Soit ta partition système est vide parce que l'installation s'est mal déroulée, soit le kernel essaie de booter sur la mauvaise partition (possible si l'installation utilise des UUID pour les reconnaître et que ceux-ci ont changé entre temps). « init ».
Un kernel panic, c'est une situation dans laquelle le noyau lui-même ne peut plus continuer à travailler. C'est un peu l'équivalent d'un écran bleu sous Windows, à ceci près que le message d'erreur est généralement plus explicite. Ça peut être dû à des choses sérieuses comme des défaillances matérielles mais en l'occurrence, ça veut juste dire qu'une fois qu'il a démarré complètement, il ne trouve pas le programme « init », qui est en fait le premier des programmes fonctionnant normalement et qui est chargé de lancer proprement tout le reste ensuite.
Appuie sur « e » au démarrage à la place d'entrée en face de « Ubuntu with linux 3.13.0-24-generic » pour voir quelles sont les options passées au noyau. Il faudra peut-être ensuite démarrer avec un LiveCD pour voir si l'installation sur le disque a vraiment échoué ou s'il s'agit d'autre chose.
Il se peut enfin que tu aies des problèmes avec l'UEFI mais je n'ai aucune expérience de ce côté.
Et surtout, quel âge a le portable ? Il a fallu que je recoure à « forcepae » pour pouvoir prolonger la vie d'un Presario X1000 en lui installant une Lubuntu remplaçant une Hardy Heron hors d'âge.
ça revient au même ? La commande cp est plus sexy !
Oui, puisque les fichiers spéciaux /dev/sdxx (et tous les périphériques disque en général) servent à présenter le contenu du disque entier, secteur par secteur et du premier au dernier, comme une grosse image linéaire. C'est l'interface privilégiée entre le kernel, le hardware du disque et l'utilisateur. Ça fonctionne aussi en faisant « cat image.iso > /dev/sd… » mais c'est un UUOC.
Jusqu'à une époque récente, les 512 premiers octets de l'image d'un noyau fraîchement compilé contenaient systématiquement une amorce (au moins sur PC), tant et si bien qu'un « cat bzImage > /dev/fd0 » donnait automatiquement une disquette bootable. En fait, seul le noyau démarrait mais on le configurait pour qu'il embraye de lui-même vers le disque approprié. C'était pratique avec les BIOS un peu capricieux qui ne voulaient pas démarrer sur les disques secondaires, et lorsque l'on écrasait accidentellement le MBR (par exemple, à la suite de l'installation d'un autre système) avant que les LiveCD se généralisent.
« dd » signifie « Disk Dub », et sert donc littéralement à dupliquer les disques. Formellement, il va faire la même chose qu'un « cp », à savoir écrire le contenu d'un fichier dans un autre, mais avec des options supplémentaires comme la possibilité de spécifier des offsets, d'indiquer où il en est, et éventuellement de continuer son travail même s'il rencontre des secteurs défectueux. Mais sa principale raison d'être reste la possibilité de faire des accès calibrés, c'est-à-dire de taille fixe et alignés sur des adresses multiples d'un certain facteur, en principe la taille d'un secteur ou d'un bloc. Normalement, c'est la couche « périphérique bloc » du noyau qui s'occupe de ce travail, mais ça devenait nécessaire quand on utilisait des raw devices.
Effectivement, toute l'astuce va consister à construire des périphériques qui, d'un côté, s'interfacent avec un ordinateur central et, de l'autre, sont capables de piloter des équipements existants.
Pour la lumière, domotique ou pas, il existe déjà les télérupteurs. Il s'agit d'interrupteurs télécommandés qui viennent se placer directement sur le tableau électrique et qui fonctionnent comme des relais bistables. En fermant un circuit, on alimente un électro-aimant qui inverse la position du bouton, qui peut par ailleurs être manipulé à la main depuis le tableau. L'avantage est que tu peux alors mettre autant d'interrupteurs que tu veux dans tes pièces, là où un va-et-vient ordinaire se limite à deux. Du coup, il est très facile d'ajouter en parallèle un relais ou un triac pour obtenir le même effet mais à l'initiative de ta centrale.
Pour le chauffage, la plupart des appareils électriques modernes sont équipés d'un fil pilote, qui en principe se passe dans la même gaine que l'alimentation. Lorsqu'il est utilisé, il permet au minimum de demander à l'appareil de basculer entre deux programmes (formellement jour ou nuit), ainsi que certains modes prédéfinis comme la mise hors-gel ou l'arrêt total : http://www.planete-domotique.com/blog/wp-content/uploads/2012/01/ordre_fil_pilote.jpg
Là encore, ces fils pilotes sont faits pour être gérés par un équipement rudimentaire comme un détecteur d'heures creuses ou un thermostat, mais ils peuvent sans difficulté être exploités par la même centrale.
Ça dépend de ce que tu veux faire. Si tu veux faire cohabiter les deux, il va falloir repartionner le disque, redimensionner les filesystems etc. Ça se fait beaucoup mais ce n'est pas trivial. Si, en revanche, tu te moques complètement de Windows XP et de ce qu'il y a sur le disque (à vérifier quand même), alors tu peux lancer une installation initiale qui effacera tout et utilisera automatiquement la totalité de ton disque.
Tu peux installer Linux depuis une clé USB également, à condition de choisir la distribution appropriée et de bien préparer ta clé.
Enfin, c'est mieux si tu peux avoir accès à Internet pendant l'installation (par câble Ethernet ou par Wifi). La majorité des packages sont rapatriés directement depuis les serveurs de l'éditeur de la distribution que tu auras choisie et les mises à jour pourront se faire également pendant cette phase.
Il explique que bien qu'on lui ait réservé une IP fixe, l'administrateur lui demande quand même de faire en sorte que ce soit le DHCP qui lui attribue, probablement pour pouvoir facilement en changer si le besoin s'en faisait sentir, sans avoir à intervenir sur la configuration d'un serveur tiers.
Il explique également n'avoir aucune confiance dans le serveur DHCP et souhaiter mettre en place une procédure de fallback qui pour s'attribuer soi-même l'IP fixe par défaut si jamais le serveur est parti faire un tour au bistrot.
Fais un « mount | grep " /dev " » pour voir ce qui émule ton /dev mais, en principe, il s'agit d'un système de fichiers virtuel reconstruit à chaque redémarrage.
À mon avis, techniquement, tu peux sans risque flanquer /dev2 aux oubliettes, à condition de bien vérifier qu'il n'y a rien d'autre dedans que ce qui ce se trouve déjà dans le /dev ordinaire. Mais avant de le faire, il faut quand même être certain de savoir ce qui l'a mis ici.
Je pense également que ton « mv / /mnt/backup » n'a rien à voir dans tout cela. Je ne sais pas comment fonctionne Amanda Backup en particulier parce que je ne l'utilise pas, mais il est possible, bien que peu probable, qu'un système de backup quelconque ait voulu restaurer une ancienne copie et ai renommé le répertoire existant parce qu'il existait déjà. Ça paraît douteux quand même. Tu es sûr de ne plus te souvenir d'une opération particulière effectuée le 16 avril ?
Tu peux utiliser le lien « Répondre » en bas de chaque commentaire pour préserver le fil de la discussion.
Pour /dev2, c'est assez étrange. Il n'est pas impossible qu'il s'agisse d'un rootkit, mais c'est un peu voyant tout de même. Le « ls » renvoie la date du 16 avril. Ça te dit quelque chose ?
S'il a une adresse en 82.226.xxx.yyy, c'est qu'il a une Freebox.
C'est effectivement elle qu'il faut re-régler. Il arrive effectivement qu'elle repasse en mode bridge à la suite d'une mise à jour qui s'est mal passée ou si on l'a réinitialisée. Il faudrait connaître le modèle de sa boîte pour savoir s'il doit faire cela à travers sa console de gestion (jusqu'à la V5) ou intervenir directement sur la boîte.
Il y a aussi « Portal 2 » qui fonctionne en natif sous Linux depuis quelque temps sur cette même plateforme. Il est toujours marqué « Bêta » mais il semble tourner malgré tout sans problème. En fait, tous les jeux Steam que j'ai personnellement achetés et que je faisais fonctionner avec Wine sont désormais disponibles, à l'exception de « In Momentum » que je n'ai jamais réussi à lancer.
Même d'anciens titres comme « System Shock 2 » sont disponibles également, et ça fait plaisir de voir ces jeux fonctionner directement sous Linux.
Ah ! C'est dommage d'arriver à la dernière et de ne pas finir ! :-)
Cette dernière tâche est néanmoins très intéressante parce qu'elle montre qu'en dépit de ce que l'on a pu faire en étant tenu par la main et qui n'était pourtant pas facile, faire du code Kernel propre et réellement utile reste très difficile. C'est une bonne chose pare qu'elle arrive à un moment où l'on a quand même accumulé suffisamment de connaissances pour avoir envie de s'en servir mais que cela pousse à être extrêmement circonspect au moment de la rédaction du moindre patch, ce qui est en somme ce que l'on attend le plus des développeurs noyau. Car autrement, cette vérification incombe au mainteneur, qui doit alors faire de même avec des centaines d'autres soumissions au même moment. Les témoignages de GKH à ce sujet sont parfois croustillants : https://www.youtube.com/watch?v=fMeH7wqOwXA
On va passer sous silence le nombre total de tâches ainsi que le contenu de la dernière pour ne pas gâcher le plaisir aux concurrents, mais si tu as déjà soumis un premier résultat et qu'il a été retoqué, Little Penguin t'aura probablement indiqué des outils à utiliser pour vérifier tes opérations. Il se trouve que l'un d'eux est beaucoup plus tatillon que les autres et rend la tâche encore plus compliquée, au point qu'au bout de trois jours supplémentaires, j'ai fini par poser la question et demander si ça faisait vraiment partie du défi. Ce n'était pas le cas. Cela dit, cela demande quand même de poser les verrous au bon moment et de savoir jouer avec les différents buffers, mais ce n'est pas plus difficile que la tâche précédente.
Effectivement, ça a l'air d'être un cours pour ceux qui découvrent le système d'exploitation, voire se mettent tout juste à l'informatique. Ça reste une très bonne chose, surtout si ça permet d'entrée d'emblée dans la manipulation de Linux, voire d'Unix directement, sans être dépendant des interfaces propres à certaines distributions. Je me souviens avoir touché à quelques Linux courant 1996 et avoir sérieusement commencé en 1998 quand j'ai eu un PC à temps plein pour l'installer et travailler avec. À l'époque, il y avait encore pas mal de choses à configurer soi même pour que tout marche, et on pouvait encore avoir un aperçu des fondamentaux. Configurer un kernel était effectivement un passage obligé à plus ou moins court terme, comme on le précisait dans une autre discussion, justement concernant Eudyptula : http://linuxfr.org/users/edb/journaux/devenez-un-developpeur-linux
Et puisqu'on en parle, j'ai récemment fini le défi Eudyptula et ça m'a vraiment rendu très enthousiaste ! Contribuer au noyau Linux est devenu un processus difficile à appréhender alors qu'il reste essentiel. Je trouve les tâches très bien construites et ordonnées, même s'il faut une certaine dose de motivation parce que personne n'a dit que ce serait facile… :-) Il faut être patient parce qu'en dépit de ce qui est écrit, il y a quand même au moins une personne qui supervise les scripts et les réponses soumises. Ça doit demander beaucoup de travail.
Question 3 : Peut-on importer des Pointeur de Laser Vert de classe supérieure (l'importation n'incluant pas l'utilisation, on peut très bien acheter un sabre à condition de le garder chez soi)
Malheureusement, la LOPPSI 2 est passée par là entre temps, votée par de sympathiques et responsables personnes qui n'ont eu de cesse de vouloir nous protéger contre nous même :
Le fait d'acheter, de détenir ou d'utiliser un appareil à laser non destiné à un usage spécifique autorisé d'une classe
supérieure à 2 est puni de six mois d'emprisonnement et de 7 500 € d'amende.
Est puni des mêmes peines le fait de fabriquer, importer, mettre à disposition à titre gratuit ou onéreux, détenir en vue de
la vente ou de la distribution gratuite, mettre en vente, vendre ou distribuer à titre gratuit ces mêmes matériels.
La liste des usages spécifiques autorisés pour les appareils à laser sortant d'une classe supérieure à 2 est fixée par décret.
Vous aviez acheté jadis des diodes laser 5 mW en magasin d'électronique ? Vous risquez six mois de prison du simple fait de les avoir chez vous aujourd'hui. De toutes façons, les lasers ça ne sert à rien. Un particulier qui en détient un ne peut être qu'un dangereux délinquant avec l'intention de pointer ça sur les avions…
[^] # Re: suite pb kernel
Posté par Obsidian . En réponse au message pb "Kernel panic". Évalué à 2.
Réponse courte :
Soit ta partition système est vide parce que l'installation s'est mal déroulée, soit le kernel essaie de booter sur la mauvaise partition (possible si l'installation utilise des UUID pour les reconnaître et que ceux-ci ont changé entre temps). « init ».
Un kernel panic, c'est une situation dans laquelle le noyau lui-même ne peut plus continuer à travailler. C'est un peu l'équivalent d'un écran bleu sous Windows, à ceci près que le message d'erreur est généralement plus explicite. Ça peut être dû à des choses sérieuses comme des défaillances matérielles mais en l'occurrence, ça veut juste dire qu'une fois qu'il a démarré complètement, il ne trouve pas le programme « init », qui est en fait le premier des programmes fonctionnant normalement et qui est chargé de lancer proprement tout le reste ensuite.
Appuie sur « e » au démarrage à la place d'entrée en face de « Ubuntu with linux 3.13.0-24-generic » pour voir quelles sont les options passées au noyau. Il faudra peut-être ensuite démarrer avec un LiveCD pour voir si l'installation sur le disque a vraiment échoué ou s'il s'agit d'autre chose.
Il se peut enfin que tu aies des problèmes avec l'UEFI mais je n'ai aucune expérience de ce côté.
[^] # Re: suite pb kernel
Posté par Obsidian . En réponse au message pb "Kernel panic". Évalué à 2.
Et surtout, quel âge a le portable ? Il a fallu que je recoure à « forcepae » pour pouvoir prolonger la vie d'un Presario X1000 en lui installant une Lubuntu remplaçant une Hardy Heron hors d'âge.
[^] # Re: Clé bootable
Posté par Obsidian . En réponse au message comment formater une clé usb en ext2?. Évalué à 8.
Oui, puisque les fichiers spéciaux /dev/sdxx (et tous les périphériques disque en général) servent à présenter le contenu du disque entier, secteur par secteur et du premier au dernier, comme une grosse image linéaire. C'est l'interface privilégiée entre le kernel, le hardware du disque et l'utilisateur. Ça fonctionne aussi en faisant « cat image.iso > /dev/sd… » mais c'est un UUOC.
Jusqu'à une époque récente, les 512 premiers octets de l'image d'un noyau fraîchement compilé contenaient systématiquement une amorce (au moins sur PC), tant et si bien qu'un « cat bzImage > /dev/fd0 » donnait automatiquement une disquette bootable. En fait, seul le noyau démarrait mais on le configurait pour qu'il embraye de lui-même vers le disque approprié. C'était pratique avec les BIOS un peu capricieux qui ne voulaient pas démarrer sur les disques secondaires, et lorsque l'on écrasait accidentellement le MBR (par exemple, à la suite de l'installation d'un autre système) avant que les LiveCD se généralisent.
« dd » signifie « Disk Dub », et sert donc littéralement à dupliquer les disques. Formellement, il va faire la même chose qu'un « cp », à savoir écrire le contenu d'un fichier dans un autre, mais avec des options supplémentaires comme la possibilité de spécifier des offsets, d'indiquer où il en est, et éventuellement de continuer son travail même s'il rencontre des secteurs défectueux. Mais sa principale raison d'être reste la possibilité de faire des accès calibrés, c'est-à-dire de taille fixe et alignés sur des adresses multiples d'un certain facteur, en principe la taille d'un secteur ou d'un bloc. Normalement, c'est la couche « périphérique bloc » du noyau qui s'occupe de ce travail, mais ça devenait nécessaire quand on utilisait des raw devices.
[^] # Re: Fourmi au rapport (de bug) !
Posté par Obsidian . En réponse au message le partitionnement de mon ordinateur. Évalué à 6.
« … mais il en occupe 3000 fois l'espace disque. »
[^] # Re: Contrôle du chauffage et de la lumière
Posté par Obsidian . En réponse au journal Angharad, mon système de domotique maison. Évalué à 7.
Effectivement, toute l'astuce va consister à construire des périphériques qui, d'un côté, s'interfacent avec un ordinateur central et, de l'autre, sont capables de piloter des équipements existants.
Pour la lumière, domotique ou pas, il existe déjà les télérupteurs. Il s'agit d'interrupteurs télécommandés qui viennent se placer directement sur le tableau électrique et qui fonctionnent comme des relais bistables. En fermant un circuit, on alimente un électro-aimant qui inverse la position du bouton, qui peut par ailleurs être manipulé à la main depuis le tableau. L'avantage est que tu peux alors mettre autant d'interrupteurs que tu veux dans tes pièces, là où un va-et-vient ordinaire se limite à deux. Du coup, il est très facile d'ajouter en parallèle un relais ou un triac pour obtenir le même effet mais à l'initiative de ta centrale.
Pour le chauffage, la plupart des appareils électriques modernes sont équipés d'un fil pilote, qui en principe se passe dans la même gaine que l'alimentation. Lorsqu'il est utilisé, il permet au minimum de demander à l'appareil de basculer entre deux programmes (formellement jour ou nuit), ainsi que certains modes prédéfinis comme la mise hors-gel ou l'arrêt total : http://www.planete-domotique.com/blog/wp-content/uploads/2012/01/ordre_fil_pilote.jpg
Là encore, ces fils pilotes sont faits pour être gérés par un équipement rudimentaire comme un détecteur d'heures creuses ou un thermostat, mais ils peuvent sans difficulté être exploités par la même centrale.
[^] # Re: C'est dredi alors...
Posté par Obsidian . En réponse au journal Quel environnement de bureau par défaut pour Debian Jessie ?. Évalué à 5.
Voir même une navette spatiale, en l'occurrence…
# Oui.
Posté par Obsidian . En réponse au message comment installer linux sur pc fixe xp. Évalué à 4.
Bonjour,
Ça dépend de ce que tu veux faire. Si tu veux faire cohabiter les deux, il va falloir repartionner le disque, redimensionner les filesystems etc. Ça se fait beaucoup mais ce n'est pas trivial. Si, en revanche, tu te moques complètement de Windows XP et de ce qu'il y a sur le disque (à vérifier quand même), alors tu peux lancer une installation initiale qui effacera tout et utilisera automatiquement la totalité de ton disque.
Tu peux installer Linux depuis une clé USB également, à condition de choisir la distribution appropriée et de bien préparer ta clé.
Enfin, c'est mieux si tu peux avoir accès à Internet pendant l'installation (par câble Ethernet ou par Wifi). La majorité des packages sont rapatriés directement depuis les serveurs de l'éditeur de la distribution que tu auras choisie et les mises à jour pourront se faire également pendant cette phase.
[^] # Re: Pas tout compris
Posté par Obsidian . En réponse au message ip fallback. Évalué à 5.
Il explique que bien qu'on lui ait réservé une IP fixe, l'administrateur lui demande quand même de faire en sorte que ce soit le DHCP qui lui attribue, probablement pour pouvoir facilement en changer si le besoin s'en faisait sentir, sans avoir à intervenir sur la configuration d'un serveur tiers.
Il explique également n'avoir aucune confiance dans le serveur DHCP et souhaiter mettre en place une procédure de fallback qui pour s'attribuer soi-même l'IP fixe par défaut si jamais le serveur est parti faire un tour au bistrot.
[^] # Re: 50% résolu !
Posté par Obsidian . En réponse au message accès /dev/null et /dev2/null[RESOLU]. Évalué à 3.
Je te suggère un petit coup de chkrootkit quand même. Je pense que ce n'est pas superflu dans ce genre de situation.
[^] # Re: 50% résolu !
Posté par Obsidian . En réponse au message accès /dev/null et /dev2/null[RESOLU]. Évalué à 3.
Fais un «
mount | grep " /dev "
» pour voir ce qui émule ton /dev mais, en principe, il s'agit d'un système de fichiers virtuel reconstruit à chaque redémarrage.À mon avis, techniquement, tu peux sans risque flanquer /dev2 aux oubliettes, à condition de bien vérifier qu'il n'y a rien d'autre dedans que ce qui ce se trouve déjà dans le /dev ordinaire. Mais avant de le faire, il faut quand même être certain de savoir ce qui l'a mis ici.
Je pense également que ton « mv / /mnt/backup » n'a rien à voir dans tout cela. Je ne sais pas comment fonctionne Amanda Backup en particulier parce que je ne l'utilise pas, mais il est possible, bien que peu probable, qu'un système de backup quelconque ait voulu restaurer une ancienne copie et ai renommé le répertoire existant parce qu'il existait déjà. Ça paraît douteux quand même. Tu es sûr de ne plus te souvenir d'une opération particulière effectuée le 16 avril ?
[^] # Re: 50% résolu !
Posté par Obsidian . En réponse au message accès /dev/null et /dev2/null[RESOLU]. Évalué à 2.
Tu peux utiliser le lien « Répondre » en bas de chaque commentaire pour préserver le fil de la discussion.
Pour /dev2, c'est assez étrange. Il n'est pas impossible qu'il s'agisse d'un rootkit, mais c'est un peu voyant tout de même. Le « ls » renvoie la date du 16 avril. Ça te dit quelque chose ?
# Curieux.
Posté par Obsidian . En réponse au message accès /dev/null et /dev2/null[RESOLU]. Évalué à 4. Dernière modification le 21 juillet 2014 à 16:39.
Que donne un « ls -ld /dev /dev2 » ?
Que donne un « getfacl » sur /dev et /dev/null ?
Que donne un « df -h /dev /dev2 » ?
[^] # Re: Quand je vois cela...
Posté par Obsidian . En réponse au journal Le bureau de Linus. Évalué à 3.
En tout cas, on sait maintenant qu'il est déjà prêt pour les tapis roulants…
[^] # Re: Même constats
Posté par Obsidian . En réponse au journal Pourquoi un PC ralentit-il ?. Évalué à 10.
Mais personne ne sait où… /o\
→[]
[^] # Re: ca ressemble à une connexion du modem en mode bridge
Posté par Obsidian . En réponse au message Obtenir l'IP locale. Évalué à 6.
S'il a une adresse en 82.226.xxx.yyy, c'est qu'il a une Freebox.
C'est effectivement elle qu'il faut re-régler. Il arrive effectivement qu'elle repasse en mode bridge à la suite d'une mise à jour qui s'est mal passée ou si on l'a réinitialisée. Il faudrait connaître le modèle de sa boîte pour savoir s'il doit faire cela à travers sa console de gestion (jusqu'à la V5) ou intervenir directement sur la boîte.
[^] # Re: hop
Posté par Obsidian . En réponse au journal Civ 5 sous Linux. Évalué à 3.
Il y a aussi « Portal 2 » qui fonctionne en natif sous Linux depuis quelque temps sur cette même plateforme. Il est toujours marqué « Bêta » mais il semble tourner malgré tout sans problème. En fait, tous les jeux Steam que j'ai personnellement achetés et que je faisais fonctionner avec Wine sont désormais disponibles, à l'exception de « In Momentum » que je n'ai jamais réussi à lancer.
Même d'anciens titres comme « System Shock 2 » sont disponibles également, et ça fait plaisir de voir ces jeux fonctionner directement sous Linux.
[^] # Re: Plein de tutoriels !
Posté par Obsidian . En réponse au journal mooc edx introduction. Évalué à 2.
Ah ! C'est dommage d'arriver à la dernière et de ne pas finir ! :-)
Cette dernière tâche est néanmoins très intéressante parce qu'elle montre qu'en dépit de ce que l'on a pu faire en étant tenu par la main et qui n'était pourtant pas facile, faire du code Kernel propre et réellement utile reste très difficile. C'est une bonne chose pare qu'elle arrive à un moment où l'on a quand même accumulé suffisamment de connaissances pour avoir envie de s'en servir mais que cela pousse à être extrêmement circonspect au moment de la rédaction du moindre patch, ce qui est en somme ce que l'on attend le plus des développeurs noyau. Car autrement, cette vérification incombe au mainteneur, qui doit alors faire de même avec des centaines d'autres soumissions au même moment. Les témoignages de GKH à ce sujet sont parfois croustillants : https://www.youtube.com/watch?v=fMeH7wqOwXA
On va passer sous silence le nombre total de tâches ainsi que le contenu de la dernière pour ne pas gâcher le plaisir aux concurrents, mais si tu as déjà soumis un premier résultat et qu'il a été retoqué, Little Penguin t'aura probablement indiqué des outils à utiliser pour vérifier tes opérations. Il se trouve que l'un d'eux est beaucoup plus tatillon que les autres et rend la tâche encore plus compliquée, au point qu'au bout de trois jours supplémentaires, j'ai fini par poser la question et demander si ça faisait vraiment partie du défi. Ce n'était pas le cas. Cela dit, cela demande quand même de poser les verrous au bon moment et de savoir jouer avec les différents buffers, mais ce n'est pas plus difficile que la tâche précédente.
# Plein de tutoriels !
Posté par Obsidian . En réponse au journal mooc edx introduction. Évalué à 2.
Effectivement, ça a l'air d'être un cours pour ceux qui découvrent le système d'exploitation, voire se mettent tout juste à l'informatique. Ça reste une très bonne chose, surtout si ça permet d'entrée d'emblée dans la manipulation de Linux, voire d'Unix directement, sans être dépendant des interfaces propres à certaines distributions. Je me souviens avoir touché à quelques Linux courant 1996 et avoir sérieusement commencé en 1998 quand j'ai eu un PC à temps plein pour l'installer et travailler avec. À l'époque, il y avait encore pas mal de choses à configurer soi même pour que tout marche, et on pouvait encore avoir un aperçu des fondamentaux. Configurer un kernel était effectivement un passage obligé à plus ou moins court terme, comme on le précisait dans une autre discussion, justement concernant Eudyptula : http://linuxfr.org/users/edb/journaux/devenez-un-developpeur-linux
Et puisqu'on en parle, j'ai récemment fini le défi Eudyptula et ça m'a vraiment rendu très enthousiaste ! Contribuer au noyau Linux est devenu un processus difficile à appréhender alors qu'il reste essentiel. Je trouve les tâches très bien construites et ordonnées, même s'il faut une certaine dose de motivation parce que personne n'a dit que ce serait facile… :-) Il faut être patient parce qu'en dépit de ce qui est écrit, il y a quand même au moins une personne qui supervise les scripts et les réponses soumises. Ça doit demander beaucoup de travail.
[^] # Re: Et vice versa
Posté par Obsidian . En réponse au journal Le Web comme un learning machine. Évalué à 3.
Ça, c'est une « teaching machine » :-)
# Ingénieux
Posté par Obsidian . En réponse au message Écriture manuscrite avec latex ou libreoffice. Évalué à 4.
Très clair ou pas, c'est idéal pour boucler rapidement les punitions reçues en classe ! :-)
[^] # Re: LOPPSI 2
Posté par Obsidian . En réponse au message Pointeur Laser Vert - Technique et Législation Française ?. Évalué à 2.
Un trait d'ironie s'est caché dans le commentaire auquel tu as répondu. Sauras-tu le retrouver ? :-)
[^] # Re: Faut pas rêver
Posté par Obsidian . En réponse au journal devenez un développeur linux. Évalué à 2.
Et c'est tant mieux parce qu'être mainteneur est loin d'être le boulot le plus sympa quand on veut contribuer au noyau…
# LOPPSI 2
Posté par Obsidian . En réponse au message Pointeur Laser Vert - Technique et Législation Française ?. Évalué à 6.
Malheureusement, la LOPPSI 2 est passée par là entre temps, votée par de sympathiques et responsables personnes qui n'ont eu de cesse de vouloir nous protéger contre nous même :
Article 68 de la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011
Vous aviez acheté jadis des diodes laser 5 mW en magasin d'électronique ? Vous risquez six mois de prison du simple fait de les avoir chez vous aujourd'hui. De toutes façons, les lasers ça ne sert à rien. Un particulier qui en détient un ne peut être qu'un dangereux délinquant avec l'intention de pointer ça sur les avions…
[^] # Re: Greg KH
Posté par Obsidian . En réponse au journal devenez un développeur linux. Évalué à 2.
En effet, et rien ne permet de l'affirmer avec certitude (il ne vaudrait mieux pas pour lui, d'ailleurs).
Par contre, au fur et à mesure que l'on avance au sein des différentes « tâches », un faisceau de présomptions commence à se former… :-)
[^] # Re: domain public
Posté par Obsidian . En réponse au journal Show us the code! Les sources de Microsoft Word enfin dispo !. Évalué à 5.
C'était justement l'origine de la blague. Word n'a pas 50 ans, Microsoft non plus.