ce qu'il catalogue.
Personnellement, j'ai une licence DxO Optic Pro mais je ne me sers plus que de DT. Il demande un peu de temps mais grâce à des gens comme carafife et ses vidéos cela peut aller assez vite et après on a vraiment un logiciel superbe à disposition.
[^] # Re: Abandon du 32bits
Posté par mahikeulbody . En réponse à la dépêche Darktable 2.0 : traitement et gestion de photographies. Évalué à 3.
Le développeur en charge du sujet dans Darktable est farouchement contre l'écriture d'informations dans un fichier raw. J'ai moi-même une fois voulu modifier la date exif dans des fichiers raw en utilisant pour cela exiftool - une référence en la matière - et cela a généré des erreurs sous Darktable. Mon problème a pu se régler via une discussion entre ce développeur et celui de exiftool (Phil Harvey) mais cela a renforcé l'opinion du développeur de DT que modifier un fichier raw était à proscrire absolument.
En tous cas, pour les métadonnées non exif (sujet, mots clé, etc…), ils conseillent fortement l'option de DT de les générer à coté dans un fichier xmp (i.e. xml).
[^] # Re: Et autre chose que Linky ?
Posté par mahikeulbody . En réponse au journal Compteur communicant. Évalué à 2. Dernière modification le 21 décembre 2015 à 11:14.
Je reste persuadé que le boitier de Voltalis se substitue aux disjoncteurs du tableau électrique ou, plus précisément, à ceux qui contrôlent les sous-réseaux électriques pertinents : ballon eau chaude, chauffage chambre 1, chauffage chambre 2, etc… Ce n'est donc pas, à proprement parler, pièce par pièce mais sous-réseau par sous-réseau (ce qui ne revient pas tout à fait au même et est bien plus simple à mettre en place sur une installation existante).
Par ailleurs, je trouve que l'argument (cf. kelwatt) "Le boîtier Voltalis et le suivi consommation permettent de faire des économies significatives sur les factures en réduisant la consommation d'électricité jusqu'à 15%" est un peu attrape-nigaud : c'est sûr que si on consomme moins on paiera moins. Mais ici, l'idée c'est de consommer moins quand le réseau l'exige. Cette souplesse se marchande (cher) sur un marché spécifique dit "des ajustements" et c'est Voltalis qui empoche la mise tout seul, pas ses clients… (il faudrait cependant voir en combien de temps ils amortissent leur boîtier).
Ceci dit, je trouve cette idée excellente.
[^] # Re: Et autre chose que Linky ?
Posté par mahikeulbody . En réponse au journal Compteur communicant. Évalué à 2.
Je viens de consulter (rapidement) leur site et j'ai l'impression que leur système est plutôt capable de couper certains sous-réseaux du logement (un sous-réseau chauffage, le sous-réseau ballon électrique, le sous-réseau climatisation, etc…) comme si on ouvrait le disjoncteur correspondant. L'idée n'étant pas tant de surveiller la typologie de la consommation mais de couper certains équipements - sans impact immédiat sur le confort - en fonction des nécessités d'ajustement à la baisse (effacement), Voltalis proposant en temps réel sur le marché des ajustements les effacements de ses clients.
Ça me paraît d'ailleurs plus intelligent que de limiter globalement (et temporairement) la puissance du compteur comme le proposaient certains contrats EDF.
[^] # Re: Prêt pour GIMP 2.10
Posté par mahikeulbody . En réponse à la dépêche G’MIC 1.6.8 : c’est déjà Noël pour les traiteurs d’images !. Évalué à 1. Dernière modification le 18 décembre 2015 à 21:08.
Oui, ben ça ce n'est certainement pas pour demain et c'est même pas sûr que ça se fasse un jour (dixit un développeur de Darktable à qui j'ai posé la question il y a quelques mois).
A part ça, super dépêche !
[^] # Re: Intervalle de temps "grossier"
Posté par mahikeulbody . En réponse au journal Compteur communicant. Évalué à 3.
Quand je parlais du "vrai" boulot du RTE, c'est selon la théorie. Théorie dans laquelle il y a des responsables d'équilibre (qui sinon ne servent à rien). Car en pratique je suis bien d'accord que
Tout comme je suis d'accord que
Mais le fait est qu'avec la dérégulation on n'est pas vraiment dans une logique d'optimisation des coûts vue la complexité introduite (les SSII, elles, se sont réjouîtes). Et c'est pareil dans le gaz…
[^] # Re: Intervalle de temps "grossier"
Posté par mahikeulbody . En réponse au journal Compteur communicant. Évalué à 3. Dernière modification le 15 décembre 2015 à 21:02.
Le marché français est dérégulé mais en pratique c'est EDF à 99%. Rien à voir avec certains pays nordiques où cette dérégulation se traduit par de multiples acteurs d'importance un peu plus comparables. Du coup, ça fonctionne un peu comme avant même si les apparences sont respectées.
C'est ainsi que le RTE fait effectivement une prévision aux points d'interconnexion du réseau de transport avec les réseaux de distribution alors que ce n'est pas vraiment son boulot dans la logique de la dérégulation. Son boulot est plutôt de consolider les prévisions présentées par les responsables d'équilibre et effectuer les achats/ventes sur le marché des ajustements pour pallier aux éventuels écarts (autres que ceux qui relèvent du réglage primaire des moyens de production), achats/ventes qu'il va ensuite répercuter sur les responsables d'équilibre en défaut.
N'oublions pas que s'il y a des écarts il faut acheter cher les ajustements nécessaires et le RTE n'a en principe ni raison - ni les moyens - d'être le payeur.
Disposer des mesures réelles au pas 10' dans un périmètre d'équilibre (et non plus des courbes estimées à partir de profils de consommation type) est ainsi une avancée pour la fiabilité de la prévision des responsables d'équilibre.
voir http://www.cre.fr/operateurs/responsables-d-equilibre
[^] # Re: Et autre chose que Linky ?
Posté par mahikeulbody . En réponse au journal Compteur communicant. Évalué à 1.
Je ne connais pas smappee* mais il s'agit de toutes façons de quelque chose en plus du compteur imposé par le gestionnaire du réseau de distribution (un compteur "classique" ou un Linky, par exemple).
* Il n'est d'ailleurs peut-être pas très heureux d'appeler ça un "compteur" même si ça compte aussi car ça peut créer une confusion.
[^] # Re: Intervalle de temps "grossier"
Posté par mahikeulbody . En réponse au journal Compteur communicant. Évalué à 3.
> et connait parfaitement mon abonnement.
La situation a évolué depuis : le marché de l'énergie est maintenant dérégulé. A l'époque du tout EDF le compteur EDF "connaissait" les tarifs EDF (au demeurant assez simples). Aujourd'hui, on peut souscrire un contrat d'énergie auprès de multiples commercialisateurs, chacun ayant ses propres offres plus ou moins complexes pour se démarquer de ses concurrents, et on peut changer tous les mois si on veut (et si le contrat n'implique pas un engagement minimal). Ce n'est plus un compteur d'un EDF à la fois commercialisateur, producteur, gestionnaire du réseau de transport et gestionnaire du réseau de distribution (et donc des compteurs) mais un compteur ERDF ou GEG, par exemple. Du coup, ce serait plus compliqué de pouvoir y programmer un tarif propre à un commercialisateur.
[^] # Re: Intervalle de temps "grossier"
Posté par mahikeulbody . En réponse au journal Compteur communicant. Évalué à 1. Dernière modification le 15 décembre 2015 à 01:05.
Il faut distinguer deux choses : les aspects techniques du contrat (la puissance max autorisée) et la facturation. Linky a bien sûr connaissance de la puissance max autorisée et est en mesure de couper si dépassement. En revanche, je ne pense pas que Linky ait connaissance du contrat (par exemple, côtoyer la puissance max pendant plus de 3' à l'heure de la pub sur TF1 entraîne une surfacturation de 2€ du KWh). Du coup, pour que le commercialisateur puisse facturer ce contrat, il faudrait que Linky mesure et transmette la courbe de consommation au pas 1' (par exemple).
[^] # Re: Intervalle de temps "grossier"
Posté par mahikeulbody . En réponse au journal Compteur communicant. Évalué à 2. Dernière modification le 15 décembre 2015 à 00:48.
> Du coup, ça serait plus logique de relever la consommation toutes les minutes.
Sauf que relever, transférer, stocker et traiter les courbes de consommation au pas 10' de dizaines de millions de clients est quelque chose d'assez énorme. Alors pour le faire, il faudrait que ça ait un réel intérêt. Et vu que le besoin coté gestion du réseau se satisfait d'un pas 10', le (gros) surcoût d'un système au pas 1' (là, je ne parle pas juste du compteur mais de toute la chaîne d'informations mutualisée entre tous les opérateurs concernés) devrait être pris en charge par les seuls commercialisateurs. Il faudrait donc qu'il y ait un réel bénéfice pour ceux-ci à proposer des tarifs reposant sur un suivi à la minute de la consommation. J'en doute un peu et le fait est qu'à ma connaissance aucun d'entre eux ne l'a demandé.