En général, l'idée derrière ces initiatives, c'est que le portail joue le rôle d'intermédiaire entre le programmeur et le client. Un des objectifs de l'intermédiation peut être de vérifier que le soft répond bien au cahier des charges et si oui de débloquer l'argent.
Il faut donc :
1/ que le cahier des charges soit bien écrit (pas évident du tout !)
2/ que l'intermédiaire soit indépendant des deux autres parties
3/ que le développeur qui développe un tel logiciel libre accepte une procédure aussi lourde (c'est pour ça que je dis plus haut que j'y crois plus dans un contexte B2B qu'en C2C comme pour CoSource, par exemple).
C'est une bonne idée. Mais les initiatives passées telles que CoSource, SourceXchange et GPL Farm ont toutes foirés pour des raisons diverses : possibilité de demander des programmes non libres donc perdus pour la communauté, rigidité du mécanisme d'attribution des projets et de fixation des tarifs, refus de travailler comme free lance, etc.
Fondamentalement, ce que je me demande, c'est si les développeurs du Libre ont vraiment envie de faire des heures supp' en suivant un cahier des charges précis, avec une procédure de réception avant paiement, etc (lourd lourd)... Par contre, si l'idée est de faire une sorte de portail B2B en vue de faire émerger des initiatives d'édition mutualiste, ça peut être pas mal.
Voir le pied de page du site : burnatonce is free for non-commercial use only. Donc, ce n'est pas libre (la demande initiale = Je recherche un logiciel de gravure pour windows, libre).
> Une base de donnée que j'ai la joie de rencontré (il y a qq temps deja) et qui m'avait mmfmmf plu c'etait adabas :)
Finalement, SAP sest contenté de passer un accord avec Software AG autour du SGBD Adabas. A travers cet accord, SAP obtenait le droit de développer et de revendre sa propre version dAdabas renommée SAP DB pour loccasion.
Donc, Adabas a donné SAP DB, qui a donné MaxDB. Faut juste s'y retriuver dans les noms :-) !
Je ne dis pas qu'ils ont tort. Mais, dans l'interview dont je me souviens, le boss de MySQL avait l'air de dire que techniquement un SGBD orienté web était différent d'un SGBD client serveur classique en particulier compte tenu du nombre de connection à supporter.
Donc, ce que je me demande, c'est si les fonctionnalités propres aux deux utilisations sont techniquement conciliables ou non.
Si c'est pour des applications d'entreprise, tu va souvent trouver Oracle, DB2 et SQL Server. Si c'est du web de base, tu vas trouver MySQL (car supporté par bcp d'hébergeurs gratuits ou à bas prix -> effet de volume). Si c'est une base de données bureautique, tu vas avoir des trucs comme Filemaker ou Access. Etc.
En plus, vu que MySQL ou PostgreSQL échappent aux circuits commerciaux classiques, la fiabilité des stats ne doit pas toujours être géniale.
> Esperons que MySQL ne devienne pas trop compliqué
Ce qui me fait tiquer avec MySQL, c'est que MySQL AB la présente comme une base de données de commodité optimisée pour le Web. Le CEO de MySQL AB ne la voit donc pas comme une concurrente des SGBD client-serveur à la base comme Oracle. Mais parallèlement à cela, MySQL signe un accord avec SAP qui a priori à plus besoin d'un SGBD client-serveur type Oracle pour faire tourner son ERP.
Donc, je me demande aussi comment MySQL AB va gérer ça : continuer à satisfaire ses clients qui recherchent un SGBD web de commodité et satisfaire ceux qui veulent faire touner ça en dessous d'une application client-serveur type ERP.
Pour Qt par exemple, tu as une version GPL qui est gratuite (et qui t'oblige à développer en GPL). Et tu as une version proprio payante (assez chere) qui te permet de faire du soft proprio.
Dans le cas de MySQL, une bonne partie des revenus viennent de la vente de licences dites commerciales, qui représentent 1% (soit 5000 unités) du nombre de MySQL installés.
C'est basé sur du GNU/Linux. C'est bien expliqué sur le site (simputer.org) mais il est HS pour le moment. Pour résumer :
Simputer est une alternative au PC, portable et économique. Il est spécialement adapté aux pays du tiers monde, où l'illétrisme est important. Le Simputer est basé sur Linux. Afin d'en favoriser la diffusion, les spécifications matérielles ont été placées sous Simputer General Public Licence (SGPL), inspirée par la GPL. La commercialisation est soumise à deux autres licences (les Simputerised Device Manufacturing Licence et Simputerised Device Manufacturing Licence). La licence d'exploitation commerciale varie de $25.000 pour les pays en voie de développement à $250.000 pour les pays développés.
Pour le moment, je n'en ai entendu que du bien, mais je n'ai jamais vu de comparaison par rapport à un Yopy ou un PDA sous Plam, EPOC ou Win CE (faut pas oublier non plus qu'au départ, ce n'est pas un PDA).
Non, je parlais d'email publicitaire sollicité en opt-in ou double opt-in. Comme Just For You, par exemple, qui t'envoie de la pub personnalisée en fonction de tes centres d'intérêt.
Donc, 0,5% pour du spam
et
30% pour de l'email marketing sollicité et ciblé (différent du spam).
Je suis d'accord et, ce qui est fou, c'est que la legislation est plus dure vis-à-vis des spammeurs que vis-à-vis des sociétés qui t'innondent de pub papier qui t'encombrent et polluent directement et indirectement !
A ma connaissance, les taux de retours sont de l'ordre de 0,5 % max pour une campagne de spam. Il peut être de 30% si c'est sollicité et ciblé. Si tu veux travailler proprement (et de manière rentable), tu vois tout de suite comment il faut procéder.
OK, tu as raison. C'est un peu le jeu de l'épée et du bouclier.
Mais ça n'empêche qu'avec le bête filtre de Mozilla (donc même sans utiliser Spam Assassin) je n'ai que 1 ou 2 mails de spams qui passent par jour, sur une bonne vingtaine minimum. 1 ou 2 mails, c'est agaçant mais c'est pas la mort non plus.
Donc, quand on me dit que le spam est un fléau ou que c'est un facteur de stress dans l'entreprise qui ralentit l'usage du mail (j'avais lu ça récemment), ça me fait doucement rigoler, alors qu'il est si facile de s'en prémunir. Bref, je trouve que l'on grossit fortement le problème et que l'on masque les solutions, alors qu'elles existent.
Bon, ceci dit, ça n'enlève rien au fait que le principe même du spam est mauvais.
Et puis, autre chose : la vulgarisation ne dispense pas de se tenir au courant. Au contraire, car il faut non seulement connaître le domaine à vulgariser mais en plus savoir communiquer auprès du novice.
Donc, que ce soit des experts ou des vulgarisateurs, le propos tenu est de toute façon gênant car montrant une méconnaissance du domaine.
> les frais de publicité des grandes compagnies vont être divisés par 1000
C'est vrai que le mail diminue les frais de pub. Mais auncune boîte sérieuse de bulk mailing ne t'encouragera à spammer les gens. La première chose que les (bons) formateurs en emarketing expliquent, c'est que pour être efficace, un email doit être sollicité et personnalisé. C'est tout le contraire du spam, qui fait ch*** les gens et a un taux de retour minable.
Il y a un autre élément : Spam Assassin est excellent au niveau de son taux de rejet et son taux d'erreur. Les solutions commerciales sont visiblement assez lamentables (elles étaient récemment décendues en flèche par un test de Datanews en Belgique).
Une question que je me posais est donc : les experts connaissent-ils les solutions libres (qui marchent) ou ont-ils uniquement connaissance des solutions proprio (qui, selon Datanews, coûtent cher et ne marchent pas des masses).
Certes, mais je trouve dommage que les "experts" manquent d'éducation. Je trouve affolant qu'un panel d'"experts" dise qu'il n'y a pas de solution technique, alors que c'est faux.
[^] # Re: Pas content
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Pas content. Évalué à 1.
[^] # Re: Portail de regroupement de professionnels du logiciel libre
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse à la dépêche Portail de regroupement de professionnels du logiciel libre. Évalué à 5.
Il faut donc :
1/ que le cahier des charges soit bien écrit (pas évident du tout !)
2/ que l'intermédiaire soit indépendant des deux autres parties
3/ que le développeur qui développe un tel logiciel libre accepte une procédure aussi lourde (c'est pour ça que je dis plus haut que j'y crois plus dans un contexte B2B qu'en C2C comme pour CoSource, par exemple).
# Re: Portail de regroupement de professionnels du logiciel libre
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse à la dépêche Portail de regroupement de professionnels du logiciel libre. Évalué à 10.
Fondamentalement, ce que je me demande, c'est si les développeurs du Libre ont vraiment envie de faire des heures supp' en suivant un cahier des charges précis, avec une procédure de réception avant paiement, etc (lourd lourd)... Par contre, si l'idée est de faire une sorte de portail B2B en vue de faire émerger des initiatives d'édition mutualiste, ça peut être pas mal.
[^] # Re: Logiciel de gravure libre sous windows.
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Logiciel de gravure libre sous windows.. Évalué à 3.
[^] # Re: 1 million de bureaux Linux en Chine
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse à la dépêche 1 million de bureaux Linux en Chine. Évalué à 3.
Il y a en Chine des initiatives de logiciels libres comme Red Flag, une distribution Linux chinoise (http://www.redflag-linux.com/elxwm.html(...) ). C'est donc une décision étonnante, d'autant que la Chine a généralement tendance à vouloir développer ses propres technologies (voir par exemple la récente annonce concernant le DVD : http://permanent.nouvelobs.com/multimedia/20031118.ZDN9130608.html?(...) ).
[^] # Re: Adabas
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les bases de données OpenSource en ébullition. Évalué à 3.
Finalement, SAP sest contenté de passer un accord avec Software AG autour du SGBD Adabas. A travers cet accord, SAP obtenait le droit de développer et de revendre sa propre version dAdabas renommée SAP DB pour loccasion.
Donc, Adabas a donné SAP DB, qui a donné MaxDB. Faut juste s'y retriuver dans les noms :-) !
[^] # Re: Les bases de données OpenSource en ébullition
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les bases de données OpenSource en ébullition. Évalué à 3.
Je ne dis pas qu'ils ont tort. Mais, dans l'interview dont je me souviens, le boss de MySQL avait l'air de dire que techniquement un SGBD orienté web était différent d'un SGBD client serveur classique en particulier compte tenu du nombre de connection à supporter.
Donc, ce que je me demande, c'est si les fonctionnalités propres aux deux utilisations sont techniquement conciliables ou non.
[^] # Re: Les bases de données OpenSource en ébullition
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les bases de données OpenSource en ébullition. Évalué à 7.
Si c'est pour des applications d'entreprise, tu va souvent trouver Oracle, DB2 et SQL Server. Si c'est du web de base, tu vas trouver MySQL (car supporté par bcp d'hébergeurs gratuits ou à bas prix -> effet de volume). Si c'est une base de données bureautique, tu vas avoir des trucs comme Filemaker ou Access. Etc.
En plus, vu que MySQL ou PostgreSQL échappent aux circuits commerciaux classiques, la fiabilité des stats ne doit pas toujours être géniale.
Voir notamment http://www.silicon.fr/click.asp?id=544(...) / http://www-5.ibm.com/fr/software/data/informix/gartner.html(...) .
[^] # Re: Les bases de données OpenSource en ébullition
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les bases de données OpenSource en ébullition. Évalué à 2.
Ce qui me fait tiquer avec MySQL, c'est que MySQL AB la présente comme une base de données de commodité optimisée pour le Web. Le CEO de MySQL AB ne la voit donc pas comme une concurrente des SGBD client-serveur à la base comme Oracle. Mais parallèlement à cela, MySQL signe un accord avec SAP qui a priori à plus besoin d'un SGBD client-serveur type Oracle pour faire tourner son ERP.
Donc, je me demande aussi comment MySQL AB va gérer ça : continuer à satisfaire ses clients qui recherchent un SGBD web de commodité et satisfaire ceux qui veulent faire touner ça en dessous d'une application client-serveur type ERP.
[^] # Re: Les bases de données OpenSource en ébullition
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les bases de données OpenSource en ébullition. Évalué à 8.
[^] # Re: Les bases de données OpenSource en ébullition
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les bases de données OpenSource en ébullition. Évalué à 10.
Pour Qt par exemple, tu as une version GPL qui est gratuite (et qui t'oblige à développer en GPL). Et tu as une version proprio payante (assez chere) qui te permet de faire du soft proprio.
Dans le cas de MySQL, une bonne partie des revenus viennent de la vente de licences dites commerciales, qui représentent 1% (soit 5000 unités) du nombre de MySQL installés.
Exemples : Open Office, Qt, MySQL, etc.
[^] # Re: PDA sous Linux : où en sommes nous ?
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse à la dépêche PDA sous Linux : où en sommes nous ?. Évalué à 1.
[^] # Re: PDA sous Linux : où en sommes nous ?
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse à la dépêche PDA sous Linux : où en sommes nous ?. Évalué à 1.
Simputer est une alternative au PC, portable et économique. Il est spécialement adapté aux pays du tiers monde, où l'illétrisme est important. Le Simputer est basé sur Linux. Afin d'en favoriser la diffusion, les spécifications matérielles ont été placées sous Simputer General Public Licence (SGPL), inspirée par la GPL. La commercialisation est soumise à deux autres licences (les Simputerised Device Manufacturing Licence et Simputerised Device Manufacturing Licence). La licence d'exploitation commerciale varie de $25.000 pour les pays en voie de développement à $250.000 pour les pays développés.
Ils essaient de développer le truc à l'exportation (i.e. en dehors de l'Inde) mais ça rame un peu (2000 unités à l'export, c'est pas énorme) : voir http://www.zdnet.fr/actualites/technologie/0,39020809,39128947,00.h(...) .
Pour le moment, je n'en ai entendu que du bien, mais je n'ai jamais vu de comparaison par rapport à un Yopy ou un PDA sous Plam, EPOC ou Win CE (faut pas oublier non plus qu'au départ, ce n'est pas un PDA).
[^] # Re: Il n'y aura jamais de solution pour le spam
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Il n'y aura jamais de solution pour le spam. Évalué à 3.
http://www.uvek.admin.ch/dokumentation/medienmitteilungen/artikel/2(...)
[^] # Re: Il n'y aura jamais de solution pour le spam
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Il n'y aura jamais de solution pour le spam. Évalué à 1.
Donc, 0,5% pour du spam
et
30% pour de l'email marketing sollicité et ciblé (différent du spam).
# Re: PDA sous Linux : où en sommes nous ?
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse à la dépêche PDA sous Linux : où en sommes nous ?. Évalué à 9.
[^] # Re: Il n'y aura jamais de solution pour le spam
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Il n'y aura jamais de solution pour le spam. Évalué à 2.
[^] # Re: Il n'y aura jamais de solution pour le spam
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Il n'y aura jamais de solution pour le spam. Évalué à 1.
[^] # Re: Foutre les spammeurs en prison est la seule solution.
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Il n'y aura jamais de solution pour le spam. Évalué à 1.
Mais ça n'empêche qu'avec le bête filtre de Mozilla (donc même sans utiliser Spam Assassin) je n'ai que 1 ou 2 mails de spams qui passent par jour, sur une bonne vingtaine minimum. 1 ou 2 mails, c'est agaçant mais c'est pas la mort non plus.
Donc, quand on me dit que le spam est un fléau ou que c'est un facteur de stress dans l'entreprise qui ralentit l'usage du mail (j'avais lu ça récemment), ça me fait doucement rigoler, alors qu'il est si facile de s'en prémunir. Bref, je trouve que l'on grossit fortement le problème et que l'on masque les solutions, alors qu'elles existent.
Bon, ceci dit, ça n'enlève rien au fait que le principe même du spam est mauvais.
[^] # Re: Il n'y aura jamais de solution pour le spam
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Il n'y aura jamais de solution pour le spam. Évalué à 1.
Donc, que ce soit des experts ou des vulgarisateurs, le propos tenu est de toute façon gênant car montrant une méconnaissance du domaine.
[^] # Re: Il n'y aura jamais de solution pour le spam
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Il n'y aura jamais de solution pour le spam. Évalué à 2.
Donc, à moins que les journalistes n'aient mal rapporté l'info, on parle bien de l'avis d'un _panel_ d'_experts_.
[^] # Re: Il n'y aura jamais de solution pour le spam
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Il n'y aura jamais de solution pour le spam. Évalué à 1.
C'est vrai que le mail diminue les frais de pub. Mais auncune boîte sérieuse de bulk mailing ne t'encouragera à spammer les gens. La première chose que les (bons) formateurs en emarketing expliquent, c'est que pour être efficace, un email doit être sollicité et personnalisé. C'est tout le contraire du spam, qui fait ch*** les gens et a un taux de retour minable.
[^] # Re: Il n'y aura jamais de solution pour le spam
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Il n'y aura jamais de solution pour le spam. Évalué à 4.
Une question que je me posais est donc : les experts connaissent-ils les solutions libres (qui marchent) ou ont-ils uniquement connaissance des solutions proprio (qui, selon Datanews, coûtent cher et ne marchent pas des masses).
[^] # Re: Il n'y aura jamais de solution pour le spam
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Il n'y aura jamais de solution pour le spam. Évalué à 5.
[^] # Re: Encore un brevet abusif de chez Microsoft
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Encore un brevet abusif de chez Microsoft. Évalué à 2.