BB a écrit 527 commentaires

  • [^] # Re: Langue traïne!

    Posté par  . En réponse au journal Les français aiment-ils leurs libraires ? . Évalué à 2.

    Pertinent.

    Je ne peux plus te pertinenter. Alors j’écris un commentaire pour te pertinenter. La diffusion est une composante essentielle de la culture sinon la plus importante, car elle est nécessaire à la production, excepté dans l’image surannée de l’artiste créant ex nihilo.

    Quand au mot « art », Zenitram, parce que ça l’arrange, prend l’ancienne définition du terme, celle qui englobe l’artisanat. Pour moi le caviste n’a que peu à voir avec le libraire. Et qu’on ne m’y prenne pas : cette distinction ne nécessite aucun jugement de valeur !

  • [^] # Re: AS n°4 - définitions

    Posté par  . En réponse au journal Quatre AS dans la manche . Évalué à 2.

    Bah, c’est un logiciel qui fait tout et même le café. À bien y réfléchir, il existe, beaucoup de lignes de code ont déjà été pondue. En fait, c’est un fork d’emacs. Pourquoi crois-tu que Stallmann soit autant diplomate avec le môsieur ?

    De ce que j’ai pu lire ici et là Jayce était un allumé sévère. SamWang est carrément rigolo parce qu’il ne se fâche pas, tourne en dérision tout et tout le monde. C’est d’ailleurs ce qui me fait pencher vers le gars qui veut juste s’amuser avec les habitués de Linuxfr en racontant n’importe quoi. Par contre faut être tout autant allumé pour écrire des tartines dans ce seul but… et de les lire !

    Au fait SamWang, tu sais coder dans quels langages ?

  • [^] # Re: question

    Posté par  . En réponse au journal Les français aiment-ils leurs libraires ? . Évalué à 1.

    C’est bien un truc que je retiendrai de ce journal : les gens sont très durs. Au-delà de savoir si les libraires sont vraiment une profession sans avenir ou pas. Ça ne les gêne pas du tout de dire que les libraires ne doivent être aidé en aucune manière, histoire que les évolutions économiques, trop rapides sur l’échelle humaine, ne mettent pas sur le carreau des gens qui ont choisi un métier qui ne disparaît que des dizaines d’années après leur choix initial.

  • [^] # Re: Quelque petit trucs "amusant" sur KDE 4.7

    Posté par  . En réponse au journal Sortie de KDE 4.7. Évalué à 1.

    Ah! je savais bien que popcon.debian pouvait servir à quelque chose :)

    http://qa.debian.org/popcon.php?package=kdebase-workspace

    http://qa.debian.org/popcon-graph.php?packages=plasma-widgets-workspace

    L’historique est facile à voir, kde4 est sorti début 2009. Aucune baisse franche à ce moment là ou après. Il y a bien une baisse, baisse entamée un an plus tôt…

    Après avoir jeté un œil à quelques paquets de gnome je me rend compte qu’ils ont à peu près la même forme de graphes (par contre un éventuel passage kde->gnome serait éventuellement noyé dans le bruit de celui de Gnome).

    Encore une fois la théorie du « 1% de râleur qui passent pour le comportement de 99% des utilisateurs » est vérifiée :)

  • [^] # Re: Quelque petit trucs "amusant" sur KDE 4.7

    Posté par  . En réponse au journal Sortie de KDE 4.7. Évalué à 1.

    ça ne signifie pas que tu doives le forcer tant qu'il n'est pas stable en le mettant dans une version stable.

    J’ai l’impression que les utilisateurs de logiciels libres sont, au final, très exigeants envers les programmes qu’ils utilisent. Des bugs dans des logiciels ça existent, si ça marche pas, tu n’utilises pas. Personne ne force à personne à se servir de Nepomuk, quand bien même il est activé par défaut. S’il est consommateur de ressource ça prend 30s à désactiver, 1min supplémentaire pour les notifications, c’est certainement plus rapide que d’installer Gnome… Mais pour que les bugs soient corrigés, il faut à un moment ou un autre que des gens utilisent les logiciels.

    C'est inadmissible que ça soit présent dans les versions stables du projet quel que soit son intérêt à terme pour le projet.

    En quoi est-ce inadmissible ? Si le bug n’était pas connu… De plus il n’entraîne aucune perte de données hors Nepomuk. J’ai peut être oublié de mentionner que c’est certainement lié au bug que j’ai signalé, et donc lié à une utilisation assez particulière (script maison pour télé-charger, au lieu d’une utilisation normale via un navigateur, qui aurait ajouté l’extension .part, exclue de l’indexation).

    Et pour cause, on est passé de 2/3 d'utilisateurs sous KDE à 1/3 à peu près autour de KDE4.

    Je vais la faire façon Wikipedia. Sources ?

  • [^] # Re: Quelque petit trucs "amusant" sur KDE 4.7

    Posté par  . En réponse au journal Sortie de KDE 4.7. Évalué à 3.

    Je l’utilise, et j’ai toujours trouvé les fonctionnalités de ce genre d’outils alléchantes. Si bien que même si nepomuk&co ont tendance à bugouiller¹ je ne peux plus m’en passer. Mais je comprends que pour certains les inconvénients dépassent les avantages de ce genre d’outils. Ce qui ne signifie pas que lorsqu’il sera plus stable ils ne s’y mettront pas eux aussi. Entre autres avantages :
    — recherche sur le bureau ;
    — fini le temps passé à savoir si je devais ranger mes photos de vacances dans le dossier vacances ou dans le dossier loisirs_photos, c’est con à dire ;
    — uniformisation de l’accès, que ce soit des mails, des photos ou des pdf, la même base de donnée et le même outil vont me permettre de lancer une recherche dessus ;
    — choix de l’interface en fonction de l’action que je veux faire, je tag mes photos dans Digikam et fait une recherche dans Dolphin des photos pour les transférer sur USB, ça évite de polluer Digikam avec des fonctionnalités de gestionnaire de fichier, et Dolphin avec des fonctionnalités de gestionnaire de photographies.

    Ça, ce sont les trucs dont je me sers, mais je pense qu’à l’avenir pleins d’usages pourront être trouvés. Le manque d’innovation est le reproche typique fait aux environnements de bureau sous Linux. L’innovation, la vraie, la radicale, celle qui veut changer les usages et proposer un paradigme différent d’utilisation, n’est pas nécessairement une demande des utilisateurs. Pour preuve, que ce soit pour Gnome ou pour KDE, il y a et il y a eu beaucoup de réticences aux nouvelles versions. Ces réticences sont légitimes mais montrent aussi une inertie de la part des utilisateurs qui préfèrent bien souvent ne pas voir de changements dans leurs habitudes de travail. Il faut se rappeler des débuts de KDE4 : tout le monde était contre. Puis les avis ont commencé à changer au fur et à mesure que les choses ont commencé à se stabiliser (stabilité dans les deux sens du terme : fiabilité des logiciels et convergence des fonctionnalités à un niveau acceptable). Maintenant les afficionados de KDE3 ne sont plus guère bruyants. Nepomuk commence tout juste à être exploitable et ça te suffit pour juger de l’intérêt de la chose ? Il faut laisser le temps aux programmeurs de faire le boulot et se donner les moyens de s’approprier l’outil avant de le rejeter en bloc…

    ¹ Il supporte assez mal des fichiers qu’on écrit en continu, ça se règle en leur assignant une extension et en interdisant l’indexation sur cette extension de fichiers. Il y a encore peu, il n’était pas fiable (perte régulière de la BDD), mais il s’améliore beaucoup.

  • [^] # Re: Les vrais ajouts

    Posté par  . En réponse au journal Java 7 est dispo !. Évalué à 1.

    Désolé, à propos du PS, je te confonds toujours avec Bruno Michel -_-

  • [^] # Re: Les vrais ajouts

    Posté par  . En réponse au journal Java 7 est dispo !. Évalué à 2.

    Yep, je suis d’accord, Python est une outre bourrée remorquée par un escargot¹. Mais quand tu fais du Python, la vitesse d’ouverture d’un fichier est le dernier de tes soucis question performance. Dans le cas contraire, il y a un sérieux problème dans un programme qui veut ouvrir un fichier toutes les 10 ms. Je voulais juste remettre en doute l’affirmation qui dit que les chaînes de caractères sont moins performantes que les flags. Dans l’absolu je ne le crois pas. Ce servir d’un langage lent pour dire que les chaînes de caractères dans fopen sont longue à “parser”, c’est « juste pas très honnête » :p

    Par définition, la plus petite quantité de données adressable c'est le byte donc 8bits sur nos machines actuelles.

    Mais es-tu certain, par exemple si je fais :

    char a, b, c; a = 54; b = 18;
    c = a & b;
    

    qu’un processeur 32 ou 64 bits va manipuler de bout en bout des octets et pas plutôt des entités de 4 ou 8 octets en interne (avec le “zero-padding” qui va bien).

    Typiquement, pour des raisons de performances tu sais que :

    struct {
     char a;
     int b;
    };
    

    aura tendance à laisser un “trou” entre a et b, parce que « l’octet c’est bien gentil, mais les ordinateurs ont évolué depuis, et c’est pas forcément pertinent de redescendre à ce niveau là à l’heure actuelle ».

    De même au niveau du processeur je me demande si, quand on lui demande une opération sur un octet, il ne se contente pas simplement d’appliquer un masque sur une opération qu’il aura faite préalablement en 32 ou 64 bits.

    Enfin l'utilisation de constantes fait que tu n'a pas à parser l'argument tu t'en sert directement comme d'un tableau de booléens.

    ?!?
    Je ne sais pas trop ce que tu as voulu dire. Typiquement, pour le C ce que je fais dans ce cas là c’est de tester mon argument qui contient les flags, appelons le arg, avec des flags A, B, C, etc. pour cela je fais le test :

    arg & A; /* renvoie un nombre différent de 0, ou 0, pour savoir si le flag a été allumé, ou pas, respectivement. */
    

    C’est une opération bit-à-bit et un test par flag, si tu as 8 flag ça tient dans un octet. Partant de là, le fopen du C ne doit pas être moins performant que son équivalent avec flag : 6 modes possibles, 6 tests d’égalité à faire, sur un octet. Effectivement si tu t’amuses à ne plus définir l’ordre des caractères, ou à augmenter la taille de la chaîne, alors je veux bien croire qu’il vaut mieux utiliser des flags.

    ¹ J’utilise ce langage tous les jours et je l’adore. Même si ça ne se voit pas.

    PS : j’en profite de t’avoir sous la main pour un commentaire sur markdown. tralala_: poum, où « _ » est une espace insécable, perturbe l’analyse de *lala* pour le mettre en italique. Comme *ici* : snif.

  • [^] # Re: Question existentielle

    Posté par  . En réponse au journal Emacs sapusaipalibre. Évalué à -2.

    Cette interprétation est courante, mais fausse.

    C’est bien de le dire. Donner des arguments c’est mieux. Et le seul que j’ai compris de ton commentaire est : c’est l’auteur qui porte plainte donc (?!!!) l’utilisateur ne peut pas.

    Moi, en tant qu'utilisateur final, je recois des fichiers de la FSF, et j'ai le droit de les redistribuer comme ils m'ont été fournis.

    Précisément dans le cas où la GPL est distribuée avec. Il s’agit bien du contrat utilisateur—distributeur. Dans cette licence il y est bien mentionné que l’utilisateur peut réclamer les sources et que le distributeur s’engage à les donner. Non ?

  • [^] # Re: Les vrais ajouts

    Posté par  . En réponse au journal Java 7 est dispo !. Évalué à 2.

    Pour ce que ça vaut :

    The argument mode points to a string beginning with one of the following sequences (Additional characters may follow these sequences.):
    [liste des six séquences disponible, de maximum deux caractères]
    man fopen

    Donc “parser” la chaîne de caractères consiste au bas mot à comparer deux char avec une liste de 6 séquences prédéfinies. C’est donc six comparaisons d’un entier 32 bits. Ni plus ni moins. Question performance je vois difficilement comment faire mieux. En fait je suppute que ce soit exactement les mêmes. D’ailleurs, des processeurs n bits peuvent-ils manipuler nativement des entités de m bits, m<n ? De toute façon, que les concepteurs du C aient choisi d’utiliser la chaîne de caractère devrait être une assez bonne indication que ça ne pose pas de problèmes de performances (ton argument sur Python se retourne contre toi là :p).

    Pour la question de la lisibilité, question d’habitude, probablement, donc débat de sourds, certainement. Je trouve mille fois plus lisible et plus agréable un code à deux lettres que de jouer avec des flag.

  • [^] # Re: Quelque petit trucs "amusant" sur KDE 4.7

    Posté par  . En réponse au journal Sortie de KDE 4.7. Évalué à 1.

    il y a Microsoft aussi

  • [^] # Re: Quelque petit trucs "amusant" sur KDE 4.7

    Posté par  . En réponse au journal Sortie de KDE 4.7. Évalué à 1.

    En fait y’a une autre différence entre les deux commentaires.

    Je te laisse conclure. :)

  • [^] # Re: Quelque petit trucs "amusant" sur KDE 4.7

    Posté par  . En réponse au journal Sortie de KDE 4.7. Évalué à 4.

    Il y a eu des réponses entre temps. Il semblerait que cette réécriture importante soit nécessaire pour corriger les bugs présents dans la RC. Peut-être qu’une RC supplémentaire n’aurait pas été inutile ?

  • [^] # Re: bureau de vote électronique

    Posté par  . En réponse au journal Du vote par correspondance. Évalué à 0.

    Donc ton système marche à condition que les gens vérifient qu’ils ne sont pas sur ta liste, même ceux qui n’ont pas voté, et donc potentiellement se désintéressent de la vie politique. Et il faut que le pourcentage de ces personnes reste négligeable en regard de l’écart des votes d’une élection. Vu l’abstention actuelle je ne parierai pas là-dessus.

    Quand à ton histoire d’OpenPGP, j’ai rien compris : l’identifiant de l’électeur (que ce soit un hash, un double hash, une clef PGP ou l’âge de sa grand-mère) est public. L’important dans l’histoire est que tu as un vote relié à un identifiant, quelque soit la nature de ce dernier.

  • [^] # Re: bureau de vote électronique

    Posté par  . En réponse au journal Du vote par correspondance. Évalué à 2.

    Il est où le bourrage de l'urne ?

    (Au moins) 4 votes dans ta liste pour 3 votants… si c’est pas du bourrage d’urne !

    Dans la 15327ème ligne qui se trouve dans « ... », comment tu fais pour savoir si l’aléa se rapporte à une personne qui a voté ou à une entrée bidon qui compte sur l’abstention pour passer inaperçue ? Qu’est-ce qui t’assure que « le nain » et « Jacque Dupuis » ont bien voté et que ce n’est pas une tierce personne qui a émis un vote supplémentaire en comptant sur le fait qu’ils ne voteraient pas ?

    Et ensuite comment garantis-tu le secret et l’indépendance du vote ? « Secret » s’entend aussi dans la méfiance qu’on peut avoir en l’électeur lui même : il faut s’assurer que celui-ci n’ait pas le moyen matériel de garantir qu’il a voté pour untel (la vente est alors impossible). Car, contrairement à ce qui a été dit, en France il semble que l’électeur doit passer par l’isoloir :

     Sans quitter la salle du scrutin, il doit se rendre isolément dans la partie de la salle aménagée pour le soustraire aux regards pendant qu'il met son bulletin dans l'enveloppe ; […]

    L62-1 du code électoral

  • [^] # Re: Rêvons…

    Posté par  . En réponse au journal Du vote par correspondance. Évalué à 2.

    La démocratie passe par des institutions solides, sinon son existence ne tient qu’à la volonté du peuple et de ses représentants dans l’instant. Tant mieux si les gens respectent les principes démocratiques. Mais c’est très léger, au vu de la nature humaine et de l’Histoire, de se baser uniquement sur la bonne volonté de quelqu’uns. Je préfère mille fois que les institutions, parmi lesquelles la procédure de vote, imposent les principes démocratiques, même si ça apporte des contraintes à certains. Une absence de vote est préférable à un vote à la légitimité contestable, du point de vu général.

    Tant que le vote par correspondance reste cloisonné aux cas exceptionnels tel que tu le vis, je n’y vois rien à redire ; s’il n’y a que ça pour te faire plaisir, et tant pis si la procédure est, par essence, bancale ! Le « citoyen » que tu es aura eu la satisfaction d’avoir « accompli » son « devoir » pour le « bien » de la démocratie, tant ravagée par cette « abstention » qu’il faudrait « combattre ». Quid de la vérification et de la validation du vote ?

    Attendre que la fraude massive soit constatée est une démarche vouée à l’échec : l’élection ne pourra être validée, faute de représentants légitimes la procédure élective ne pourra être modifiée, et, les même causes entrainant les même effets, la fraude suivante inévitable. Il faut bien comprendre que les élections sont un moment crucial dans la vie d’un pays, et qu’il n’existe pas, à ce niveau, de droit à l’erreur ni de seconde chance en cas de fraude importante.

    En l’occurrence il y a la procuration, certes plus contraignante, mais qui a au moins le mérite de subir un minimum de vérification et de laisser une trace sur la personne qui « récupère » le vote.

  • [^] # Re: La fin du « péril jaune »

    Posté par  . En réponse au journal Linux en entreprise : votre retour ?. Évalué à 2.

    il peut pas se faire 30% de marge sans rien foutre

    Sur le coup j’ai cru que tu parlais des 30 % (c’est bien 30?) de droit de cuissage que ce fait Apple sur son marché. « Tiens ! pff critique Apple. »

  • # Rêvons…

    Posté par  . En réponse au journal Du vote par correspondance. Évalué à -2.

    L’idéal serait que quelqu’un avec une audience suffisamment importante « vende » son vote au plus offrant. En faisant un peu de bruit je suis certain que ce serait un moyen simple et efficace de faire prendre conscience du danger de cette dérive. La question s’est déjà posée (pour certaines municipales je crois) en métropole, et les arguments à la télévision nationale ne volaient pas bien haut (tradition vs. modernité « au moins les gens votent avec cette méthode »).

  • [^] # Re: C'est du bon

    Posté par  . En réponse au journal Les SSD. Évalué à 3.

    L’intérêt du swap c’est aussi de décharger la RAM pour laisser de la place au cache disque. Je préfère voir xdm/login/sshd&co en swap plutôt que la liste des fichiers du ~/home/data, par exemple. Certes, avec un SSD ça doit être moins critique.

  • [^] # Re: C'est du bon

    Posté par  . En réponse au journal Les SSD. Évalué à 6.

    Le SSD de 30 Go à 21€. Je veux bien que tu donnes le nom de ton fournisseur. Je cracherai pas contre ; je viens de regarder c’est pile ce qu’il me faut :/

  • [^] # Re: Licence ?

    Posté par  . En réponse au journal No coment. Évalué à 2.

    Heu… un brevet est national et ne vaut que dans l’état pour lequel il a été déposé. Dans ce cas une multinationale européenne peut très bien attaquer une multinationale américaine pour un produit qu’elles fabriquent en Chine, parce que l’américaine le vend au Brésil, là où l’Européenne a déposé un brevet. C’est au Brésil, à priori, que la plainte doit être déposée.

  • [^] # Re: Source / Via

    Posté par  . En réponse au journal No coment. Évalué à 2.

    L’effet n’est plus là. C’est dommage. Alors qu’il aurait suffit de mettre l’auteur et la source juste en-dessous de l’image.

  • [^] # Re: Quelle question !

    Posté par  . En réponse au journal ou sont les man ?. Évalué à 3.

    Idem de mon côté, en fait je crois que ça dépend vraiment du programme auquel on a affaire. Je fais de l’analyse numérique et parfois je dois débuguer le code d’un intégrateur numérique. Rien ne vaut le log pour suivre l’évolution dans le temps accompagné de graphiques adéquats. Choses que ne peut pas faire un débuggeur. Ce n’est pas à proprement parler du débug, car à ce stade là le programme tourne correctement, mais de la vérification des algorithmes, de leur validité du résultat attendu.

  • [^] # Re: et les implications juridique ?

    Posté par  . En réponse au journal Microsoft est dans le top 5 des contributeurs de linux 3.0. Évalué à 1.

    C’est intéressant ce que tu dis. Mais présentement, comment ce genre d’analyseur aurait pu éviter la confusion des arguments dans memset ?

    Parce que memset(pointer, sizeof(data), 0); est valide et me semble difficilement repérable. Encore là, comme le 0 est en dur, on peut se douter que cette ligne est idiote. Mais dans le cas où le 0 aurait été une variable connue qu’à l’exécution, variable suffisament contrainte pour ne pas être plus grande que la taille du tableau de pointer ? Dans ce cas, je vois mal comment un outil quelconque d’analyse aurait pu trouver l’erreur.

    Dans tous les cas cela montre qu’il ne faut pas trop se reposer sur ce genre d’outils. Ne serait-ce parce qu’il se peut que « l’erreur bête » donne quelque chose de valide à travers l’analyseur, la compilation et les tests. En cas de doute, la consultation de la documentation est primordiale. Alors les pages de man sont peut-être préhistoriques, mais c’est typiquement le genre de cas où leur légèreté et leur rapidité leur permettent d’être efficaces.

  • [^] # Re: et les implications juridique ?

    Posté par  . En réponse au journal Microsoft est dans le top 5 des contributeurs de linux 3.0. Évalué à 4.

    Y’a pas un problème de métrique dans ce cas là ? Si ce sont des changements de style et du nettoyage superficiel, qui fort passer dans le top 5, ce dernier est-il pertinent ?