gerard delafond a écrit 177 commentaires

  • [^] # Re: locale

    Posté par  . En réponse au journal Cherche testeurs ARM. Évalué à 1.

    Moi pas comprendre la réponse.
    Où le problème d'UTF-8 apparaît-il ? En lançant le programme ? Dans la documentation? Dans le message ?

  • # Fenêtre ?

    Posté par  . En réponse au journal Enlightenment: Vos questions et nos futurs réponses. Évalué à 8.

    Le gestionnaire de fenêtre Enlightenment

    C'est quand même bizarre que, au bout de 10 ans de développement, il ne gère qu'une seule fenêtre.

  • # Mutualisation ?

    Posté par  . En réponse au journal Je suis éligible à la fibre. Évalué à 3.

    Ta fibre est-elle mutualisée ? Si oui, tu pourrais demander à free, qui te donne beaucoup plus d'upload et une IP fixe.
    Logiquement, si free se branche directement à l'autre bout de la fibre, le fait qu'elle soit Orange ne devrait pas introduire de limitation propre à ce fournisseur.

  • # Pourquoi GNU/Linux ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'année 2010 du Hurd. Évalué à -1.

    "Il manque surtout à GNU/Hurd d'être aussi stable et performant que GNU/Linux."

    Depuis quand GNU/Linux est-il un noyau ? Je connais le noyau Linux, souvent utilisé dans des systèmes GNU/Linux/Xorg/whatelse, mais pas de noyau GNU/Linux.

    Ce terme serait-il du RMS mal digéré ?
  • # Informatique => électronique ?

    Posté par  . En réponse au journal Ici l'émetteur national Suisse de Sottens, nous rendons l'antenne. Évalué à 5.

    "sans l'invention de la lampe triode qui est
    l'ancêtre du transistor (un microprocesseur c'est un support avec des millions de transistors), nous n'aurions pas d'informatique."

    Tiens, je croyais que l'informatique avait été inventée bien avant le transistor.

    Babbage a inventé en 1834 un ordinateur mécanique

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Machine_analytique

    Sans compter tous les bouliers, fichiers papier plus ou moins automatisés, machine de Pascal, etc.

    Roberto Di Cosmo a d'ailleurs fait un document qui montre bien que les règles de la logique n'ont pas besoin de support électrique.

    http://interstices.info/upload/csunplugged/CSUnplugged_fr.pd(...)

    On m'aurait menti ?
  • # MedinTux et les hôpitaux

    Posté par  . En réponse à la dépêche Medical, un système d'information sur la santé et le milieu hospitalier. Évalué à 5.

    Étant "légèrement" impliqué dans le projet MedinTux, je vais tenter de répondre à quelques remarques et questions.

    Sur l'aspect franco-français :
    l'idée initiale de MedinTux est née d'un besoin. Ce besoin n'incluait pas les langues ni les pays étrangers.

    De plus, de nombreux éléments dans l'exercice médical sont franco-français (la pharmacopée, la CCAM, les ALD, etc.)

    Il a donc été jugé complexe d'internationaliser le programme.

    Dans la mesure où de nombreuses parties peuvent être exploitées à l'étranger, il a finalement été décidé de les traduire, ce qui sera bientôt fait.

    En revanche, l'énorme glossaire, qui fait la richesse de MedinTux, ne sera traduit que si des médecins de la langue cible font le travail.

    Dans le but de "reverse-traduire" MedinTux, je suis à la recherche d'un script qui permettrait d'inverser un fichier tr (fr->en actuellement, en->fr nécessaire) et les fichiers sources à partir des fichiers tr. Volontaire bienvenu.

    Sur l'aspect hospitalier :
    MedinTux est essentiellement un logiciel de consultations. En revanche, il peut être aisément étendu à un usage hospitalier, dont les besoins sont différents (admission, gestion des stocks, prescriptions dans la pharmacopée disponible, etc.)

    Cela nécessite l'écriture de nouveaux modules
  • [^] # Re: Quelques réflexions en vrac

    Posté par  . En réponse à la dépêche Wikipédia : un million d'articles en français. Évalué à 0.

    "WP totalitaire ?" Il s'agit bien sûr d'obligation morale. Si personne n'écrit, il n'y aura rien à lire.

    C'est vrai que le milieu enseignant n'aime pas Wikipedia (contrairement à leurs élèves), et en interdisent l'accès à leurs élèves au lieu de leur apprendre la critique de TOUTE information, quelle que soit son origine.

    Il y a aussi les enseignants qui demandent à leur classe de faire une recherche sur Ampère ou Napoléon, et que cette recherche se termine systématiquement en vandalisme. Braves élèves !
  • # Quelques réflexions en vrac

    Posté par  . En réponse à la dépêche Wikipédia : un million d'articles en français. Évalué à 7.

    1 million ! Quel parcours en quelques années. et cependant, encore tant de choses à faire...

    Je connais beaucoup de personnes qui utilisent Wikipedia et n'ont jamais contribué, même lorsqu'elles trouvent une chose à améliorer. Ces personnes sont le plus souvent persuadées qu'elles ne peuvent pas toucher aux articles pour un tas de raison (pas le droit, pas assez compétentes, etc.).

    Il y a un vrai problème de communication : comment faire comprendre aux gens qu'ils peuvent (doivent ?) contribuer aux articles qu'ils consultent ?

    En parcourant les articles dans ma vie quotidienne (tant personnelle que professionnelle), je trouve souvent des améliorations simples à apporter, ne demandant pas de compétences particulières :

    -l'orthographe et autres fautes typographiques !!! Bien sûr, beaucoup de gens n'ont pas la capacité pour améliorer un article sur ce plan. Et pourtant ! Une simple ouverture d'un article dans un éditeur web montrant les fautes permet souvent de dégrossir le problème. sans compter la ponctuation (les virgules !), les mots manquants ou les phrases qui ne veulent rien dire (mots oubliés, etc.). On peut aussi faire des recherches par faute classique :
    "quelque soit" = 36 occurrences

    -le plan : à force de rééditions, certains articles ont des plans aberrants : introduction de 200 lignes et un paragraphe de 3 lignes à la fin, par exemple. Une introduction ne devrait faire que quelques lignes et présenter le sujet sans aucun détail. Penser aussi à mettre une introduction aux articles qui n'en ont pas (les auteurs sont souvent pressés d'entrer dans le vif du sujet et ne pensent pas que le lecteur n'a pas forcément leur niveau).

    -les illustrations : un article francophone peut être désertique sur le plan iconograpique, tadis que son pendant anglais ou allemand peut disposer d'ilustrations de qualité. Un simple copier-coller du lien suffit à donner de la vie à l'article français

    -les homonymies : beaucoup de pages d'homonymie sont à créer : page d'un nom propre monopolisée par une ville, tandis que les personnalités du même nom ne sont accessibles que si l'on donne leur nom-prénom complet

    -les informations concernant votre domaine de compétence, par exemple votre zone géographique : il est très simple de donner des informations sur ce qui se trouve près de chez vous : il suffit de sortir dans la rue pour obtenir ces informations (plaques commémoratives, monuments aux morts, etc.)

    -les informations croisées : si on sait que tel personnage est né dans telle ville, il est facile d'ajouter sur la page de la ville que ce dit personnage y est né.

    -les hyperliens : beaucoup pointent sur des pages d'homonymie ou des redirections. Certains pointent vers des mauvaises pages. Beaucoup de pages comportent trop peu d'hyperliens : ne pas hésiter à en mettre sur tous les mots qui peuvent générer un doute pour le lecteur (sans pour en mettre sur tout et n'importe quoi). N'oublions pas que certains lecteurs sont des enfants ou des personnes de langue étrangère

    -les articles trop courts qui ont un équivalent étranger de qualité : il suffit de traduire si l'on maîtrise la langue en question (tout le monde n'a pas cette chance).

    -les articles qui comportent des contradictions internes ou externes (avec un autre article) ou des informations qui semblent aberrantes : si l'on ne sait pas trancher, en parler en page de discussion

    -les redites : une même information peut se trouver deux ou trois fois dans le même article. La correction peut nécessiter une refonte du plan de l'article

    Beaucoup d'autres tâches, comme la refonte de l'architecture des catégories peuvent être utiles, mais souvent délicates pour un débutant.


    Wikipedia est un travail collaboratif qui me fait penser à Linux : énormément de bonnes choses déjà faites et des améliorations tous azimuths envisageables.
  • [^] # Re: La faute des utilisateurs ? ;-)

    Posté par  . En réponse au journal Echec d'une migration Linux : qu'en est il de votre côté. Évalué à 6.

    "En (grosse/moyenne) entreprise, l'utilisateur ne fait rien de tout ça, c'est délégué à l'admin,"

    J'ai cru ça pendant longtemps : on choisit soigneusement le matériel et les applicatifs, on fait une configuration aux petits oignons, et vogue, la galère !

    Malheureusement, ça ne fonctionne pas du tout comme ça.

    1° faire une configuration aux petits oignons, choisir le matériel (comment ?), ça prend du temps, et le temps, c'est de l'argent

    2° le cahier des charges change aussi vite que le temps en automne : dès que le système fonctionne, il fut brancher dessus un nouveau bidule ou installer une nouvelle application

    3° s'il suffisait d'installer un périphérique de faire un vague test, et hop ! tout baigne, je serais d'accord avec toi. L'expérience montre que ce n'est pas du tout comme ça. Certes, le système de sons fonctionne aux premiers tests, mais fonctionne-t-il pour toutes les applications (alsa/oss/pulse audio...). Certes, la webcam fonctionne, mais fonctionne-t-elle avec tous les programmes de video chat ? Certes l'imprimante imprime correctement la page de test, mais ne va-t-elle pas se bloquer au bout de 3 pages, foirer les couleurs avec certaines images ou simplement ne rien imprimer du tout dans certaines circonstances ?

    Récit d'un ratage il y a quelques années :
    cahier des charges initial : faire des mails et valider des formulaires en ligne
    cahier des charges rajouté : faire une comptabilité certifiée par expert-comptable
    tests des leaders commerciaux du marché avec WINE :aucun ne fonctionnait
    mise en place de gnucash avec un minimum de formation (compte tenu que l'expert comptable voulait pouvoir travailler sur les données chez lui sous Windows mais que le programme n'avait jamais été compilé sous Windows à l'époque, que l'interface et le documentation étaient en anglais).

    Bref : l'expert-comptable trouve le logiciel pas mal et accepte l'expérience.

    La secrétaire saisit les comptes comme il faut et tente une impression. Précisons que la machine, configurée sous KDE, imprimait parfaitement bien.

    Problème : GNUCash n'avait rien à faire des réglages de KDE et propose des options d'impression. L'option choisie par la secrétaire est "imprimer dans un fichier" (je sais, c'est débile). Il se trouve que le fichier proposé par défaut était...le fichier de données.

    Et hop ! Catastrophe : Le fichier de comptabilité est écrasé par le fichier d'impression.

    Conclusion : MS Windows + Ciel compta.

    Une autre histoire qui montre que les admins peuvent coûter cher pour faire fonctionner correctement une machine sous Linux :
    Certaines distributions (histoire vécue avec Xandros) ne proposent pas le module de port parallèle, ce qui est assez logique, puisque cela fait un bout de temps que les PC n'en ont plus.
    Il se trouve que cette dépendance est obligatoire pour Xsane (allez savoir pourquoi, sachant que tous les scanners sont sur USB depuis une bonne dizaine d'années).

    Résultat : l'admin, qui travaille gratuitement, comme chacun sait, est obligé de recompiler le kernel rien que pour ça.

    Donc, oui, si l'on dispose d'un admin compétent, gratuit, disponible, capable de régler les problèmes instantanément, et que les gens osent solliciter en cas de doute ou de comportement anormal, cela peut fonctionner.

    Je suis d'accord pour dire que, si les entreprises qui économisent sur les licences acceptaient de mettre l'argent économisé dans la formation des utilisateurs et les administrateurs, voire acceptaient de payer des patches, les choses seraient sans doutes faisables. Mais il est assez difficile de faire comprendre à un chef d'entreprise du bâtiment ou de la santé qu'il est de son intérêt de subventionner des développements logiciels, qui, de plus, ne restent pas sa propriété.
  • [^] # Re: La faute des utilisateurs ? ;-)

    Posté par  . En réponse au journal Echec d'une migration Linux : qu'en est il de votre côté. Évalué à 1.

    « gérer les associations de fichiers »

    "Je n'ai jamais eu à faire ça."

    Tu n'as jamais fait "Ouvrir avec ?". Là, tu m'en bouches un coin !

    "Sous Windows tu va avoir une interface pour configurer ton impression par marque d'imprimante voir par imprimante. Sous GNU/Linux j'ai la même interface quelque soit l'imprimante que j'utilise. C'est un point très important je trouve."

    Madame Miche (toujours, elle, la pauvre !) utilise une seule imprimante, et elle est très contente que l'interface de paramétrage corresponde exactement à son imprimante.
    Je trouve aussi pratique, en tant que "power user" d'avoir des interfaces multimarques, mais cela a aussi son revers : elles peuvent très bien proposer des options non disponibles ou ne pas proposer des options disponibles.

    "Sous GNU/Linux j'ai un environnement graphique cohérent"

    On ne doit vraiment pas utiliser les mêmes systèmes.

    Choisis un fichier sous Koffice, GIMP, Firefox, Acrobat reader, Xpaint, OOo et tu auras autant d'interfaces différentes.

    Une suggestion : que les applications n'intègrent pas de sélecteur de fichier ou de système d'impression, mais que l'on définisse simplement une API.

    Ensuite, l'utilisateur choisirait un environnement GNOME ou KDE ou que sais-je, et toutes ses interfaces seraient cohérentes.

    Certes, les systèmes microsoftiens sont imparfaits, mais l'expérience prouve que les gens arrivent plus à s'en sortir tout seuls, certes au prix d'un antivirus qui leur coûte un œil et bouffe toutes les ressources (1/2 heure pour monter un disque USB sur Windows 7 !), de reboots intempestifs (mais c'est plus facile de rebooter que de réfléchir à un paramètre délicat), de navigateurs surchargés de saloperies, d'applicatifs débiles supposés palier leur nullité, mais bon, au prix d'un petit passage chez le réparateur tous les 6 mois, il s y arrivent à peu près.
  • # La faute des utilisateurs ? ;-)

    Posté par  . En réponse au journal Echec d'une migration Linux : qu'en est il de votre côté. Évalué à 7.

    je vais encore me faire moinsser, mais c'est toujours la même histoire : Linux n'est pas prêt pour le bureau.

    Depuis une quinzaine d'années, je suis fasciné par le paradoxe qu'il y a entre les améliorations indubitables du système (autoconfiguration, support matériel élargi, refonte des sous-systèmes pour optimisations diverses, multiplication des codecs et formats supportés, etc.) et un état de manque d'utilisabilité pour Mme Michu qui semble au point mort.

    Prenons simplement l'exemple du système d'impression :
    Imprimante Samsung laser couleur : les couleurs sont trop sombres. Inutilisable.
    Imprimante combinée laser Samsung : impossible de scanner si non root, blocages intempestifs fréquents, impossible d'imprimer avec Firefox (mais qui accepte d'imprimer avec n'importe quelle autre imprimante)
    Imprimante combinée Brother : latence de plusieurs secondes avant de sortir la dernière feuille
    Imprimante Laser Epson : plantage de l'imprimante si tentative d'imprimer des lots de plus de 1 feuille.
    Pas d'accès simple aux niveaux d'encre, à la file d'attente d'impression, etc.
    Paramétrages complexes (lancement d'un outil spécial non documenté pour centrer correctement les pages chez Brother)

    Les gens qui travaillent aussi dans les bureaux aiment aussi utiliser les fax. Or, aucun outil de réception de fax sous Linux n'arrive à la cheville de ce qui se faisait sous Windows 3.1. Ce qui est vraiment dommage, puisqu'il s'agit uniquement d'un problème d'interface.

    Si l'on prend le problème des formats et codecs, c'est exactement la même chose : ça marche toujours "à peu près" : non-correspondance exacte de la mise en page comparée à MSOffice, non-affichage d'un codec vidéo sur une machine alors que ça marche bien sur la machine d'à côté pourtant identique, etc.

    Un autre problème est la facilité -ou simplement la possibilité- d'effectuer une tâche donnée. Par exemple, vous voulez programmer une télécommande multifonction. Le fabricant vous fournit un logiciel pour windows. Dans les bons cas, vous trouverez à grands coups de Google une interface de programmation qui fonctionne plus ou moins sous Linux, mais sans certitude.

    Autre exemple récent : tentative d'utiliser une souris Bluetooth : sous windows, fonctionnement impec sans driver (juste la norme HID), sous Linux, sauts de carpe de 10 cm = inutilisable. Conclusion : driver HID imparfait.

    Pareil pour faire du Skype : son tout pourri, ou pas de son du tout, vidéo incompatible avec les dernières versions.

    Il est faux de dire que les gens ne veulent pas de Linux par principe. Lorsque celui-ci est bien fait car destiné à un matériel et une tâche précis (freebox, andoid, télévision, etc.), ils s'en servent très bien, souvent sans même savoir qu'ils ont un Linux entre les mains (ce qui devrait être le but de tout OS : se faire oublier).

    La vraie question est : "que faudrait-il faire pour que cela s'améliore ?". Je pense que, si cela était simple, cela se saurait. Les systèmes basés sur Linux sont devenus des monstres de complexité : variété des périphériques, des programmes, des procédures, etc. On ne peut décréter ni la compétence des développeurs, le plus souvent bénévoles, ni le temps qu'ils ont à consacrer à leur projet, ni l'intérêt pour des projets qui n'intéressent aucun développeur.

    Dans un monde idéal, les développeurs développeraient bien dès le départ, les évolutions des systèmes seraient parfaitement synchronisées (rappelons-nous de Pulse audio), une armée de testeurs détecteraient immédiatement toutes les situations rugueuses, et une armée de développeurs corrigeraient tout cela instantanément.

    Actuellement, une personne qui souhaite utiliser Linux doit être
    -compétente (ce qui est rare chez les Mme Michu) : jongler entre plusieurs applicatifs différents pour effectuer une tâche semblable, gérer les associations de fichiers, s'attendre systématique à des bizarreries imprévues, voire coder un petit quelque chose en cas de besoin
    -motivée : accepter de passer des heures pour faire fonctionner un truc qui aurait dû fonctionner tout seul, voire accepter qu'il ne fonctionne pas du tout, en attendant un hypothétique driver ou bugfix.

    En résumé, je pense que la situation actuelle est tant la "faute" du système en général (aucune rugosité ne devrait jamais apparaître) que du manque de motivation et de compétence des utilisateurs qui sont incapables ou non désireux de régler les problèmes, souvent mineurs informatiquement parlant, qui se présentent à eux.
  • [^] # Re: Et localepurge ?

    Posté par  . En réponse au journal De la philosophie des distributions. Évalué à 1.

    Je ne connaissais pas (toujours ce problème de l'accès à l'information - Pourquoi pas une interface à la fin de l'install ?)

    J'ai fait des enlèvements manuels.
  • [^] # Re: Linux et les netbooks

    Posté par  . En réponse au journal De la philosophie des distributions. Évalué à 1.

    "Ce que je ne parviens pas à comprendre, c'est comment ces constructeurs peuvent justifier que leurs modèles tournant sous GNU/Linux soient vendus plus chers que leurs équivalents sous Win$ ! Mon esprit paranoïaque ne peut s'empêcher d'y voir la preuve d'un accord commercial déloyal imposé par M$..."

    Tout faux !

    Les PC sous Windows sont moins chers parce qu'ils sont sponsorisés par les marchands de saloperies (antivirus au nom de moto, etc.)

    Windows = 3€ - Prime d-utilitaire = 20 € -> Windows 17 € : moins cher que Linux.

    Si tu ajoutes à ça l'économie d'échelle (1 Linux vendu pour 100 windows) et le taux de retour (un mal informé qui a acheté un PC Linux croyant acheter un PC Windows et vient le ramener fait perdre le bénéficie de 5 ou 10 ventes)
  • [^] # Re: cherche plus simple encore...

    Posté par  . En réponse au journal De la philosophie des distributions. Évalué à 3.

    "Les distributions type ubuntu netbook ont dû se dire qu'il valait mieux mettre le maximum de programme "

    C'est justement ça qui me semble bizarre. Un petit disque dur conduire à réfléchir au maximum sur le minimum indispensable.

    Je verrais plutôt une installation minimale (juste pour que ça démarre) et quelques icônes du genre Multimédia - Bureautique... pour ajouter des lots de programmes, avec une indication sur le volume installé par chaque icône.

    Et puis s'arranger pour ne pas installer de composants logiciels genre pppoe d'office.

    C'est peut-être trop compliqué à gérer ? Il y a encore peu, je me rappelle que, sur Mandriva, on ne pouvait même pas désinstaller les drivers inutiles. Maintenant qu'on peut le faire, si vraiment il faut les installer chez tout le monde, pourquoi ne nous propose-t-on pas de les désinstaller en fin d'installation ?
  • [^] # Re: et une distribution dédiée

    Posté par  . En réponse au journal De la philosophie des distributions. Évalué à 4.

    Oui, mais non

    Netbook remix a changé de nom (netbook edition, c'est celle que j'ai installée)

    Easy Peasy : c'est à peu près la même chose, non ? Quel espace pour une installation minimale ? C'est le genre d'info qui est toujours difficle à trouver.
  • # Mise à jour sur Mandriva

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de KDE 4.5. Évalué à -7.

    Vu l'état catastrophique de kde4 installé d'origine tant sur Mandriva que sur Ubuntu (ralentissements monstrueux, etc.), j'ai tenté d'urgence la mise à jour sur Mandriva.

    J'ai fait pointer les dépôts pour mise à jour sur les rpm Mandriva.
    Ça a mis à jour quelques centaines de paquets sans message d'erreur.

    Depuis, le mode graphique ne démarre plus.

    C'est normal, chef ? (c'est peut-être le nouveau KDE qui est en mode texte pur ?)
  • [^] # Re: Pas mieux

    Posté par  . En réponse au journal Découpage vidéo. Évalué à 1.

    Le fameux "chez moi, ça marche !"

    Traces blanches dans les zones noires.

    Essai avec kino : non -respect du format d'image (compression verticale) et incapacité de l'aperçu de gérer la vitesse de défilement (x10 au moins !)

    Ubuntu 64 bits.

    Les OS propriétaires ont encore de beaux jours devant eux :-((
  • # Pas mieux

    Posté par  . En réponse au journal Découpage vidéo. Évalué à 7.

    Tentative de montage de quelques vidéos mp4 prise avec un téléphone (ubuntu dernière mode) :

    pitivi : bon affichage dans l'aperçu, montage facile et intuitif, pas de plantage. Problème : les fichiers d'export sont de 0 octets (avantage: ça économise de l'espace disque).

    kdenlive : aperçu pourri, décalage son-image. Montage facile, pas de plantage. Export : fichier aussi pourri qu'à l'aperçu >/dev/null

    avidemux : bon aperçu, montage non intuitif. Export en mp4 : accélération d'un facteur 2 (en même temps, ça prend moins de place !)

    Parmi les choses déstabilisantes dans tous ces logiciels : aucun ne propose d'exporter par défaut dans le format d'entrée. Il y a certainement des options qui fonctionnent pour mon besoin dans tous ces logiciels, mais quelle galère pour trouver la bonne !
  • # Réponses à tous

    Posté par  . En réponse au journal Vive la simplification !. Évalué à 4.

    Prise en mains en mode texte : service gdm stop.

    Mise en place des paramètres kivontbien dans xorg.conf = le modeline est refusé.

    ->utilisation du driver proprio = tout marche impec sans rien paramétrer.

    Donc, l'écran n'est pas si mauvais, c'est juste le driver libre qui ne va pas.

    Conclusion : il y a encore du boulot dans le libre. :-(
    Autre conclusion : quand on utilise une distro qui se prétend user-friendly, on peut s'attendre à avoir des assistants de configuration pour mettre ses propres paramètres sans se farcir des heures de documentations pas toujours adaptées.

    Autre conclusion : je n'ai rien contre l'évolution des choses, mais il faut bien reconnaître que les périodes de transition sont toujours délicates : documentation obsolète, incohérences des différentes couches logicielles, inadaptation des outils qui fonctionnaient précédemment, temps d'aprentissage, etc., le tout à échelle de quelques mois.

    Merci à ceux qui ont aidé : toutes les manips qui ont réussi étaient dans le thread !
  • [^] # Re: Gérard !!! Faut que je te parle.

    Posté par  . En réponse au journal Gros cafouillage pour la sortie de la mise à jour Maemo sur Nokia 900. Évalué à 2.

    Un logiciel libre piraté...
  • [^] # Re: Aucun problème ?

    Posté par  . En réponse au journal Gros cafouillage pour la sortie de la mise à jour Maemo sur Nokia 900. Évalué à 2.

    C'est là tout le problème : rien n'est clair.
    Certains propos incitent à penser que ce sont des officiels, mais sans le dire vraiment.
    Et si ce n'en sont pas, d'où sortent-il les informations négatives sur cette version (d'autant plus qu'elles ne sont en général pas confirmées) ?

    Bien évidemment, Nokia sort ses mises à jour quand il veut et comme il veut (aux corrections de bugs près, dues aux clients), mais on est alors bien loin du logiciel libre, dont la transparence est une des raisons d'être.

    Le vrai problème dans cette affaire est le manque de transparence : date de la sortie, contenu, et, dans le cas présent, contenu exact de cette version (alpha ? Beta ? RC ? finale ?) et ses vrais problèmes connus.

    Il se trouve que beaucoup d'utilisateurs préfèrent cette version à la dernière version stable.

    Pourquoi ne pas la sortir officiellement, en la donnant bien comme Beta ? C'est ce qui se fait, dans le monde du logiciel libre (et même dans l'autre). Et s'il y a de vrais défauts sérieux pour cette version, les dire officiellement.
  • [^] # Re: Gérard !!! Faut que je te parle.

    Posté par  . En réponse au journal Gros cafouillage pour la sortie de la mise à jour Maemo sur Nokia 900. Évalué à 1.

    Pour moi, il y a plusieurs problèmes :
    -un système libre qui ne l'est pas vraiment
    -des modérateurs Nokia qui ne se présentent pas clairement comme tels et qui ne délivrent pas clairement les informations dont ils disposent.
  • [^] # Re: oui mais...

    Posté par  . En réponse au journal Bricolage du Week-end : poser un filtre ADSL. Évalué à 1.

    Bien évidemment, le filtre ne sert absolument à rien si on n'a que de l'IP. Il suffit de mettre une RJ11 en bout de ligne.
  • [^] # Re: Mesures

    Posté par  . En réponse au journal Bricolage du Week-end : poser un filtre ADSL. Évalué à 2.

    Sur Paris, je n'ai pas vu grande différence, mais j'ai eu de bons retours d'expérience en bout de ligne à la campagne (genre 2Mb au lieu de 1)
  • [^] # Re: n'oublions pas les condensateurs...

    Posté par  . En réponse au journal Bricolage du Week-end : poser un filtre ADSL. Évalué à 1.

    Si on met le filtre en tête, tous les éventuels condensateurs sont automatiquement derrière.
    encore un avantage de mettre le filtre en tête.