La voiture est homologué par les mines, en France. C'est assez facile de rendre obligatoire un audit des logiciels embarqués, comme pour l'aéronautique, le nucléaire, le ferroviaire…
La non fiabilité légendaire de l'électronique de voiture n'est pas intrinsèque à l'électronique, mais à la voiture! Un composant électronique est toujours plus fiable que la mécanique. D'ailleurs, un des gros problèmes des voitures sont les connecteurs (mécaniques donc), réduire le nombre de câble réduit le nombre de connecteur et donc les pannes potentielles.
Il y a une tendance à la standardisation dans l'industrie. L'idée est d'avoir des calculateurs "standardisés" pour avoir des cots pas cher, et interchangeable.
Cela s'appelle Autosar dans l'automobile, IMA dans l'aéronautique. Cela introduit des façon de décrire des interfaces, des liens, des fonctionnalités. Cela facilite le changement de hardware et le partage de hardware entre application.
J'imagine qu'à terme, ils veulent faire du logiciel comme google dans ses datacenter : le logiciel est très découplé de la machine physique qui l’exécute. Cela permet de résister facilement à toutes pannes hardware.
De mémoire, ce qui change c'est les classes de température, genre -40°C +125°C, par rapport au classique 0°C 60°C de l'électronique grand publique. Cela s'approche des normes militaires.
"Oui, les grands noms du secteur sont presque tout le temps des boites ayant un minimum d'ancienneté. Ça semble logique, non?"
Non, c'est pour ça que j'ai cité google et Facebook. Ils sont devenu énorme en peu de temps.
Je crois que la dernière boite française ayant dépasser les 1000 employés ou 1 G€ de chiffres d'affaire est gemplus, créé dans les années 80. J'imagine que Free, doit aussi rentrer dans cette définition.
Dans le même temps, combien de boite US ?
L'innovation fonctionne mieux dans les petites structures, et celle-ci sont trop fragile pour gérer des interfaces complexes avec le gouvernement ou l'Europe. Pour les aider, il faut leur foutre la paix : genre autoentrepreneur (statut simple efficace). Ils vont sans doute doubler les seuil entre 50 et 100 salariés, qui fait qu'une boite de 100 salariés à les même obligation qu'une multinationale. Le CICE n'est pas si simple que ça, des boites se sont fait complètement redresser par Bercy.
Au Canada, pour les start up, ils ont des crédits d'impôts à 50% ou 75% pour la R&D. C'est un peu l'idée du CICE. D'ailleurs, on pourrait refaire le cout du CNC avec les taxes sur les billets de cinéma, qui fournis un budget de complément. Il pourrait le refaire sur les jeu vidéo : 5% de taxe sur les jeux, pour des crédits d’impôt pour les développements fait en France.
On le fait très bien sur un avion, qui est bien plus complexe qu'une voiture. Donc on peut le faire. D'ailleurs, se passer de mécanique à rendu les avions plus sûr. Si les voitures ont des problèmes, c'est que c'est fait un peu n'importe comment (et qu'en cas de problème, on stop le véhicule, c'est moins simple en avion).
"Je suis presque sûr que les fabricants de satellite seraient atterrés par les pratiques de certains avionneurs."
Pour avoir bosser pour les 2, c'est ce que les fabricants de satellite croit. Ils sont juste à des années lumières de ce qui se fait en médecine, aéronautique, nucléaire, et certaine industrie.
" Alors prévoir un cas d'usure à surveiller, c'est complètement irresponsable!"
Il prévoit un mode survie et un update de firmeware béton…
Si tu veux avoir le droit de faire voler ton avion, tu as intérêt à respecter à la lettre ces normes. Et si tu fous à la poubelle 2 ans de dev avec une équipe de 10 personnes, tu le fait pour recommencer. C'est arrivé plus d'un fois (genre fadec A400M de mémoire).
Et si un jour tu bosses avec un DER de la FAA, tu comprendra comment prendre 18 mois dans un projet, parce que les specs ne lui plaisent pas.
Les normes comme la DO178 demande que l'on prouve que le processus de fabrication du logiciel est clean. Cette norme est dans la même veine, puisque l'on ne peut pas prouver qu'un logiciel est sans bug, on exige que le processus soit parfait, que la doc soit complète et vérifié, et que le test respect certaine exigence (couverture de code minium, couverture de spec, etc…)
"C'est le cas par exemple des entreprises qui visent le marché de masse grand-public (on ne retiendra jamais 12 noms de petits fabricants de téléphone, par contre un seul très gros peut se faire une place à l'international),"
Je ne suis pas d'accord sur ce point. Archos avait reussi dans son temps, avant de baisser en qualité. Wikio commence à se faire un nom. Il existe aussi le fabricants français d'ordinateur de luxe, Cottin. Parrot marche fort. Il existe un tas de start up dans les objets connectés.
Toyota utilise SCADE suite, on peut imaginer que son code sera plus propre.
Sinon, le fait d'avoir un code open source ne change rien. Il faut avoir un code qualifié ou certifié, suivant une norme comme dans l'aéronautique, le nucléaire, l'industrie,…
On retombe quand même toujours dans les même critiques faite par les PME qui n'ont pas de ressource pour gérer un dossier de subvention : ils ne touchent rien et financent indirectement leur concurrent avec leurs impôts. Ces gens là préfère une baisse de charge, c'est plus facile à gérer.
La France à 2 ou 3x fois moins de grosse PME que l'Allemagne ou l'Italie. Par contre, on ne manque pas de champion multinational qui vivent surtout de l'étranger (CAC40).
Airbus, c'est la fusion de l'aérospatial et de Matra. Le TGV, c'est les besoins interne de la SNCF.
France Telecom et Arianne espace sont né comme ça. Mais est-ce qu'à l'époque des Tweeter, Google et Facebook, il est encore nécessaire de démontrer que les mécanos géants ne sont pas la manière la plus efficace pour faire créer des grosses boites.
Cela me rappelles les projets de cloud, fait sans ovh… (mais avec orange et thales…)
Pour la différence entre le 500 et 200€, la différence c'est le volume que représente une grosse somme. Donc, on peut considérer que si le billet de 500 disparait, la fraude serait divisé par 2.
Pour les diamants et autre, la revente rend tout plus compliqué que du cash.
Il semble que le billet de 500€ représente plus de 30% de la somme en cash disponible en euro. Vu que personne ou presque l'utilise au quotidien, il l'est pour des opérations rarement très propre.
D'ailleurs, si on fait disparaitre le billet de 500, le billet de 200 devrait augmenter de taille (ou d'épaisseur) sinon, il servira en substitution.
[^] # Re: debrayage
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 2.
Non, la NASA a juste fait de la vérification (v&v). Il n'y a rien de contraignant.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: debrayage
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 2.
La voiture est homologué par les mines, en France. C'est assez facile de rendre obligatoire un audit des logiciels embarqués, comme pour l'aéronautique, le nucléaire, le ferroviaire…
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Quelles sont les entrées / sorties d'un tel programme ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 2.
La non fiabilité légendaire de l'électronique de voiture n'est pas intrinsèque à l'électronique, mais à la voiture! Un composant électronique est toujours plus fiable que la mécanique. D'ailleurs, un des gros problèmes des voitures sont les connecteurs (mécaniques donc), réduire le nombre de câble réduit le nombre de connecteur et donc les pannes potentielles.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: debrayage
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 2.
Il y a une tendance à la standardisation dans l'industrie. L'idée est d'avoir des calculateurs "standardisés" pour avoir des cots pas cher, et interchangeable.
Cela s'appelle Autosar dans l'automobile, IMA dans l'aéronautique. Cela introduit des façon de décrire des interfaces, des liens, des fonctionnalités. Cela facilite le changement de hardware et le partage de hardware entre application.
J'imagine qu'à terme, ils veulent faire du logiciel comme google dans ses datacenter : le logiciel est très découplé de la machine physique qui l’exécute. Cela permet de résister facilement à toutes pannes hardware.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: debrayage
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 1.
Je veux parler des câbles et des gouvernes, et de la gestion du moteur.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Quelles sont les entrées / sorties d'un tel programme ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 3.
De mémoire, ce qui change c'est les classes de température, genre -40°C +125°C, par rapport au classique 0°C 60°C de l'électronique grand publique. Cela s'approche des normes militaires.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Pas nouveau
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Robovolution, politique économique et copains. Évalué à 0.
"Oui, les grands noms du secteur sont presque tout le temps des boites ayant un minimum d'ancienneté. Ça semble logique, non?"
Non, c'est pour ça que j'ai cité google et Facebook. Ils sont devenu énorme en peu de temps.
Je crois que la dernière boite française ayant dépasser les 1000 employés ou 1 G€ de chiffres d'affaire est gemplus, créé dans les années 80. J'imagine que Free, doit aussi rentrer dans cette définition.
Dans le même temps, combien de boite US ?
L'innovation fonctionne mieux dans les petites structures, et celle-ci sont trop fragile pour gérer des interfaces complexes avec le gouvernement ou l'Europe. Pour les aider, il faut leur foutre la paix : genre autoentrepreneur (statut simple efficace). Ils vont sans doute doubler les seuil entre 50 et 100 salariés, qui fait qu'une boite de 100 salariés à les même obligation qu'une multinationale. Le CICE n'est pas si simple que ça, des boites se sont fait complètement redresser par Bercy.
Au Canada, pour les start up, ils ont des crédits d'impôts à 50% ou 75% pour la R&D. C'est un peu l'idée du CICE. D'ailleurs, on pourrait refaire le cout du CNC avec les taxes sur les billets de cinéma, qui fournis un budget de complément. Il pourrait le refaire sur les jeu vidéo : 5% de taxe sur les jeux, pour des crédits d’impôt pour les développements fait en France.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: debrayage
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 2.
On le fait très bien sur un avion, qui est bien plus complexe qu'une voiture. Donc on peut le faire. D'ailleurs, se passer de mécanique à rendu les avions plus sûr. Si les voitures ont des problèmes, c'est que c'est fait un peu n'importe comment (et qu'en cas de problème, on stop le véhicule, c'est moins simple en avion).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Preuve du code pour éviter ces âneries
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 1.
L'iso 26262 est dans la même veine que la DO178. Cela va donc changer.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Preuve du code pour éviter ces âneries
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 4.
En effet, mais leur code ne touche jamais un avion commercial.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Quelles sont les entrées / sorties d'un tel programme ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 4.
"Je suis presque sûr que les fabricants de satellite seraient atterrés par les pratiques de certains avionneurs."
Pour avoir bosser pour les 2, c'est ce que les fabricants de satellite croit. Ils sont juste à des années lumières de ce qui se fait en médecine, aéronautique, nucléaire, et certaine industrie.
" Alors prévoir un cas d'usure à surveiller, c'est complètement irresponsable!"
Il prévoit un mode survie et un update de firmeware béton…
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: OS pour bagnoles
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 4.
C'est pour la parti non sécuritaire. QNX est l'OS de blackberry maintenant. (bel OS d'ailleurs, un joli unix temp réel solide)
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Preuve du code pour éviter ces âneries
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 1.
Juste mort de rire.
Si tu veux avoir le droit de faire voler ton avion, tu as intérêt à respecter à la lettre ces normes. Et si tu fous à la poubelle 2 ans de dev avec une équipe de 10 personnes, tu le fait pour recommencer. C'est arrivé plus d'un fois (genre fadec A400M de mémoire).
Et si un jour tu bosses avec un DER de la FAA, tu comprendra comment prendre 18 mois dans un projet, parce que les specs ne lui plaisent pas.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Pas nouveau
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Robovolution, politique économique et copains. Évalué à 1.
Airbus existe depuis 30 ans ? FT ? Google 15 ans ? Facebook 10 ans ? Twitter 5 ans ?
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Preuve du code pour éviter ces âneries
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 2.
Les normes comme la DO178 demande que l'on prouve que le processus de fabrication du logiciel est clean. Cette norme est dans la même veine, puisque l'on ne peut pas prouver qu'un logiciel est sans bug, on exige que le processus soit parfait, que la doc soit complète et vérifié, et que le test respect certaine exigence (couverture de code minium, couverture de spec, etc…)
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Pas nouveau
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Robovolution, politique économique et copains. Évalué à 2.
"C'est le cas par exemple des entreprises qui visent le marché de masse grand-public (on ne retiendra jamais 12 noms de petits fabricants de téléphone, par contre un seul très gros peut se faire une place à l'international),"
Je ne suis pas d'accord sur ce point. Archos avait reussi dans son temps, avant de baisser en qualité. Wikio commence à se faire un nom. Il existe aussi le fabricants français d'ordinateur de luxe, Cottin. Parrot marche fort. Il existe un tas de start up dans les objets connectés.
Chacune peut se faire un nom.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Quelles sont les entrées / sorties d'un tel programme ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 5.
Les freins peuvent être relaché par l'ABS, et si il y a un "cruise control", l'accélération est forcément géré en logiciel.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Et maintenant?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 1.
La NASA n'est pas un organisme de certification. Il aurait eu affaire avec la FAA, cela aurait été autre chose.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Preuve du code pour éviter ces âneries
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 2.
La norme https://fr.wikipedia.org/wiki/ISO_26262 est toute neuve, cela arrive doucement.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Et maintenant?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 3.
D'après :
http://www.ansys.com/staticassets/ANSYS/Conference-2013/Static%20Assets/Esterel%20&%20System%20Overview%20for%20Auto%20Conference%20-%20FINAL.pdf
Toyota utilise SCADE suite, on peut imaginer que son code sera plus propre.
Sinon, le fait d'avoir un code open source ne change rien. Il faut avoir un code qualifié ou certifié, suivant une norme comme dans l'aéronautique, le nucléaire, l'industrie,…
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Pas nouveau
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Robovolution, politique économique et copains. Évalué à 6.
On retombe quand même toujours dans les même critiques faite par les PME qui n'ont pas de ressource pour gérer un dossier de subvention : ils ne touchent rien et financent indirectement leur concurrent avec leurs impôts. Ces gens là préfère une baisse de charge, c'est plus facile à gérer.
La France à 2 ou 3x fois moins de grosse PME que l'Allemagne ou l'Italie. Par contre, on ne manque pas de champion multinational qui vivent surtout de l'étranger (CAC40).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: notion de nouvelle
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Robovolution, politique économique et copains. Évalué à 3.
Airbus, c'est la fusion de l'aérospatial et de Matra. Le TGV, c'est les besoins interne de la SNCF.
France Telecom et Arianne espace sont né comme ça. Mais est-ce qu'à l'époque des Tweeter, Google et Facebook, il est encore nécessaire de démontrer que les mécanos géants ne sont pas la manière la plus efficace pour faire créer des grosses boites.
Cela me rappelles les projets de cloud, fait sans ovh… (mais avec orange et thales…)
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: C'est quoi un cluster ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Robovolution, politique économique et copains. Évalué à 4.
C'est la création de ça : http://www.robolutioncapital.com/
Le terme de cluster est donné par l'état. https://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%B4le_de_comp%C3%A9titivit%C3%A9_en_France
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: heu....
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Bitcoin, le début de la fin?. Évalué à 2.
Pour la différence entre le 500 et 200€, la différence c'est le volume que représente une grosse somme. Donc, on peut considérer que si le billet de 500 disparait, la fraude serait divisé par 2.
Pour les diamants et autre, la revente rend tout plus compliqué que du cash.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: heu....
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Bitcoin, le début de la fin?. Évalué à 2.
Il semble que le billet de 500€ représente plus de 30% de la somme en cash disponible en euro. Vu que personne ou presque l'utilise au quotidien, il l'est pour des opérations rarement très propre.
D'ailleurs, si on fait disparaitre le billet de 500, le billet de 200 devrait augmenter de taille (ou d'épaisseur) sinon, il servira en substitution.
"La première sécurité est la liberté"