Lien « Le doute bénéficierait à la censure » : la loi sur la cyberhaine se fait recadrer par le CNNum

Les nouvelles tentatives législatives de l'Europe et de la France à travers la directive européenne sur le droit d'auteur et son article 13, mais également les assauts aux travers des lois sécuritaires comme la toute récentes loi contre la haine en ligne, est problématique sur la pérennité du statut d'hébergeur.
Les plateformes comme Facebook, Youtube ou Twitter se réfugient aujourd'hui derrière ce statut pour expliquer qu'elles ne sont pas responsables du contenu qu'elles publient alors qu'elles éditorialisent énormément ce contenu (…)
Bonjour nal, et bon vendredi !
Chère Quadrature, je suis quelque peu embêté par ta récente prise de position sur le délit d'entrave à l'IVG.
Comprenons-nous bien. J'ai toujours, jusqu'ici, soutenu tes prises de position. Pas financièrement car mes finances ne me le permettent pas, mais en les défendant, sur le net, oralement, ou en votant. Jusqu'ici, je t'ai toujours trouvée raisonnable, pertinente, percutante quand c'était nécessaire.
Mais là, permets-moi de te dire, en toute amitié, que tu fais fausse route (…)
Cher journal,
reflets.info viens de découvrir ce qui se passe quand on délègue sa liberté d'expression à twitter.
Au moins, la bonne nouvelle, c'est que la leçon est retenue, ils sont passé à la « liste de discussion » auto-hébergée.
Mais bon, je veux pas être méchant, mais M. Bayart avait déjà averti il y a 9 ans (en 2007) à Amiens…
Microlinux vs. La France Orange Mécanique
Un libriste vivant paisiblement dans la garrigue cévenole a une idée de
génie pour répondre au livre puant "La France Orange mécanique" de
Laurent Obertone, le nom pseudonyme d'un auteur fétiche de Marine Le
Pen, Zemmour et compagnie.
« J'ai acheté pour une poignée d'euros les noms de domaine laurentobertone.fr et laurentobertone.com, et j'ai fait pointer ces deux adresses vers la même page web, qui comportait la phrase suivante : "Quand on stigmatise les minorités (…)