La Net Release 1 était déjà libre, elle avait fait l'objet d'une élimination des parts propriétaires. Il ne manquait que la partie réseau, rajoutée dans la Net Release 2.
Il y a eu un débat juridique pendant plusieurs année entre Unix Systems Laboratories et l'université de Berkeley pour en arrivé à la conclusion (1994) que Net/2 n'était pas libre (4 fichiers mis en cause sur les 18000 de la distribution), ce qui a donné naissance à 4.4 BSD lite qui a servi de nouvelle base pour {Net|Free|Open}BSD.
Va voire l'interview de Théo sur http://kerneltrap.com/article.php?sid=389(...) et tu verras bien que le problème de la licence n'a été que l'excuse officielle. Le core OpenBSD attendait de pouvoir virer IPF, mais il fallait une raison valable. Par ailleurs, Daren a modifier sa licence avant de se faire jeter d'openBSD, ce qui le rend compatible avec Free et Net donc pourquoi pas avec Open ?
Il me semble que sur la ML, on parlait plutôt de problèmes techniques (intégration d'IPv6, de bridge bi-directionel ou du fichier de configuration) plus que de problèmes de licence. De plus, Darren ne tenait quasiment jamais compte des modif effectuées par l'équipe OpenBSD pour les intégrer dans les realeases d'IPF et ça ne plaisais pas du tout à Théo de Raadt.
Oui, mais le logiciel est assimilé à un bien meuble (cf mon post plus haut sur la directive européenne), il y a donc aussi obligation de résultat et les clauses des CLUF en deviennent abusives.
Il me semblait que le projet officiel était de porter la plateforme Debian sur OpenBSD. Il y a eu une news sur Linuxfr fut un temps mais je ne la retrouve pas.
Sauf que comme Mandrake a principalement pour actionnaires leurs utilisateurs
Seulement 40% des titres de l'introduction étaient destinés au public (soit 8% du capital), les utilisateurs ont intéret à s'accrocher s'ils veulent empêcher une OPA.
Les résultats du sondage sont sûrement vrai (260 entreprises sur 350 sondées sont contentes du libre), mais ça ne veut pas dire grand chose...
Ca veut juste dire que les entreprises qui ont choisit le libre en sont plutôt satisfaites, mais il y a un a priori à la base. Si elles ont choisit les LL, c'est qu'elles avaient sans doute un écho favorable au départ. Et ca ne veut surtout pas dire qu'elles trouvent les LL mieux que d'autres solutions.
On va chipoter, mais la vente n'inclue pas forcément une rémunération.
vente : Convention par laquelle une personne dite "le vendeur" cède ses droits de propriété sur une chose ou une valeur lui appartenant à une autre personne dite "l'acheteur" .
L'application en Europe d'une directive du 25 juillet 1985 instaure une protection du consommateur contre les logiciels défectueux. Ce texte a été complété par la directive du 5 avril 1993 concernant les clauses abusives dans les contrats conclus avec les consommateurs. L'interprétation française donnée en août 1998 par le garde des Sceaux indique que «la responsabilité du fait des produits défectueux a vocation à englober la catégorie juridique des meubles à laquelle appartiennent les logiciels ». Les logiciels seraient donc bien, selon le droit de la consommation, des produits.
Il est donc possible de poursuivre un éditeur dont le logiciel serait défectueux et d'obtenir des dommages de la part de celui-ci. Ces directives ne s'appliquent qu'à la vente de produit à des particuliers ou à des professionnels non informaticiens. On considère par exemple que le directeur informatique d'une banque est un professionnel de l'informatique et que lorsqu'il achète la licence d'utilisation d'un logiciel sans garantie de fonctionnement, il sait ce qu'il fait et ne pourra donc pas poursuivre l'éditeur. Au contraire, une PME qui achète un logiciel de comptabilité est considérée comme un consommateur et bénéficie donc de la protection accordée par les directives.
Il me semble qu'en France, un fournisseur est responsable du bon fonctionnement de son produit en fonction de la destination de celui-ci (obligation de résultat dans le contrat). Donc, si un produit est sensé être sécurisé (qu'il incorpore un mécanisme de sécurité), on doit pouvoir se retourner contre l'éditeur du logiciel en cas de faille.
Si il y a un avocat dans la salle, ce serait bien qu'il se prononce.
La première est que la notion de l'avantage de cout du logiciel libre, pourtant mise en avant par pas mal de monde (y compris la publicité IBM dont c'est le premier message "economies") n'est que peu cité. En effet, et les discussions ici l'ont montré, l'absence de cout lié à la license est compensé par d'autres cout, notamment a l'installation et à la configuration.
Il y a surtout que dans beaucoup de boites, notament celles qui ont des investissements lourds en matériel (travaux publics par exemple), le cout du poste informatique est négligeable. Une licence XP + Office amortie sur 5 ans ça ne représente pas grand chose par rapport à un bulldozer.
On comprend facilement que le cout ne peut et ne doit pas etre un élément de décision face à la qualité et la robustesse.
Ce que je ne comprends pas, c'est que normalement tout programme développé/compilé avec des outils GPL tombe directement en licence GPL, donc opensource et gratuit. N'est-ce pas le cas ici ?
C'est le fait de reprendre un source GPL et de l'améliorer ou d'utiliser des libs GPL qui rend ton programme GPL , pas le fait de le compiler avec GCC, sinon on aurait plus de softs sous GPL.
En France, il existe le système Téléfact qui permet de régler les factures gaz, électricité, France Télécom ... en ne passant que par un seul service (http://www.telefact.fr(...)). Mais ce genre de moyen de paiement sécurisé et centralisé a eu une autre heure de gloire en France, il y a quelques année, il y avait un porte monnaie électronique Klebox de le société Kleline disparu aujourd'hui je crois.
Le jour où les décideurs se seront rendu compte du prix élevé des licences Microsoft
Ce n'est un argument que si le budget informatique annuel est conséquent. Pour une société du batiment avec 100 employés et une trentaine de postes pour les services administratifs, le budget info est négligeable (un windows amorti sur 5 ans, ça pèse pas très lourd à côté d'un bulldozer même s'il est amorti sur 10 ans)
Voici la définition d'un service public, si ça t'intéresse de savoir de quoi tu parles :
"activité assumée par une collectivité publique en vue de donner satisfaction à des besoins d'intérêt général"
Sinon c'est ramener l'action de l'état à la charité pour les plus pauvres d'entre nous.
Le service public n'a pas forcément a voir avec la situation sociale des intéressés, mais aussi une localisation géographique et démographique.
un service publique fournit le même service à tout le monde au même prix
Tu t'es déjà fait installer une ligne EDF ? Tu paies une facture d'eau ?
c'est d'avoir un service publique et sur les ondes radios et sur internet
Personne ne t'empêche d'écouter Radio France sur Internet. Ce que tu réclames c'est un service supplémentaire.
ton post initial c'était minorité aisée
Et je le réaffirme, si tu as les moyens de payer pour une connexion Internet (6.177.000 d'abonnements à Internet en juin 2001 sur près de 60 millions de Français) et de surcroit pour écouter la radio, c'est que tu fais parti de la minorité aisée qui peut se payer un micro et Internet, d'autant que tu fais parti des 52% de Français à payer l'impôt sur le revenu, il y 48% qui n'ont pas cette chance (et pas la peine de ressortir le discours des fortunés qui ne le paient pas). Je crois que si tu avais du mal à joindre les deux bouts à la fin du mois, tu ferais une coupe sombre sur tes communications téléphoniques liées au Net. Perso je suis au chômage et j'estime quand même faire parti de la minorité aisée du moment que je peux me permettre du superflus (entendre par là non nécessaire à ma subsistance) comme Internet.
Un service publique n'est JAMAIS gratuit. Un service publique fonctionne et fait payer le même prix partout en France. Ce prix il est perçu soit directement (payage) soit indirectement (ce sont les impots).
Je crois que tu viens de résumer la situation sauf que le prix n'est pas le même pour tout le monde (cf eau, installation gaz et électricité ...), le but c'est d'offrir un minimum à chacun.
Radio France fonctionne avec nos impôts (et acecsoirement la redevance mais moi je n'ai pas la télé (c: ) donc j'ai déjà payé une fois, je ne vois pas pourquoi je paierai deux fois.
Radio France oui, le téléchargement d'émission pas forcément. Je n'estime pas que le fait de vendre (ou offrir) des émissions en téléchargement soit du domaine direct du service public qu'est la radio, en cela il peut être payant au même titre que les K7 video vendues par France Télévision, mais peut être que ça te choque aussi.
Les services publics ne fonctionnent pas seulement avec des impôts, ils facturent aussi un service plus ou moins cher en fonction de la qualité, tu ne paies pas le même prix pour le TGV ou le TER.
J'écoute france-inter avec un modem 56 k (300 Francs) + un superbe 486 DX2 66 avec 32 MO de RAM
Tu n'estimes donc pas faire parti de la minorité de gens ayant un micro et un accès internet.
Je me souviens d'une époque (qui n'est pas si lointaine) ou aucun hébergeur ne proposait Linux et l'offre reposait sur les *BSD (FreeBSD généralement). Les unix gratuits ne sont pas apparus avec Linux et le développement web non plus.
Je n'occulte pas le débat sur le service public, bien au contraire, mais ce n'est pas en faisant de la démagogie qu'on fait avancer le schmilblik. Si la BBC choisit Vorbis comme format, ce ne sera pas pour une question morale mais économique.
Pour rappel, le service public, c'est offrir à une majorité un service accessible. Personne n'a jamais dit que les services publics devaient etre gratuit sinon l'eau, le gaz, l'éléctricité, le téléphone (autrefois), les autoroutes ...etc... seraient gratuits. Radio France n'a pas à offrir gratuitement un service à une minorité aisée (micro + ligne ADSL) dont toi et moi faisons parti.
[^] # Re: Le titre me semble inexact
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche 4BSD est de nouveau libre!. Évalué à 5.
Il y a eu un débat juridique pendant plusieurs année entre Unix Systems Laboratories et l'université de Berkeley pour en arrivé à la conclusion (1994) que Net/2 n'était pas libre (4 fichiers mis en cause sur les 18000 de la distribution), ce qui a donné naissance à 4.4 BSD lite qui a servi de nouvelle base pour {Net|Free|Open}BSD.
Cf l'article dans "Tribune Libre" (O'Reilly) sur l'histoire des Unix
http://www.oreilly.fr/divers/tribune-libre/fr-x489.html(...)
[^] # Re: et bsdi???
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche 4BSD est de nouveau libre!. Évalué à 4.
[^] # Re: égo ?
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche Un fork d'OpenBSD avec IPFilter. Évalué à 3.
[^] # Re: égo ?
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche Un fork d'OpenBSD avec IPFilter. Évalué à 5.
[^] # Re: pfff
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche Un fork d'OpenBSD avec IPFilter. Évalué à 3.
[^] # Re: Ca tombe bien
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une loi sur la sécurité des logiciels. Évalué à 1.
# Le projet offciel porte sur OpenBSD
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche une Debian sur noyau NetBSD. Évalué à 10.
Sinon j'ai trouvé ça :
http://www.linuxfrench.net/article.php3?id_article=443(...(...))
[^] # Re: C'est tres simple
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche [Rumeur] AOL racheterait Red Hat ?. Évalué à 3.
Seulement 40% des titres de l'introduction étaient destinés au public (soit 8% du capital), les utilisateurs ont intéret à s'accrocher s'ils veulent empêcher une OPA.
[^] # Re: Et les logiciels libres ?
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une loi sur la sécurité des logiciels. Évalué à 3.
Mais on peut peut etre t'accuser de ne pas avoir mis en oeuvre tous les moyens pour empêcher cet infraction.
[^] # Re: pourquoi denigrer
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le libre en entreprise. Évalué à 1.
Ca veut juste dire que les entreprises qui ont choisit le libre en sont plutôt satisfaites, mais il y a un a priori à la base. Si elles ont choisit les LL, c'est qu'elles avaient sans doute un écho favorable au départ. Et ca ne veut surtout pas dire qu'elles trouvent les LL mieux que d'autres solutions.
[^] # Re: oui bien
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche Philips se fâche... (se lâche ?). Évalué à 3.
[^] # Re: Vive les brevets logiciel
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche Philips se fâche... (se lâche ?). Évalué à 10.
Non, mais il faut qu'elles respectent les normes édictées dans l'Orange Book de Philips (qui détient les brevets sur le CD).
[^] # Re: Et les logiciels libres ?
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une loi sur la sécurité des logiciels. Évalué à 5.
vente : Convention par laquelle une personne dite "le vendeur" cède ses droits de propriété sur une chose ou une valeur lui appartenant à une autre personne dite "l'acheteur" .
[^] # Re: Et les logiciels libres ?
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une loi sur la sécurité des logiciels. Évalué à 9.
Il est donc possible de poursuivre un éditeur dont le logiciel serait défectueux et d'obtenir des dommages de la part de celui-ci. Ces directives ne s'appliquent qu'à la vente de produit à des particuliers ou à des professionnels non informaticiens. On considère par exemple que le directeur informatique d'une banque est un professionnel de l'informatique et que lorsqu'il achète la licence d'utilisation d'un logiciel sans garantie de fonctionnement, il sait ce qu'il fait et ne pourra donc pas poursuivre l'éditeur. Au contraire, une PME qui achète un logiciel de comptabilité est considérée comme un consommateur et bénéficie donc de la protection accordée par les directives.
Extrait de : http://www.freepatents.org/liberty/droit.html(...(...))
[^] # Re: Et les logiciels libres ?
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une loi sur la sécurité des logiciels. Évalué à 10.
Si il y a un avocat dans la salle, ce serait bien qu'il se prononce.
[^] # Re: A noter de cette enquete.
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le libre en entreprise. Évalué à 9.
Il y a surtout que dans beaucoup de boites, notament celles qui ont des investissements lourds en matériel (travaux publics par exemple), le cout du poste informatique est négligeable. Une licence XP + Office amortie sur 5 ans ça ne représente pas grand chose par rapport à un bulldozer.
On comprend facilement que le cout ne peut et ne doit pas etre un élément de décision face à la qualité et la robustesse.
[^] # Re: Soyons réalistes
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le monde libre sur Apple. Évalué à 4.
C'est le fait de reprendre un source GPL et de l'améliorer ou d'utiliser des libs GPL qui rend ton programme GPL , pas le fait de le compiler avec GCC, sinon on aurait plus de softs sous GPL.
[^] # PUB: Telefact
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche Premier craquage quantique. Évalué à 1.
[^] # Re: icecast2
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche La BBC test la diffusion des ses radios en OggVorbis. Évalué à -1.
[^] # Re: J'y crois pas de trop a ce genre de prévision...
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les predictions pour linux en 2003.. Évalué à 10.
Ce n'est un argument que si le budget informatique annuel est conséquent. Pour une société du batiment avec 100 employés et une trentaine de postes pour les services administratifs, le budget info est négligeable (un windows amorti sur 5 ans, ça pèse pas très lourd à côté d'un bulldozer même s'il est amorti sur 10 ans)
[^] # Re: service publique
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche La BBC test la diffusion des ses radios en OggVorbis. Évalué à 0.
"activité assumée par une collectivité publique en vue de donner satisfaction à des besoins d'intérêt général"
Sinon c'est ramener l'action de l'état à la charité pour les plus pauvres d'entre nous.
Le service public n'a pas forcément a voir avec la situation sociale des intéressés, mais aussi une localisation géographique et démographique.
un service publique fournit le même service à tout le monde au même prix
Tu t'es déjà fait installer une ligne EDF ? Tu paies une facture d'eau ?
c'est d'avoir un service publique et sur les ondes radios et sur internet
Personne ne t'empêche d'écouter Radio France sur Internet. Ce que tu réclames c'est un service supplémentaire.
ton post initial c'était minorité aisée
Et je le réaffirme, si tu as les moyens de payer pour une connexion Internet (6.177.000 d'abonnements à Internet en juin 2001 sur près de 60 millions de Français) et de surcroit pour écouter la radio, c'est que tu fais parti de la minorité aisée qui peut se payer un micro et Internet, d'autant que tu fais parti des 52% de Français à payer l'impôt sur le revenu, il y 48% qui n'ont pas cette chance (et pas la peine de ressortir le discours des fortunés qui ne le paient pas). Je crois que si tu avais du mal à joindre les deux bouts à la fin du mois, tu ferais une coupe sombre sur tes communications téléphoniques liées au Net. Perso je suis au chômage et j'estime quand même faire parti de la minorité aisée du moment que je peux me permettre du superflus (entendre par là non nécessaire à ma subsistance) comme Internet.
[^] # Re: service publique
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche La BBC test la diffusion des ses radios en OggVorbis. Évalué à 0.
Je crois que tu viens de résumer la situation sauf que le prix n'est pas le même pour tout le monde (cf eau, installation gaz et électricité ...), le but c'est d'offrir un minimum à chacun.
Radio France fonctionne avec nos impôts (et acecsoirement la redevance mais moi je n'ai pas la télé (c: ) donc j'ai déjà payé une fois, je ne vois pas pourquoi je paierai deux fois.
Radio France oui, le téléchargement d'émission pas forcément. Je n'estime pas que le fait de vendre (ou offrir) des émissions en téléchargement soit du domaine direct du service public qu'est la radio, en cela il peut être payant au même titre que les K7 video vendues par France Télévision, mais peut être que ça te choque aussi.
Les services publics ne fonctionnent pas seulement avec des impôts, ils facturent aussi un service plus ou moins cher en fonction de la qualité, tu ne paies pas le même prix pour le TGV ou le TER.
J'écoute france-inter avec un modem 56 k (300 Francs) + un superbe 486 DX2 66 avec 32 MO de RAM
Tu n'estimes donc pas faire parti de la minorité de gens ayant un micro et un accès internet.
[^] # Re: Hummm, Java et FreeBSD
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche Java sur FreeBSD. Évalué à 4.
[^] # Re: Je réécris ma réponse (elle est pas passée hier)
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche La BBC test la diffusion des ses radios en OggVorbis. Évalué à 0.
Pour rappel, le service public, c'est offrir à une majorité un service accessible. Personne n'a jamais dit que les services publics devaient etre gratuit sinon l'eau, le gaz, l'éléctricité, le téléphone (autrefois), les autoroutes ...etc... seraient gratuits. Radio France n'a pas à offrir gratuitement un service à une minorité aisée (micro + ligne ADSL) dont toi et moi faisons parti.
[^] # 20 Février 2002 (pas de commentaire)
Posté par DPhil (site web personnel) . En réponse à la dépêche Remerciements dans le film antitrust. Évalué à -1.