Il est très difficile de traduire tout texte juridique dans une autre langue en s'assurant qu'aucun mot ne pert une partie de son sens ou n'en ajoute, ce qui changerait la signification. Calà necessite que plusieurs personnes s'en occupent/vérifient le résultat et pendant longtemps.
Je comprends tout à fait que la traduction est une opération sensible, et que le résultat est sujet à caution : toutefois, les licences GNU ne datent pas d'hier, tout comme les projets de traduction. Je regrette simplement qu'il ait fallu attendre aussi longtemps pour recevoir le sésame de Richard Stallman.
Rho la bourde... honte à moi sur cent générations :'(
Je n'ai même pas fait attention à l'auteur sur Framasoft, pourtant je suis pourtant bon en étude de texte... Veuillez m'excusez chère maîtresse, pour quand dois-je vous rendre mes 500 lignes ? ;o)
Les deux lois de décentralisation de la République garantissent, et parfois malheureusement, une autonomie relative des établissements scolaires. Maintenant, les régions sont les pratiquement les bailleurs de fond des écoles, collèges et lycées. Et le manque de moyens tant décrié peut oeuvrer pour les logiciels libres.
En effet, ces établissements doivent faire face à une recrudescence des frais de fonctionnement et surtout d'équipement. Le pire reste toutefois, et la plupart des proviseurs et directeurs en ont concience, le manque criant de personnel non enseignant.
Et, bien loin des considérations technocratiques de l'administration et des rectorats, les établissements ont besoin de faire des économies : en ce sens, de nombreux lycées, dont un de la région Languedoc-Roussillon (http://framasoft.net/article2763.html(...) ), ont opté pour un remplacement total des solutions de Microsoft, au profit des logiciels libres.
Je pense que ce mouvement ne pourra que s'amplifier, au fur et à mesure que la situation financière des établissements ne leur permettera plus de dépendre de prestataires qui les traite comme des vaches à lait. Il est évident qu'encore une fois, l'aspect gratuit du libre prime sur la philosophie du mouvement ; toutefois, opter pour les logiciels livres corrobore la logique de l'enseignement : à savoir, la libre transmission des connaissances.
Le but du SETI, c'est de détecter une intelligence extra-terrestre
Comment prouver qu'il s'agit indubitablement d'une intelligence qui serait à l'origine d'un signal ?
Je crois que le raisonnement scientifique est binaire, mais carthésien : ce n'est pas parce qu'aucun astre susceptible d'avoir émit ce signal n'est détecté que l'on peut conclure à une émission intelligente.
Dans l'absolu, et même si SETI n'a comme vocation que de détecter des signaux, il ne suffira de postuler pour admettre.
Si ce signal s'avérait réellement être extra-terrestre, c'est à dire non naturel et donc sans rapport avec les objets astronomiques, il resterait à prouver le volontariat de son émission.
Nous aurions à ce moment précis de grandes difficultés à établir une communication avec l'entité émettrice, notamment en raison de la distance qui nous en séparerait (plusieurs dizaines voir centaines d'années-lumière). Surtout, il faudrait que ce signal nous soit intelligible, ce qui présuppose, et c'est l'une des principales critiques émises contre le programme SETI, que l'entité extra-terrestre dispose de technologies de communication similaires aux nôtres.
Le sérieux scientifique du programme SETI n'est plus à prouver ; en revanche, son caractère anthropomorphique, nécessaire car c'est la seule configuration que nous sommes en mesure de comprendre, me laisse personnellement sur ma fin.
Tout cela pour vous dire que cette messagerie instantanée serait dans la continuité de Gmail, et que l'ensemble pourrait amener à la réalisation, si ce n'est déja fait, d'un système d'exploitation made in Google...
Vu les choix mystérieux des modérateurs de linuxfr, il vaut mieux prévenir . Que certaines dépêches soient modérées en fonction du contexte ou du nombre proposé, c'est normal, mais nombre de sujets qui avaient été traités et qui concordaient avec la ligne éditoriale du sites se retrouvent dans les journaux.
C'est un peu/beaucoup dommage lorsque l'on considère qu'une dépêche sera forcément plus lue qu'un simple journal, et qu'un coup de promo pour un projet ne peut qu'encourager ses développeurs et susciter qui sait des vocations. La philo du libre, mais qui apparemment connaît certaines limites sur linuxfr...
D'habitude, je me contente de lire passivement les articles publiés ici-même, essayant de "saisir" et de comprendre la philosophie du logiciel libre (au combien métaphysique, à lire vos réflexions).
Je comprends tout à fait que cette licence CeCiLL vous interpelle, vous connaisseurs du modèle de développement (pas seulement informatique) libre. Et si la création de cette licence "complémentaire" est l'occasion pour vous de clarifier, voir d'expliciter certains malentendus sur les licences GNU et affiliées, nous (utilisateurs néophytes de logiciels libres, ex-(dé)fenestrables dont j'essaye de me faire ici le représentant) ne pouvons que nous en réjouir.
Néanmoins je souhaiterais vous rappeler (et non vous reprocher) le caractère métaphysiques de ces discussions. Toute contribution "d'ignorants" dans ce débat d'initié relèverait du délit de néophyte, et toujours loin de vous rapprocher ce nécessaire travail de réflexion, les quidams et lambdas bétas sont un peu perdus.
Vous avez fait depuis longtemps déja un travail de documentation et d'explication sur la philosophie du libre, qui relève pour chaque utilisateur, d'un choix et d'une pleine adhésion. Et cette philosophie n'est pas prosélyte, ce dont on peut se réjouir.
Toutefois, j'émet un voeux pieux, celui des utilsateurs et développeurs néophytes, qui malgré la lecture de licences qui n'ont pas toujours de valeur légale dans leur langue maternelle, se sentent perdus. Je sais qu'il faut faire des efforts, qui plus est dans un travail de développement, mais les programmeurs ne sont pas toujours ni au courant des avancées juridiques des licences, ni des terminologies, ni des tenants et aboutissants.
Je concluerais cette digression en souhaitant que toutes ces réflexions et interrogations soient fructueuses et puissent permettre, à court terme serait le mieux, d'apporter une réponse claire, et surtout simple, sur les licences du libre, les tenants et les aboutissants.
# Coquille
Posté par François Obada . En réponse au message [Web] Apache et les css. Évalué à 1.
il fallait lire
Mea culpa :)
[^] # Re: Difficulté
Posté par François Obada . En réponse au journal Licences GNU : le paradigme de la tour de Babel. Évalué à 1.
Je comprends tout à fait que la traduction est une opération sensible, et que le résultat est sujet à caution : toutefois, les licences GNU ne datent pas d'hier, tout comme les projets de traduction. Je regrette simplement qu'il ait fallu attendre aussi longtemps pour recevoir le sésame de Richard Stallman.
[^] # Re: Les éventuels bénéfices de la décentralisation
Posté par François Obada . En réponse à la dépêche De l'Éducation nationale, de Microsoft, et des logiciels libres. Évalué à -2.
Je n'ai même pas fait attention à l'auteur sur Framasoft, pourtant je suis pourtant bon en étude de texte... Veuillez m'excusez chère maîtresse, pour quand dois-je vous rendre mes 500 lignes ? ;o)
# Les éventuels bénéfices de la décentralisation
Posté par François Obada . En réponse à la dépêche De l'Éducation nationale, de Microsoft, et des logiciels libres. Évalué à 10.
En effet, ces établissements doivent faire face à une recrudescence des frais de fonctionnement et surtout d'équipement. Le pire reste toutefois, et la plupart des proviseurs et directeurs en ont concience, le manque criant de personnel non enseignant.
Et, bien loin des considérations technocratiques de l'administration et des rectorats, les établissements ont besoin de faire des économies : en ce sens, de nombreux lycées, dont un de la région Languedoc-Roussillon (http://framasoft.net/article2763.html(...) ), ont opté pour un remplacement total des solutions de Microsoft, au profit des logiciels libres.
Je pense que ce mouvement ne pourra que s'amplifier, au fur et à mesure que la situation financière des établissements ne leur permettera plus de dépendre de prestataires qui les traite comme des vaches à lait. Il est évident qu'encore une fois, l'aspect gratuit du libre prime sur la philosophie du mouvement ; toutefois, opter pour les logiciels livres corrobore la logique de l'enseignement : à savoir, la libre transmission des connaissances.
P.S : le même article a été publié la veille sur Framasoft (http://framasoft.net/article3071.html(...) ). Qui de l'oeuf ou de la poule ?
[^] # Re: Contact ?
Posté par François Obada . En réponse au journal E.T., es-tu là ?. Évalué à 2.
[^] # Re: Et si c'était vrai...
Posté par François Obada . En réponse au journal E.T., es-tu là ?. Évalué à 3.
Comment prouver qu'il s'agit indubitablement d'une intelligence qui serait à l'origine d'un signal ?
Je crois que le raisonnement scientifique est binaire, mais carthésien : ce n'est pas parce qu'aucun astre susceptible d'avoir émit ce signal n'est détecté que l'on peut conclure à une émission intelligente.
Dans l'absolu, et même si SETI n'a comme vocation que de détecter des signaux, il ne suffira de postuler pour admettre.
# Et si c'était vrai...
Posté par François Obada . En réponse au journal E.T., es-tu là ?. Évalué à 4.
Nous aurions à ce moment précis de grandes difficultés à établir une communication avec l'entité émettrice, notamment en raison de la distance qui nous en séparerait (plusieurs dizaines voir centaines d'années-lumière). Surtout, il faudrait que ce signal nous soit intelligible, ce qui présuppose, et c'est l'une des principales critiques émises contre le programme SETI, que l'entité extra-terrestre dispose de technologies de communication similaires aux nôtres.
Le sérieux scientifique du programme SETI n'est plus à prouver ; en revanche, son caractère anthropomorphique, nécessaire car c'est la seule configuration que nous sommes en mesure de comprendre, me laisse personnellement sur ma fin.
P.S. : j'ai résumé l'article du New Scientist sur mon blog (http://titoxx69.ath.cx/index.php/2004/09/02/11-piste-extra-terrestr(...) ) pour les anglophobes.
# Dans la logique des choses
Posté par François Obada . En réponse au journal Google : messagerie instantanée. Évalué à 7.
Kevin Kottke, qui scrute avec attention l'activité de la société Google, rapportait dans son blog (http://www.kottke.org/04/04/google-operating-system(...) ) la réflexion qu'il avait mené quand à la puissance de la plate-forme de calcul et surtout l'importance de sa base de données. Il en était arrivé à la même conclusion que Rich Skrenta (http://blog.topix.net/archives/000016.html(...) ), à savoir une grande diversification des activités de la société et son omniprésence dans les prochaines années. Diversification confirmée dans le rapport de la société (http://rmen.typepad.com/cyberworker/2004/07/google_risk_fac.html(...) ) avant son introduction en bourse.
Il y a ceux que cette évolution enchante, tels que les actionnaires de Google, et d'autres comme moi (http://titoxx69.ath.cx/index.php/2004/09/01/5-googles-1984(...) ) qui redoutent les effets d'une telle omnipotence.
Tout cela pour vous dire que cette messagerie instantanée serait dans la continuité de Gmail, et que l'ensemble pourrait amener à la réalisation, si ce n'est déja fait, d'un système d'exploitation made in Google...
[^] # Re: Interet d'une copie
Posté par François Obada . En réponse au journal Galette 0.62 est disponible. Évalué à -2.
C'est un peu/beaucoup dommage lorsque l'on considère qu'une dépêche sera forcément plus lue qu'un simple journal, et qu'un coup de promo pour un projet ne peut qu'encourager ses développeurs et susciter qui sait des vocations. La philo du libre, mais qui apparemment connaît certaines limites sur linuxfr...
# Néo(fit) : que comprendre ?
Posté par François Obada . En réponse à la dépêche Une nouvelle licence de logiciel libre : CeCILL. Évalué à 1.
D'habitude, je me contente de lire passivement les articles publiés ici-même, essayant de "saisir" et de comprendre la philosophie du logiciel libre (au combien métaphysique, à lire vos réflexions).
Je comprends tout à fait que cette licence CeCiLL vous interpelle, vous connaisseurs du modèle de développement (pas seulement informatique) libre. Et si la création de cette licence "complémentaire" est l'occasion pour vous de clarifier, voir d'expliciter certains malentendus sur les licences GNU et affiliées, nous (utilisateurs néophytes de logiciels libres, ex-(dé)fenestrables dont j'essaye de me faire ici le représentant) ne pouvons que nous en réjouir.
Néanmoins je souhaiterais vous rappeler (et non vous reprocher) le caractère métaphysiques de ces discussions. Toute contribution "d'ignorants" dans ce débat d'initié relèverait du délit de néophyte, et toujours loin de vous rapprocher ce nécessaire travail de réflexion, les quidams et lambdas bétas sont un peu perdus.
Vous avez fait depuis longtemps déja un travail de documentation et d'explication sur la philosophie du libre, qui relève pour chaque utilisateur, d'un choix et d'une pleine adhésion. Et cette philosophie n'est pas prosélyte, ce dont on peut se réjouir.
Toutefois, j'émet un voeux pieux, celui des utilsateurs et développeurs néophytes, qui malgré la lecture de licences qui n'ont pas toujours de valeur légale dans leur langue maternelle, se sentent perdus. Je sais qu'il faut faire des efforts, qui plus est dans un travail de développement, mais les programmeurs ne sont pas toujours ni au courant des avancées juridiques des licences, ni des terminologies, ni des tenants et aboutissants.
Je concluerais cette digression en souhaitant que toutes ces réflexions et interrogations soient fructueuses et puissent permettre, à court terme serait le mieux, d'apporter une réponse claire, et surtout simple, sur les licences du libre, les tenants et les aboutissants.