Dans un sens, tant mieux pour le logiciel libre. Disons que google, comme beaucoup d'acteurs de l'informatique, ont tout intérêt à briser le monopole de Microsoft, et que la meilleure stratégie pour faire ça, ça semble être l'encouragement des logiciels libres (au moins selon Google).
Maintenant, il ne faut pas oublier non plus que Google n'aime pas trop le logiciel libre pour les outils qu'ils développent eux-mêmes. Il ne faut pas voir Google comme un ami des logiciels libres, mais plutôt comme un allié dans la lutte vers la pluralité.
De toutes manières, y'a pas photo, actuellement, google est innovant et dynamique, s'inspire d'un nouveau modèle économique (d'ailleurs, personne ne comprend vraiment comment ils gagnent de l'argent sans rien vendre). Ce modèle économique est beaucoup plus proche de celui proposé par certains logiciels libres que celui de Microsoft. Disons que Microsoft est une entreprise du XXe siècle, et que Google est rentrée dans le XXIe ; c'est donc logique que leurs choix stratégiques soient radicalement différents.
Enfin, j'imagine que Google tente de se bâtir une image de marque à la Coca-Cola : un truc que n'importe quel terrien connaîtra, et associera à quelque chose de plutôt positif : google c'est pratique, google c'est fiable, google y'a pas de pubs, google map c'est beau, google aide le logiciel libre, google mail c'est mieux que n'importe quel autre webmail, etc. En ce qui me concerne, ça marche; je ferais 1000 fois plus confiance aux produits de google qu'à ceux de Microsoft (et si je suis une entreprise, je préfère les offres de Google à celles des concurrents). Évidemment, c'est risqué, parce que le jour où Google-je-t'entube sort, l'image de marque descendra d'un cran, mais c'est à eux de veiller à toujours rester honnêtes pour conserver la confiance des consommateurs.
Microsoft qui met au point des licences libres? Ouhla, faut faire gaffe à mon petit coeur...
Ah, on me dit dans l'oreillette que demain, ils déposent un brevet sur l'idée de publier du code, un brevet sur l'idée de laisser le droit à l'utilisateur de modifier le code et de diffuser des modifications, et enfin un brevet sur le fait d'introduire une clause de "contamination".
Tiens, après-demain, ils intentent un procès à la FSF et à toute personne qui viole un de ces brevets en diffusant un logiciel libre.
Le jour d'après, ils annoncent qu'ils renoncent à utiliser les inventions déposées dans leurs brevets, mais que pour éviter toute concurrence déloyale, ils empêcheront tout le monde de le faire.
Moi aussi, je suis très content de Galeon, mais la nouvelle m'attriste énormément. J'ai jamais aimé l'usine à gaz windowsienne Firefox, et je n'ai jamais essayé Epiphany, qui me semble un peu léger.
Bon, c'est la vie, les logiciels ça vit et ça meurt, mais il va me manquer, mon petit galeon...
Ca peut quand même servir à partager les frais de maintenance du logiciel. Si ton contrat implique que la SSII doit coder ton truc et assurer la correction de bugs, les évolutions éventuelles, etc., tu as tout intérêt à partager les frais avec les concurrents qui ont joué le jeu. Éventuellement, ça te permet aussi quelques années après de diffuser le logiciel, cette fois-ci gratuitement, quand tu estimes que l'exclusivité du truc te coûte plus cher que la maintenance, et que tu espères trouver quelques concurrents qui jouent le jeu.
Je vois plutôt ça comme la création d'un club fermé d'entreprises qui jouent le jeu du libre entre elles, et qui exclue celles qui ne veulent pas jouer le jeu.
Accessoirement, rien ne t'empêche d'introduire des cochonneries de spywares dans le code quand tu le diffuses : c'est pas très fair-play, mais le bourrin qui utilise le soft sans regarder dedans "paye" en quelque sorte son avarice ("ah désolé, on avait mis en place un système de sauvegarde automatique de la base de données sur nos serveurs, la vôtre a été sauvegardée également par erreur, désolé, hein, fallait lire le code pour nous reporter le bug"). (en fait, j'exagère certainement le dernier point, mais même quand le code est diffusé, rien ne t'oblige à faciliter la vie de ceux qui comptent utiliser sans participer).
Ouais, enfin on peut aussi imaginer que le logiciel soit libre mais diffusé d'une manière restreinte : l'entreprise A paye 100000¤ pour faire développer le logiciel, en contrepartie, elle a les sources d'un logiciel libre. L'entreprise B peut aussi accepter d'acheter le logiciel, par exemple à 10000¤, et elle a aussi les sources, peut à son tour demander des fonctionnalités spécifiques, etc. Idem pour des entreprises C, D, etc. Mais personne n'a intérêt à diffuser le binaire et les sources gratuitement en dehors du système.
Il ne faut pas oublier que la diffusion des sources n'est obligatoire que quand le binaire est distribué : si le logiciel reste en interne, même modifié, il n'y a aucune raison pour diffuser les sources gratuitement.
Ouais, enfin on peut aussi imaginer que le logiciel soit libre mais diffusé d'une manière restreinte : l'entreprise A paye 100000¤ pour faire développer le logiciel, en contrepartie, elle a les sources d'un logiciel libre. L'entreprise B peut aussi accepter d'acheter le logiciel, par exemple à 10000¤, et elle a aussi les sources, peut à son tour demander des fonctionnalités spécifiques, etc. Idem pour des entreprises C, D, etc. Mais personne n'a intérêt à diffuser le binaire et les sources gratuitement en dehors du système.
Il ne faut pas oublier que la diffusion des sources n'est obligatoire que quand le binaire est distribué : si le logiciel reste en interne, même modifié, il n'y a aucune raison pour diffuser les sources gratuitement.
Bah une fois j'ai vu un reportage sur un Bonobo qui jouait à PacMan, ça m'a foutu les jetons, ils arrivait au niveau 5, il avait pigé les PacGommes, la stratégie des fantômes, il faisait exprès de les attendre pour mieux les bouffer, etc.
À mon avis, le principal problème que vous allez rencontrer, c'est que vous serez face à deux nouveautés :
- le besoin d'installer et de faire fonctionner un nouveau système d'exploitation
- le besoin de le faire fonctionner dans un milieu professionnel, donc sans erreur possible, avec des applications qui conviennent à 100% à vos besoins.
Je pense que le premier point n'est plus si compliqué. Avec une distribution comme Ubuntu, vous aurez en une heure un système Linux correctement installé, même si vous ne savez pas trop comment vous débrouiller avec.
Ensuite, tout dépend de vos besoins. S'il vous faut gérer un serveur web, un serveur mail, un réseau d'imprimantes, des disques partagés, etc etc., il vous faudra des jours entiers (comme sous WIndows, d'ailleurs).
Pour les applications très précises dont vous avez besoin, le mieux c'est de définir exactement ce que vous voulez, et ensuite de tester les différents produits possibles jusqu'à temps que vous tombiez sur la perle rare.
Au fait, j'y pense, si vous souhaitez une version "pro", vous pouvez toujours chercher du côté des distributions orientées PME, comme le pack Mandriva pro ; il faut payer mais vous aurez le service qui va avec.
Et que penser de Latex alors? faites un "latex augmenter retrait" sur google, pour voir :-) En fait, c'est fou ce qu'un nombre de termes anodins peuvent avoir une signification cachée...
Ce que je voulais dire, par exemple, c'est que tu pouvais très bien te dire "tiens, je vais essayer de gagner par la voie diplomatique", mais ça ne va pas tellement changer ta stratégie de jeu. Si tu te plantes, tu vas juste produire des chars et tout pêter. Il n'y a pas de civilisations guerrières ni de civilisations pacifiques dans ce jeu, les technologies à atteindre sont tellement imbriquées les unes avec les autres que tu ne peux pas obtenir "Université" sans avoir des technologies plus "guerrières".
Essaye de gagner en tant que communiste pacifique, par exemple, et tu vas te marrer. L'IA est très très forte au début, puis décline peu à peu. Après un certain point, tu leur écrases leurs chevaliers avec tes tanks, c'est pas très glorieux comme challenge. Par contre, tu as un cap difficile à franchir en début de jeu, où tu as plutôt intérêt à te faire discret et ami avec tout le monde sous peine de te faire exploser, surtout s'ils s'y mettent à plusieurs.
Bref, tu gagnes en :
1) développant très rapidement ta civilisation au début (c'est pas très réaliste, parce que des civilisations très puissantes sont parties en vrai très en retard, pense à l'Europe du début du moyen-age, pas très loin de la préhistoire technologiquement). Quelques tours perdus en début de jeu sont souvent irratrappables.
2) blindant tes défenses, parce que l'AI va t'attaquer à tous les coups avec des forces incroyablement supérieures (j'aimerais bien connaître leur stratégie de développement, d'ailleurs).
3) Si tu survis, tu peux développer ton économie en construisant des banques, puis des universités, etc. L'IA va rester aux guerriers, et ils t'égratinent de moins en moins.
4) Après un moment, tu devient tellement supérieur aux ordis que le jeu pert de l'intérêt. Alors oui, tu peux tenter les tanks ou les diplomates chargés de valises de billets, de toutes manières, tu es meilleur en économie, en recherche et en militaire.
Bref, je déplorais simplement l'absence de grandes voies alternatives (par exemple, voie "pacifique" très forte en défense et très faible en attaque impossible, les deux sont très liés, ou voie économique simple --en fait, impossible de développer l'économie à long terme sans la recherche ni les technologies militaires). En fait, on ne peut gagner que sur un système de civilisation occidental : industrialisation, technologies militaires, économie de marché, démocratie. C'est un peu réducteur. J'aimerais bien par exemple que l'on puisse gagner si on a réussi à préserver son environnement, si les gens sont heureux, si on a su se préserver des guerres et des famines, etc.
Je ne connais pas la série des "Civilisation", mais je trouve que freeciv, bien que beau et tout et tout, n'a pas une durée de vie illimitée en mode simple joueur (bien pratique quand on a d'autres choses à faire que de passer devant son écran sans le quitter les 10h que durent une partie en réseau). L'intelligence artificielle est balèse au début, mais sa stratégie n'est jamais très surprenante, et malheureusement, il n'existe que peu de stratégies alternatives viables ; pour gagner, il faut toujours plus ou moins faire la même chose, et c'est quand même un peu ennuyeux... Enfin ça n'est que mon avis...
On est bien d'accord, mais franchement, c'est de la sodomie de diptères. T'es en train de dire "on devrait maintenir ce site francophone parce que vous ne m'avez pas prouvé qu'il est illégal dans d'autres pays que la France". Ca ne tient pas debout. Si on te dit qu'il est aussi illégal en Belgique, tu vas dire "ah oui, et en Suisse?". Et puis en Algérie, et puis à Madagascar aussi? Si ça se trouve, wikiquote.fr sera utilisatble par les français du Lichtenstein, ça me fait une belle jambe. En attendant, il est certainement illégal en France, donc tout contributeur français qui y participe est potentiellement hors la loi, et tout français qui l'utilise aussi. Le minimum, c'est quand même de prévenir les gens qui arrivent et qui lisent "viendez c'est la fête du slip, des citations à pas cher!".
De toutes manières, malgré toutes les disparités du droit international, une citation ne peut pas changer de licence comme ça ; donc quoi qu'il en soit, et même si wikiquote est légal dans deux ou trois pays, il ne correspond pas du tout à la philosophie que je me fais du libre
C'est marrant, je contribue régulièrement à Wikipédia, et je n'ai jamais entendu parler de cette affaire. Manque de communication?
Bon, dans le fond, il n'y a rien de surprenant. C'était prévisible, et logique. Cette idée de faire un recueil de citations "libre", sur le modèle de Wikipédia, était une mauvaise idée (je ne m'en suis pas rendu compte dès le début, mais c'est apparu prograssivement). Par définition, dans le droit français au moins, une citation n'est pas libre (à moins que son auteur ne soit mort depuis plus de 70 ans). Par contre, on a le droit de l'utiliser, sous certaines conditions : c'est le droit de citation. Comme condition, par exemple, il y a la volonté d'illustrer un propos dans un but pédagogique. Alors oui, on peut donc inclure une citation dans n'importe quel texte que la citation illustre. Mais quand on fait un recueil de citations? On tombe carrément à côté de ce contexte d'illustration, et on n'est plus couvert par le droit de citation.
Par ailleurs, je trouve très étrange, voire dérangeante, l'idée de faire un recueil libre de trucs non libres. Il ne faut pas oublier que le droit de citation ne revient pas à verser toutes les citations dans le domaine public, et qu'on ne peut par exemple pas les modifier, les utiliser dans n'importe quel contexte, etc. Le droit de citation s'apparente donc au "fair use" américain, et les citations ne sont définitivement pas libres. Wikiquote, c'est un peu comme une distribution libre qui ne contiendrait que des logiciels propriétaires.
Enfin, et c'est là le problème actuel, l'accumulation de citations à grande échelle par des contributeurs anonymes a de fortes chances de violer le droit des bases de données. Par exemple, si je veux ajouter des citations de Coluches à Wikiquote, il faudrait que je visionne tous ses sketchs et interventions radio et télé, et que je fasse ma sélection moi-même. Personne ne fait vraiment ça. On fait google citations Coluche, on tombe sur un bon site, et hop copier-coller, ce qui est a priori interdit par le droit des bases de données : on peut extraire quelques données librement d'une base, mais pas une partie "significative" dans le but de reconstituer une autre base de données ("significative" étant un mot placé dans ce contexte pour créer 2000 emplois d'avocats, puisqu'il ne veut strictement rien dire). Pire, le problème se pose aussi avec des citations tombées dans le domaine public : impossible de pomper 200 citations de Molière par exemple. Ou alors, à la main, dans des sites différents, en modifiant l'ordre, etc. (et encore, ça ne prouve rien).
Bref, quelle que soit la mauvaise foi de l'entreprise qui conteste, j'imagine que Wikiquote est assise sur des bases juridiques tellement floues et mouvantes que sa disparition à plus ou moins long terme apparaît bien probable...
Je viens juste d'installer (hier) la Breezy Béta sur mon portable (HP Pavilion 4300), et dans l'ensemble, ça marche bien. L'install est rapide, tout est détecté, il y a l'accélération graphique, chose que je n'avais jamais réussi à avoir sous Debian.
Seuls quelques problèmes mineurs :
* L'ensemble est un peu en franglais, y compris l'installation, mais aussi les menus, l'aide, etc.
* Le son fonctionne très bien, mais pas le controlleur de volume, il faut quelques manips pas très compliquées en ligne de commande pour pouvoir régler le son à la souris
* Le serveur ntp par défaut d'ubuntu a l'air down, c'est très gênant parce que non seulement le PC n'est pas à jour lors de l'install, mais la correction du problème est délicate (en fait, le clicodrome modifie /etc/ntp.conf , ce qui n'a absolument aucun effet puisque le démon ntp utilise /etc/default/ntpdate).
* La couleur de l'interface à base de marron c'est vraiment caca.
* Le partitionnement par défaut m'a créé seulement une partoche pour le / , c'est quand même bizarre.
Voila! Mais autrement, l'ensemble est vraiment satisfaisant. L'installeur de programmes est super-intuitif, c'est du bonheur.
PS : hoary plantait lamentablement sur la détection du disque SATA sur un PC récent la dernière fois que j'ai essayé, le problème est-il susceptible d'être résolu avec la breezy?
T'as pas tort, vérification faite, j'imprime direct avec OpenOffice, via CUPS.
Je me rappelle l'avoir fait sur une ancienne version, il y avait un truc du genre oooprinter, qui permettait de paramétrer tes imprimantes rien que pour OpenOffice, et de créer une nouvelle imprimante, etc. Mais c'ets vrai que la version 1.1 n'a plus l'air de marcher comme ça.
Les paquets debian, c'est bien, mais des fois ça fait des trucs tout seuls... (dans un sens, tant que ça marche, je ne vais pas me plaindre)
Pour éviter ce genre de problèmes, j'ai décidé de centraliser l'impression. Je suis sous Gnome, mais j'utilise le gestionnaire d'impression de KDE, qui s'appelle kprinter. Je sias qu'il marche, que je peux configurer le recto-verso, etc. Donc dans tous les logiciels, je change la commande d'impression ; au lieu de mettre lp -d Imprimante, je mets "kprinter". Comme ça, j'imprime de firefox -> kprinter, d'openoffice -> kprinter, de xpdf -> kprinter, etc. Éviemment, on perd 5 secondes à chaque impression le temps que le bazar s'ouvre, mais on gagne largement en tranquilité...
Moi, ça me fait ça parce que ma distrib est à cheval sur plusieurs versions de debian : noyau, serveur X, etc en testing, et logiciels dont je veux une version plus récente en unstable.
Du coup, pour certaines mises à jour, il ne sait pas trop quoi faire, et préfère laisser certains paquets dans leur version précédente plutôt que de les passer de testing à unstable sans demander.
Bref, je pense que ça te fait ça parce que tu as plusieurs repositories dans ton source.list. Il faut lui indiquer à partir duquel tu veux mettre à jour. Par exemple, chez moi, apt-get install -t unstable digikam. En général, ça résoud le problème.
En fait, le changement de noyau est plutôt difficile si tu veux le recompiler toi-même. Par contre, l'installer à partir du paquet debian, c'est finalement assez simple.
1) tu repères le nom de ton noyau actuel. un petit "uname -a" dans un terminal, moi, par exemple, c'est 2.6.11-1-k7
2) tu installes le paquet qui correspond au nouveau noyau que tu veux installer. Si tu utilises apt, par exemple, c'est "apt-get install kernel-image-XXX", avec XXX = le nom de ton ancien noyau, sauf que tu changes le numéro.
3) il faut modifier le gestionnaire de boot pour qu'il puisse démarrer ton nouveau noyau. Selon que tu utilises Grub ou Lilo ça change, mais en gros, tu fais un copier - coller de la partie qui semble correspondre à l'ancien, et tu changes le numéro de version.
Euh, un conseil : prévois de pouvoir booter sur les deux noyaux, parce que si le nouveau ne marche pas, tu pourras toujours démarrer sur l'ancien.
4) Tu redémarres.
Chez moi, cette technique a toujours marché, sauf lors du passage du 2.4 au 2.6, où ça a bien tout pêté.
Note quand même qu'il faut à Debian un petit bout de temps pour faire des paquets des nouveaux noyaux...
Je crois que j'ai une solution (peut-être pas optimale, j'en sais rien).
1) On fait une première passe pour déterminer qui de a ou de b est le plus fort (celui qui a gagné le plus d'épruves parmi les N épreuves). F est le fort, f le faible.
2) On sélectionne pour f toutes les épreuves gagnées par f. On en a donc déja X <= N/2
3) On sélectionne ensuite pour f, parmi les épreuves restantes, les N/2 - X meilleurs scores de f, sans regarder le score de F. On a alors la totalité des N/2 épreuves de f.
4) Il ne reste donc plus qu'à assigner les N/2 épreuves restantes à F.
Par contre, je ne sais pas si ça gère bien d'éventuelles égalités.
Disons que c'était ton algo modifié pour prendre en compte la partie du problème qui n'était pas considérée (tri, puis choix, avec élimination de tous les a quand 5 a avaient été choisis).
et b1 b3 a2 a4 = 8 + 8 + 6 + 7 = 29
C'est ma faute, idiot que je suis, j'ai cru que j'étais capable de faire ça sans calculette :-)
Oui mais non, pas tout à fait : tu dois quand même prendre 5 scores pour a et 5 scores pour b, avec ta méthode, tu prendras les 10 scores de a si a est toujours meilleur que b (ouh, b il est vraiment naze).
T'es sûr que tu tombes sur le meilleur résultat possible? Imagine en réduisant à 4 épreuves (j'ai pas toute la journée :-) :
a b
9 8
6 3
7 8
7 2
Ton algo va te donner a1 b3 a4 b2 (soit 27), alors que choisir par exemple b1 b3 a2 a4 t'aurait donné 31! Donc c'est pas bon.
Il doit bien y avoir un moyen de ne pas explorer toutes les possibilités, mais finalement la complexité de la recherche intégrale est linéaire, donc je ne vois pas vraiment le problème.
Tout simplement, chaque logiciel a sa licence. Bien entendu, il est possible de développer et d'exécuter des logiciels non libres sous Linux. Ainsi, acrobat reader pour Linux est gratuit, mais il n'est pas libre.
Linux n'est pas le monde du tout gratuit. D'ailleurs, un logiciel libre n'est pas forcément gratuit.
Pour le cas qui t'intéresse, je ne connais pas ce logiciel, donc je n'en sais absolument rien. :-)
Disons que ça n'est certainement pas de la ligne de commande : il y a une interface graphique en mode texte, avec des menus en ASCII art, ou des choses comme ça :-) J'ai peut-être été imprécis, mais je voulais juste dire que, contrairement à beaucoup de logiciels, la partie algorithmique devait être ridicule par rapport à l'interface.
Oui, enfin ce n'est pas ce qui m'énerve le plus. Ce qui m'agace au plus haut point, c'est de retrouver des comportements Windowsiens à la c$ù*§ dans ces logiciels, certainement du fait du portage. Par exemple, pour choisir une application externe, il faut descendre dans /usr/bin/truc, c'est trop pourri :-) (enfin là, je crois que je pense plus à FireFox qu'à openoffice, mais c'est quand même le même type de problème qu'on rencontre). Bref, j'attends d'une bonne intégration qu'on ne puisse plus deviner que le logiciel est porté sur d'autres OS.
J'imagine qu'OpenOffice est complètement coincé entre ses différents objectifs, parfois contradictoires. L'optimisation de son interface passe forcément par une intégration, surtout au niveau des boîtes de dialogue "courantes" (ouvrir un fichier, enregistrer sous, imprimer, etc). Cependant, il cherche en même temps à coller énormément à son concurrent Microsoftien, afin de ne pas perdre l'utilisateur qui vient de migrer (à mes yeux, c'est peine perdu, à moins de vouloir réaliser un clone exact ce qui n'a pas de sens vu les défauts du concurrent en question).
Le principal problème, c'est certainement que ce type de logiciel, ce n'est pas un algorithme qui peut être interfacé avec des boutons, c'est une interface quasiment "pure et dure" : le reste, ce n'est que des scripts de conversion de fichier, d'impression ; quelques gadgets (compter le nombre de mots) ; quelques macros que personne n'utilisent, etc. Bref, l'interface est bien le coeur du logiciel (celui qui est capable d'utiliser un tableur en ligne de commande doit me contacter d'utgence :-) ). J'imagine donc que, dans ces conditions, un portage doit être grosso-modo équivalent à un fork...
[^] # Re: Une guerre?
Posté par arnaudus . En réponse à la dépêche Google investit encore dans l'open source. Évalué à 10.
Maintenant, il ne faut pas oublier non plus que Google n'aime pas trop le logiciel libre pour les outils qu'ils développent eux-mêmes. Il ne faut pas voir Google comme un ami des logiciels libres, mais plutôt comme un allié dans la lutte vers la pluralité.
De toutes manières, y'a pas photo, actuellement, google est innovant et dynamique, s'inspire d'un nouveau modèle économique (d'ailleurs, personne ne comprend vraiment comment ils gagnent de l'argent sans rien vendre). Ce modèle économique est beaucoup plus proche de celui proposé par certains logiciels libres que celui de Microsoft. Disons que Microsoft est une entreprise du XXe siècle, et que Google est rentrée dans le XXIe ; c'est donc logique que leurs choix stratégiques soient radicalement différents.
Enfin, j'imagine que Google tente de se bâtir une image de marque à la Coca-Cola : un truc que n'importe quel terrien connaîtra, et associera à quelque chose de plutôt positif : google c'est pratique, google c'est fiable, google y'a pas de pubs, google map c'est beau, google aide le logiciel libre, google mail c'est mieux que n'importe quel autre webmail, etc. En ce qui me concerne, ça marche; je ferais 1000 fois plus confiance aux produits de google qu'à ceux de Microsoft (et si je suis une entreprise, je préfère les offres de Google à celles des concurrents). Évidemment, c'est risqué, parce que le jour où Google-je-t'entube sort, l'image de marque descendra d'un cran, mais c'est à eux de veiller à toujours rester honnêtes pour conserver la confiance des consommateurs.
# Attention à l'infarctus...
Posté par arnaudus . En réponse à la dépêche Des licences "Shared Source" de Microsoft.... Évalué à 9.
Ah, on me dit dans l'oreillette que demain, ils déposent un brevet sur l'idée de publier du code, un brevet sur l'idée de laisser le droit à l'utilisateur de modifier le code et de diffuser des modifications, et enfin un brevet sur le fait d'introduire une clause de "contamination".
Tiens, après-demain, ils intentent un procès à la FSF et à toute personne qui viole un de ces brevets en diffusant un logiciel libre.
Le jour d'après, ils annoncent qu'ils renoncent à utiliser les inventions déposées dans leurs brevets, mais que pour éviter toute concurrence déloyale, ils empêcheront tout le monde de le faire.
Ouf, me voila enfin rassuré.
[^] # Re: En voila une bonne chose
Posté par arnaudus . En réponse à la dépêche Galeon fusionne avec Epiphany. Évalué à 3.
Bon, c'est la vie, les logiciels ça vit et ça meurt, mais il va me manquer, mon petit galeon...
[^] # Re: Ca commence mal
Posté par arnaudus . En réponse à la dépêche Quand Mark Shuttleworth fait le point sur Ubuntu. Évalué à 4.
Je vois plutôt ça comme la création d'un club fermé d'entreprises qui jouent le jeu du libre entre elles, et qui exclue celles qui ne veulent pas jouer le jeu.
Accessoirement, rien ne t'empêche d'introduire des cochonneries de spywares dans le code quand tu le diffuses : c'est pas très fair-play, mais le bourrin qui utilise le soft sans regarder dedans "paye" en quelque sorte son avarice ("ah désolé, on avait mis en place un système de sauvegarde automatique de la base de données sur nos serveurs, la vôtre a été sauvegardée également par erreur, désolé, hein, fallait lire le code pour nous reporter le bug"). (en fait, j'exagère certainement le dernier point, mais même quand le code est diffusé, rien ne t'oblige à faciliter la vie de ceux qui comptent utiliser sans participer).
[^] # Re: Ca commence mal
Posté par arnaudus . En réponse à la dépêche Quand Mark Shuttleworth fait le point sur Ubuntu. Évalué à 1.
Il ne faut pas oublier que la diffusion des sources n'est obligatoire que quand le binaire est distribué : si le logiciel reste en interne, même modifié, il n'y a aucune raison pour diffuser les sources gratuitement.
[^] # Re: Ca commence mal
Posté par arnaudus . En réponse à la dépêche Quand Mark Shuttleworth fait le point sur Ubuntu. Évalué à 7.
Il ne faut pas oublier que la diffusion des sources n'est obligatoire que quand le binaire est distribué : si le logiciel reste en interne, même modifié, il n'y a aucune raison pour diffuser les sources gratuitement.
[^] # Re: Docteur mabuse
Posté par arnaudus . En réponse à la dépêche Projet BetterDesktop. Évalué à 3.
# Migration
Posté par arnaudus . En réponse au message Devis et facturation. Évalué à 3.
- le besoin d'installer et de faire fonctionner un nouveau système d'exploitation
- le besoin de le faire fonctionner dans un milieu professionnel, donc sans erreur possible, avec des applications qui conviennent à 100% à vos besoins.
Je pense que le premier point n'est plus si compliqué. Avec une distribution comme Ubuntu, vous aurez en une heure un système Linux correctement installé, même si vous ne savez pas trop comment vous débrouiller avec.
Ensuite, tout dépend de vos besoins. S'il vous faut gérer un serveur web, un serveur mail, un réseau d'imprimantes, des disques partagés, etc etc., il vous faudra des jours entiers (comme sous WIndows, d'ailleurs).
Pour les applications très précises dont vous avez besoin, le mieux c'est de définir exactement ce que vous voulez, et ensuite de tester les différents produits possibles jusqu'à temps que vous tombiez sur la perle rare.
Au fait, j'y pense, si vous souhaitez une version "pro", vous pouvez toujours chercher du côté des distributions orientées PME, comme le pack Mandriva pro ; il faut payer mais vous aurez le service qui va avec.
[^] # Re: HS
Posté par arnaudus . En réponse à la dépêche R-project bouge, R version 2.2.0 sort. Évalué à 2.
[^] # Re: Pas plus de commentaires ?
Posté par arnaudus . En réponse à la dépêche Freeciv 2.0.6. Évalué à 1.
Essaye de gagner en tant que communiste pacifique, par exemple, et tu vas te marrer. L'IA est très très forte au début, puis décline peu à peu. Après un certain point, tu leur écrases leurs chevaliers avec tes tanks, c'est pas très glorieux comme challenge. Par contre, tu as un cap difficile à franchir en début de jeu, où tu as plutôt intérêt à te faire discret et ami avec tout le monde sous peine de te faire exploser, surtout s'ils s'y mettent à plusieurs.
Bref, tu gagnes en :
1) développant très rapidement ta civilisation au début (c'est pas très réaliste, parce que des civilisations très puissantes sont parties en vrai très en retard, pense à l'Europe du début du moyen-age, pas très loin de la préhistoire technologiquement). Quelques tours perdus en début de jeu sont souvent irratrappables.
2) blindant tes défenses, parce que l'AI va t'attaquer à tous les coups avec des forces incroyablement supérieures (j'aimerais bien connaître leur stratégie de développement, d'ailleurs).
3) Si tu survis, tu peux développer ton économie en construisant des banques, puis des universités, etc. L'IA va rester aux guerriers, et ils t'égratinent de moins en moins.
4) Après un moment, tu devient tellement supérieur aux ordis que le jeu pert de l'intérêt. Alors oui, tu peux tenter les tanks ou les diplomates chargés de valises de billets, de toutes manières, tu es meilleur en économie, en recherche et en militaire.
Bref, je déplorais simplement l'absence de grandes voies alternatives (par exemple, voie "pacifique" très forte en défense et très faible en attaque impossible, les deux sont très liés, ou voie économique simple --en fait, impossible de développer l'économie à long terme sans la recherche ni les technologies militaires). En fait, on ne peut gagner que sur un système de civilisation occidental : industrialisation, technologies militaires, économie de marché, démocratie. C'est un peu réducteur. J'aimerais bien par exemple que l'on puisse gagner si on a réussi à préserver son environnement, si les gens sont heureux, si on a su se préserver des guerres et des famines, etc.
[^] # Re: Pas plus de commentaires ?
Posté par arnaudus . En réponse à la dépêche Freeciv 2.0.6. Évalué à 2.
[^] # Moi non plus :(
Posté par arnaudus . En réponse à la dépêche Le point sur le traitement graphique sous Linux. Évalué à 4.
[^] # Re: Pas très surprenant...
Posté par arnaudus . En réponse à la dépêche Le Wikiquote francophone risque de fermer sans réaction de sa communauté. Évalué à 3.
De toutes manières, malgré toutes les disparités du droit international, une citation ne peut pas changer de licence comme ça ; donc quoi qu'il en soit, et même si wikiquote est légal dans deux ou trois pays, il ne correspond pas du tout à la philosophie que je me fais du libre
# Pas très surprenant...
Posté par arnaudus . En réponse à la dépêche Le Wikiquote francophone risque de fermer sans réaction de sa communauté. Évalué à 9.
Bon, dans le fond, il n'y a rien de surprenant. C'était prévisible, et logique. Cette idée de faire un recueil de citations "libre", sur le modèle de Wikipédia, était une mauvaise idée (je ne m'en suis pas rendu compte dès le début, mais c'est apparu prograssivement). Par définition, dans le droit français au moins, une citation n'est pas libre (à moins que son auteur ne soit mort depuis plus de 70 ans). Par contre, on a le droit de l'utiliser, sous certaines conditions : c'est le droit de citation. Comme condition, par exemple, il y a la volonté d'illustrer un propos dans un but pédagogique. Alors oui, on peut donc inclure une citation dans n'importe quel texte que la citation illustre. Mais quand on fait un recueil de citations? On tombe carrément à côté de ce contexte d'illustration, et on n'est plus couvert par le droit de citation.
Par ailleurs, je trouve très étrange, voire dérangeante, l'idée de faire un recueil libre de trucs non libres. Il ne faut pas oublier que le droit de citation ne revient pas à verser toutes les citations dans le domaine public, et qu'on ne peut par exemple pas les modifier, les utiliser dans n'importe quel contexte, etc. Le droit de citation s'apparente donc au "fair use" américain, et les citations ne sont définitivement pas libres. Wikiquote, c'est un peu comme une distribution libre qui ne contiendrait que des logiciels propriétaires.
Enfin, et c'est là le problème actuel, l'accumulation de citations à grande échelle par des contributeurs anonymes a de fortes chances de violer le droit des bases de données. Par exemple, si je veux ajouter des citations de Coluches à Wikiquote, il faudrait que je visionne tous ses sketchs et interventions radio et télé, et que je fasse ma sélection moi-même. Personne ne fait vraiment ça. On fait google citations Coluche, on tombe sur un bon site, et hop copier-coller, ce qui est a priori interdit par le droit des bases de données : on peut extraire quelques données librement d'une base, mais pas une partie "significative" dans le but de reconstituer une autre base de données ("significative" étant un mot placé dans ce contexte pour créer 2000 emplois d'avocats, puisqu'il ne veut strictement rien dire). Pire, le problème se pose aussi avec des citations tombées dans le domaine public : impossible de pomper 200 citations de Molière par exemple. Ou alors, à la main, dans des sites différents, en modifiant l'ordre, etc. (et encore, ça ne prouve rien).
Bref, quelle que soit la mauvaise foi de l'entreprise qui conteste, j'imagine que Wikiquote est assise sur des bases juridiques tellement floues et mouvantes que sa disparition à plus ou moins long terme apparaît bien probable...
# Appréciation positive
Posté par arnaudus . En réponse à la dépêche Revue des nouvelles chez Ubuntu. Évalué à 3.
Seuls quelques problèmes mineurs :
* L'ensemble est un peu en franglais, y compris l'installation, mais aussi les menus, l'aide, etc.
* Le son fonctionne très bien, mais pas le controlleur de volume, il faut quelques manips pas très compliquées en ligne de commande pour pouvoir régler le son à la souris
* Le serveur ntp par défaut d'ubuntu a l'air down, c'est très gênant parce que non seulement le PC n'est pas à jour lors de l'install, mais la correction du problème est délicate (en fait, le clicodrome modifie /etc/ntp.conf , ce qui n'a absolument aucun effet puisque le démon ntp utilise /etc/default/ntpdate).
* La couleur de l'interface à base de marron c'est vraiment caca.
* Le partitionnement par défaut m'a créé seulement une partoche pour le / , c'est quand même bizarre.
Voila! Mais autrement, l'ensemble est vraiment satisfaisant. L'installeur de programmes est super-intuitif, c'est du bonheur.
PS : hoary plantait lamentablement sur la détection du disque SATA sur un PC récent la dernière fois que j'ai essayé, le problème est-il susceptible d'être résolu avec la breezy?
[^] # Re: Centraliser l'impression
Posté par arnaudus . En réponse au message Pas d'impression sous firefox. Évalué à 1.
Je me rappelle l'avoir fait sur une ancienne version, il y avait un truc du genre oooprinter, qui permettait de paramétrer tes imprimantes rien que pour OpenOffice, et de créer une nouvelle imprimante, etc. Mais c'ets vrai que la version 1.1 n'a plus l'air de marcher comme ça.
Les paquets debian, c'est bien, mais des fois ça fait des trucs tout seuls... (dans un sens, tant que ça marche, je ne vais pas me plaindre)
# Centraliser l'impression
Posté par arnaudus . En réponse au message Pas d'impression sous firefox. Évalué à 4.
# Distribution à cheval sur plusieurs versions?
Posté par arnaudus . En réponse au message apt et les "non mis a jour". Évalué à 1.
Du coup, pour certaines mises à jour, il ne sait pas trop quoi faire, et préfère laisser certains paquets dans leur version précédente plutôt que de les passer de testing à unstable sans demander.
Bref, je pense que ça te fait ça parce que tu as plusieurs repositories dans ton source.list. Il faut lui indiquer à partir duquel tu veux mettre à jour. Par exemple, chez moi, apt-get install -t unstable digikam. En général, ça résoud le problème.
# Pas si dûr
Posté par arnaudus . En réponse au message Mise à jour du Noyau. Évalué à 1.
1) tu repères le nom de ton noyau actuel. un petit "uname -a" dans un terminal, moi, par exemple, c'est 2.6.11-1-k7
2) tu installes le paquet qui correspond au nouveau noyau que tu veux installer. Si tu utilises apt, par exemple, c'est "apt-get install kernel-image-XXX", avec XXX = le nom de ton ancien noyau, sauf que tu changes le numéro.
3) il faut modifier le gestionnaire de boot pour qu'il puisse démarrer ton nouveau noyau. Selon que tu utilises Grub ou Lilo ça change, mais en gros, tu fais un copier - coller de la partie qui semble correspondre à l'ancien, et tu changes le numéro de version.
Euh, un conseil : prévois de pouvoir booter sur les deux noyaux, parce que si le nouveau ne marche pas, tu pourras toujours démarrer sur l'ancien.
4) Tu redémarres.
Chez moi, cette technique a toujours marché, sauf lors du passage du 2.4 au 2.6, où ça a bien tout pêté.
Note quand même qu'il faut à Debian un petit bout de temps pour faire des paquets des nouveaux noyaux...
[^] # Re: une autre idée
Posté par arnaudus . En réponse au message Algorithme optimum. Évalué à 2.
1) On fait une première passe pour déterminer qui de a ou de b est le plus fort (celui qui a gagné le plus d'épruves parmi les N épreuves). F est le fort, f le faible.
2) On sélectionne pour f toutes les épreuves gagnées par f. On en a donc déja X <= N/2
3) On sélectionne ensuite pour f, parmi les épreuves restantes, les N/2 - X meilleurs scores de f, sans regarder le score de F. On a alors la totalité des N/2 épreuves de f.
4) Il ne reste donc plus qu'à assigner les N/2 épreuves restantes à F.
Par contre, je ne sais pas si ça gère bien d'éventuelles égalités.
[^] # Re: une autre idée
Posté par arnaudus . En réponse au message Algorithme optimum. Évalué à 1.
Disons que c'était ton algo modifié pour prendre en compte la partie du problème qui n'était pas considérée (tri, puis choix, avec élimination de tous les a quand 5 a avaient été choisis).
et b1 b3 a2 a4 = 8 + 8 + 6 + 7 = 29
C'est ma faute, idiot que je suis, j'ai cru que j'étais capable de faire ça sans calculette :-)
[^] # Re: une autre idée
Posté par arnaudus . En réponse au message Algorithme optimum. Évalué à 1.
T'es sûr que tu tombes sur le meilleur résultat possible? Imagine en réduisant à 4 épreuves (j'ai pas toute la journée :-) :
a b
9 8
6 3
7 8
7 2
Ton algo va te donner a1 b3 a4 b2 (soit 27), alors que choisir par exemple b1 b3 a2 a4 t'aurait donné 31! Donc c'est pas bon.
Il doit bien y avoir un moyen de ne pas explorer toutes les possibilités, mais finalement la complexité de la recherche intégrale est linéaire, donc je ne vois pas vraiment le problème.
# À chaque logiciel sa licence
Posté par arnaudus . En réponse au message question sur licence de kylix. Évalué à 3.
Tout simplement, chaque logiciel a sa licence. Bien entendu, il est possible de développer et d'exécuter des logiciels non libres sous Linux. Ainsi, acrobat reader pour Linux est gratuit, mais il n'est pas libre.
Linux n'est pas le monde du tout gratuit. D'ailleurs, un logiciel libre n'est pas forcément gratuit.
Pour le cas qui t'intéresse, je ne connais pas ce logiciel, donc je n'en sais absolument rien. :-)
[^] # Re: Petite déception...
Posté par arnaudus . En réponse à la dépêche Intégration de OpenOffice dans KDE et l'inverse. Évalué à 3.
[^] # Re: Petite déception...
Posté par arnaudus . En réponse à la dépêche Intégration de OpenOffice dans KDE et l'inverse. Évalué à 10.
J'imagine qu'OpenOffice est complètement coincé entre ses différents objectifs, parfois contradictoires. L'optimisation de son interface passe forcément par une intégration, surtout au niveau des boîtes de dialogue "courantes" (ouvrir un fichier, enregistrer sous, imprimer, etc). Cependant, il cherche en même temps à coller énormément à son concurrent Microsoftien, afin de ne pas perdre l'utilisateur qui vient de migrer (à mes yeux, c'est peine perdu, à moins de vouloir réaliser un clone exact ce qui n'a pas de sens vu les défauts du concurrent en question).
Le principal problème, c'est certainement que ce type de logiciel, ce n'est pas un algorithme qui peut être interfacé avec des boutons, c'est une interface quasiment "pure et dure" : le reste, ce n'est que des scripts de conversion de fichier, d'impression ; quelques gadgets (compter le nombre de mots) ; quelques macros que personne n'utilisent, etc. Bref, l'interface est bien le coeur du logiciel (celui qui est capable d'utiliser un tableur en ligne de commande doit me contacter d'utgence :-) ). J'imagine donc que, dans ces conditions, un portage doit être grosso-modo équivalent à un fork...