J'avais fait (en 2001) un tutorial, si je le retrouve je le publie :)
cette police a été faite à partir d'une lettre manuscrite.
La lettre a été scannée. L'image scannée a été découpée par lettre ("a.bmp", "b.bmp", etc.). Les lettres qui ne figuraient pas dans l'image scannée on été bidouillées à partir des autres lettres.
J'ai joué sur le contraste dans photoshop (5 (j'ai une licence (non? (si!))) pour obtenir de belles lettres noires sur fond blanc.
Le tout avait été fait sous MS/Windows en utilisant le logiciel Font Creator Program (3, c'est un shareware et j'ai une licence! (si! si!)).
Ce dernier permet d'importer une image et de la convertir en tracé vectoriel, mais n'allez pas croire qu'il fait tout tout seul: chaque lettre importée doit être retravaillée (étiré, mise à la bonne hauteur, on ajoute des points, on modifie les courbes, etc).
Ensuite, il faut modifier l'espace alloué à gauche et à droite de chaque lettre (pour permettre à un T majuscule d'accueillir un a sous son toi par éxemple. on un j minuscule ira se glisser sous le reste de la phrase.
On procède lettre par lettre, et l'ensemble peut prendre une à deux journée (avec de la motivation).
Voilà voilà, sur ce je vais voir "un jour sans fin" sur la 15... bye.
Pour le troll "peut on faire du libre avec des outils propriétaires" vous aurez compris mon point de vue...
Par contre, xp-antispy n' est pas un antispyware. Il s'agit d'un logiciel qui désactive certaines fonctions indiscrétes de Windows XP, ainsi que quelques failles de sécurité. En aucun cas il ne detectera le moindre spyware.
Je suis d'accord. Ce n'est pas le cas non plus du logiciel présenté dans ce journal (ils ont les mêmes fonctionnalités).
Je me suis fait la réflexion de voir que certains logiciels libres étaient connus et largement utilisés par beaucoup de monde qui ne se préoccuppent pas trop des licenses.
bonjour je viens d'y jeter un coup d'oeil et à ta place je ne conseillerais pas -en l'état- ce logiciel. il se présente sous la forme d'une cinquantaine de cases à cocher plus obscures les unes que les autres et surtout sans explication. selon le degré de paranoïa de ton ami windowsien, celui ci a de fortes chances de faire des bétises (et de ne pas en être conscient).
...je suis obligé d'aller modifier ma feuille de style "à la mano" (==bidouiller), car le CSS Editor de N|vu ne me permet pas de faire cela simplement (il faut modifier plusieurs propriétés à la fois: c'est faisable mais loin d'être pratique).
la où cette publicité est mensogère c'est que cette jeune femme prend le métro parisien, que celui-ci est propre et sans antipub.
dans le même temps, lors de la nuit des publivores (oui, c'est mal), une publicité microsoft de ~60secondes ('achement longue) ventait fenêtre ><p sous la forme de concept : "copier" .... "coller" ...... "démarrer" .... "arrêter" .... "fermer" ..... "ne pas envoyer le rapport", etc. avec en fond les fond d'écrans par défaut (dont les fameuses collines vertes) en 3D sur une musique style "regardez, c'est beau la vie micromou"
enfin voilà gros gros gros budget sur cette pub (pas le métro)
Disons que lorsque l'Administration avec un grand A tracte, elle distribue quelques dizaines de millions d'exemplaires. Et lorsque l'on voit les campagnes de marketing-boite-au-lettre sous la forme d'un questionnaire très "formel" faisant penser à une enquête des impôts, on peut comprendre qu'il faille un signe distinctif...
(vous pouvez aussi imprimer sur du papier recyclé: c'est gris)
j'ai peur de dire de très grosses bétises mais (moinssez pas trop fort si je me trompe et aidez plutot le monsieur):
* N|vu est très orienté "ce-que-je-vois-est-ce-que-j-obtiens" à la facon de frontpage/dreamweaver
* N|vu dispose d'un "CSS editor" plutot sympathique dans le menu tools (on regrettera qu'il n'y ait pas de raccourci clavier)
* N|vu ne fait pas la coloration de la syntaxe, ce qui pour faire des pages web est quand même handicapant (ca viendra), par contre quanta+/bluefish le permette selon différent schéma de couleur (un schéma pour l'HTML, un autre pour les CSS : les couleurs mettent en valeur ce qui est important en fonction du language)
Personnellement je te conseillerais de faire ton site sous {Quanta+|Bluefish} (celui dont l'interface te plait le plus) et de faire appel à N|vu lorsqu'il y a une règle en CSS que tu ne retrouves pas (comme " text-decoration: line-through; " pour barrer un texte: pas évident à retenir).
Tu dois, je crois, prendre conscience qu'avec les feuilles de styles tu seras obligé de bidouiller un peu (et hop un petit hack pour IE5.5 en veux tu en voilà).
Même si ce n'est pas compliqué ( suffit de suivre http://css-discuss.incutio.com/?page=FrontPage(...) ) c'est {souvent|parfois} nécessaire. N|vu (qui soit dit en passant est tout bonnement génial pour une version 0.2), avec ses boutons, ne permet pas de bidouiller confortablement sa feuille de style (pas de couleurs, replacement du code, etc.).
Daniel Glazman nous migotte un outil phénoménal (pour l'instant ca ne vaut pas dreamweaver, mais ca n'en a pas la prétention) mais pour l'usage que tu exposes je te conseillerais plutôt Quanta+ (voire gedit ou kwrite)
Ouais, enfin, va expliquer au lambda (ça n'a rien de péjoratif) que, s'il veut conserver ses données en sécurité, en plus de son ordinateur, il faut qu'il achète un truc de plus, service en ligne, ou disque dur supplémentaire
Et pourtant, pas mal de personnes (mon pôpa le premier) ont acheté un graveur de cd-rom exprès pour (certes, les CDs ne sont pas éternels mais ils donnent l'impression que. et c'es déjà ca).
le seul probleme notable que j'ai pour passer mes anciens .doc sous OOo est la gestion des tableaux (les marges sont décalées, le tableau n'est plus centré, etc). je sais, ce commentaire n'apporte rien, et le "bug" est connu. mais fallait que ca sorte.
Extrait de mon rapport de fin d'année (je suis en école de commerce). Comme vous pourrez le lire, le sujet est l'enjeu d'une migration Microsoft® Windows® --> Linux en entreprise.
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2.4 D'un point de vue économique
D'un point de vue économique, et sans établir une complète étude des coûts liés à l'OpenSource, nous pouvons dresser un portrait des enjeux globaux et identifier les points positifs comme négatifs d'une migration. L'article « Le vrai coût de l'OpenSource » paru dans le magazine « Le Monde informatique » du 30 janvier 2004 nous servira notamment de base et de référence.
Par de là les simples coûts de licence, l'article identifie clairement quatre sources majeures de coûts d'une migration:
Les coûts matériels et logiciels
Les coûts de migration propre
Les coûts d'administration
Les coûts de support
Les coûts matériels dépendent de la plateforme éxistantes. Les migrations d'Unix vers Linux sous-entendent un changement de matériel extrèmement avantageux pour l'investisseur sans changement radical de logiciels (ceux-ci sont compatibles: Unix et Linux sont deux systèmes basés sur la même norme: POSIX). Les gains en coûts matériels sont annulés lorsque la migration s'effectue depuis Microsoft® Windows®: les plateformes matérielles sont identiques.
Les coûts logiciels ne s'estiment pas qu'aux simples licences. Ils englobent également la facilité de développement de nouvelles applications et de leur déploiement. Dans une structure exclusivement Linux, les coûts logiciels chutent. Mais dans un environnement mixte (Linux/Microsoft® Windows®), ceux ci sont difficilement arbitrables et dépendent notamment du système d'information de la société: sur quelle application repose-t-il? Comment circule l'information et comment est elle traitée? Dans le cas d'une migration de Microsoft® Windows® vers Linux, la recherche d'équivalence joue un rôle majeur. Si chaque application utilisée trouve son pendant, les coûts logiciels sont réduits. On assistera alors à un « déplacement des coûts » vers les coûts de formation. Ceux ci sont considérés comme étant « de migration propre ».
Les coût de migration propre sont principalement constitués par la formation. Celle ci est doublement coûteuse : elle n'est que rarement gratuite et nécessite du temps. La SSLL Net2S « estime qu'il faut cinq jours pour former à Linux des professionnels certifiés sur Windows ». Cinq jours à temps plein pour un personnel qualifié et qualifiable.
L'un des avantages de Linux énoncé dans l'article est sa liberté de téléchargement: le personnel peut télécharger Linux et s'y entrainer seul (parfois sans même l'installer), contrairement à d'autres outils de travail spécifique et propriétaire. Pour que cela fonctionne, il est important d'être ferme quant à l'instauration de l'outil, c'est à dire « ne pas laisser d'autre choix » à l'employé. La formation est un passage nécessaire de la vie d'entreprise qui se rentabilise dans le temps mais aussi et surtout dans l'usage. Plus la migration sera effectuée de façon complète, et plus cette phase sera rentable. Au magazine de citer Dave Dargo, vice-président du programme Linux d'Oracle : « Les clients qui adoptent simplement Linux aux côtés de leurs autres OS ne feront probablement aucune économie ».
L'article du « Monde informatique » intègre aux coûts de migration l'ensemble des « coûts cachés » qui peuvent surgir lors d'une migration. Par nature, ceux ci ne peuvent être listés, toutefois on peut les prévoir budgétairement. David Margulus et Reynald Fléchaux (auteurs de l'article) citent en exemple « Le code qu'il faudra peut être récrire, les données à migrer, les travaux d'intégration ».
Les coûts d'administration ramenés simplement aux salaires et aux dépenses de l'administrateur système, auxquels pourront être ajoutés les budgets de sécurité informatique. Sur ces points, la tendance actuelle du marché est favorable à une migration vers Linux. L'administration du système a plus d'un point commun avec les services de support : pouvant être externalisée comme traitée en interne, elle ne fait appel qu'au savoir et au savoir-faire.
Les coûts de support, enfin, représentent une démarcation forte entre Linux et Microsoft® Windows®. Car il s'agit de méthode: si une entreprise peut sous-traiter le support sur plateforme Microsoft® Windows®, elle ne pourra réclamer de « modification à la demande » du système. Les solutions à ses problèmes ne peuvent intervenir qu'en surcouche du système. Linux appartenant à la fois à tous et à personne, une entreprise migrante nécessitant du support n'aurait que l'embarras du choix dans le prestataire de service de support. Contrairement au cas précédent, l'ensemble des outils y compris le système lui-même peut être directement modifié selon les souhaits du client. Une entreprise peut même aller jusqu'à se doter de son propre support en interne, seul les compétences (et donc la formation) y sont nécessaires.
[^] # Re: Mais où est ce logo ??
Posté par plagiats . En réponse au journal The wall - Logo. Évalué à 1.
[^] # Re: jolie
Posté par plagiats . En réponse au journal voici ma police libre. Évalué à 2.
allez y, modifiez la! :)
au fait pour le screenshot:
http://plagiats.free.fr/nathgpl/NathGPL.png(...)
[^] # Re: pas mal :)
Posté par plagiats . En réponse au journal voici ma police libre. Évalué à 1.
je sais pas :(
[^] # Et voilà...
Posté par plagiats . En réponse au journal voici ma police libre. Évalué à 2.
cette police a été faite à partir d'une lettre manuscrite.
La lettre a été scannée. L'image scannée a été découpée par lettre ("a.bmp", "b.bmp", etc.). Les lettres qui ne figuraient pas dans l'image scannée on été bidouillées à partir des autres lettres.
J'ai joué sur le contraste dans photoshop (5 (j'ai une licence (non? (si!))) pour obtenir de belles lettres noires sur fond blanc.
Le tout avait été fait sous MS/Windows en utilisant le logiciel Font Creator Program (3, c'est un shareware et j'ai une licence! (si! si!)).
Ce dernier permet d'importer une image et de la convertir en tracé vectoriel, mais n'allez pas croire qu'il fait tout tout seul: chaque lettre importée doit être retravaillée (étiré, mise à la bonne hauteur, on ajoute des points, on modifie les courbes, etc).
Ensuite, il faut modifier l'espace alloué à gauche et à droite de chaque lettre (pour permettre à un T majuscule d'accueillir un a sous son toi par éxemple. on un j minuscule ira se glisser sous le reste de la phrase.
On procède lettre par lettre, et l'ensemble peut prendre une à deux journée (avec de la motivation).
Voilà voilà, sur ce je vais voir "un jour sans fin" sur la 15... bye.
Pour le troll "peut on faire du libre avec des outils propriétaires" vous aurez compris mon point de vue...
plagiats
[^] # Re: pinaillerie
Posté par plagiats . En réponse au journal The wall - Logo. Évalué à 3.
[^] # Re: bonjour
Posté par plagiats . En réponse au journal Anti spyware libre. Évalué à 2.
Je suis d'accord. Ce n'est pas le cas non plus du logiciel présenté dans ce journal (ils ont les mêmes fonctionnalités).
plagiats
[^] # Re: Réactions en vrac
Posté par plagiats . En réponse au journal Les logiciels libres qui réussissent.... Évalué à 1.
XVid ! XVid ! XVid !
# bonjour
Posté par plagiats . En réponse au journal Anti spyware libre. Évalué à 1.
le programme (non libre, c'est un "donation-ware") xp-antispy http://xp-antispy.org/index.php?option=com_remository&Itemid=26(...) est plus intuitif pour nos amis de chez mattel.
a mon humble avis, si tu veux éviter de faire fuir tes potes, garde cette adresse sous le coude et reviens y à la sortie de longhorn.
plagiats
[^] # Re: Je l'ai vu...
Posté par plagiats . En réponse au journal Antitrust. A voir absolument!. Évalué à 2.
[^] # Je l'ai vu aussi
Posté par plagiats . En réponse au journal Antitrust. A voir absolument!. Évalué à 2.
"
espion: - on me bloque l'accès au site! (web)
coéquipier (à distance): - ok alors tape ALT+F8 deux fois backslash entrée
espion: - ca marche!
"
(sic, tiré d'un navet qui vient de passer sur une chaine de tps (je sais pas laquelle j'ai zappé))
si vous voulez un film un poil + réaliste niveau je-tapote-de-vrais-trucs: "Cybertraque" (l'histoire de mitnick, seul le titre est mal trouvé).
a éviter absolument (vraiment, je rigole pas): "hackers" (seul le titre à l'air alléchant)
plagiats
[^] # Re: NVU vs quanta vs bluefish sur linux : mon conseil?
Posté par plagiats . En réponse à la dépêche Un tutoriel pour éditer ses pages Web avec Nvu. Évalué à 1.
regarde, pour faire des "onglets" en suivant l'article de AListApart:
http://www.alistapart.com/articles/slidingdoors/(...)
...je suis obligé d'aller modifier ma feuille de style "à la mano" (==bidouiller), car le CSS Editor de N|vu ne me permet pas de faire cela simplement (il faut modifier plusieurs propriétés à la fois: c'est faisable mais loin d'être pratique).
plagiats
# pub mensogère
Posté par plagiats . En réponse au journal Microsoft en danger.... Évalué à -1.
dans le même temps, lors de la nuit des publivores (oui, c'est mal), une publicité microsoft de ~60secondes ('achement longue) ventait fenêtre ><p sous la forme de concept : "copier" .... "coller" ...... "démarrer" .... "arrêter" .... "fermer" ..... "ne pas envoyer le rapport", etc. avec en fond les fond d'écrans par défaut (dont les fameuses collines vertes) en 3D sur une musique style "regardez, c'est beau la vie micromou"
enfin voilà gros gros gros budget sur cette pub (pas le métro)
plagiats
[^] # Re: Vouala
Posté par plagiats . En réponse au journal geek test en français et l'original. Évalué à 1.
[^] # Re: Magazines...
Posté par plagiats . En réponse au journal Nouvelle Suse ?. Évalué à 2.
[^] # Re: Nota Bene
Posté par plagiats . En réponse au journal Marchons, marchons, ..... Évalué à 1.
(vous pouvez aussi imprimer sur du papier recyclé: c'est gris)
[^] # Re: NVU vs quanta vs bluefish sur linux : mon conseil?
Posté par plagiats . En réponse à la dépêche Un tutoriel pour éditer ses pages Web avec Nvu. Évalué à 7.
* N|vu est très orienté "ce-que-je-vois-est-ce-que-j-obtiens" à la facon de frontpage/dreamweaver
* N|vu dispose d'un "CSS editor" plutot sympathique dans le menu tools (on regrettera qu'il n'y ait pas de raccourci clavier)
* N|vu ne fait pas la coloration de la syntaxe, ce qui pour faire des pages web est quand même handicapant (ca viendra), par contre quanta+/bluefish le permette selon différent schéma de couleur (un schéma pour l'HTML, un autre pour les CSS : les couleurs mettent en valeur ce qui est important en fonction du language)
Personnellement je te conseillerais de faire ton site sous {Quanta+|Bluefish} (celui dont l'interface te plait le plus) et de faire appel à N|vu lorsqu'il y a une règle en CSS que tu ne retrouves pas (comme " text-decoration: line-through; " pour barrer un texte: pas évident à retenir).
Tu dois, je crois, prendre conscience qu'avec les feuilles de styles tu seras obligé de bidouiller un peu (et hop un petit hack pour IE5.5 en veux tu en voilà).
Même si ce n'est pas compliqué ( suffit de suivre http://css-discuss.incutio.com/?page=FrontPage(...) ) c'est {souvent|parfois} nécessaire. N|vu (qui soit dit en passant est tout bonnement génial pour une version 0.2), avec ses boutons, ne permet pas de bidouiller confortablement sa feuille de style (pas de couleurs, replacement du code, etc.).
Daniel Glazman nous migotte un outil phénoménal (pour l'instant ca ne vaut pas dreamweaver, mais ca n'en a pas la prétention) mais pour l'usage que tu exposes je te conseillerais plutôt Quanta+ (voire gedit ou kwrite)
plagiats
[^] # Re: indécent
Posté par plagiats . En réponse au journal Le ptit nouveau de la famille. Évalué à 1.
[^] # Re: faille
Posté par plagiats . En réponse au journal faille MacOSX/safari .... Évalué à 1.
Et pourtant, pas mal de personnes (mon pôpa le premier) ont acheté un graveur de cd-rom exprès pour (certes, les CDs ne sont pas éternels mais ils donnent l'impression que. et c'es déjà ca).
[^] # Re: moué
Posté par plagiats . En réponse au journal OpenOffice.org a la rescousse. Évalué à 1.
[^] # Re: Le vrai coût de l'Open Source
Posté par plagiats . En réponse au journal Les logiciels libres sont forcément mieux !. Évalué à 1.
# Le vrai coût de l'Open Source
Posté par plagiats . En réponse au journal Les logiciels libres sont forcément mieux !. Évalué à 3.
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2.4 D'un point de vue économique
D'un point de vue économique, et sans établir une complète étude des coûts liés à l'OpenSource, nous pouvons dresser un portrait des enjeux globaux et identifier les points positifs comme négatifs d'une migration. L'article « Le vrai coût de l'OpenSource » paru dans le magazine « Le Monde informatique » du 30 janvier 2004 nous servira notamment de base et de référence.
Par de là les simples coûts de licence, l'article identifie clairement quatre sources majeures de coûts d'une migration:
Les coûts matériels dépendent de la plateforme éxistantes. Les migrations d'Unix vers Linux sous-entendent un changement de matériel extrèmement avantageux pour l'investisseur sans changement radical de logiciels (ceux-ci sont compatibles: Unix et Linux sont deux systèmes basés sur la même norme: POSIX). Les gains en coûts matériels sont annulés lorsque la migration s'effectue depuis Microsoft® Windows®: les plateformes matérielles sont identiques.
Les coûts logiciels ne s'estiment pas qu'aux simples licences. Ils englobent également la facilité de développement de nouvelles applications et de leur déploiement. Dans une structure exclusivement Linux, les coûts logiciels chutent. Mais dans un environnement mixte (Linux/Microsoft® Windows®), ceux ci sont difficilement arbitrables et dépendent notamment du système d'information de la société: sur quelle application repose-t-il? Comment circule l'information et comment est elle traitée? Dans le cas d'une migration de Microsoft® Windows® vers Linux, la recherche d'équivalence joue un rôle majeur. Si chaque application utilisée trouve son pendant, les coûts logiciels sont réduits. On assistera alors à un « déplacement des coûts » vers les coûts de formation. Ceux ci sont considérés comme étant « de migration propre ».
Les coût de migration propre sont principalement constitués par la formation. Celle ci est doublement coûteuse : elle n'est que rarement gratuite et nécessite du temps. La SSLL Net2S « estime qu'il faut cinq jours pour former à Linux des professionnels certifiés sur Windows ». Cinq jours à temps plein pour un personnel qualifié et qualifiable.
L'un des avantages de Linux énoncé dans l'article est sa liberté de téléchargement: le personnel peut télécharger Linux et s'y entrainer seul (parfois sans même l'installer), contrairement à d'autres outils de travail spécifique et propriétaire. Pour que cela fonctionne, il est important d'être ferme quant à l'instauration de l'outil, c'est à dire « ne pas laisser d'autre choix » à l'employé. La formation est un passage nécessaire de la vie d'entreprise qui se rentabilise dans le temps mais aussi et surtout dans l'usage. Plus la migration sera effectuée de façon complète, et plus cette phase sera rentable. Au magazine de citer Dave Dargo, vice-président du programme Linux d'Oracle : « Les clients qui adoptent simplement Linux aux côtés de leurs autres OS ne feront probablement aucune économie ».
L'article du « Monde informatique » intègre aux coûts de migration l'ensemble des « coûts cachés » qui peuvent surgir lors d'une migration. Par nature, ceux ci ne peuvent être listés, toutefois on peut les prévoir budgétairement. David Margulus et Reynald Fléchaux (auteurs de l'article) citent en exemple « Le code qu'il faudra peut être récrire, les données à migrer, les travaux d'intégration ».
Les coûts d'administration ramenés simplement aux salaires et aux dépenses de l'administrateur système, auxquels pourront être ajoutés les budgets de sécurité informatique. Sur ces points, la tendance actuelle du marché est favorable à une migration vers Linux. L'administration du système a plus d'un point commun avec les services de support : pouvant être externalisée comme traitée en interne, elle ne fait appel qu'au savoir et au savoir-faire.
Les coûts de support, enfin, représentent une démarcation forte entre Linux et Microsoft® Windows®. Car il s'agit de méthode: si une entreprise peut sous-traiter le support sur plateforme Microsoft® Windows®, elle ne pourra réclamer de « modification à la demande » du système. Les solutions à ses problèmes ne peuvent intervenir qu'en surcouche du système. Linux appartenant à la fois à tous et à personne, une entreprise migrante nécessitant du support n'aurait que l'embarras du choix dans le prestataire de service de support. Contrairement au cas précédent, l'ensemble des outils y compris le système lui-même peut être directement modifié selon les souhaits du client. Une entreprise peut même aller jusqu'à se doter de son propre support en interne, seul les compétences (et donc la formation) y sont nécessaires.
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plagiats
[^] # Re: Il crawlent en rond ces moteurs !
Posté par plagiats . En réponse au journal Comment font les moteurs de recherche ?. Évalué à 1.
[^] # Re: C'était sûr...
Posté par plagiats . En réponse au journal [OT] Fahrenheit 9/11 palme d'or. Évalué à -1.
- "Je veux 50 % des recettes du marché US" :-)
soit 0$ si ca continue comme ca...
[^] # Re: hum
Posté par plagiats . En réponse au journal Opera 7.50 en français. Évalué à 1.
De plus, les statuts de l'association LinuxFR disent bien :
Elle a également pour objet la promotion des systèmes d'exploitation Unix, Linux en particulier, et de logiciels gratuits.
Opera n'est pas gratuit. Mais ce journal a sa place ici quand il aide les utilisateurs d'un logiciel disponible sous Linux.
[^] # Re: :)
Posté par plagiats . En réponse au journal vous avez 2 min à perdre? voici le mozichat. Évalué à 1.