Reihar a écrit 711 commentaires

Je suis pas vegan mais je trouve ça bon en général, surtout en burger.

Cherche pas, niveau troll, tu peux pas battre le tshirt KDE de cette vidéo.

Pas de steak de soja ?

Je tiens quand même à préciser ma pensée. Dans cette suite de commentaire je ne parlais que spécifiquement de ce PKGBUILD en question, pas d'aur, des dépots et des PKGBUILDs en général.

Ça varie au cours du temps, ça ne dure jamais très longtemps, ça.

Rectification, sous arch, il y a un PKGBUILD qui met trois ans à compiler et qui compile une fois sur deux. Par contre niveau fonctionnalités il est génial.

Mauvais modèle économique, changer de modèle économique.

Il y a eu une période où les sources étaient ouvertes mais pas libres d'utilisation. Puis après en effet, ils ont décidé de retirer les sources.

Quand les résolutions d'écran ont augmenté, beaucoup augmenté.

Je crois que je suis incapable d'écrire correctement aujourd'hui.

Je pense avoir un peu de mal avec cette boutade. Une explication ?

Pareil que plus haut, j'ai oublié un mot. Je voulais dire open source.

Boulette. J'ai oublié le mot source. Open source.

Ouais, donc privatif me contient.

Oh merde, chut. Tu vas les attirer !

J'ai un exemple précis pour l'éditeur hexa. Un exemple rare mais pas tant que ça à propos des jeux vidéos. Beaucoup de vieux jeux ont été codé avec des résolutions hardcodées et donc pour rendre ces jeux utilisable, on doit se coltiner des éditions héxadécimales pour avoir une résolution humainement utilisable.

Pour fermé, je suis pas tout à fait d'accord. Il risque d'y avoir confusion avec sources fermées. Et dans ce cas, on peut citer ce qui fut le cas de paint.net pendant un moment, ouvert mais pas open, ni libre.

Privatif somme mieux que privateur mais il reste quand même l'idée d'enlever quelque chose. À moins de s'en tenir strictement au sens utilisé en droit, dans ce cas, oui, il est pas mal.

Personnellement, je n'aime ni propriétaire, ni privateur. D'un côté, on sous-entend que les logiciels non «propriétaires» ne sont plus possédés par personne, que le démon du domaine publique vous possède et que votre logiciel vous échappe totalement.

De l'autre, on dit que si l'on ne fait pas de FLOSS, on est un méchant pédo-nazi qui prive les gens de leurs libertés. Bon en fait, c'est juste qu'à chaque fois que je l'utilise j'ai l'air d'un illuminé barbu.

Donc le meilleur compromis que j'ai pu trouver, c'est de dire non-libre, voire non open source en fonction du contexte. Ça reste un terme composé d'une négation, mais c'est moins fort que les deux expressions cités précédemment.

Je suis sûr qu'on peut trouver une périphrase de trois kilomètres pour être respectueux des deux côtés, ou qu'un linguiste peut nous pondre un magnifique terme à l'étymologie latine brillante mais en attendant, je n'ai pas mieux.

C'est marqué quelque part sur le site de la FSF que privateur a été choisi pour désigner la privation de liberté causée par les «logiciels privateurs».

Je suis désolé. J'espère que ça ne durera pas trop longtemps.

Incroyable ! Tu dis du mal d'Apple et tu n'es pas à -10 ? Diantre !

Il sufit d'attendre et quelqu'un le fera.

Et si le problème, c'était juste Paris ?

Ils ont réglé leurs problèmes de sécurité ? Quand j'avais essayé, c'était pas glorieux.

Ce domaine…

Souvent Wine peut me sauver d'un reboot Windows. Si sauver des utilisateurs innocents d'un peu d'utilisation de Windows n'est pas une forme d'achèvement…