C'est bizarre, j'ai ça aussi avec Acrobat 3. Par contre, sous GSView (que j'utilise par défaut), ça passe sans problème. C'est un PDF généré par OOo 1.1.
Si qqn a un truc pour résoudre le problème, je suis preneur car je sèche un peu sur ce coup-là.
Disons que Blair Witch Project est devenu un cas d'école et qu'il est le premier a avoir réussi de la sorte avec ce genre de technique. C'est clair que, pour les films qui ont suivi et récupéré la technique, ça sent un peu le réchauffé, puisqu'il n'y a plus vraiment d'effet de surprise.
Maintenant, si c'est bien fait et compte tenu de la notoriété de Matrix, ça peut marcher. Le principe de l'enquête continue à pas mal fonctionner (voir la campagne de lancement de la Mini par BMW).
Ceci étant dit, je suis assez d'accord avec ta vision des choses :-) !
C'est un "vieux" truc déjà employé pour le premier film Blair Witch project. C'est une application du marketing viral, l'idée étant de développer une rumeur positive autour du film. C'est un bon complément, qui ne coûte pas très cher, à la publicité classique.
Si je mets ça dans les journaux privés, c'est que le résumé est en deux parties. Je mettrai donc la deuxième partie dans les journaux publics, avec un lien vers le première partie, que j'ai laissée en privé. De cette façon, seule sera publique la version complète.
Il n'y a donc pas de ma part de réflexion sur le fait que ça dure plus ou moins longtemps. Je mets en privé ce qui est moins intéressant (déjà traité sur LinuxFr, incomplet, sujet personnel, etc).
En Belgique, d'intéressantes initiatives d'édition mutualiste sont envisagées par les institutions fédérales et régionales.
Arafox a ainsi lancé le projet CheckDocSQL (ex-Ministère de la Fonction Publique). Arafox projette aussi d'entamer le co-développement du logiciel de gestion communale d'AGD, une société qui a fait faillite et dont les sources du logiciel ont été rachetée par la Région Wallonne.
Il y a donc de belles initiatives qui se développent et qui laisse espérer une meilleure valorisation des ressources humaines et financières des institutions publiques.
Ce que j'ai compris concernant Debian, c'est qu'un parc de clients (ou une machine isolée) sous Debian peut se connecter sur un serveur Debian en vue de faire une comparaison entre la configuration courante du PC et les derniers paquets stables proposés par Debian. Ensuite, une synchronisation s'opère, de sorte que le PC est toujours up-to-date côté logiciel. S'il s'agit d'un parc de PC, la connection pour se synchroniser peut se faire via le serveur de l'entreprise. La personne parlait de plusieurs mises à jour journalière sur son PC, de manière totalement transparente pour lui.
URPMI n'exige-t-il pas une intervention manuelle de l'utilisateur ?
Je précise ma pensée par rapport au Shared Source et au peer review.
"Si l'on admet" (a-t-on une idée via FLOSS ou autre de la répartition des contributions ?) que les contributions dans le domaine du logiciel libre obéissent à la règle du 80/20 (20% des contributeurs apportent 80% des contributions), le fait de capter l'énergie d'une minorité de contributeurs et de les lier à des clauses contractuelles dures (ex : le Shared Source) peut conduire à un apport extérieur à l'entreprise important sans une ouverture de totale (impératif pour MS de protection de la PI !).
Je ne suis pas ici en train de lancer un débat Pour ou Contre le Shared Source (Par ailleurs, je suis d'accord que d'autres facteurs devraient être pris en compte : motivation et créativité favorisées par la liberté, indépendance du client, etc.), mais de réfléchir à son efficacité _pour l'entreprise éditrice_ (les clients, eux, restent fortement liés à Microsoft).
Le principe du "realese early, realese often" est ici conservé : à chaque étape du produit, un déploiement est prévu, sur une base de plus en plus grande (de l'équipe de développement initiale à des départements complets).
Je n'en parle pas, mais le logiciel une fois suffisamment avancé est en outre diffusé auprès de clients testeurs, qui à ma connaissance paient parfois pour cela ! En fait, il y a une réfexion sur le type de public vers lequel on "ouvre l'application" (à défaut du code : voir quand même le très restrictif Shared Source), que l'on ne retrouve pas (ou rarement) dans le monde Open Source. Le choix du contributeurs, pour tout projet de co-création (projet de logiciel libre ou tout autre projet), est néanmoins un problème central, pour la qualité des contributions notamment, leur cohérence, etc.
Et quand tu dis que le process du peer review est plus faible côté utilisateurs, il y a matière à discussion. Car si côté quantitatif, MS est clairement perdant, d'un point de vue qualitatif, il est plus difficile de trancher. Surtout, ça dépendra d'un produit à un autre. Apache, Mozilla ou Linux bénéficient très probablement d'une excellente qualité de peer review, car ce sont des gros projets, très bien structurés et soutenus. Pour d'autres plus modestes, il y a clairement matière à débat.
Pour en revenir à ce que je disais plus haut, je serais curieux de connaître les retombées du Shared Source, avec les clients privilégiés possédant les programmes les plus "avantageux". En particulier, si l'on admet que ces clients soient triés sur le volet, quid de la quantité / _qualité_ des apports des ces clients à Microsoft ?
> De vrais entrepreneurs pour promouvoir Linux (RH, Suze, Mandrake ...)
Oui, mais ces entrepreneurs sont aussi apparus car Linux remportait un certain succès :).
Aux premiers jours du système Linux (1993), nous étions une petite société de distribution de logiciels. Nous proposions à bas prix des applications, des livres, et des CD-ROM Unix de vendeurs comme Walnut Creek et Infomagic. En plus de leur offre classique Unix, ceux-ci commencèrent à fournir une nouvelle ligne de produits : des CD-ROM Linux. Ils devinrent nos meilleures ventes. (Tribune Libre)
Il est clair que la présence d'entrepreneurs a joué, surtout pour aussurer le développement sur le long terme, mais il semble qu'il y ait eu autre chose qui a provoqué le déclic initial.
Je pense notamment à ceci : "À vrai dire, je considère qu'on peut évaluer la qualité technique d'un OS à sa capacité à s'adapter aux différents types d'utilisateurs; pour moi les OS ultraspécialisés pour des marchés de niche n'ont aucun avenir." sur http://www.zdnet.fr/actualites/technologie/0,39020809,2137439,00.ht(...) .
> Pourquoi Windows
De ce côté, il y a Microsoft qui a pu pousser commercialement ses produits. Par contre, les *BSD et Linux étaient globalement à égalité, puisque basés sur un modèle communautaire. Je pense que la présence d'un éditeur joue beaucoup, surtout s'il sait s'appuier sur une communauté active. Une question me vient d'ailleurs : y a-t-il eu des tandems forts éditeur / communauté dans le monde BSD comme il y en a entre les éditeurs Linux et la communauté ?
> Linux est aujourd'hui plus « grand public »
Il y a en effet cette idée de Linus Torvald qu'un OS est universel (tout usage) ou n'est pas. Y a-t-il eu des orientations différentes à ce niveau entre Linux et *BSD ? Ca pourrait expliquer l'évolution des projets. Ceci dit, il semblerait qu'un FreeBSD puisse aussi être utilisé comme Desktop. Donc, objectivement, y a-t-il une réelle différence à ce niveau ?
Je me réponds à moi-même : puisqu'il semblerait que le licence soit et reste bien la GPL, il semblerait que le débat porte plutôt à ce niveau sur la vente de certains produits et services dérivés comme le Nuke Club ou le Nuke Max en France.
Effectivement, le fork de PostNuke notamment est arrivé assez vite (courant 2001, si je me rapelle bien, je n'ai pas encore fait de chronologie).
Mais rien n'empêchait de recoder le logiciel en restant dans le projet PHPNuke. Réécriture du code ne signifie pas fork. Donc, si FB avait fait preuve de plus d'esprit de collaboration, je ne suis pas sûr que la mauvaise qualité du code aurait posé tant de problèmes et qu'il y aurait eu tant de forks. Les contribution de la communauté y aurait progressivement remédié. Par contre, il est peut être vrai que le document n'attire pas assez l'attention sur la problématique de la qualité du code, qui a éveillé de vives critiques, notamment ici sur DLFP.
> info sur l'auteur de PHP Nuke
Certaines sources (dont PHPNuke.Org) disent qu'il a été employé par Mandrake, d'autres disent qu'il a été financé, etc. Je ne suis donc toujours pas sûr, même s'il semblerait que le réponse soit oui (il a été employé).
> exemple concret de conflit
C'est en effet une bonne idée. Je connais le cas du Nuke Club et du projet de passage en licence proprio. Mais je n'ai pas d'exemple pour les modules. Et j'ai loupé un épisode avec la licence.
> pas de liens
Voui. Je l'ai écris de chez moi, sans accès Internet (donc, retaper les URL est long et générateur d'erreurs). Mais en écrivant le titre dans Google, on retombe vite sur la source.
Publication = article scientifique, de presse, sur Internet via un magazine en ligne ou Sourceforge, etc
L'idée de déposer des brevets défensifs avait notamment été développée par JP Smets en 1998/1999. De mémoire, c'était lors des Linux Days de Mons, Belgique. Côté financement, ça pourrait être réalisé dans un cadre associatif. A quand le portefeuille de brevets libre :-). Je rigole, mais c'est qd même un peu dommage d'en arriver là...
> L'abandon d'IE Mac n'est pas lié à Safari je pense...
J'avais retrouvé dans un article ou un fil de discussion un gars qui disait que MSIE sous Mac avait été éjecté du marché en plus ou moins un an suite à l'arrivée d'alternatives crédibles sous Mac. Safari était cité parmi les éléments décisifs.
Il faut voir comment le brevet est écrit. En effet, le brevet accorde un monopole d'exploitation mais il oblige aussi de rendre publique l'invention ! Donc, le brevet permet aussi le contournement de l'invention. C'est pour cela que, *en théorie*, le brevet est censé stimuler l'innovation : il accorde une rente mais permet le contournement. D'ailleurs, un brevet est contourné en moyenne en 4 ans !
Pourquoi dis-je cela ? Dans le pire des cas, je pense que rien n'empêchera Mozilla de définir un plug-in qui n'en est pas vraiment un, qui fera le même chose que le plug-in et qui contournera le brevet. C'est du temps perdu, bien sûr, mais le brevet permet souvent ce contournement.
Par contre, vu que le brevet ne peut être déposé que pour des choses qui ne sont pas dans l'état actuel de la technique, la publication de documentations techniques et de logiciels libres va faciliter la contestation des brevets (antériorité).
[^] # Re: Douze modèles économiques pour le logiciel libre (diaporama)
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Douze modèles économiques pour le logiciel libre (diaporama). Évalué à 1.
[^] # Re: Douze modèles économiques pour le logiciel libre (diaporama)
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Douze modèles économiques pour le logiciel libre (diaporama). Évalué à 1.
[^] # Re: Douze modèles économiques pour le logiciel libre (diaporama)
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Douze modèles économiques pour le logiciel libre (diaporama). Évalué à 1.
Si qqn a un truc pour résoudre le problème, je suis preneur car je sèche un peu sur ce coup-là.
[^] # Re: Sommes-nous dans la matrice ?
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sommes-nous dans la matrice ?. Évalué à 3.
Maintenant, si c'est bien fait et compte tenu de la notoriété de Matrix, ça peut marcher. Le principe de l'enquête continue à pas mal fonctionner (voir la campagne de lancement de la Mini par BMW).
Ceci étant dit, je suis assez d'accord avec ta vision des choses :-) !
# Re: Sommes-nous dans la matrice ?
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sommes-nous dans la matrice ?. Évalué à 3.
Pour ceux que ça intéresse, voir ici par exemple : http://www.lexpansion.com/EMR/1448.34.57704.html(...) . Le cas de BWP y est développé.
[^] # Re: Comment exploiter brevets et marques ? (première partie)
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Comment exploiter brevets et marques ? (première partie). Évalué à 1.
Il n'y a donc pas de ma part de réflexion sur le fait que ça dure plus ou moins longtemps. Je mets en privé ce qui est moins intéressant (déjà traité sur LinuxFr, incomplet, sujet personnel, etc).
# Re: Le gouvernement britannique teste Linux avec IBM
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le gouvernement britannique teste Linux avec IBM. Évalué à 5.
Arafox a ainsi lancé le projet CheckDocSQL (ex-Ministère de la Fonction Publique). Arafox projette aussi d'entamer le co-développement du logiciel de gestion communale d'AGD, une société qui a fait faillite et dont les sources du logiciel ont été rachetée par la Région Wallonne.
Il y a donc de belles initiatives qui se développent et qui laisse espérer une meilleure valorisation des ressources humaines et financières des institutions publiques.
Je ne sais pas s'il faut être pessimistes à propos de la situation française, car des news font régulièrement état de marques d'intérêt et de l'adoption de solutions libres par des ministères ( http://linuxfr.org/2003/04/11/12053.html(...) ; http://linuxfr.org/2003/09/10/13888.html(...) ), des communes ( http://linuxfr.org/2003/06/23/12989.html(...) ), des services publics, etc. La France n'a pas encore son Munich, mais ça viendra sans doute :-).
[^] # Re: Sécurité et facilité de mise à jour
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Sécurité et facilité de mise à jour. Évalué à 1.
Ce que j'ai compris concernant Debian, c'est qu'un parc de clients (ou une machine isolée) sous Debian peut se connecter sur un serveur Debian en vue de faire une comparaison entre la configuration courante du PC et les derniers paquets stables proposés par Debian. Ensuite, une synchronisation s'opère, de sorte que le PC est toujours up-to-date côté logiciel. S'il s'agit d'un parc de PC, la connection pour se synchroniser peut se faire via le serveur de l'entreprise. La personne parlait de plusieurs mises à jour journalière sur son PC, de manière totalement transparente pour lui.
URPMI n'exige-t-il pas une intervention manuelle de l'utilisateur ?
[^] # Re: Rapides statistiques...
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Marques et ouverture du code. Évalué à 1.
RV.
[^] # Re: Les salariés de Microsoft comme bêta testeurs, ou comment Microsoft tire des leçons du modèle Open Source
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Les salariés de Microsoft comme bêta testeurs, ou comment Microsoft tire des leçons du modèle Open Source. Évalué à 1.
"Si l'on admet" (a-t-on une idée via FLOSS ou autre de la répartition des contributions ?) que les contributions dans le domaine du logiciel libre obéissent à la règle du 80/20 (20% des contributeurs apportent 80% des contributions), le fait de capter l'énergie d'une minorité de contributeurs et de les lier à des clauses contractuelles dures (ex : le Shared Source) peut conduire à un apport extérieur à l'entreprise important sans une ouverture de totale (impératif pour MS de protection de la PI !).
Je ne suis pas ici en train de lancer un débat Pour ou Contre le Shared Source (Par ailleurs, je suis d'accord que d'autres facteurs devraient être pris en compte : motivation et créativité favorisées par la liberté, indépendance du client, etc.), mais de réfléchir à son efficacité _pour l'entreprise éditrice_ (les clients, eux, restent fortement liés à Microsoft).
[^] # Re: Les salariés de Microsoft comme bêta testeurs, ou comment Microsoft tire des leçons du modèle Open Source
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Les salariés de Microsoft comme bêta testeurs, ou comment Microsoft tire des leçons du modèle Open Source. Évalué à 2.
Je n'en parle pas, mais le logiciel une fois suffisamment avancé est en outre diffusé auprès de clients testeurs, qui à ma connaissance paient parfois pour cela ! En fait, il y a une réfexion sur le type de public vers lequel on "ouvre l'application" (à défaut du code : voir quand même le très restrictif Shared Source), que l'on ne retrouve pas (ou rarement) dans le monde Open Source. Le choix du contributeurs, pour tout projet de co-création (projet de logiciel libre ou tout autre projet), est néanmoins un problème central, pour la qualité des contributions notamment, leur cohérence, etc.
Et quand tu dis que le process du peer review est plus faible côté utilisateurs, il y a matière à discussion. Car si côté quantitatif, MS est clairement perdant, d'un point de vue qualitatif, il est plus difficile de trancher. Surtout, ça dépendra d'un produit à un autre. Apache, Mozilla ou Linux bénéficient très probablement d'une excellente qualité de peer review, car ce sont des gros projets, très bien structurés et soutenus. Pour d'autres plus modestes, il y a clairement matière à débat.
Pour en revenir à ce que je disais plus haut, je serais curieux de connaître les retombées du Shared Source, avec les clients privilégiés possédant les programmes les plus "avantageux". En particulier, si l'on admet que ces clients soient triés sur le volet, quid de la quantité / _qualité_ des apports des ces clients à Microsoft ?
[^] # Re: Le projet GNU, *BSD et Linux
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Le projet GNU, *BSD et Linux. Évalué à 1.
Oui, mais ces entrepreneurs sont aussi apparus car Linux remportait un certain succès :).
Aux premiers jours du système Linux (1993), nous étions une petite société de distribution de logiciels. Nous proposions à bas prix des applications, des livres, et des CD-ROM Unix de vendeurs comme Walnut Creek et Infomagic. En plus de leur offre classique Unix, ceux-ci commencèrent à fournir une nouvelle ligne de produits : des CD-ROM Linux. Ils devinrent nos meilleures ventes. (Tribune Libre)
Il est clair que la présence d'entrepreneurs a joué, surtout pour aussurer le développement sur le long terme, mais il semble qu'il y ait eu autre chose qui a provoqué le déclic initial.
[^] # Re: Le projet GNU, *BSD et Linux
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Le projet GNU, *BSD et Linux. Évalué à 2.
Pour ceux que ça intéresse, voir http://www.oreilly.fr/divers/tribune-libre/fr-x489.html(...) .
[^] # Re: Le projet GNU, *BSD et Linux
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Le projet GNU, *BSD et Linux. Évalué à 1.
[^] # Re: Le projet GNU, *BSD et Linux
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Le projet GNU, *BSD et Linux. Évalué à 2.
De ce côté, il y a Microsoft qui a pu pousser commercialement ses produits. Par contre, les *BSD et Linux étaient globalement à égalité, puisque basés sur un modèle communautaire. Je pense que la présence d'un éditeur joue beaucoup, surtout s'il sait s'appuier sur une communauté active. Une question me vient d'ailleurs : y a-t-il eu des tandems forts éditeur / communauté dans le monde BSD comme il y en a entre les éditeurs Linux et la communauté ?
> Linux est aujourd'hui plus « grand public »
Il y a en effet cette idée de Linus Torvald qu'un OS est universel (tout usage) ou n'est pas. Y a-t-il eu des orientations différentes à ce niveau entre Linux et *BSD ? Ca pourrait expliquer l'évolution des projets. Ceci dit, il semblerait qu'un FreeBSD puisse aussi être utilisé comme Desktop. Donc, objectivement, y a-t-il une réelle différence à ce niveau ?
[^] # Re: PHP Nuke et ses forks
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal PHP Nuke et ses forks. Évalué à 1.
Je vois juste ou pas ?
[^] # Re: PHP Nuke et ses forks
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal PHP Nuke et ses forks. Évalué à 1.
[^] # Re: PHP Nuke et ses forks
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal PHP Nuke et ses forks. Évalué à 2.
Mais rien n'empêchait de recoder le logiciel en restant dans le projet PHPNuke. Réécriture du code ne signifie pas fork. Donc, si FB avait fait preuve de plus d'esprit de collaboration, je ne suis pas sûr que la mauvaise qualité du code aurait posé tant de problèmes et qu'il y aurait eu tant de forks. Les contribution de la communauté y aurait progressivement remédié. Par contre, il est peut être vrai que le document n'attire pas assez l'attention sur la problématique de la qualité du code, qui a éveillé de vives critiques, notamment ici sur DLFP.
[^] # Re: PHP Nuke et ses forks
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal PHP Nuke et ses forks. Évalué à 1.
[^] # Re: PHP Nuke et ses forks
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal PHP Nuke et ses forks. Évalué à 1.
Certaines sources (dont PHPNuke.Org) disent qu'il a été employé par Mandrake, d'autres disent qu'il a été financé, etc. Je ne suis donc toujours pas sûr, même s'il semblerait que le réponse soit oui (il a été employé).
> exemple concret de conflit
C'est en effet une bonne idée. Je connais le cas du Nuke Club et du projet de passage en licence proprio. Mais je n'ai pas d'exemple pour les modules. Et j'ai loupé un épisode avec la licence.
> pas de liens
Voui. Je l'ai écris de chez moi, sans accès Internet (donc, retaper les URL est long et générateur d'erreurs). Mais en écrivant le titre dans Google, on retombe vite sur la source.
[^] # Re: Interview Havoc Pennington
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Interview Havoc Pennington. Évalué à 1.
L'idée de déposer des brevets défensifs avait notamment été développée par JP Smets en 1998/1999. De mémoire, c'était lors des Linux Days de Mons, Belgique. Côté financement, ça pourrait être réalisé dans un cadre associatif. A quand le portefeuille de brevets libre :-). Je rigole, mais c'est qd même un peu dommage d'en arriver là...
[^] # Re: Horizon dégagé pour Mozilla ?
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Horizon dégagé pour Mozilla ?. Évalué à 1.
J'avais retrouvé dans un article ou un fil de discussion un gars qui disait que MSIE sous Mac avait été éjecté du marché en plus ou moins un an suite à l'arrivée d'alternatives crédibles sous Mac. Safari était cité parmi les éléments décisifs.
[^] # Re: Le SPAM le plus ridicule de l'année !
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse au journal Le SPAM le plus ridicule de l'année !. Évalué à 1.
[^] # Re: Microsoft condamné pour utilisation de techniques brevetées dans Internet Explorer
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse à la dépêche Microsoft condamné pour utilisation de techniques brevetées dans Internet Explorer. Évalué à 2.
Pourquoi dis-je cela ? Dans le pire des cas, je pense que rien n'empêchera Mozilla de définir un plug-in qui n'en est pas vraiment un, qui fera le même chose que le plug-in et qui contournera le brevet. C'est du temps perdu, bien sûr, mais le brevet permet souvent ce contournement.
[^] # Re: Microsoft condamné pour utilisation de techniques brevetées dans Internet Explorer
Posté par Robert VISEUR (site web personnel) . En réponse à la dépêche Microsoft condamné pour utilisation de techniques brevetées dans Internet Explorer. Évalué à 1.