Sinon effectivement, normalement quand on travaille on rend service. Mais c'est pas forcément la motivation profonde du travail rémunéré …
Si la motivation profonde du travail rémunéré est de gagner de l'argent, je connais tout un paquet de gens qui se sont trompés d'orientation. Je commence par les fonctionnaires (employés des collectivités territoriales, professeurs, chercheurs, policiers), les infirmiers, les pompiers, les gendarmes, les employés des postes, des supermarchés qui sont de facto dans l'impossibilité de devenir riche par l'exercice de leur profession. Viennent ensuite toutes les professions dans lesquelles les chances (pour ceux que ça intéresse) de devenir riche existent mais sont faibles, comme les professions artisanales, les restaurateurs, les commerçants, les médecins généralistes et un bonne partie des spécialistes, etc.
Pour moi, c'est important que mon travail me semble utile à la communauté – j'ai changé deux fois de travail avec ce critère pesant lourd dans la balance.
Qu'est-ce que tu voyais comme motivation profonde du travail rémunéré?
Dans les faits, l'hypothèse est à peu près vérifiée.
Alors ça … il y a 12.000 distributions qui ressemblent à des gaussiennes quand tu regardes un nuage de points. Par exemple tu ne peux souvent pas trop faire la différence avec une variable loi log-normale (variable dont le logarithme suit une loi normale), et au lieu du logarithme tu peux prendre n'importe quel “homémorphisme concave ou convexe de R sur un intervalle de R et dont la dérivée à la valeur moyenne vaut 1” pour transformer un nuage de points gaussien: on voir toujours un nuage de points gaussien.
Ensuite l'affirmation “c'est proche d'une distribution gaussienne” est en soi assez vide, ce qui compte c'est de savoir si c'est plus proche de telle ou telle autre distribution de référence.
Pour y voir plus clair, tu peux comparer les distributions cumulées et les fonctions quantiles: pour la gaussienne tu peux la calculer avec ta bibliothèque de calcul scientifique préférée, pour la distribution c'est l'intégrale de l'histogramme ou, pour le dire autrement, les probabilités des sous-niveaux. Tu peux simplement superposer leurs graphes. La comparaison des fonctions quantiles est en général très parlante on réalise en général un Q-Q-plot, c'est à dire la fonction association les quantiles d'une distribution à celle de la seconde. Si je note PHI et PSI les deux distributions cumulées, c'est le graphe de PSI ROND (INVERSE PHI) et la fonction (INVERSE PHI) est dans toutes les bibliothèques de calcul scientifique. (C'est chiant qu'on ne puisse pas poster du UNICODE …)
D'autres calculs importants à faire sont les moments d'ordre supérieur (skewness et kyrtosis pour 3 et 4) qui vont t'aider à distinguer ta distribution de la distribution gaussienne, là encore ta bibliothèque de calcul scientifique devrait tout savoir faire.
Actuellement les prix sont plutôt modélisés par des variables log-normales (qui ne prennent que des valeurs positives, propriété importante des prix!) mais certaines personnes pensent que cette distribution devrait avoir une queue épaisse, ce qui n'est pas le cas des lois log normales.
Elle a le mérite de ne pas créer de déformation horizontales (le long d'une latitude, d'est en ouest) mais crée des déformations verticales (de long d'une longitude, du nord au sud).
Je ne sais pas trop ce que tu appelles une “déformation” mais les cartes qu'on utilise en géographie sont en général des projections conformes c'est à dire que les angles mesurés sur la carte sont ceux observés sur la terre. C'est une propriété cruciale pour la navigation, par exemple! Les distances elle n'ont rien à voir. Avec Lambert, si je mesure une distance le long d'une longitude (direction SN) et reporte la même distance carte aux même longitudes mais une autre longitude, alors la distance réelle ne change pas. Si je fais la même opération en inversant les rôle des longitudes et latitudes alors les distances réelles changent!
Le rapport c'est qu'il s'agit de deux fichiers informatiques centralisés. (?) L'expérience avec le STIC, rapportée par des journaux comme le Monde, le Canard enchaîné ou Libération est que l'accès au fichier se fait des des conditions qui ne correspondent pas à la réglementation, au détriment de la confidentialité. Je demande si on a des raisons de penser que les choses se passent mieux avec ce nouveau fichier (je demande juste que la loi soit respectée). Est-ce plus clair?
Hier, j'ai rencontré une personne qui avait mal rempli un papier (un vrai) sur moi, et j'ai fait corriger. Pour toi, c'est un argument pour interdire le papier. Pas pour moi.
Là je ne vois pas du tout le rapport! Qui parle d'interdire quelque chose? Tu as peut-être pensé répondre à un autre commentaire en même temps?
Quand on voit comment est utiliser le Système de traitement des infractions constatées qui, au dire de la presse est d'une part truffé d'erreurs avec une une proportion hallucinante (peut-être 5% de mémoire) de victimes inscrites dans ce fichier où elle n'ont rien à faire et le laxisme honteux dont semblent faire l'objet les procédures de consultation et de mise-à-jour, on ne peut pas vraiment se réjouir de la multiplication des fichiers.
La création d'un fichier pose de nombreux problèmes pratiques sur l'exactitude, l'accès et la confidentialité des données, a-t-on la moindre raison d'espérer que l'Éducation Nationale démontre plus de compétence dans leur résolution que la Police, elle aussi Nationale?
Pour les choses plus complexes, comme les avis sur les discussions philosophique, je pense que c'est le résultat de choses complexes dans le cerveau, trop complexe pour être lue aujourd'hui, mais ça reste un état physique.
C'est un point de vue qui – en plus d'être infalsifiable – ne semble avoir aucun intérêt pratique. Pour illustrer cela, en tant qu'être humain, je suis le sujet (ou l'objet…) d'émotions complexes et de sentiments. Si je suis confronté à des amours, des désirs ou des peurs, à quoi peut-il bien servir de croire que ces sentiments ne sont “que” une somme d'états physiques.
Jeannette, pourquoi es-tu si triste?
Je pleure parceque Jeannot m'a quittée
Ne pleure pas Jeannette, ton émotion n'est qu'une superposition de signaux électriques!
Cet exemple semble un peu bébête, prenons en autre – qui est en réalité exactement le même – quels problèmes d'architecture résout on avec des théories de physique quantique? Autant que je sache aucun. Certes les matériaux qui constituent une maison, ne sont au final qu'un tas de particules élémentaires, mais on ne peut voir là qu'une facette supplémentaire du problème plutôt que l'essence du problème.
Ce qui se cache sous cette remarque, c'est que notre langage et ses concepts ne servent jamais à décrire une réalité totale, seulement une facette d'une certaine réalité et à exprimer les relations qui peuvent y être observées. Dans le premier exemple. Jeannette pose un problème dont les ingrédients sont des être humains et des sentiments, or la réponse que lui propose son confident sort complètement de ce monde – et, gageons le, ne rendra pas le sourire à Jeannette. Dans le second, c'est idem, l'architecte, s'il a un ami physicien peut transporter son problème d'architecture dans le monde des particules élémentaires, mais c'est sans espoir de faire marche arrière: les découvertes de la physique quantique ne vont pas pouvoir être traduite dans les termes du problème initial.
Dans le des comportements humains, on peut croire qu'ils sont décrits complètement par un état physique, mais si on est incapable d'identifier des états physiques précis et d'expliquer leurs relations aux comportements, alors on se retrouve exactement dans la situation des exemples que je cite où on ajoute une facette supplémentaire à un problème sans explique de relations entre cette facette et le monde du problème initial. Si on n'a pas ces ponts, c'est la même chose que de croire que les comportements humains sont complètement décrits par une superposition de barbarins fouchus: on n'est pas plus avancé.
C'est un classique, analysons le ensemble: :(){ :|:& };: peut-être réécrit comme
:()
{
:|:&
}
:
(Un point-virgule, devenu inutile à cause du retour à la ligne, a été supprimé.)
Le : est un identificateur pour une fonction, que l'on définit. Le corps de la fonction est un appel non-bloquant (&) à :|: qui lance deux sous-shells executant la fonction : et les connecte par un pipe|. Chacun des sous-shells va lui aussi exécuter un apple à un sous-shell et on va donc épuiser très rapidement les ressources du système: c'est une fork-bomb (très classique).
Ce n'est pas trop mon domaine de compétence technique mais je vais essayer de répondre. Le premier problème est la sensibilité du capteur, je suppose que sur un smartphone il est adapté aux fréquences de la voix humaine et qu'il est mono-directionnel, donc on a déjà deux facteurs limitants assez importants qui créent une erreur de mesure non-aléatoire qui ne va pas être lissée par le nombre. Le troisième est l'autonomie des bébêtes et le fait qu'on a parfois envie d'utiliser sont téléphone au lieu de le laisser posé quelque part pendant 24h.
Et bien disons qu'il y a sonomètre et sonomètre… :) Le matériel de mesure utilisé par les professionnels répond à des critères très exigeants: normes, stabilité de la calibration, stabilité de la mesure à divers degré d'humidité ou de température. Voilà à quoi ressemble le matériel pro:
Il y a un kit complet à 2800 € HT et un beau dodécaèdre à 1000€ HT, pour faire une fois un relevé du bruit chez soi, cela me paraît effectivement un investissement disproportionné — d'autant que faire une mesure correcte demande une compétence technique.
PS : J'ai exagéré les mots pas pour agresser (je ne traite personne de connard) mais pour montrer l'absurdité de dire : « c'est juste une question ». Je pousse le trait, je fais une caricature
Je vois bien que tu ne traites personne de “connard” mais pour moi le simple fait de voir le mot dans un message rend le message lui-même très agressif — sans aucune comparaison avec ce qui a suivi, mais quand même, c'est toi qui introduit de façon très explicite une dimension violente dans le discours.
Un point qui me pose problème dans ta rhétorique, est qu'à la fois tu penses très bien comprendre ce que disent les autres puisque tu caricatures une question posée pour l'interpréter d'une façon que tu choisis, cependant que tu confisques cette liberté d'interprétation aux autres en disant «moi j'ai juste écrit cela; tu ne connais pas mon ton; etc.». Pour schématiser tu prends le droit de juger ou évaluer les écrits des autres, mais refuse qu'on applique ce droit à juger ou évaluer à ton propre discours. Pour te citer
Mais s'il y a une chose que ce genre de fil fait ressortir c'est un manque d'empathie total,
Le point que je souligne me semble contribuer à cette absence d'empathie et à la construction d'un dialogue de sourds.
Faut dire que le titre prête à confusion: SGI, pour moi, c'est une marque célèbre de stations de travail. SIG est peut-être le terme le plus approprié (ou GIS)…
J'ai cédé à la mode des moufles au mois d'août! ☺ Désolé pour la faute et merci de la correction!
L'écrit transmet aussi une tonalité. Lorsque tu écris ton commentaire, chacun va le lire et le comprendre d'une façon légèrement différente, qui forcément ne reflète pas toujours ton intention ou le ton que tu as employé. C'est inévitable. Si je lis de la réprobation dans tes mots, je suis certain que beaucoup d'autres le personnes le feront aussi. Si tu avais choisi d'adopter un ton léger et plaisantin comme le message auquel tu réponds initialement, je n'aurais probablement pas vu de réprobation dans ton commentaire.
Mais à voir la déferlante qui a suivi, le message global sur linuxfr : « l'othographe, c'est de ta faute », « on veut rester entre nous dans notre milieu social et culturel ». Ça c'est très clair. Et cela, je ne peux l'accepter. C'est au-delà de mon niveau de tolérance.
Ce n'est pas acceptable, mais au moment où tu écris tes deux premiers commentaires, ces pensées n'ont pas été exprimées, je ne vois donc pas ce qu'elle vienne faire dans la discussion qui porte ici sur le premier commentaire.
autant c'est absolument incomparable avec l'utilisation répétée de mots comme « analphabète » ou « faune »
Je suis d'accord, c'est absolument incomparable; je dis juste que si on fait du pied à la poignée d'excités qui manipule les mots que tu cites, on peut difficilement s'indigner de les voir à l'œuvre. Avant de regarder le contenu des échanges, on trouve une série de réactions disproportionnées.
Ca, ça me semble soigner les conséquences, sans s'attaquer aux causes. Est-ce que ça sert vraiment?
Le but recherché est de maîtriser le niveau de bruit horaire (bruit moyen par heure), je ne connais pas du tout les aspect médicaux en détail je cite le plan d'action pour le bruit de la ville de Berlin:
Das Umweltbundesamt hat 61 internationale Lärmwirkungsstudien ausgewertet 1 . Diese zei-
gen, dass durch Straßenverkehrslärm mit Mittelungspegeln oberhalb 65 dB(A) tagsüber die
Beanspruchung des Herz-Kreislauf-Systems deutlich ansteigt. Damit steigt das Risiko an
Bluthochdruck oder Durchblutungsstörungen des Herzens zu erkranken oder einen Herzin-
farkt zu erleiden. Das Umweltbundesamt schätzt, dass in Deutschland jährlich 4.000 Herzin-
farkte allein auf Straßenverkehrslärm zurückzuführen sind.
(Voir le texte original pour plus d'informations et des références.) Soit en français:
Le ministère de l'environnement a considéré 61 études sur les effets du bruit. Celles-ci montrent que lorsque l'exposition au bruit du trafic routier dépasse un niveau moyen journalier de 65 dB(A) alors la sollicitation du système cardio-vasculaire s'accroît significativement. Ceci s'accompagne d'un accroissement des risques d'hypertension, de troubles de la circulation ou d'infarctus. Le ministère de l'environnement que chaque année en Allemagne, 4000 infarctus sont directement imputables au bruit du trafic routier.
Si on suit ce paragraphe, le niveau moyen de bruit est un bon indicateur de l'accroissement des risques pour la santé.
Les méthodes pour contrôler le bruit sont utilisées dans des contextes variés:
Construction nouvelle: le bruit est considéré dès le départ dans le projet. Pour une installation industrielle par exemple, le choix des matériaux d'isolement bien-sûr, mais aussi le positionnement et la fréquence d'utilisation des machines, les trajets des véhicules fréquentant l'installation et les horaires de leurs visites, l'orientation des portes de service, etc. sont autant de variables permettant l'ajustement de l'émission de bruit. Des équipements comme des murs anti-bruits peuvent faire l'appoint (ils sont peu coûteux et efficaces, le but n'étant souvent pas de fournir une isolation totale mais d'atténuer l'émission).
Aménagement de construction ancienne: ici on a moins de liberté car il s'agit d'aménager une structure existante, si en théorie les recettes précédentes s'appliquent, on a en pratique beaucoup moins de degré de liberté. Dans l'aménagement il y a aussi le cas où une parcelle change de fonction, comme un commerce qui deviendrait une école, c'est en pratique un cas compliqué à gérer, parceque les contraintes changent de façon très brusque!
Les murs anti-bruits sont efficaces, leur principal défaut est… qu'ils sont moches et souvent la cible des grapheurs (pas toujours très talentueux☺) Réduire les émissions de bruit à la source n'est pas toujours possible: par exemple pour le trafic routier ou ferroviaire, on peut exiger que les nouvelles constructions soient à la pointe en la matière de fonctionnement silencieux¹, mais il ne semble pas possible d’accélérer le renouvellement du parc! On travaille donc ici sur du très long terme! Les régulations de vitesse et de fréquentation des voies ont un effet immédiat.
Ce qui rend le sujet difficile et peut-être légèrement contre-intuitif, c'est que le niveau moyen d'exposition au bruit est retenu comme indicateur de risque, alors que dans l'expérience personnelle ce sont plutôt les bruits soudains et importants (train qui passe, etc.) qui occasionnent une gêne. Cependant on doit analyser cette situation en considérant que:
Des études ont montré que le niveau moyen est effectivement un bon indicateur — on peut supposer que le niveau moyen indique aussi la probabilité des bruits soudains et importants.
L'indicateur de risque n'a d'utilité pratique que si on peut le calculer relativement facilement et que ce calcul est peu sensible aux erreurs et aux approximations.
On est dans le cas typique de la modélisation des risques qui cherche un compromis entre la précision de l'information et la facilité d'obtention de l'information!
--
¹ La voiture étant un objet dangereux qui doit être remarqué par les piétons, n'est il pas souhaitable qu'elle conserve un niveau de bruit minimal?
Pour être honnête, le premier commentaire qui part dans le décor est celui où on lit “connard?” http://linuxfr.org/users/modr123/journaux/affaire-netzpolitik#comment-1617098 C'est le premier commentaire du fil qui est violent, et dans les mots qu'il choisit, et dans les intentions qu'il attribue à l'auteur du commentaire qu'il relève. Et comme on le sait, qui sème le vent, …
Si personne n'intervient jamais, ce genre de comportements devient « la norme ». Je suis d'accord que c'est lourd, mais à mon avis nécessaire. Mais la prochaine fois je ne serai peut-être pas de la partie, c'est lassant.
Je comprends ton point de vue, mais si les interventions relevant le genre de comportement dont on parle ne sont pas faites avec un minimum de discernement, en regardant de loin on ne voit que deux sources de contributions pénibles au lieu d'une. Pour aujourd'hui le message initial avec les corrections (utiles, rappelons le!) et la petite blague, me paraissent sympathiques et potaches plutôt que mortifiants pour l'auteur des fautes, mais chacun a sa propre sensibilité (c'est «du charriage bienveillant» avec un clin d'œil et un petit sourire). Si on veut changer la norme on peut aussi donner l'exemple, tout simplement!
Le problème c'est que certains ont une focalisation frôlant l'obsession vis-à-vis des fautes d'orthographe, qui les pousse incroyablement à une ou plusieurs conclusions erronées […]
Si je regarde ce que j'ai sous les yeux, je vois quelqu'un qui se donne la peine de relever et corriger les fautes d'orthographes et accompagne son message d'une petite blague: il fait quelque chose d'utile (il produit journal plus facile à lire, et donne l'occasion pour l'auteur des fautes de s'améliorer) et essaie de le faire dans la bonne humeur. Réaction du collègue: pas un merci pour le travail fait et remarque hyper-sérieuse et un chouïa moralisateur sur un contenu à prendre à la légère (il y a écrit :-D). Si la discussion démontre une focalisation obsessionnelle, elle n'a rien à voir avec l'orthographe.
Si c'est le cas, je n'apprécie pas du tout tes dires. La conversation s'arrête là pour moi. C'est ma limite.
J'ai utilisé “kapo” comme abréviation du mot caporal sans faire le lien que tu cites, j'aurais du écrire “caporal” ou “adjudant”, je suis désolé.
Cet éclaircissement fait, je pense effectivement à ton commentaire d'aujourd'hui mais aussi à beaucoup d'autres (je ne tiens ni liste des commentaires ni des auteurs, c'est un sentiment général) qui contribuent à créer un climat que je trouve très pénible.
Dans le cas qui nous occupe aujourd'hui, si modr123 était blessé par la vanne il serait le mieux placé pour en parler, consulter la liste de ses contributions montre qu'il est un membre ancien de notre communauté, et pas spécialement timide ou introverti. Je suppose que tu pars d'une bonne intention, le seul effet que je vois dans ton intervention d'aujourd'hui est cependant une mise en épingle importune et agaçante d'un commentaire un peu railleur mais léger.
[^] # Re: Le chomage
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Les avocats à la poubelle. Évalué à 2.
Il a écrit une thèse sur les krach boursiers “Rien ne se crée, tout se perd, et on réforme” ou un truc comme ça.
[^] # Re: Le chomage
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Les avocats à la poubelle. Évalué à 2.
La nature de l'argent c'est d'être une dette. On ne peut rien faire d'utile avec, autrement que de l'échanger.
[^] # Re: Le futur c'était mieux avant
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Les avocats à la poubelle. Évalué à 3.
Si la motivation profonde du travail rémunéré est de gagner de l'argent, je connais tout un paquet de gens qui se sont trompés d'orientation. Je commence par les fonctionnaires (employés des collectivités territoriales, professeurs, chercheurs, policiers), les infirmiers, les pompiers, les gendarmes, les employés des postes, des supermarchés qui sont de facto dans l'impossibilité de devenir riche par l'exercice de leur profession. Viennent ensuite toutes les professions dans lesquelles les chances (pour ceux que ça intéresse) de devenir riche existent mais sont faibles, comme les professions artisanales, les restaurateurs, les commerçants, les médecins généralistes et un bonne partie des spécialistes, etc.
Pour moi, c'est important que mon travail me semble utile à la communauté – j'ai changé deux fois de travail avec ce critère pesant lourd dans la balance.
Qu'est-ce que tu voyais comme motivation profonde du travail rémunéré?
[^] # Re: 200
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal À propos d'IPv4 et d'IPv6. Évalué à 3.
Un vrai emmental administratif! :)
# Remarques en vrac
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal le dessous des cartes. Évalué à 8.
Alors ça … il y a 12.000 distributions qui ressemblent à des gaussiennes quand tu regardes un nuage de points. Par exemple tu ne peux souvent pas trop faire la différence avec une variable loi log-normale (variable dont le logarithme suit une loi normale), et au lieu du logarithme tu peux prendre n'importe quel “homémorphisme concave ou convexe de R sur un intervalle de R et dont la dérivée à la valeur moyenne vaut 1” pour transformer un nuage de points gaussien: on voir toujours un nuage de points gaussien.
Ensuite l'affirmation “c'est proche d'une distribution gaussienne” est en soi assez vide, ce qui compte c'est de savoir si c'est plus proche de telle ou telle autre distribution de référence.
Pour y voir plus clair, tu peux comparer les distributions cumulées et les fonctions quantiles: pour la gaussienne tu peux la calculer avec ta bibliothèque de calcul scientifique préférée, pour la distribution c'est l'intégrale de l'histogramme ou, pour le dire autrement, les probabilités des sous-niveaux. Tu peux simplement superposer leurs graphes. La comparaison des fonctions quantiles est en général très parlante on réalise en général un Q-Q-plot, c'est à dire la fonction association les quantiles d'une distribution à celle de la seconde. Si je note PHI et PSI les deux distributions cumulées, c'est le graphe de PSI ROND (INVERSE PHI) et la fonction (INVERSE PHI) est dans toutes les bibliothèques de calcul scientifique. (C'est chiant qu'on ne puisse pas poster du UNICODE …)
Cf. https://en.wikipedia.org/wiki/Q–Q_plot
D'autres calculs importants à faire sont les moments d'ordre supérieur (skewness et kyrtosis pour 3 et 4) qui vont t'aider à distinguer ta distribution de la distribution gaussienne, là encore ta bibliothèque de calcul scientifique devrait tout savoir faire.
Actuellement les prix sont plutôt modélisés par des variables log-normales (qui ne prennent que des valeurs positives, propriété importante des prix!) mais certaines personnes pensent que cette distribution devrait avoir une queue épaisse, ce qui n'est pas le cas des lois log normales.
Je ne sais pas trop ce que tu appelles une “déformation” mais les cartes qu'on utilise en géographie sont en général des projections conformes c'est à dire que les angles mesurés sur la carte sont ceux observés sur la terre. C'est une propriété cruciale pour la navigation, par exemple! Les distances elle n'ont rien à voir. Avec Lambert, si je mesure une distance le long d'une longitude (direction SN) et reporte la même distance carte aux même longitudes mais une autre longitude, alors la distance réelle ne change pas. Si je fais la même opération en inversant les rôle des longitudes et latitudes alors les distances réelles changent!
[^] # Re: Expérience avec le système de traitement des infractions constatées
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal La liberté s'amenuise pour les écoliers. Évalué à 7.
Le rapport c'est qu'il s'agit de deux fichiers informatiques centralisés. (?) L'expérience avec le STIC, rapportée par des journaux comme le Monde, le Canard enchaîné ou Libération est que l'accès au fichier se fait des des conditions qui ne correspondent pas à la réglementation, au détriment de la confidentialité. Je demande si on a des raisons de penser que les choses se passent mieux avec ce nouveau fichier (je demande juste que la loi soit respectée). Est-ce plus clair?
Là je ne vois pas du tout le rapport! Qui parle d'interdire quelque chose? Tu as peut-être pensé répondre à un autre commentaire en même temps?
# Expérience avec le système de traitement des infractions constatées
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal La liberté s'amenuise pour les écoliers. Évalué à 10.
Quand on voit comment est utiliser le Système de traitement des infractions constatées qui, au dire de la presse est d'une part truffé d'erreurs avec une une proportion hallucinante (peut-être 5% de mémoire) de victimes inscrites dans ce fichier où elle n'ont rien à faire et le laxisme honteux dont semblent faire l'objet les procédures de consultation et de mise-à-jour, on ne peut pas vraiment se réjouir de la multiplication des fichiers.
La création d'un fichier pose de nombreux problèmes pratiques sur l'exactitude, l'accès et la confidentialité des données, a-t-on la moindre raison d'espérer que l'Éducation Nationale démontre plus de compétence dans leur résolution que la Police, elle aussi Nationale?
# Synecdoque
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au sondage comment doit-on appeler les systèmes d'exploitation basés sur un noyau Linux ?. Évalué à 10.
Parler de Linux pour désigner le système en son entier est une synecdoque, une figure de style aussi banale en français que son nom est savant.
Dans les documents techniques on choisira souvent une terminologie plus précise, en considérant le message que l'on veut faire passer!
[^] # Re: trop drole
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au message Vos Commandes super cool !. Évalué à 2.
Probablement une forme jeunissante du langage de programmation shakespierien.
[^] # Re: Bifrost
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal [Charlie] robot war. Évalué à 4. Dernière modification le 10 août 2015 à 18:22.
C'est un point de vue qui – en plus d'être infalsifiable – ne semble avoir aucun intérêt pratique. Pour illustrer cela, en tant qu'être humain, je suis le sujet (ou l'objet…) d'émotions complexes et de sentiments. Si je suis confronté à des amours, des désirs ou des peurs, à quoi peut-il bien servir de croire que ces sentiments ne sont “que” une somme d'états physiques.
Cet exemple semble un peu bébête, prenons en autre – qui est en réalité exactement le même – quels problèmes d'architecture résout on avec des théories de physique quantique? Autant que je sache aucun. Certes les matériaux qui constituent une maison, ne sont au final qu'un tas de particules élémentaires, mais on ne peut voir là qu'une facette supplémentaire du problème plutôt que l'essence du problème.
Ce qui se cache sous cette remarque, c'est que notre langage et ses concepts ne servent jamais à décrire une réalité totale, seulement une facette d'une certaine réalité et à exprimer les relations qui peuvent y être observées. Dans le premier exemple. Jeannette pose un problème dont les ingrédients sont des être humains et des sentiments, or la réponse que lui propose son confident sort complètement de ce monde – et, gageons le, ne rendra pas le sourire à Jeannette. Dans le second, c'est idem, l'architecte, s'il a un ami physicien peut transporter son problème d'architecture dans le monde des particules élémentaires, mais c'est sans espoir de faire marche arrière: les découvertes de la physique quantique ne vont pas pouvoir être traduite dans les termes du problème initial.
Dans le des comportements humains, on peut croire qu'ils sont décrits complètement par un état physique, mais si on est incapable d'identifier des états physiques précis et d'expliquer leurs relations aux comportements, alors on se retrouve exactement dans la situation des exemples que je cite où on ajoute une facette supplémentaire à un problème sans explique de relations entre cette facette et le monde du problème initial. Si on n'a pas ces ponts, c'est la même chose que de croire que les comportements humains sont complètement décrits par une superposition de barbarins fouchus: on n'est pas plus avancé.
[^] # Re: trop drole
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au message Vos Commandes super cool !. Évalué à 5.
C'est un classique, analysons le ensemble:
:(){ :|:& };:
peut-être réécrit comme(Un point-virgule, devenu inutile à cause du retour à la ligne, a été supprimé.)
Le
:
est un identificateur pour une fonction, que l'on définit. Le corps de la fonction est un appel non-bloquant (&
) à:|:
qui lance deux sous-shells executant la fonction:
et les connecte par un pipe|
. Chacun des sous-shells va lui aussi exécuter un apple à un sous-shell et on va donc épuiser très rapidement les ressources du système: c'est une fork-bomb (très classique).[^] # Re: Désolé mais il manque une partie à ce journal...
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Exemple: SIG et pollution sonore. Évalué à 3. Dernière modification le 10 août 2015 à 12:29.
Ce n'est pas trop mon domaine de compétence technique mais je vais essayer de répondre. Le premier problème est la sensibilité du capteur, je suppose que sur un smartphone il est adapté aux fréquences de la voix humaine et qu'il est mono-directionnel, donc on a déjà deux facteurs limitants assez importants qui créent une erreur de mesure non-aléatoire qui ne va pas être lissée par le nombre. Le troisième est l'autonomie des bébêtes et le fait qu'on a parfois envie d'utiliser sont téléphone au lieu de le laisser posé quelque part pendant 24h.
[^] # Re: eh bien
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Exemple: SIG et pollution sonore. Évalué à 2.
Et bien disons qu'il y a sonomètre et sonomètre… :) Le matériel de mesure utilisé par les professionnels répond à des critères très exigeants: normes, stabilité de la calibration, stabilité de la mesure à divers degré d'humidité ou de température. Voilà à quoi ressemble le matériel pro:
http://messtechnik-stratenschulte.de/service/shop.html
Il y a un kit complet à 2800 € HT et un beau dodécaèdre à 1000€ HT, pour faire une fois un relevé du bruit chez soi, cela me paraît effectivement un investissement disproportionné — d'autant que faire une mesure correcte demande une compétence technique.
[^] # Re: moufles ?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Affaire Netzpolitik. Évalué à 3.
Trop gros, passera pas! :D
[^] # Re: moufles ?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Affaire Netzpolitik. Évalué à 2. Dernière modification le 09 août 2015 à 13:40.
Qui peut le dire?
Je vois bien que tu ne traites personne de “connard” mais pour moi le simple fait de voir le mot dans un message rend le message lui-même très agressif — sans aucune comparaison avec ce qui a suivi, mais quand même, c'est toi qui introduit de façon très explicite une dimension violente dans le discours.
Un point qui me pose problème dans ta rhétorique, est qu'à la fois tu penses très bien comprendre ce que disent les autres puisque tu caricatures une question posée pour l'interpréter d'une façon que tu choisis, cependant que tu confisques cette liberté d'interprétation aux autres en disant «moi j'ai juste écrit cela; tu ne connais pas mon ton; etc.». Pour schématiser tu prends le droit de juger ou évaluer les écrits des autres, mais refuse qu'on applique ce droit à juger ou évaluer à ton propre discours. Pour te citer
Le point que je souligne me semble contribuer à cette absence d'empathie et à la construction d'un dialogue de sourds.
[^] # Re: eh bien
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Exemple: SIG et pollution sonore. Évalué à 1.
J'ai cédé à la mode des moufles au mois d'août! ☺ Désolé pour la faute et merci de la correction!
[^] # Re: moufles ?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Affaire Netzpolitik. Évalué à 2.
L'écrit transmet aussi une tonalité. Lorsque tu écris ton commentaire, chacun va le lire et le comprendre d'une façon légèrement différente, qui forcément ne reflète pas toujours ton intention ou le ton que tu as employé. C'est inévitable. Si je lis de la réprobation dans tes mots, je suis certain que beaucoup d'autres le personnes le feront aussi. Si tu avais choisi d'adopter un ton léger et plaisantin comme le message auquel tu réponds initialement, je n'aurais probablement pas vu de réprobation dans ton commentaire.
Ce n'est pas acceptable, mais au moment où tu écris tes deux premiers commentaires, ces pensées n'ont pas été exprimées, je ne vois donc pas ce qu'elle vienne faire dans la discussion qui porte ici sur le premier commentaire.
[^] # Re: moufles ?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Affaire Netzpolitik. Évalué à 2.
Je suis d'accord, c'est absolument incomparable; je dis juste que si on fait du pied à la poignée d'excités qui manipule les mots que tu cites, on peut difficilement s'indigner de les voir à l'œuvre. Avant de regarder le contenu des échanges, on trouve une série de réactions disproportionnées.
[^] # Re: sympa, mais...
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Exemple: SIG et pollution sonore. Évalué à 4.
Le but recherché est de maîtriser le niveau de bruit horaire (bruit moyen par heure), je ne connais pas du tout les aspect médicaux en détail je cite le plan d'action pour le bruit de la ville de Berlin:
http://www.stadtentwicklung.berlin.de/umwelt/laerm/laermminderungsplanung/download/laermaktionsplan/laermaktionsplan2013_2018.pdf
(Voir le texte original pour plus d'informations et des références.) Soit en français:
Si on suit ce paragraphe, le niveau moyen de bruit est un bon indicateur de l'accroissement des risques pour la santé.
Les méthodes pour contrôler le bruit sont utilisées dans des contextes variés:
Construction nouvelle: le bruit est considéré dès le départ dans le projet. Pour une installation industrielle par exemple, le choix des matériaux d'isolement bien-sûr, mais aussi le positionnement et la fréquence d'utilisation des machines, les trajets des véhicules fréquentant l'installation et les horaires de leurs visites, l'orientation des portes de service, etc. sont autant de variables permettant l'ajustement de l'émission de bruit. Des équipements comme des murs anti-bruits peuvent faire l'appoint (ils sont peu coûteux et efficaces, le but n'étant souvent pas de fournir une isolation totale mais d'atténuer l'émission).
Aménagement de construction ancienne: ici on a moins de liberté car il s'agit d'aménager une structure existante, si en théorie les recettes précédentes s'appliquent, on a en pratique beaucoup moins de degré de liberté. Dans l'aménagement il y a aussi le cas où une parcelle change de fonction, comme un commerce qui deviendrait une école, c'est en pratique un cas compliqué à gérer, parceque les contraintes changent de façon très brusque!
Les murs anti-bruits sont efficaces, leur principal défaut est… qu'ils sont moches et souvent la cible des grapheurs (pas toujours très talentueux☺) Réduire les émissions de bruit à la source n'est pas toujours possible: par exemple pour le trafic routier ou ferroviaire, on peut exiger que les nouvelles constructions soient à la pointe en la matière de fonctionnement silencieux¹, mais il ne semble pas possible d’accélérer le renouvellement du parc! On travaille donc ici sur du très long terme! Les régulations de vitesse et de fréquentation des voies ont un effet immédiat.
Ce qui rend le sujet difficile et peut-être légèrement contre-intuitif, c'est que le niveau moyen d'exposition au bruit est retenu comme indicateur de risque, alors que dans l'expérience personnelle ce sont plutôt les bruits soudains et importants (train qui passe, etc.) qui occasionnent une gêne. Cependant on doit analyser cette situation en considérant que:
On est dans le cas typique de la modélisation des risques qui cherche un compromis entre la précision de l'information et la facilité d'obtention de l'information!
--
¹ La voiture étant un objet dangereux qui doit être remarqué par les piétons, n'est il pas souhaitable qu'elle conserve un niveau de bruit minimal?
[^] # Re: moufles ?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Affaire Netzpolitik. Évalué à 4.
Je trouve que la tonalité de ton message est inappropriée et dessert ton intention. Au message humoristique
qui se veut léger et drôle (il y a un petit smiley qui dit “je plaisante, ne me prenez pas au sérieux!”) tu réponds:
Tu passes tout de suite dans un registre hyper-sérieux et réprobateur, alors que
s'inscrirait mieux dans le ton de la discussion et introduirait le doute de façon positive (sans réprobation).
Je trouve que le ton que tu emploies n'est pas adéquat à la situation.
[^] # Re: moufles ?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Affaire Netzpolitik. Évalué à 4. Dernière modification le 09 août 2015 à 04:53.
Pour être honnête, le premier commentaire qui part dans le décor est celui où on lit “connard?” http://linuxfr.org/users/modr123/journaux/affaire-netzpolitik#comment-1617098 C'est le premier commentaire du fil qui est violent, et dans les mots qu'il choisit, et dans les intentions qu'il attribue à l'auteur du commentaire qu'il relève. Et comme on le sait, qui sème le vent, …
[^] # Re: moufles ?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Affaire Netzpolitik. Évalué à 3.
Je comprends ton point de vue, mais si les interventions relevant le genre de comportement dont on parle ne sont pas faites avec un minimum de discernement, en regardant de loin on ne voit que deux sources de contributions pénibles au lieu d'une. Pour aujourd'hui le message initial avec les corrections (utiles, rappelons le!) et la petite blague, me paraissent sympathiques et potaches plutôt que mortifiants pour l'auteur des fautes, mais chacun a sa propre sensibilité (c'est «du charriage bienveillant» avec un clin d'œil et un petit sourire). Si on veut changer la norme on peut aussi donner l'exemple, tout simplement!
[^] # Re: moufles ?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Affaire Netzpolitik. Évalué à 5. Dernière modification le 08 août 2015 à 19:02.
Si je regarde ce que j'ai sous les yeux, je vois quelqu'un qui se donne la peine de relever et corriger les fautes d'orthographes et accompagne son message d'une petite blague: il fait quelque chose d'utile (il produit journal plus facile à lire, et donne l'occasion pour l'auteur des fautes de s'améliorer) et essaie de le faire dans la bonne humeur. Réaction du collègue: pas un merci pour le travail fait et remarque hyper-sérieuse et un chouïa moralisateur sur un contenu à prendre à la légère (il y a écrit
:-D
). Si la discussion démontre une focalisation obsessionnelle, elle n'a rien à voir avec l'orthographe.[^] # Re: Réponses
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Testez votre intuition. Évalué à 2.
En dépit du moinssage, c'est une réponse techniquement correcte et qui met le doigt sur une confusion importante dans la modélisation!
[^] # Re: moufles ?
Posté par Michaël (site web personnel) . En réponse au journal Affaire Netzpolitik. Évalué à 1.
J'ai utilisé “kapo” comme abréviation du mot caporal sans faire le lien que tu cites, j'aurais du écrire “caporal” ou “adjudant”, je suis désolé.
Cet éclaircissement fait, je pense effectivement à ton commentaire d'aujourd'hui mais aussi à beaucoup d'autres (je ne tiens ni liste des commentaires ni des auteurs, c'est un sentiment général) qui contribuent à créer un climat que je trouve très pénible.
Dans le cas qui nous occupe aujourd'hui, si
modr123
était blessé par la vanne il serait le mieux placé pour en parler, consulter la liste de ses contributions montre qu'il est un membre ancien de notre communauté, et pas spécialement timide ou introverti. Je suppose que tu pars d'une bonne intention, le seul effet que je vois dans ton intervention d'aujourd'hui est cependant une mise en épingle importune et agaçante d'un commentaire un peu railleur mais léger.