X.Org, Summer of Code et Vacation of Code

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28
mar.
2010
Serveurs d’affichage
Comme tous les ans depuis 2006, X.Org participe au Google Summer of Code. Si vous êtes un étudiant et que vous vous ennuyez pendant les vacances, plutôt que de réviser pour la session de septembre vous avez une occasion d'écrire du code plein de poils dans X.Org !

L'avantage de X.Org sur beaucoup d'autres organisations est de disposer de fonds qui lui permettent de financer les étudiants brillants mais qui n'ont pas pu obtenir une bourse par Google. Ces étudiants participent alors au programme "X.Org Vacation of Code" qui marche de la même façon que le Summer of Code (autant sur le plan de l'interaction avec les dévelopeurs que sur le plan financier), sauf pour le t-shirt (X.Org ne fait pas encore de t-shirts).

D'autre part, X.Org a récemment étendu le "X.Org Vacation of Code" en "X.Org Endless Vacation of Code". Ce mot supplémentaire et qui change tout signifie qu'au lieu de se limiter à la période estivale, ce programme propose aux étudiants de devenir développeurs X.Org à tout moment de l'année qui leur semble opportun. Si vous êtes intéressés contactez X.Org !

Brevets logiciels : riposte des pro-brevets

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27
oct.
2003
Justice
Encore une fois, les ennuis viennent du Royaume-Uni : le Royaume-Uni menace de faire pression pour annuler le texte qui a été voté en septembre, et pour faire adopter par le conseil des ministres un brouillon de texte datant de novembre 2002 beaucoup plus flou (et beaucoup moins restrictif). Bien sûr, ils essayent de faire passer ça en douce et rapidement, puisqu'une première réunion aura lieu le 23 octobre, et que la décision du conseil pourrait être prise le 10 novembre.

Note du modérateur : à propos de l'avis de la Commission, Alain Degreffe rajoute « Monsieur Bolkenstein nous livre son avis sur la directive amendée. Comme on s'y attendait, il déclare inacceptables les amendements qui bloquent les abus et dérives à l'américaine. En vrac, il rejette l'implication des forces de la nature, toute référence à Art 52 de EPC, l'obligation de breveter un produit (à comparer avec un programme), il rejette l'interdiction de breveter le traitement d'information. ». Et Lieben Laurent évoque la position de RMS sur le texte voté en première lecture.