Enzo Bricolo 🛠⚙🛠 a Ă©crit 1210 commentaires

  • [^] # Re: Conclusion

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal Ta Fedora sera signĂ©e par Microsoft. Évalué à 3.

    "si Windows n'est pas un produit, c'est quoi ?"

    D. Un cancer (atteinte du point Ballmer, "The way the license is written …")

  • # Too much information

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal OpenSUSE 12.2 BĂ©ta 1 "Mantis". Évalué à 2.

    ArrĂȘtez, j'ai pas encore rĂ©ussi Ă  FTPer mageia …

  • # Et ton avis sur l'UTF-8 ?

    Posté par  . En rĂ©ponse Ă  la dĂ©pĂȘche PrĂ©sentations concernant le site LinuxFr.org. Évalué à 3.

    A. ՍтfՑ ЯՕЄОЯ
    B. utf-8 puxore
    C. UTF-8 ŃŃ‚ĐžĐ»ŃŒĐœŃ‹Đč
    D.  ?

  • [^] # Re: ProtĂ©ger des personnes d'elles-mĂȘme

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal En Inde, un calvaire oppose catholiques et scientistes. Évalué à 3.

    C'est pour ça qu'ils pensent à exporter le concept comme le Louvre ou Beaubourg, mais ce n'est pas facile de trouver des Bernadettes de nos jours.

  • # Nimage alternative

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal Allez-vous demander Ă  vos visiteurs d'accepter vos cookies ?. Évalué à -2.

    J'aurai plutĂŽt mis celle-lĂ 

  • [^] # Re: Je retourne au colab

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal vous savez pas quoi faire ce soir ?. Évalué à 1.

    Un "tel projet" n'a pas besoin de moi. J'aime bien bricoler, et je pensais tester une install dans une VM. Quand je clique sur un lien FTP, qui est un protocole connu (bien que connaissant des variantes), je reçois une erreur de type 601, "inconnue" au bataillon. C'est une information. LinuxFR est plein de barbus qui peuvent commenter cette information et faire avancer le schmilblick. Je peux aussi cliquer, constater l'erreur et ne rien signaler.

  • # Avec les bookmarks

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal HS : "Sur la route" de Walter Salles. Évalué à 1.

    J'ai un peu oublié les bookmarks, ce qui est ballot.

    Donc le film est tirĂ© du roman "Sur la route", et vous pouvez voir la bande annonce ici, et mĂȘme lire quelques critiques.

  • [^] # Re: Ce dont on peut ĂȘtre sĂ»r ...

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal Qui par ici est anti-conspirationniste. Évalué à 3.

    "Nous voulons juste pouvoir ĂȘtre pris au sĂ©rieux, mĂȘme si ce qu'on avance parfois semble vraiment risible."

    Le "systÚme de systÚme" possÚde son propre équilibre et sa propre dynamique. En posant les "mauvaises questions", en proposant des "hypothÚses farfelues", on crée un fort différentiel qui déclenche une forte rétroaction pour retourner rapidement à l'équilibre.

    La meilleure façon d'attaquer ce type de sujet, c'est de prendre un biais comme la fiction "Matrix", l'uchronie "Le Maßtre du Haut Chùteau", la farce "Idiocracy" ou l'ironie. Le journal au ton trÚs direct sur linuxfr a peu de chance de faire mouche.

    J'ai eu l'occasion de lire de bout en bout ce rapport. 99% des gens qui ont un avis définitif sur le sujet n'ont pas fait cet effort. C'est dommage.

    "If you want a vision of the future, imagine a boot stamping on a human face - forever."
    George Orwell

  • [^] # Re: Je retourne au colab

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal vous savez pas quoi faire ce soir ?. Évalué à 2.

    Quand bien mĂȘme il ne serait pas Ă  jour, c'est pas une raison pour renvoyer cette erreur.

  • # Je retourne au colab

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal vous savez pas quoi faire ce soir ?. Évalué à 4.

    "Erreur 601 (net::ERR_FTP_FAILED) : Erreur inconnue"

  • # Moultipass (et il manque LinkedIn)

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal petite analyse des rĂ©seaux sociaux. Évalué à 1.

    Linuxfr pour le libre et la tribune, Facebook pour la famille, Twitter pour l'actu, G+ pour les geekos et "Angry Birds", et LinkedIn pour le professionnel. On construit son propre "réseau social" à partir d'un mix de tout ça en utilisant une interface web fédératrice genre seesmic (ou un client genre gocoincoin), en prenant les "meilleurs éléments" de chaque plateforme (un peu comme la "femme de voyage").

  • [^] # Re: Über pertinent

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal Retour d'expĂ©rience sur Go. Évalué à 2.

    Et les totoz en 3d aussi ?

  • [^] # Re: phone clavier et android

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal Quel smartphone pour aller Ă  la boulangerie ?. Évalué à 1.

    J'ai testé le chacha2000, qui pilote parfaitement la MAP.

  • # Über pertinent

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal Retour d'expĂ©rience sur Go. Évalué à 4.

    J'en parlais ce matin avec le concierge de la tribune. Le Duck typing est particuliÚrement adapté au développement de gocoincoin.

  • # Do the math

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal Quel smartphone pour aller Ă  la boulangerie ?. Évalué à 1.

    Iphone 4 : 300€
    MAP panasonic qui va bien : 150 €

    Tu peux Ă©conomiser 150 €

  • [^] # Re: Calcul correct ?

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal Yo, ca gaze ?. Évalué à 4.

    Les calculs sont douloureux

  • [^] # Re: Pas trĂšs intĂ©ressant comme info

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal Le crash du Sukhoi en IndonĂ©sie. Évalué à 2.

    Je ne connaissais pas, c'est trÚs intéressant ce cursus !
    La question porte plus sur la reconnaissance du titre, plutÎt que sur la qualité de la formation. Toute personne ayant déjà été confrontée à un "chargé de recrutement" ne trouvant pas l'école dans une liste ("l'ENSERB n'existe plus !") ou dont le nom de famille est un prénom saura de quoi je parle.
    Sinon, le "master en ingénierie" est-il "mieux" que le "master en science" pour se faire embaucher ?

  • [^] # Re: Pas trĂšs intĂ©ressant comme info

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal Le crash du Sukhoi en IndonĂ©sie. Évalué à 3.

    Y'a le DPE, et on dit "ingĂ©nieur diplomĂ© d'Ă©tat". Pour la fonction, on utilise le terme d'"ingĂ©nieur d'Ă©tudes". Cette possible confusion en arrange certains et c'est dommage. AprĂšs on entend dire qu'il faut 3 ans aprĂšs le BAC pour ĂȘtre ingĂ©nieur informaticien ou mĂȘme architecte.
    Ceci dit, le diplĂŽme n'est pas une garantie de compĂ©tence et je connais des BTS/IUT et mĂȘme des autodidactes avec un niveau technique largement supĂ©rieur Ă  des ingĂ©nieurs diplomĂ©s.

  • [^] # Re: MĂȘme pas lu

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal Middleware <> "In the middle of nowhere". Évalué à 1.

    Bravo, tu as tout à fait raison, Gartner ne dit que des conneries, d'ailleurs c'était bien le sujet du journal : "Est ce que le Gartner est une source d'analyses pertinentes et de conseils avisés ?".
    Quand je vois que ce journal a un score négatif, que le commentaire de baud123 atteint péniblement le score de "3" et que celui ci est à "10", je me dis que "linuxfr, c'était mieux avant". C'est certainement "triste mon avis sur linuxfr", et ça "manque de joli nimage", ça manque surtout de pertinence.

  • # “Le subjectif dĂ©mocratique”

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal Vote de Valeur : and the winner is.... Évalué à 2.

    “Le subjectif dĂ©mocratique”

    Le 22 avril 2012 ne peut pas, ne doit pas ressembler au 22 avril 2007. Pour lĂ©gitime que soit l'aspiration Ă  la bipolaritĂ©, au verrouillage du systĂšme politique, que reflĂšte la multiplicitĂ© des candidatures bidons (Boutin, Morin, Villepin, Cheminade, Arthaud, etc. ) au premier tour de l'Ă©lection prĂ©sidentielle, celle-ci doit s'effacer devant un impĂ©ratif dĂ©mocratique : Ă©viter la dĂ©sillusion et la colĂšre qui naĂźtraient Ă  nouveau d'un dĂ©bat faussĂ©, amputĂ©. Il est important que notre "cher et vieux pays" puisse, au second tour, dire clairement oĂč il veut aller ; et se prononce sur une certaine idĂ©e de notre avenir, de notre vivre ensemble. Il faut donc, au soir du premier tour, que soient rĂ©unies les conditions d'une claire et grande confrontation entre de VRAIS projets de sociĂ©tĂ©.

    De ce point de vue, il y a dans l'offre politique disponible plusieurs options crédibles à part
    celle de Nicolas Sarkozy, se rĂ©clamant de la droite et de la majoritĂ© sortante, qui semble dĂ©jĂ  sĂ»re de se faire battre et cherche Ă  draguer sur sa droite. Celle se rĂ©clamant du centre gauche et qu'incarne François Hollande doit ĂȘtre prĂ©sente au second tour pour assurer les chances d'un vrai choix. Il ne sera plus temps, aprĂšs le premier tour, de s”interroger sur les enjeux de la sociĂ©tĂ© française et de la place du pays dans le monde.

    Au tout dĂ©but de cette Ă©lection figurait en bonne place une aspiration tout aussi puissante que celle de ne pas revivre un 21 avril : celle d'un retour Ă  l’harmonie, espĂ©rĂ© Ă  travers une sanction bien mĂ©ritĂ©e. Parmi les trois candidats qui pourraient entrer Ă  l'ElysĂ©e, en effet, deux sont pour la premiĂšre fois plutĂŽt au centre (François Bayrou et François Hollande), la troisiĂšme (Marine Le Pen) n’a aucune chance au 2e tour (une forme d'union nationale la ferait perdre au second tour quoiqu’il arrive).
    Les deux François sont pas trop vieux et proclament leur volontĂ© d’apaisement. Chacun promet donc de ne pas bousculer les habitudes françaises et de rompre avec les tabous des marchĂ©s. A ce stade, cette forme de renouvellement, si elle a ramenĂ© l'intĂ©rĂȘt du pays vers la chose publique, n'a pas donnĂ© pleine satisfaction. L'un des grands paradoxes de la campagne pour le premier tour de scrutin est en effet que celle-ci porte la marque d'une forte attente, mais aussi d'une rĂ©elle indĂ©cision, largement provoquĂ©e par une dĂ©ception palpable de la classe politique en gĂ©nĂ©ral et la volontĂ© de faire passer un message.

    A l'origine de celle-ci se trouve vraisemblablement l'impression donnĂ©e par M. Hollande et M. Sarkozy d'une oscillation permanente, liĂ©e Ă  leur souci tactique de se disputer chaque thĂšme (les petits drapeaux de l'une rĂ©pondant aux proclamations de l'autre sur la crise d'identitĂ©, par exemple) et surtout Ă  leur commune obsession de coller Ă  l'opinion du moment. M. Bayrou prĂȘte peu le flanc Ă  une telle critique du fait d'une campagne axĂ©e principalement sur l'idĂ©e d'une recomposition politique, que ne permettaient pas les institutions actuelles, et qui revient de sa part Ă  spĂ©culer sur un enchaĂźnement miraculeux qui consisteraient Ă  ce que les Ă©lecteurs lisent les programmes.

    Nous eĂ»mes donc les allers-retours de Nicolas Sarkozy, se proclamant libĂ©ral avant de redevenir classiquement colbertiste. A moins que, comme le disent les Britanniques, il ne soit libĂ©ral quand les affaires marchent, protectionniste quand l'Etat est impuissant et les sondages en berne, voire dĂ©magogique et omniprĂ©sent dans la derniĂšre ligne droite. François Hollande quant Ă  lui, nous conduisait Ă  ne plus trop prĂȘter attention Ă  ses premiĂšres annonces liĂ©es au pacte avec EELV, pour attendre l'inĂ©vitable correction de tir qui ne manquerait pas de suivre quand il faudrait aller chercher des voix au centre. L'un et l'autre ont eu, en quelque sorte, une attitude de journaliste plus que de candidat. Ils ont fait campagne en cherchant Ă  rebondir sur des actualitĂ©s et des Ă©motions successives, leurs prioritĂ©s respectives Ă©tant finalement gommĂ©es Ă  force de sauter d'un sujet Ă  l'autre.

    Non que les grands sujets aient Ă©tĂ© oubliĂ©s : le chĂŽmage, le pouvoir d'achat, l'Ă©cole, la protection sociale, la sĂ©curitĂ© ont tour Ă  tour tenu la vedette. Mais chacun de ces thĂšmes a fait l'objet de propositions parcellaires. En cela, cette premiĂšre partie de campagne a illustrĂ© la grande difficultĂ© des dĂ©mocraties modernes : celle de la construction d'une unitĂ© sociale et politique Ă  partir de l'Ă©mancipation et de la sĂ©paration des individus. Il est donc indispensable qu'entre les deux tours chacun soit Ă  mĂȘme de ramasser et d'organiser ses propositions, au nom de l'indispensable recherche d'une nouvelle dynamique et de la relance d'une perspective de progrĂšs Ă©conomique et social qui fasse toute leur place aux diffĂ©rentes composantes de la sociĂ©tĂ©.

    D'ici lĂ , ayons Ă  l'esprit que si le rapport des forces, dans le pays, semble assez nettement favorable au centre (du moins si l'on se fie aux enquĂȘtes d'opinion), les attentes principales – chĂŽmage, pouvoir d'achat – sont Ă  gauche.

    MalgrĂ© le caractĂšre, Ă  certains Ă©gards, Ă©poustouflant de la percĂ©e de François Bayrou en 2007, sa prĂ©sence s'analysait aussi comme du au choix classique d'une candidate moins au centre qu’un DSK, qui a pour effet mĂ©canique, l’UMP cherchant le vote Le Pen, de laisser de l’espace au centre. L'audience du candidat "centriste" n'est pas allĂ©e au-delĂ  en 2007 que parce qu'il y a une connivence pour dĂ©zinguer le trublion.

    Depuis François Hollande a du laisser l’aile gauche Ă  MĂ©lenchon et devra donc s'assumer telle qu'il est en rĂ©alitĂ©, c'est-Ă -dire au centre gauche, Ă  la Strauss Khan. Il a laissĂ© entrevoir cette perspective de façon non dĂ©libĂ©rĂ©e, et certainement pas organisĂ©e. Il devra donc y mettre la tĂ©nacitĂ©, la force de caractĂšre, le courage qui sont les siens pour ĂȘtre crĂ©dible, tenaillĂ© par les Ă©colos d’un cotĂ© et les radicaux de l’autre. Mais en allant sur le terrain du centre, il fait le jeu du prĂ©sident en place, et peut perdre une part de sa lĂ©gitimitĂ©.

    En face, Nicolas Sarkozy a pour lui d'ĂȘtre, de tous les candidats, le mieux Ă©paulé ; Ă  ce stade le plus "crĂ©dible", selon les canons classiques du prĂ©sidentiable dont les soutiens tiennent les medias. Mais Ă  moultes reprises, durant son septennat, M. Sarkozy a franchi une ligne jaune, se plaçant en contradiction avec les valeurs qu'il affirme dĂ©fendre quand il revendique aussi Camus, Blum et JaurĂšs et beaucoup d’autres. Le ministĂšre de l'identitĂ© nationale et de l'immigration renvoie immanquablement Ă  des moments sombres de l'Histoire. Comme l'explique fort bien l'historien GĂ©rard Noiriel, "lorsque l'Etat se mĂȘle d'identitĂ©, cela donne des rĂ©sultats terrifiants, incompatibles avec la dĂ©mocratie". AttaquĂ© de maniĂšre scandaleuse par Le Pen en raison de ses origines immigrĂ©es – qu'il revendique haut et fort, ce qui est tout Ă  son honneur –, M. Sarkozy ne devait pas s'aventurer aussi loin sur les terres idĂ©ologiques du Front national.

    De la mĂȘme maniĂšre, le trollomĂštre vire au rouge quand GuĂ©ant lance ses tirades sur les civilisations qui ne se “valent pas” (On dirait une pub pour L’OrĂ©al) ? Sur quelles Ă©tudes rĂ©ellement fiables sa conviction que en travaillant plus pour gagner moins, on va relancer la machine. De deux choses l'une : soit Nicolas Sarkozy est ignorant en ces matiĂšres fondamentales, et il aurait mieux fait de s'abstenir dans ce difficile dĂ©bat sur la thĂ©orie des systĂšmes complexes; soit il est persuadĂ© du bien-fondĂ© de ce qu'il dit, et il y a lieu de s'inquiĂ©ter de son engouement pour des thĂšses condamnables. En ces deux moments donc, M. Sarkozy, tout Ă  son souhait de "fixer" sur son nom des Ă©lecteurs de Jean-Marie Le Pen et les vieux qu iont peur du dĂ©classement, a travesti sa nature de rĂ©publicain sincĂšre. C'est du moins ce que l'on voudrait croire.

    Dans notre systĂšme institutionnel, renforcĂ© par les bidouilles du calendrier (les lĂ©gislatives suivant obligatoirement la prĂ©sidentielle), les magouilles dans l’organisation de la vie parlementaire, la bataille pour l'ElysĂ©e est la mĂšre de toutes les batailles. L'attente du pays se concentre donc sur cette Ă©chĂ©ance, comme sur les personnalitĂ©s susceptibles de l'emporter. Cette attente est d'autant plus forte qu'aucune des lourdes interrogations qui taraudent la sociĂ©tĂ© française (le dĂ©bat sur l'"immobilisme", la force de la demande de changement dans une sociĂ©tĂ© qui craint de perdre ses acquis, la lancinante question de l'identitĂ©, l'Ă©tat de la mĂ©ritocratie Ă  la française et la panne de l'ascenseur social, pour n'en citer que quelques-unes) n'a trouvĂ© Ă  ce jour de rĂ©ponse claire. De ce point de vue, le dernier mandat de Nicolas Sarkozy a fonctionnĂ© comme une sorte de parenthĂšse. Si bien que depuis son Ă©lection, en 2002, le pays n'a pas vraiment Ă©tĂ© en mesure de se prononcer clairement, positivement, pour dessiner son avenir.

    Traditionnellement, dans un scrutin prĂ©sidentiel, l'adage veut qu'au premier tour on choisisse et qu'au second on Ă©limine. Cette fois, il faut Ă©liminer au premier tour pour ĂȘtre sĂ»r de pouvoir choisir au second. Il faut amputer avant que la gangrĂšne ne prenne tout le membre. La droite “correcte” doit voter en masse pour François Bayrou au premier tour, ou devra choisir entre une rĂ©Ă©dition des 5 annĂ©es Ă©coulĂ©es ou le franchissement du rubicon.
    En dĂ©pit des confusions qui ont parasitĂ© la campagne, il faut arrĂȘter les conneries. Le seul deuxiĂšme tour qui m’intĂ©resse, c’est François contre François. Tous les autres cas possibles sont jouĂ©s d’avance, mais je suis subjectif, car je suis dĂ©mocrate.

    Enzooo
    Librement remixĂ© de ce modĂšle de pensĂ©e libre et sincĂšre qu’est l’edito de Colombino (circa 2007)
    http://www.lemonde.fr/politique/article/2007/04/19/imperatif-democratique_898338_823448.html

  • [^] # Re: OpĂ©ration prix bas chez Carrouf

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal Combattre la crise pĂ©troliĂšre avec Weboob. Évalué à 1.

    Je ne fais la promotion de personne, j'indique juste, dans le contexte de ce journal, que chez Carrefour, on peut se faire rembourser 2 fois la diffĂ©rence de prix, sous certaines conditions et je donne une raison pour laquelle ils peuvent se battre sur les prix mais visiblement, au vu de la note de mon commentaire, ce n'est pas pertinent. Je me contenterai, la prochaine fois, d'insulter grassement les gens pour finir Ă  +9 comme LiNuCe. Personnellement, je vais plutĂŽt chez Elf car c'est le mĂȘme carburant que Total et il est beaucoup moins cher.

  • [^] # Re: Pour fĂȘter ça ...

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal [ HS ] Dimanche c'est ..... Évalué à 3.

    "ordure" : familier, personne "odieuse", qui excite la haine, l’aversion, la rĂ©probation, l’indignation.

    Je reste respectueux, mais indigné.

  • # A la google

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal Publication de petits projets. Évalué à 1.

    Pour les petits projets, comme gocoincoin
    je vais chez google et je mets en place un google group

  • [^] # Re: OpĂ©ration prix bas chez Carrouf

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal Combattre la crise pĂ©troliĂšre avec Weboob. Évalué à 2.

    Au début, ils voulaient faire à 50 kms à la ronde, mais ils se sont rendus compte que c'était débile.

  • # OpĂ©ration prix bas chez Carrouf

    Posté par  . En rĂ©ponse au journal Combattre la crise pĂ©troliĂšre avec Weboob. Évalué à 0.

    http://lesprixbaslaconfianceenplus.carrefour.fr/carburant/
    et hop, sans weboob !
    pour info, C4 est le 2e opĂ©rateur europĂ©en dans les carburants …