Diagonale de Cantor a écrit 480 commentaires

  • [^] # Re: Gros ratage.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal De l'abération de la notion même d'antivirus. Évalué à 3.

    Tous d'abords il y a un machin qu'on appelle l'école... Pour l'éducation c'est pas mal (pour beaucoup c'est trop tard, mais pour les futurs générations).
    Ensuite il y une différence entre être capable de proposer un patch pour le noyau linux et suivre quelques règles simples:
    – on fait systématiquement les mises à jours ;
    – on installe pas n'importe quoi ;
    – on installe uniquement à partir des sites officiels ;
    – on lit les messages qui s'affichent à l'écran (si en voulant regarder une photo tu as une message «voulez vous installer tel programme» tu te dit qu'il y à une couille dans le potage et tu met la photo à la corbeille) ;
    – ...

    Si on suppose de plus que l'on limite les failles au maximum (et donc que du code ne peut pas s'exécuter sans que tu en ai donné l'autorisation explicite), c'est déjà pas mal.

    Rien que ça permet de limiter la casse bien plus efficacement que l'utilisation aveugle des antivirus (on les mets pas à jour, on se croit sécurisé, on fait n'importe quoi...)
  • [^] # Re: Mauvais métaphore

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal De l'abération de la notion même d'antivirus. Évalué à 3.

    J'ai oublié ce détail dans mon journal : la solution n'est pas l'antivirus mais l'éducation et la correction des failles !

    Normalement un utilisateur éclairé (qui installe pas n'importe quoi, qui fait régulièrement les mise à jour) ne devrait avoir besoin d'antivirus.

    Le problème c'est que la présence d'antivirus à tendance à faire croire à Kevin qu'il est protégé et donc qu'il peut faire n'importe quoi. Et là je ne suis pas sûr que l'apport global des antivirus soit réellement positif.
  • [^] # Re: Gros ratage.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal De l'abération de la notion même d'antivirus. Évalué à 7.

    Tout d'abords si l'utilisateur est un boulet il ne fera pas les mises à jours de sécurité et il ne mettra pas à jour son antivirus. Donc quelque soit le système de sécurité, l'interface chaise clavier pourra foutre la pagaille. Par exemple j'avais reçu une chaine il y longtemps qui demandais de supprimer un fichier particulier car ce fichier était un virus. Le seul problème c'était que le fichier en question était nécessaire au bon fonctionnement de windows... C'est génial on a plus besoin de savoir programmer pour faire des virus, il suffit d'utiliser l'interface chaise clavier comme interpréteur de commande !

    Donc face à l'interface chaise clavier, le solution n'est pas de faire un logiciel qui tente de corriger leurs conneries mais c'est l'éducation!

    Ensuite si lorsque l'utilisateur clique sur "Photo_De_Loana_A_Poil.jpeg.exe" pour visualiser une photo ça installe un virus, alors il y une faille de sécurité (bien sur si l'utilisateur confirme qu'il veut installer le programme,la seule solution c'est l'euthanasie) .

    On raconte (je ne sais pas si ç'est vrai) que si après l'installation on branche un machine Windows sur Internet sans avoir installer d'antivirus, on se chope la vérole en moins de 15 min. Si c'est vrai c'est la faute de l'utilisateur ou il y a une faille de sécurité ?

    De plus les antivirus sont profondément inefficace cf: http://standblog.org/blog/post/2010/05/11/Tous-les-antivirus(...) .

    Les antivirus ne sont pas une solution. Maintenant c'est quoi la solution à part la correction rapide des failles et l'éducation ?
  • [^] # Re: « consommer » le web

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une liseuse libre pour lire des livres libres. Évalué à 2.

    Essayons de clarifier les choses. Il y a deux objectifs que l'on cherche à atteindre : 1) diffuser le plus possible avec le moins de restriction possible la culture et le savoir 2) avoir une société qui encourage la créativité.

    Le premier problème c'est que ces deux enjeux semblent contradictoire, la culture à un coût et si on fait une diffusion libre, sans rémunérer ceux qui sont à l'origine de cette culture, on tue la créativité. Donc on a fait le choix de limiter la diffusion, avec le droit d'auteur, ce qui encourage la création d'œuvre culturelle que l'on peut alors diffuser. Mais en pratique le droit d'auteur n'empêchait pas trop la diffusion.

    De plus si on résume le modèle économique correspondant, on vend un support physique au client, on en profite pour récupérer une marge et on utilise cette marge pour financer la culture. Pour l'instant je suis d'accord. Le modèle n'était pas mauvais.


    Mais voilà, internet et l'informatique sont arrivés et cela à eu deux conséquences.
    I) Tout d'abords une remise en cause du modèle économique.Et oui, misère, ce que l'on vend au client (la diffusion, c'est à dire le livre papier) ne coûte quasiment plus rien ! En effet à partir du moment ou je récupère une œuvre culturelle numérisée, je peux la partager avec tout le monde pour un coup relativement faible.

    II) Ensuite la diffusion à été possible à une échelle jamais imaginé ! C'est un bouleversement digne de l'invention de l'imprimerie. Et le droit d'auteur s'est révélé tout à coup totalement inadapté car trop restrictif en l'état.


    À partir de là deux approches sont possibles. On refuse le changement, et on cherche à tout prix à conserver le modèle économique d'avant. Mais vu qu'il est basé sur la rareté, et que l'informatique a tué la rareté, on en crée artificiellement. C'est la politique du DRM. Le gros problème de cette approche c'est qu'elle est incompatible avec la philosophie d'internet et s'oppose violemment au but numéro 1) diffuser la culture et le savoir.

    L'autre approche c'est celle de la culture dite libre (licence libre et compagnie...). On favorise la diffusion au dépends du modèle économique. Les acteurs de l'ancienne économie prétendent qu'un tel système tue la création. Ce sont ces même qui ont dit à Stallman que c'était un doux utopique et que son machin truc de logiciel libre ne marcherai jamais... Tu connais la suite !


    La culture libre a montré que les objectifs 1) et 2) n'était pas incompatibles. Alors c'est à ce moment là que tu vas me rétorquer «oui mais non ! Ce qui est vrai pour le logiciel n'est pas forcement vrai pour le livre» «Eh bien si» te répondrai-je.

    Il existe plein de modèle pour le livre compatible avec le libre:
    – la vente de papier (qui à encore de l'avenir)
    – le mécénat global (je suis intimement convaincu que cela peut marcher)
    – la fonction publique (et oui un livre écrit par un universitaire et/ou enseignent devrait être gratuit à télécharger)
    – certains auteurs (mais pas tous visiblement) peuvent travailler à côté
    – et plein d'autre encore à trouver...


    S'opposer à la libre diffusion d'internet, avec les DRM par exemple, est absurde économiquement, dangereux pour la diffusion de la culture et surtout inutile car de toutes façons on n'arrête pas l'humanité en marche (comprendre la révolution Internet).
  • [^] # Re: « consommer » le web

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une liseuse libre pour lire des livres libres. Évalué à 1.

    Comment tu étends ça aux écrivains?
    Proust, Zola, Rimbaud pour ne citer qu'eux n'ont pas vécu uniquement de leur œuvre, loin de là, à ce que je sache... On peut très bien être écrivain et avoir un métier à côté. De plus je le dis et le répète les gens continu et continueront à acheter des livres papiers.

    Ceux qui prétendent que le livre est dématérialisé sous prétexte qu'il est stocké dans des supports physique à base de silicone au lieu de supports physiques à base de papier TOUT EN niant le coût humain de production sont à coté de la plaque.
    Et c'est quoi le rapport avec la choucroute ? Le logiciel libre est bien dématérialisé et pourtant il a aussi un coup humain.

    Elle n'est gratuite que quand on efface ses couts, les couts de production de l'oeuvre dont je parlais au dessus, et là en plus, les couts de diffusion qui ne sont pas nuls.
    Pour la diffusion tu balances un torrent et les clients ce charge de la diffusion, donc la partie diffusion ne coûte rien (ou du moins à un coup marginale)!


    ben maintenant faut se faire l'argent sur la version electronique.
    Mais pourquoi ? Si le livre papier est suffisamment rentable ? Eyrolle et ILV vendent bien des livre librement téléchargeable.
  • [^] # Re: « consommer » le web

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une liseuse libre pour lire des livres libres. Évalué à 2.

    s/Il utiliser le gain de la diffusion pour financer la mise en page./Ils utilisaient le gain de la diffusion pour financer la mise en page/
  • [^] # Re: « consommer » le web

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une liseuse libre pour lire des livres libres. Évalué à 4.

    Ça veut dire quoi "techniquement arbitraire" ?
    Ben arbitraire, mais d'un point de vue technique... Le livre est une ressource rare parce c'est comme ça ! L'objet physique ne peut être pas dupliqué. Maintenant en informatique, la copie est une opération naturelle.

    Donc je persiste et signe les limitations des DRM sont artificielles. On commence pas créer un objet que l'on peut copier à volonté, puis ensuite on rajoute une couche pour empêcher cette copie. C'est absurde, on enlève volontairement une fonctionnalité !

    Pour résumer, la limitation qui empêche de copier le livre papier est naturelle, par contre la limitation pour empêcher la copie d'un lire numérique n'est pas naturelle mais elle est rajoutée. Techniquement rien n'imposait d'empêcher la copie (économiquement peut être, mais là n'est pas la question), et donc techniquement cette limitation est arbitraire.

    En espérant avoir été plus clair.
  • [^] # Re: « consommer » le web

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une liseuse libre pour lire des livres libres. Évalué à 3.

    Le rôle premier des éditeurs c'est/était de diffuser le contenu. Un Jour un glandu arrive dans un maison d'édition, passe un manuscrit à la maison d'édition qui ensuite l'imprime et le diffuse. De plus les maisons d'éditions avaient un rôle annexe qui était de mettre en page, de corriger et d'améliorer le manuscrit. Il utiliser le gain de la diffusion pour financer la mise en page.

    Le problème c'est que le modèle économique n'est plus du tout adapté, parce que la diffusion est gratuite (c'est d'ailleurs le rôle de p2p, diffuser quasiment gratuitement !). Donc on fait quoi ? Deux solutions : la première on cherche un autre modèle économique (marché du beau livre, abonnement à un site de téléchargement,...). À mon avis ILV fait parti de ceux qui cherchent des modèles économique alternatif et ça à l'air de marcher pas mal.

    Maintenant l'autre approche c'est de freiner avec les quatre pattes pour éviter de réfléchir et perdre tout l'intérêt de l'informatique (en terme de diffusion) afin de faire comme si un livre électronique était un objet physique. Bien évidemment cette approche est stupide. On ne peut pas et on ne doit pas sacrifier les gains qu'apporte internet pour la seul défense d'intérêt particulier.

    Alors peut-être qu'effectivement il n'est pas possible d'avoir un modèle économique viable pour le livre électronique. Et tu sais quoi ? Je m'en fous comme de l'an 40. La culture et le savoir doivent être diffusé à tous prix, c'est un des droit les plus fondamentale, plus important encore que le droit d'auteur,et si ce n'est pas compatible avec un modèle économique, tant pis pour eux. Mais je refuse de limiter artificiellement cette diffusion pour que certain se fasse plus l'argent.

    Maintenant, je ne crois pas à la mort du livre papier, les CD n'ont pas tué les concerts, les DVD n'ont pas tué le cinéma, ... Donc oui il y aura toujours des sous pour financer les maisons d'éditions et pour faire le travail de mise en pages et améliorations. Les livres électronique pourrait être tous libre et gratuit et les livres physiques payant. Économiquement ça devrait être viable.
  • [^] # Re: « consommer » le web

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une liseuse libre pour lire des livres libres. Évalué à 3.


    > J'aurais tendance à penser que toute restriction technique arbitraire est un non-sens et est inacceptable.
    Les restrictions en question ne sont pas arbitraires !


    Techniquement si.
  • [^] # Re: Problème des petites applis et Linux

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal There is no app for it. Évalué à 2.

    Personnellement je me pose deux questions (je ne suis pas développeur donc je ne connais pas les difficultés):
    – tu ne peux pas faire des binaires statiques ? C'est ce que fait par exemple Firefox et ça le mérite d'être portable (?).
    – quel serait selon toi la solution (mise à part "on utilise tous la même distribution") ? Par exemple un rpm à le mérite d'être lisible par de nombreuses distributions (red hat, fedora, mandriba, debian, *buntu). Est ce que cela pourrait être un standard ?
  • [^] # Re: « consommer » le web

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une liseuse libre pour lire des livres libres. Évalué à 6.

    Les DRM transposent une contrainte physique dans le monde numérique. Ça a un sens. Je ne trouve pas cela inacceptable par essence.
    J'aurais tendance à penser que toute restriction technique arbitraire est un non-sens et est inacceptable.

    C'est un petit peu comme si lors de l'invention de l'imprimerie, on aurait imposer d'imprimer à la vitesse d'un moine copiste, pour ne pas tuer leur métier.

    On parle d'une technologie (l'informatique) qui est extraordinaire pour diffuser les idées et la culture, tout comme l'était l'imprimerie en son temps. Refuser d'admettre cette réalité et vouloir conserver l'ancien modèle est absurde, contre-productif et inutile.

    Maintenant, je ne pense pas une seule seconde que le marché du livre papier est menacé. À mon sens le livre électronique et son cousin papier sont complémentaires plus que concurrent...
  • [^] # Re: J'ai un Kindle et il a changé ma manière de consommer le web

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une liseuse libre pour lire des livres libres. Évalué à 6.

    c'est la philosophie UNIX, une seule chose et vraiment bien et c'est pour cela que j'apprécie énormément.
    Autant pour le logiciel libre, la philosophie UNIX je suis pour, autant vu le prix des appareils et leurs durées de vie, on se dit qu'un bouzin qui fait tout bien c'est pas mal aussi...
  • # À l'attention des modos: s/Booken/Bookeen/

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une liseuse libre pour lire des livres libres. Évalué à 1.

    Honte à moi, mais l'entreprise est Bookeen et non pas Booken... Si un modo passant par là aurait l'amabilité de corriger la dépêche, je lui en saurai gré.
  • [^] # Re: Technologie libre ????

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une liseuse libre pour lire des livres libres. Évalué à 10.

    Et peut être même que certains employés de Booken utilise des systèmes d'exploitations non libre chez eux. Vite brûlons les !

    Plus sérieusement, si on regarde les produits qu'offre cette entreprise, ils tournent sous OS libre, ils sont reconnus par tous les systèmes d'exploitations sans avoir besoin d'installer des logiciels proprios, les connectiques (câble usb et carte micro SD) sont des standards. Bref, c'est déjà énorme et c'est tous ce que l'on demande !

    Donc franchement, on s'en fout de la technologie qui sert à héberger le site. Ce qui compte c'est que leurs produits soient 100% compatibles avec le libre et les principes du libre.
  • [^] # Re: Mémoire

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une liseuse libre pour lire des livres libres. Évalué à 5.

    Oui bien sûr. C'est indiqué sur le site du constructeur: la RAM est de 32Mb. Le stockage est de 1Gb et on peut rajouter de la mémoire avec des cartes Micro SD (2Gb=25 €).

    Ça vaut peut être le coup qu'un modo rajoute ces informations à la dépêche ?
  • [^] # Re: Bonne initiative

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une liseuse libre pour lire des livres libres. Évalué à 8.

    Effectivement, j'aurais dut le mettre dans la dépêche, le code source est en gpl:http://bookeen.com/Support/ebook-Support.aspx
  • [^] # Re: Ses limites actuelles...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Conférence Parinux - Le langage de programmation GO. Évalué à 9.

    Laisses (car Go à une vitesse de mollusque) tomber, car tu vas faire troller les moules.
  • # Réseaux sociaux : une autre vie numérique est possible

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Diaspora : "anti-facebook" libre qui cherche des fonds !. Évalué à 6.

    Un article du monde.fr sur le sujet les solutions "web2.0" libres en particulier movim et xmpp:

    http://lemonde.fr/technologies/article/2010/05/05/reseaux-so(...)
  • [^] # Re: [:aloy]

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Pulseaudio vs JACK. Évalué à 10.

    Montre-moi plusieurs projets GNU qui font la même chose les uns que les autres
    Ben y'a:
    – GNU/Emacs shell vs bash ;
    – GNU/Emacs (Info) vs man ;
    – GNU/Emacs vs evince (et oui emacs lis les pdf) ;
    – GNU/Emacs vs Gtwitter ;
    – GNU/Emacs vs Evolution ;
    – GNU/Emacs vs epiphany (navigateur)...

    Par contre j'ai pas trouvé d'équivalent GNU/Emacs à Gimp.
  • # Le problème n'est pas le libre

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Ikarios n'est plus. Évalué à 10.

    Qui aujourd'hui achète des CD ou DVD de distribution ? Non parce que déjà les utilisateurs de GNU/Linux y'en a déjà pas beaucoup, mais il me semble que la majorité d'entre eux sont capables de télécharger eux même une image *.iso (ce qui est plus pratique).

    Le problème n'est pas le libre, mais plutôt qu'a priori (je ne connaissais pas ce site) ce site se focalisait sur un marché trop restreint.

    À mon avis la vente de goodies est surtout intéressante pour les associations:
    — une association comporte surtout des bénévoles, donc les besoins financier sont "faibles" ;
    — l'achat d'un goodies est une façon particulière de soutenir l'association (une sorte de don).

    Mais vivre uniquement de ça, cela me parait utopique.
  • [^] # Re: performances

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Ubuntu 10.04 - Lucid Lynx - « Slim ». Évalué à 4.

    En plus, il me semble que la philosophie Ubuntu, c'est une tâche = une appli
    Sans vouloir troller, ça, c'est la philosophie UNIX. De plus je ne suis pas sur Ubuntu depuis longtemps, mais tu ne confondrais pas avec Gnome ? Parce que je ne crois pas que Ubuntu rajoute quelque chose de ce côté là...
    [troll qui dénonce]
    Ça m'énerve les gens qui attribue à Ubuntu, ce qui est en fait est dû à Gnome, Debian, Gnu, Linux, ... Qu'Ubuntu ait du succès, je m'en fous, mais svp, rendons à César ce qui appartient à César.
    [/troll]
  • [^] # Re: Mais on est en France par à Rome !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal De l'importance d'avoir une tribune.... Évalué à 2.

    Horreur et damnation ! Je viens de voir la faute de frappe dans le titre. Il fallait bien sûr comprendre: Mais on est en France pas à Rome !.
  • [^] # Re: Mais on est en France par à Rome !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal De l'importance d'avoir une tribune.... Évalué à 5.

    Je cite l'académie française:
    7. Singulier et pluriel des mots empruntés : les noms ou adjectifs d’origine étrangère ont un singulier et un pluriel réguliers : un zakouski, des zakouskis ; un ravioli, des raviolis ; un graffiti, des graffitis ; un lazzi, des lazzis ; un confetti, des confettis ; un scénario, des scénarios ; un jazzman, des jazzmans, etc. On choisit comme forme du singulier la forme la plus fréquente, même s’il s’agit d’un pluriel dans l’autre langue.
    http://www.academie-francaise.fr/langue/orthographe/regles.h(...)
  • [^] # Re: Mais on est en France par à Rome !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal De l'importance d'avoir une tribune.... Évalué à 4.

    Je n'en sais rien, n'ayant jamais lu « fora » dans un texte en français.
    Perso, je n'ai rien contre toi et peut être que effectivement tu n'a jamais rencontré ce «fora» avant. Mais moi si, et même souvent. Et je suis persuadé que de nombreuses personnes qui disent « fora » ou « virii » pensent que c'est comme ça que les puristes doivent écrire ces mots au pluriels ; alors que ce n'est pas le cas ! Si par contre ce n'est pas la cas pour toi, je te pardonne bien volontiers ton péché.


    D'ailleurs, en parlant de purisme, je te fais remarquer que tu as soit oublié les espaces à l'intérieur des guillemets, soit utilisé des espaces sécables.
    Je ne prétends pas être un puriste, alors que le fait d'utiliser «fora», qui est un mot contraire à l'usage de la majorité, montre un effort pour se démarquer des autres (ce qui peut être interprété à tort comme une tentative de purisme). D'ailleurs, il y avait beaucoup plus simple à critiquer dans mon commentaire que les espaces insécables : les locutions latine...
  • [^] # Re: Mais on est en France par à Rome !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal De l'importance d'avoir une tribune.... Évalué à 5.

    Si je ne m'abuse, c'est des mots français (ils sont dans le dictionnaire de l'académie française) donc il faut mettre des accents et on a:
    un médium/des médiums
    un média/des médias

    C'est simple le français ! Non ?