BB a écrit 527 commentaires

  • [^] # Re: Réflexion

    Posté par  . En réponse au journal Horreur, enfer et damnation: Fin de l'illimité. Évalué à 3.

    J’ai pris 250 Go parce que c’est la limite donnée dans le lien du journal :

    « La firme avoue scruter du côté des cablo-opérateurs tels Time Warner, Comcast ou bien encore Verizon et AT&T, qui proposent une connexion plafonnée, le plus souvent à 250 Go par mois. »

    Mais effectivement, reste à savoir ce que pourrait être la limite en upload.

  • [^] # Re: Réflexion

    Posté par  . En réponse au journal Horreur, enfer et damnation: Fin de l'illimité. Évalué à 5.

    Moi non, franchement, si on me propose une offre limité à 250 Gio par mois, à moins de 30 €, j’y jetterai un œil, un connexion moins asymétrique que l’actuelle serait la cerise sur le gâteau (et en virant cette saleté d’offre triple-play). Je viens de regarder, je suis à 41 Gio en 13 jours d’uptime, bref, ce serait le paradis !

  • [^] # Re: Supports physiques

    Posté par  . En réponse au journal Le Monde, ou le prestige d’un grand journal qui fait du porte à porte. Évalué à 2.

    Il faut tout de même avouer que le disque dur a avantageusement remplacé le CD depuis quelques années maintenant. Tant au niveau prix que fiabilité (est-ce que ça peut mourir un disque dur rangé dans un placard ?), tout en étant plus souple d’utilisation.

  • # :)

    Posté par  . En réponse à l’entrée du suivi [Demande d'évolution] Pouvoir masquer des threads de commentaires. Évalué à 3 (+0/-0).

    Ça me plaît. Si je peux me permettre :

    Est-ce qu'il faut sauvegarder cet état pour chaque utilisateur ?

    Oui ! Précisément pour :

    lire les nouveaux commentaires.

    Et surtout ne pas compter comme nouveaux les commentaires du fil caché !

  • [^] # Re: ceci n'est pas une nouvelle

    Posté par  . En réponse à la dépêche Firefox 6 est sorti. Évalué à 10.

    T’es comme Linus, t’as peur de plus savoir compter au-delà de 42 ?

  • [^] # Re: Rien de nouveau sous le soleil

    Posté par  . En réponse au journal pour un internet civilisé !. Évalué à 4.

    L’armée (en considérant que les gendarmes n’en faisaient pas partie) peut intervenir dans des missions de police uniquement accompagnée d’un gendarme. J’avais appris ça lors d’un reportage sur des chercheurs d’or illégaux ou je ne sais quoi d’autre hors métropole : l’armée avait repéré des « bandits », mais interdiction d’intervenir, uniquement du repérage. Retour chercher le gendarme (dans la jungle… ça se faisait pas en 10 minutes), pour pouvoir agir. Et encore, même comme ça, je ne doute pas qu’il doit y’avoir de sévères restrictions à cette méthode.

    La raison en est extrêmement simple : il ne sont pas formés pour, pas formés pour respecter la procédure d’arrestation, pas formés pour mener une enquête selon les règles de l’art, pas formés pour faire suivre l’affaire au niveau judiciaire. Donc non, l’armée, au sens strict du terme, ne doit pas intervenir dans des missions de police, c’est totalement aberrant.

    du moment qu'ils n'abîment pas trop les délinquants…

    C’est un vœu pieu, le seul moyen pour que des militaires fassent se boulot correctement, c’est de les former. Et on appellerait de tels militaires des gendarmes… Pour au final se rendre compte qu’ils tiennent plus de la police que du militaire…

  • [^] # Re: eh oui

    Posté par  . En réponse au journal pour un internet civilisé !. Évalué à 7.

    Un exécutif qui dit à demi-mot qu’il faut appliquer une loi, c’est l’aveu de son incapacité à exercer sa fonction. Par extension, un exécutif qui dit qu’il faut créer des lois par dizaines et à chaque « affaire » médiatico-judiciaire-financière-économique alors que l’arsenal législatif est déjà là, c’est un aveu de sa propre incompétence notoire.

    ——
    Tout ressemblance fortuite avec des évènements se passant ou ayant eu lieu en France est totalement involontaire.

  • [^] # Lol la frankofoni, fo use english m1tnan

    Posté par  . En réponse au journal Le Cloud computing français. Évalué à 2.

  • [^] # Re: rollback

    Posté par  . En réponse au journal KDE 5 est lancé, attention, il va bientôt retomber. Évalué à 0.

  • [^] # Re: Autre méthode

    Posté par  . En réponse à la dépêche Dans les kiosques cet été 2011. Évalué à 1.

    « Le résultat est faux. » L’histoire sur le Pentium, bien que marrante :), n’en n’est qu’un corollaire.

  • [^] # Re: La vérité est ailleurs...

    Posté par  . En réponse au journal Pomme, rectangle robots.... Évalué à 4.

    Et bien non justement !

    Tu as des sources ? Parce que tous les liens que j’ai pu voir parlent d’une preliminary injonction ou temporary order.

    Bref, c'est du grand n'importe quoi ce jugement.

    Oh! Attend, un jugement rendu sans défense de la partie adverse, deux hypothèses :
    — « c'est du grand n'importe quoi ce jugement » (corrolaire du « les juges sont tous des idiots en informatique ») ;
    — c’est une décision en attendant de juger sur le fond.

    Et tu penches pour la première ?

  • [^] # Re: La vérité est ailleurs...

    Posté par  . En réponse au journal Pomme, rectangle robots.... Évalué à 3.

    C’est le même principe pour un « vrai » brevet. Il y a une recherche, mais elle ne saurait être exhaustive. La validité n’est jugée que devant le tribunal en cas de litige.

    Beau cas d'inversion de la charge de preuve.

    Disons qu’il s’agit de l’exploitation commerciale. La violation du brevet est facile à constater : tu achètes le produit concurrent et tu le confrontes aux claims du brevet. Il s’agit ensuite de juger de la validité du brevet. Il n’y a pas d’inversion de la charge de la preuve, car il serait matériellement impossible au déposant du brevet de prouver qu’il n’y a pas d’antériorité, par exemple. Dans le cas qui nous occupe, on parle d’injonction préliminaire. Je suspecte que le jugement est à venir. Pour le moment le juge se serait contenter de constater la violation. Mais quelque soit le résultat, Apple aura eu ce qu’il voulait : le retard dans la commercialisation de la tablette Samsung est amplement suffisant, et faire perdre le maximum d’argent à son concurrent (le timing est étonnamment bon, d’après ce que j’ai compris).

  • # blabla

    Posté par  . En réponse au journal Un Google Music libre et pas dans les nuages!. Évalué à 1.

    J’utilise Zeya. Simple et efficace (comprendre : y’a pas beaucoup de fonctionnalités, mais perso. ça me convient). Une méga liste sur laquelle on peut appliquer un filtre. Par contre je ne crois pas que la lecture hors-ligne soit possible.

    Par contre j’avais rencontré un petit hic : le lecteur avait le hoquet à chaque changement de fichier, il a fallu mettre les mains dans le cambouis pour modifier quelques commandes de transcodage (source en flac et stream en mp3 ou vorbis, j’sais plus).

  • [^] # Re: Autre méthode

    Posté par  . En réponse à la dépêche Dans les kiosques cet été 2011. Évalué à 10.

    Second principe du calcul numérique : ne jamais, mais alors jamais, pas question, même pas y penser, même pas en rêve, comparer deux flottants par égalité directe. C’est une aberration de la nature qu’il faut éradiquer sans pitié de l’Univers. Vérifier que leur différence absolue est inférieure à un ε fixé, lui-même supérieur à la précision numérique.

  • [^] # Re: internet = destructeur des emplois locaux

    Posté par  . En réponse au journal Les français aiment-ils leurs libraires ? . Évalué à 0.

    Hop, je rentre dans l’antre caverneuse du troll.

    Ça s’appelle la répartition des richesses et l’équité, ignorée par bien des économistes au nom de la « performance » vouée au culte de la main.

    aucune valeur ajoutée

    Tous des parasites ces fonctionnaires.

    En train de lire un manuel d’économie (ceci expliquant cela;)

  • [^] # Re: Rémunération des "artistes"

    Posté par  . En réponse au journal La licence globale, une “mauvaise solution pour un faux problème”. Évalué à 1.

    Les droits d’auteurs liés à l’enregistrement de la performance d’un « interprète » (chanteur, musicien, acteur) tombent seulement après 50 ans de durée de vie de l’enregistrement. Si cet enregistrement ne fait pas l’objet d’autres droits d’auteurs que ceux du ou des interprètes alors on peut le copier librement.

    Il y a un exemple : pour la musique classique, il existe beaucoup d’enregistrements de plus de 50 ans et dont le compositeur est mort depuis plus de 70 ans (qui ne s’applique donc pas pour l’interprète).

  • [^] # Re: Merci

    Posté par  . En réponse à la dépêche Évolutions techniques de systemd. Évalué à 10.

    Bon ben voilà, je l’aurais parié que les dév. kernel ont implémenté ça de façon un peu plus intelligente que d’attendre d’avoir besoin de RAM pour mettre en swap, et s’éviter ainsi de l’écriture disque pile au moment où on a aussi besoin de lire.

    C’est expliqué avec un joli graphe un peu plus bas. Si j’ai bien compris, lorsque la RAM qui peut être allouée descend en dessous d’un certain seuil on écrit des données en swap. Donc bien avant de se retrouver totalement à cours de RAM. Si jamais l’allocation est très importante et que la quantité libre de RAM continue de baisser jusqu’à un second seuil, alors seulement à ce moment, l’allocation est limitée par la vitesse d’écriture du swap. Le but du jeu est que ce dernier cas de figure ne se présente que rarement avec les bons jeux de paramètres. Sur la Debian, ce serait /proc/sys/vm/min_free_kbytes qui permettrait d’agir sur la quantité de RAM libre en-dessous de laquelle le système doit commencer à mettre en swap. Il est fixé à ~45 Mo par défaut (soit plus qu’une Debian avec postfix, apache, cyrus-imap au démarrage).

    Enfin bref : le swap est là pour libéré la RAM, et le coût de mise en swap est limité vis-à-vis de la demande en mémoire vive (tant qu’elle est raisonnable). De toute façon systemd ne change rien à ce principe : une fois qu’il a lancé le service c’est le swap qui prendra le relais sur une machine qui en a besoin ; systemd va se contenter d’introduire un délai dans ce comportement. Donc je vois pas bien pourquoi se priver du service du swap dans l’intervalle démarrage de la machine — premier accès au service, alors que c’est ce même swap qui entrera en jeu pour toute la durée de vie du service qui est rarement utilisé.

  • [^] # Re: Merci

    Posté par  . En réponse à la dépêche Évolutions techniques de systemd. Évalué à 2.

    À ce propos, je suis étonné qu’il n’existe pas de mise en cache préventive (en tout cas je n’ai rien trouvé de tel). Il me semble pourtant que c’est une idée assez bête. Des infos ?

  • [^] # Re: Merci

    Posté par  . En réponse à la dépêche Évolutions techniques de systemd. Évalué à 3.

    Le swap est là pour ça. Les services et programmes inutilisés s’y retrouvent invariablement. Ça ne vaut d’ailleurs pas que pour les services « pas encore démarré », mais aussi pour les service « utiles seulement au démarrage ou une fois l’an » aka le gestionnaire de connexion ou ton cups que systemd n’ira pas éteindre après l’impression, par contre il ira en swap.

  • [^] # Re: quelques réflexions

    Posté par  . En réponse au journal Les français aiment-ils leurs libraires ? . Évalué à 0.

    De toute façon c’est biaisé. On parle d’un livre anglophone et on compare le prix destiné à un français, et on ne peut pas fonder une conclusion d’un exemple pris dans la masse et dans des contextes qui changent complètement.

  • [^] # Re: quelques réflexions

    Posté par  . En réponse au journal Les français aiment-ils leurs libraires ? . Évalué à 0.

    est un bouquin

    Ah mince ! Bon ça vaut pour l’un comme pour l’autre. Sauf que pour les bouquins j’aurai tendance à mettre ça sur le compte du public très restreint auquel il s’adresse. Le moindre manuel de licence et master attaque dans les 50 € mini. En astro. les bouquins semblent peut-être un peu moins cher : Galactic dynamic et Galactic astronomy dans les 70 €. Tiens, tu veux rigoler, une référence en mécanique quantique, le Cohen-Tannoudji (en deux volume) : http://www.amazon.com/Quantum-Mechanics-2-vol-set/dp/0471569526 (j’avais payé la traduction française du premier volume moins cher tout de même :/).

    Le prix prohibitif pratiqué par les éditeurs scientifiques est totalement abusé.

    Tu as des références sur les prix des éditeurs ? Ce qui m’intéresse ce n’est pas de savoir « que c’est trop cher », mais « comment sait-on qu’ils se font beaucoup de pognon avec la littérature scientifique ».

    Autant pour le copyright je ne trouve pas ça normal (peut-être aussi pour éviter que tous les articles qu’ils acceptent se retrouvent sur un service parasite :/), autant pour le prix des abonnements j’aimerai avoir des arguments un peu plus solides que juste : c’est trop cher (par rapport à quoi ? par rapport à qui ? Les éditeurs scientifiques roulent-ils sur l’or ?), autant du côté des auteurs que des lecteurs.

    Avec l'avènement d'Internet, faire payer aussi cher les articles me dépasse

    Je vois pas le rapport. D’ailleurs du côté des publications scientifiques on peut prendre des abonnements uniquement Internet.

    Il s'agit donc d'une entreprise à temps plein pendant quelques semaines.

    C’est un peu ce que je voulais dire, tu dépenses peut-être 100 $, mais si à côté de ça le nombre d’heures que tu y passes représentent plusieurs milliers de $, le coût n’est pas si prohibitif que ça (y compris pour du « loisir », le temps passé à bachauter c’est ça en moins à dépenser en loisirs autres). Perso., jusqu’à 50–60 €, j’hésite pas vraiment à acheter. Je jouais beaucoup à la console à une époque, c’était dans ses prix là, le calcul a été vite fait en ce qui me concerne.

  • [^] # Re: quelques réflexions

    Posté par  . En réponse au journal Les français aiment-ils leurs libraires ? . Évalué à 0.

    La publication scientifique est chère, très chère. C’est un fait. Il n’y a aucun argument à avoir là dedans. C’est difficilement accessible à un particulier de se payer plusieurs centaines ou milliers d’euros par ans, minimum, pour couvrir un domaine. Pour une entreprise, un laboratoire ou une université, le coût est dilué dans le nombre de personne qui aura accès à la revue ; et surtout, la lecture de la revue permet une activité de veille, ou économique, qui est directement profitable à l’employeur de par la montée ou la stabilisation en compétence de ses employés.

    Quant à l’image d’Épinal de l’autodidacte, amateur qui travaille avec ses propres moyens, elle n’est plus d’actualité. Je suis même étonné qu’il y ait des gens pour y croire encore. Dans mon domaine je vois mal comment on pourrait suivre tout la production publiée sur son « temps libre », il suffit de faire un tour sur ArXiV pour s’en convaincre (incroyable! les articles — qu’on retrouve plus ou moins dans les revues, le « plus ou moins » étant fonction du domaine). D’où le sacré courage que je reconnais à Lasher si c’est effectivement le cas, plus qu’un investissement financier ce serait alors un sacré investissement en temps.

    Que la production scientifique soit accessible à tous est un vœu pieu vu le niveau et la formation que requiert la lecture et la compréhension d’un article scientifique. Au mieux on peut espérer comprendre quelques bribes, mais ce n’est jamais brillant (en tout cas dans mes tentatives d’approcher d’autres domaines).

    Si tu tiens tant que ça à avoir les publications accessibles à tous, propose un financement pour un service de peer-review et publication qui soit suffisamment costaud pour, disons dans 10 ans, être reconnu comme fiable. En reportant la baisse de revenu sur les auteurs ? Du mécénat ? L’état (et donc toi-qui-n'utilise-pas-ce-service-et-qui-veut-pas-payer-pour) ? En attendant je me suis rendu compte qu’on pouvait payer à l’article, je ne sais pas à combien ça revient, mais ça doit être un bon compromis pour un particulier (dans mon cas en tout cas, ce n’est que très rarement toute un numéro qui m’intéresse).

  • [^] # Re: quelques réflexions

    Posté par  . En réponse au journal Les français aiment-ils leurs libraires ? . Évalué à -4.

    Olà, la littérature scientifique n’est pas destinée aux particuliers. Ça devrait pas être ton patron qui te paie la revue ? Si tu travailles dans le domaine c’est la moindre des choses. Si tu travailles pas dans le domaine… ben tu as un sacré courage !

  • [^] # Re: quelques réflexions

    Posté par  . En réponse au journal Les français aiment-ils leurs libraires ? . Évalué à -1.

    Je ne pense pas être un libéral pur jus, mais je constate que le système actuel ne permet pas au prix de s'ajuster en fonction de la demande.

    Rien ne permet de dire à priori à quel niveau de prix va se situer un produit. Un marché libre (et pas le capitalisme, qui n’a rien à voir dans l’affaire), n’a pas pour « principe » de faire baisser les prix, ormi dans les têtes propagandiste des ardents « privatiseurs ». Il s’agit uniquement d’un ajustement du prix en fonction de l’état du marché, cet ajustement peut très bien être revu à la hausse.

    je constate que le système actuel ne permet pas au prix de s'ajuster en fonction de la demande. Si je vois un livre à 30€, que je suis prêt à l'acheter à 20€, mais pas à 30€, la vente ne se fait pas.

    Deux choses. C’est le prix librement fixé par l’éditeur, même si tu libères le prix dans la chaîne complète tu ne vas pas avoir non plus une diminution faramineuse ; le prix est donc déjà ajusté selon l’offre et la demande, c’est fait plus en amont que d’habitude, ni plus ni moins. Et même si tu n’es pas prêt à payer, peut-être que d’autres le sont, dans un contexte complètement libéré, c’est la situation globale du marché qui va fixer le prix, pas ton non-achat particulier, cette situation globale peut être très bien en faveur de la hausse du prix (demande élevée) tout autant que la baisse (offre élevée). Autrement dit : y’a trois gus qui sont venu l’acheter 5 minutes après toi, ton bouquin à 30€, au lieu de se faire 4×20€ (toi et les 3 gus achètent), la chaîne complète se fait 3×30 €. Et, puisqu’il est question de capitalisme, il y a eu besoin « d’investir » moins de livre, tout bénéf.

    Oh! peut-être bien que le prix va baisser dans un premier temps, histoire d’attirer le client. Ce qui aurait pour conséquence de faire fermer boutiques aux vendeurs qui ne peuvent pas suivre. Les restants pourraient alors gentiment remonter les prix.

    Bref, il est difficile de prédire ce que le prix unique ou son absence aura pour conséquence. Alors les déclarations à l’emporte pièce comme quoi ça fait augmenter le prix « parce que c’est le principe du capitalisme », je m’en passerai bien.

  • [^] # Re: quelques réflexions

    Posté par  . En réponse au journal Les français aiment-ils leurs libraires ? . Évalué à 0.

    on tire ainsi les prix vers le haut

    Pourquoi ? Pourquoi tout le monde semble croire que libérer un prix va le faire baisser ?