Obsidian a écrit 5299 commentaires

Bien sûr, d'un strict bilan énergétique, ce n'est pas rentable. Mais quand on produit trop d'électricité à un instant T on en fait quoi ?

On referme les vannes pour éviter d'avoir à aller repomper l'eau qu'on a bêtement laissé couler ?

Vérifie également si ton portable est capable de démarrer par le réseau. C'est une solution à laquelle on ne songe que rarement et qui peut pourtant dépanner bon nombre d'administrateurs système.

En général, le BIOS des portables qui ne sont pas équipés d'un lecteur de CD-ROM en standard propose quand même cette option. Il est possible qu'elle existe même lorsque le portable n'est pas équipé d'un port Ethernet de série (utilisation d'une PCMCIA).

Hmm. Je doute que FreeDOS laisse l'application accéder directement aux ports I/O de ta carte-mère à travers Linux, surtout si c'est pour faire quelque chose d'aussi sensible que flasher ton BIOS ...

À moins que cela soit du second degré ...

Mandrake 7.0, reçu à l'époque (an 2000) sur un CD de PC Expert était la distribution qui m'avait fait la meilleure impression à l'époque. Stable, légère, elle tournait parfaitement sur un Pentium 1 (dont j'ai oublié la cadence) avec 32Mo de mémoire, là ou WinNT ramait avec 128Mo (sur le même modèle).

Je m'amusais à prendre le contrôle des stations W2000 environnantes avec VNC, et tout se passait de manière fluide. Toutes les Mdk qui ont suivi se sont révélées désespérément lourdes et instables, à mon goût.

Maintenant, il faut avoir envie de remonter si loin en arrière. Pas de Firefox, GTK et Qt (et respectivement Gnome et KDE, d'ailleurs), en version 1.x.x, etc. On risque de ne plus être habitués.

A ce compte, il vaut mieux effectivement prendre une Debian et faire de l'Unix sérieux. Ligne de commande, X réduit au minimum. Seule exception, je suis à peu près certain qu'un WindowMaker contemporain fonctionnerait sans se plaindre sur cette configuration.

et que les deux autre par wifi

Qui gère le wifi ? La neuf-box ou un terminal dédié ?

Si l'on met le réseau sans-fil de coté un instant, la dernière fois que j'ai essayé, il fallait télécharger un patch mettant à jour la neuf-box, lequel patch ne s'exécute bien sûr que depuis Windows. Par contre, une fois l'opération terminée, ladite boiboite se comporte comme un routeur honnête et est indépendante du système d'exploitation qui va derrière.

Pour le wifi, après pas de problème, tant que chaque poste reçoit bien la passerelle par défaut adéquate.

La mauvaise nouvelle est qu'il ne sera pas destiné à l'utilisateur final mais uniquement au développeur.

C'est pas grave ! Sous Linux, c'est souvent la même chose ! :-)

D'ailleurs, c'est un scandale, la dixième saison pourrait bien être la dernière ...

Il faut que tu connaisses son emplacement exact, c'est-à-dire ses cylindres de début et de fin. Sachant cela, tu la recrées depuis fdisk, en n'oubliant pas de lui mettre le bon type (83) avec « t », ni de sauvegarder (w) une fois l'opération terminée.

Vala.

T'es pas le seul, je crois ... Et comme on ne peut pas non plus laisser de commentaire, on le fait ici.

Du même auteur, j'aimerais bien savoir s'il existe un clip de « Windows 95 sucks », reprenant Start Me Up des Stones, dont les droits ont été intégralement rachetés par Bill pour faire la promo de son système ...

Et« bonjour » et « merci » , c'est passé de mode ? Ça ne fait pas assez « pro » ?

Ça plante toujours sur mon toshiba avec NVreg_Mobile=2.

Freeze Système Complet, plus de réseau, plus de clavier, écran noir. La seule chose qui marche est SysRq+S U B .

Par contre, avec autre chose que "2", cela fonctionne bien, GLX compris (sur un Xorg 7.0). Mais j'ai toujours la bande noire à droite.

On m'a affirmé que le terme email est un mot réservé et que le simple fait de donner le nom email active automatiquement la fonction de menu déroulant que je recherche. Est-ce que c'est vrai ?

Je n'ai jamais entendu parler d'un champ spécial « e-mail » en HTML, par contre le champ « text », lui, est sujet à l'auto-remplissage de ton navigateur web. Mais c'est dans les options de ce dernier qu'il faut activer la fonctionnalité, si ce n'est pas fait par défaut.

Pour pouvoir faire cela, ton navigateur associe en principe toutes les entrées saisies dans un champ « text » au nom du champ et à la page qui la contient, de façon à ne pas te proposer des choses qui n'ont rien à voir.

Tu retrouveras donc tout ce que tu as saisi dans ce champ en particulier (en principe, des adresses e-mail uniquement) mais le navigateur n'aura pas conscience qu'il s'agit d'un carnet d'adresses en particulier ...

RDesktop

http://www.rdesktop.org/

C'est ce que l'on utilise au boulot, et même nos thinclients le reconnaissent. En fait, je me connecte à un serveur Linux en xdmcp avec un terminal Neoware, et de là, j'ouvre une session sur un W2000 avec rdesktop. Cela marche très bien, surtout avec les dernières versions.

Sinon un client ICA Citrix.

Par contre, coté Windows, ils ne sont pas fous, et font raquer pas mal de licences. Il en faut une pour le service proprement dit, plus un licence CAL par poste autorisé à accéder au serveur, plus les licences d'accès proprement dites si tu dépasses celles qui sont généreusement offertes avec la licence du serveur proprement dit ! :-)

http://www.bashfr.org

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PS : Les partitions primaires sous Linux sur un disque IDE sont les partitions numérotées de 1 à 4 (exemple :/dev/hda1). Les partitions logiques démarrent toujours à partir de 5, mais si les partitions primaires n'ont pas toutes été déclarées.

La méthode sûre, c'est de sauvegarder son MBR avant toute manip' !

dd if=/dev/hda of=SauvegardeMBR bs=512 count=1

C'est une des grandes forces d'UNIX de pouvoir manipuler son disque au secteur près depuis le shell. Si l'on s'en sert pour faire des modifications, autant s'en servir d'abord pour les sauvegardes. Mais, comme on dit, il y a deux grandes catégories d'administrateurs système ...

La deuxième et la plus courante, tu utilises fdisk, comme si tu voulais modifier tes partitions, alors que tu vas simplement consulter leur état :

fdisk /dev/hda

puis p pour afficher la liste des partitions. Eventuellement x pour passer en mode expert et avoir plus d'infos numériques ...

Ne pas oublier que le changement d'identité visuelle de cette grande entreprise publique en situation de monopole nous a coûté la bagatelle de 10 millions d'euros ! :-)

Pour passer, en plus, à quelque chose de particulièrement laid ! Bon Dieu, on ne leur avait pourtant rien demandé ...

Si, si, si. Le MBR contient :

- L'amorce éventuelle de démarrage;
- La table des quatre partitions primaires;
- Le magic number sur deux octets qui permet au BIOS de savoir s'il y a effectivement quelque chose à lancer dans le MBR.

En partant de la fin, il y a donc d'abord « 55AA » dans les deux derniers octets (510-511), puis il a 4 fois 16 octets pour les partoches primaires, ce qui fait qu'il reste 446 octets pour l'amorce.

Le disque est loin d'être foutu. Tu peux utiliser effectivement testdisk pour tenter de retrouver tes partitions, mais si tu connais déjà l'emplacement exact de tes partitions primaires (il est toujours utile de les noter dans un coin), tu peux les recréer avec fdisk. C'est de la bidouille, mais comme c'est purement déclaratif, si tu recrées tes partitions à l'identique sans te tromper, tu verras le contenu de ton disque réapparaitre comme par magie.

-# !

C'est quand même bien tordu d'utiliser un dièse comme caractère d'option ! Une fois sur deux, il va falloir le protéger avec un slash pour que le shell ne considère pas le reste de la ligne comme un commentaire !

-t nfs -> -t ntfs !

Le nfs, c'est le Network File System !

Je crois que tu as mis le doigt dessus.

Je vais te révéler un truc : en école d'ingé, et même en première année de fac, les exercices de programmation n'ont généralement aucun intérêt. C'est peut-être différent dans des écoles telles que l'épita (je ne trollerai pas dessus, je n'y ai jamais mis les pieds) qui visiblement sont très orientées programmation, mais j'en doute. En général, le profane y apprend que la programmation, spécialement en C d'ailleurs, se résume aux tableaux, aux listes chaînées, et à des exercices d'algorithmique fondamentaux (hash table entre autre), qui sont très pratiques en eux-mêmes mais qui ne s'apparentent qu'à de la gestion.

A contrario, la plupart des programmeurs de vocation te diront que leur métier s'apparente plus à un art qu'à une activité de technicien. Il existe même un ouvrage de Pierre Lévy qui a le mérite de se pencher avec circonspection sur ce phénomène, mais dont le style rédactionnel est malheureusement imbitable pour la plupart des principaux intéressés. http://www.yodawork.com/websp/SW2_consult_ref?F_refid=2289&a(...)

Ceci dit, tu as pu constater qu'un certain nombre de coders ici a commencé il y a une vingtaine d'années sur 8 bits, et particulièrement sur Thomson, majoritairement grâce au plan Informatique pour Tous. J'ai moi-même fait mes premières armes sur les MO5 de l'école communale, puis sur mes propres et successifs MO6 et TO8D.

C'est qu'a cette époque, on était encore relativement pionniers, même si les ordinateurs étaient déjà bien répandus, et surtout :

- On avait le contrôle total de sa machine.
- Les ressources étaient très limitées et il fallait les utiliser judicieusement. On ne faisait pas une boucle de dix mille itérations comme une boucle de cent.

En contrepartie, on avait pas trente-six modèles d'un même ordinateur, et la courbe de croissance de la loi de Moore était encore suffisamment proche de l'origine pour que l'on puisse se permettre de se spécialiser et d'explorer sa machine jusque dans les moindres recoins.

Autant dire que l'approche de l'informatique était diamétralement différente. Mais je dis bien "approche", car si un PC d'aujourd'hui est 32000 fois plus puissant que le premier du nom, sorti il y a 25 ans, leur architecture fondamentale (Turing) reste la même. Il est donc possible de faire des choses merveilleuses avec les machines contemporaines, mais il faut avoir connu l'esprit du développement de l'époque pour savoir quoi chercher ...

N'en déplaise aux esprits grognons, les élucubrations de Jayce étaient très drôles en elles-mêmes, tant que l'on faisait abstraction du désaroi du personnage.

Je rêve de pouvoir relire l'ephémère "em.txt", dans lequel notre génie visionnaire réunissait les théories de la physique et de l'informatique. Quelqu'un aurait-il cela dans ses archives ?

La mèche carrée :-) quelle formidable invention ...

et draguer les filles !

« nous n'avons pas de plan pour libérer nos pilotes » -> « nous ne prévoyons pas de libérer nos pilotes »