sobriquet a écrit 185 commentaires

  • [^] # Re: Évolution de l'aviation

    Posté par  . En réponse au journal L'aviation a-t-elle un avenir ?. Évalué à 2.

    Oui, la vraie question n'est pas de savoir comment aller au Portugal, mais comment passer de bonnes vacances sans partir si loin. En France, on a la chance de bénéficier d'une grande diversité de paysages et de pratiques culturelles variées (gastronomie, danses, …).

  • [^] # Re: Évolution de l'aviation

    Posté par  . En réponse au journal L'aviation a-t-elle un avenir ?. Évalué à 5.

    Oui, les nouvelles cultures, l'ouverture et tout ça, c'est important. Mais on peut tenter une hiérarchie dans l'importance des choses : à choisir en prendre des vacances loin et limiter le risque d'inondations/sécheresse, qu'est-ce qui est le plus important ? L'abondance énergétique nous a vraiment fait perdre l'habitude de mettre des priorités, et c'est aujourd'hui ce que nous devons réapprendre à faire.

    Et puis franchement, parmi tous ceux que je vois partir prendre des vacances à l'étranger, il y en a un paquet qui ne s'éloigne pas de l'hôtel bourré d'occidentaux et des sites touristiques de base. Pour l'ouverture à l'autre, c'est plutôt raté. On a heureusement la chance d'avoir aujourd'hui internet, une alternative bien mois énergivore.

  • [^] # Re: Chiffres intéressants

    Posté par  . En réponse au journal L'aviation a-t-elle un avenir ?. Évalué à 10.

    Pourquoi une telle différence ?

    Pour prendre un exemple, un TGV Duplex pèse 390 tonnes et peut emporter jusqu'à 500 passagers. Avec un taux de remplissage moyen de 80%, on est à peu près à une tonne par passager. C'est à peut près autant que pour une voiture (poids moyen de 1,2 tonnes, taux d'occupation de 1,4 personnes).

    Les frottements sont la principale cause de consommation d'énergie dans le transport. Les frottements à l'air étant principalement frontaux, ils sont bien plus faibles sur un TGV que sur une centaine de voitures. Mais le principal avantage du transport ferroviaire est la faible résistance roue-rail, avec un coefficient typique de 0,0004 pour le train, contre 0,01 pour la voiture, soit 25 fois moins de frottements.

    A cela, on peut ajouter qu'il y a bien moins de cycles accélération-décélération en TGV qu'en voiture.

  • [^] # Re: Évolution de l'aviation: bon sens

    Posté par  . En réponse au journal L'aviation a-t-elle un avenir ?. Évalué à 6.

    C'est vrai, mais il y a quand même une symbolique importante : c'est difficile de demander aux uns de ne pas prendre la voiture pour des trajets de 1 km quand les autres passent une matinée à cramer du carburant pour leur bon plaisir. Une réaction compréhensible est de dire "je ferai un effort quand ceux qui sont pire que moi en auront fait un". C'est pas forcément rationnel ni constructif, mais c'est très commun.

  • [^] # Re: Évolution de l'aviation: bon sens

    Posté par  . En réponse au journal L'aviation a-t-elle un avenir ?. Évalué à 2.

    Si on taxe les compagnies aériennes ou les fabricants d'avion, ce sont les voyageurs qui vont payer la différence. Parmi ceux qui utilisent l'avion, qui sont les "vrais gros pollueurs" ? Ceux qui font du 12 l/h, 30 heures par an, juste pour avoir des sensations rigolotes, ou ceux qui font un vol transatlantique par an, pour raisons professionnelles ? Un indice : un aller-retour Paris-New-York en vol commercial, c'est environ 360 litres de kérosène par passager.

    Moi aussi je suis pour faire vraiment payer les vrais gros pollueurs. C'est à dire tous ceux qui utilisent l'avion, qu'il soit commercial ou de loisir.

  • [^] # Re: Évolution de l'aviation

    Posté par  . En réponse au journal L'aviation a-t-elle un avenir ?. Évalué à 2.

    Pour le budget CO2, c'est bien ça : si tu achètes juste par habitude, lorsque Dacia aura relocalisé sa production en France, tes émissions de CO2 vont se réduire sans que tu n'ais rien fait. C'est pour ça qu'il y a maintenant des indicateurs de CO2 : afin d'aider l'individu à assumer la "responsabilité carbone" du véhicule qu'il achète.

  • [^] # Re: Évolution de l'aviation

    Posté par  . En réponse au journal L'aviation a-t-elle un avenir ?. Évalué à 3.

    Pas tant : indépendamment de la source d'énergie pour produire l'acier, il faut brûler du coke pour en récupérer le carbone, Le coke est un dérivé du charbon, sa combustion en sidérurgie est très émettrice de CO2.
    Faire de l'acier sans coke est faisable avec d'autres technologies (hydrogène, biomasse), mais elles ne sont pas bien mûres, leur déploiement va prendre du temps, les filières sont peu développées. Sans compter qu'on ne pourra certainement pas remplacer la totalité de nos usages d'hydrocarbures par l'hydrogène et la biomasse. Donc, à un moment donné, il va falloir faire des choix.

  • [^] # Re: Évolution de l'aviation

    Posté par  . En réponse au journal L'aviation a-t-elle un avenir ?. Évalué à 1.

    Merci pour le lien, c'est intéressant de voir le bilan carbone des véhicules électriques.

    On y voit que 60% des émissions de CO2 de la Dacia Spring sont dues au rechargement de la batterie. C'est logique car ils font l'hypothèse que le mix énergétique est dans la moyenne européenne (environ 400g/kWh). Dans l'hypothèse du mix énergétique français, on est plutôt à 100 g/kWh. En refaisant le calcul, on arrive donc à moins de 50 grammes de CO2 par km.

  • [^] # Re: Évolution de l'aviation

    Posté par  . En réponse au journal L'aviation a-t-elle un avenir ?. Évalué à 9.

    Faire ce trajet en voiture ? On est d'accord que c'est encore pire que de le faire en avion ?

    Pas vraiment.

    L'ADEME propose un outil pour comparer les émissions carbone des déplacements.

    De base, sur un Nantes-Nice l'avion est à 205 kg d'équivalent carbone, contre 249 kg pour la voiture thermique. Donc il y a en effet un léger avantage à l'aviation. Mais la voiture thermique passe à 125 kg dès que l'on ajoute un passager. C'est à peu près autant qu'en voiture électrique sans passager. Sans surprise, l'autocar et le TGV restent de loin les meilleures solutions, avec respectivement 34 et 4 kg d'équivalent carbone.

    Si on jette un coup d’œil à un comparateur de prix, on trouve de l'ordre de 55 € pour le bus et le train, et 65 € pour l'avion.

    Au passage, Nantes-Nice, c'est surtout une ligne utilisée par les touristes. Ça pose d'autres questions sur le caractère nécessaire de ces trajets et la pertinence de ces émissions de CO2.

  • [^] # Re: Ce que je retiens

    Posté par  . En réponse au lien La poudre verte pour lutter contre le réchauffement climatique est… noire . Évalué à 4.

    Apparamment, l'opération consiste à stocker le carbone dans l'eau non pas sous forme de CO2 mais sous forme de bicarbonate. Le basalte rendrait l'eau plus basique. Donc non seulement cela ne rendrait pas les océans plus acides, mais en plus cela limiterait le processus d'acidification en cours.

    Vu comme ça, ça pourrait tenir, j'aimerais juste voir le bilan carbone global, incluant l'extraction, la pulvérisation et l'épandage du basalte.

  • [^] # Re: Pas très intéressant

    Posté par  . En réponse au lien Démission de la présidente du Parti Pirate International. Évalué à 2.

    Ah oui ma formulation est ambigüe. C'est très bien que Flore Marie en parle sur son blog, où ce sera lu par toutes les personnes intéressées. Mais relayer l'info sur LinuxFr, où l'on n'a évoqué le Parti Pirate qu'une autre fois au cours de l'année écoulée, ça ne me semble pas du tout pertinent.

  • [^] # Re: Pas très intéressant

    Posté par  . En réponse au lien Démission de la présidente du Parti Pirate International. Évalué à 10.

    Le contraire de l'opacité, c'est la transparence, pas l'exhibitionnisme.

    Dans l'intérêt démocratique, il faut savoir aussi trouver une mesure dans l'information que l'on propage et comment on la propage. Sinon on crée du bruit qui favorise le désintérêt et l'indifférence. Si on ne hiérarchise pas l'information et qu'on ne la contextualise pas, on contribue aussi à la mésinformation. Si des comportements individuels sont ciblés par l'information diffusée, on alimente la personnalisation les débats, ce qui n'est jamais une bonne chose.

    Faire l'autruche est un travers quand on pourrait apporter quelque chose. Se mêler d'un problème interpersonnel dont on ne sait quasiment rien et que l'on ne pourra pas contribuer à résoudre peut être bien pire.

    C'est très bien que l'ex-présidente ait communiqué sur les motifs de son départ et qu'elle ait posé des choses sur la table. Mais la publicité de son communiqué n'apporte vraiment pas grand chose à ceux qui ne sont pas impliqués dans les hautes sphères du parti.

  • [^] # Re: Global Privacy Control : Demander aux sites web de ne pas vendre ni partager mes données

    Posté par  . En réponse au lien Firefox 120 : Copier le lien sans le pistage du site, Global Privacy Control… Encore + de vie privée. Évalué à 3.

    Oui, et potentiellement ça pourrait donner lieu à une action en justice, le cas échéant.

  • # Méthodologie fallacieuse

    Posté par  . En réponse au lien Les 1 % les plus riches émettent autant de gaz à effet de serre que les 66 % les plus pauvres. Évalué à 3.

    Même si je souscris aux conclusions d'Oxfam, à savoir que les riches et ultra-riches ont une responsabilité prépondérante dans le changement climatique, la méthodologie employée me semble fallacieuse.

    Pour calculer l'impact environnemental d'une personne, on peut :

    • Multiplier le nombre d'euros qui sortent de la poche de cette personne par l'impact environnemental de chaque euro dépensé. C'est par exemple ce que fait le bilan carbone,
    • Ou bien multiplier le nombre d'euros qui entrent dans la poche de cette personne par l'impact environnemental de chaque euro gagné.

    Bien que les deux méthodes donnent des résultats différents, elles peuvent chacune avoir du sens. Mais en faisant la somme des deux, on arrive à un résultat qui n'a aucun sens, vu que chaque euro qui circulent est comptabilisé deux fois. C'est pourtant bien ce que fait Oxfam dans cette étude.

    De plus, je n'ai jamais entendu parler d'une méthodologie consensuelle pour la deuxième approche. Autant cela pourrait faire sens pour les placement financiers, autant je ne vois pas ce qui pourrait faire sens pour les impacts environnementaux liés aux revenus salariaux. Par exemple, si mon employeur tire à pile ou face lequel de moi ou de mon collègue prendra l'avion pour un colloque à Bali, l'un de nous deux aura un bilan immense pendant que l'autre aura un bilan faible. De même, un chauffeur-livreur aurait un gros impact alors que son collègue à la préparation de commande aurait un impact faible. Mais l'un ne pouvant pas travailler sans l'autre, on ne peut pas associer cet impact à une responsabilité.

  • [^] # Re: tout est question d'équilibrre et de besoin.

    Posté par  . En réponse au journal Le sophisme du meilleur outil. Évalué à 4. Dernière modification le 13 novembre 2023 à 00:51.

    Je confirme, d'expérience personnelle : j'avais rejoint un projet visant à développer un logiciel métier avec un gros potentiel d'abstraction, le logiciel visant à optimiser des flux logistiques. Tout était codé en C89, pour des raisons pas forcément mauvaises :

    • L'IDE que les devs devaient utiliser ne gérait pas les versions ultérieures de C,
    • Toute l'équipe savait coder en C,
    • Des devs C, c'est facile à trouver, on peut donc mettre l'accent sur d'autres compétences au recrutement
    • Le C, c'est performant,
    • Changer de langage, c'est un coût et une prise de risque,
    • Le chef de projet, qui avait créé le projet il y a bien longtemps et ne s'occupait plus du code, ne maîtrisait pas d'autres langages potentiels.

    Mais les inconvénients étaient aussi bien sensibles :

    • Un temps de développement bien plus important,
    • Davantage de bugs,
    • Une dette technique croissante,
    • Le sentiment permanent et frustrant de ne pas utiliser le bon outil.

    Comme d'autre choses, il faut garder l'outil qu'on maîtrise quand on peut, et le changer quand on le doit.

  • [^] # Re: Ce n'est pas un biais linguistique, c'est un biais sémantique.

    Posté par  . En réponse au lien Langage inclusif, pour le cerveau le neutre n'est pas neutre. Évalué à 4. Dernière modification le 02 novembre 2023 à 17:21.

    sauf à vouloir faire dérailler la conversation ?

    Non, si je voulais faire dérailler la conversation, j'accuserais subtilement mon interlocuteur de vouloir empoisonner les échanges. Au revoir.

  • [^] # Re: Ce n'est pas un biais linguistique, c'est un biais sémantique.

    Posté par  . En réponse au lien Langage inclusif, pour le cerveau le neutre n'est pas neutre. Évalué à 3.

    Absolument. L'infirmation de l'hypothèse de Sapir-Worf suggère que ce n'est pas en modifiant le langage qu'on limitera la reproduction du déséquilibre. Il faut s'orienter vers d'autres stratégies, comme une meilleure application du droit, des quotas, certaines évolutions culturelles (genre arrêter les blagues sexistes endémiques dans certains milieux) ou une meilleure compréhension des phénomènes de ségrégation lors de l'orientation.

  • [^] # Re: Ce n'est pas un biais linguistique, c'est un biais sémantique.

    Posté par  . En réponse au lien Langage inclusif, pour le cerveau le neutre n'est pas neutre. Évalué à 3.

    "On", c'est les linguistiques et les anthropologues, il faut jeter un œil aux liens fournis :)

    Mon propos est justement de dire que c'est un biais sémantique, et non un biais linguistique.

    Je parle de biais sémantique pour désigner un biais lié au sens des mots ("sémantique est l'adjectif de "sens"). Bien sûr, ici, il ne s'agit pas du sens donné par une définition, mais du sens donné empiriquement par un sujet à un mot sur la base de son expérience. Par exemple, si je parle d'un corbeau, tu penseras peut-être à un animal noir, non pas parce que le dictionnaire dit que c'est un animal noir, mais parce que tous les corbeaux que tu as vu sont noirs. Pour les œnologues, c'est pareil : on est plus enclin à adopter l'a priori qu'une personne pratiquant le métier d’œnologue est un homme, non pas à cause d'une définition (que personne ne lit et qui ne dit pas ça), mais parce qu'on est plus habitué à voir des œnologues hommes.

    Ça ne change pas les conclusions que les auteurs de l'étude font (l'étude est en libre accès, tu peux la lire), ça change l'interprétation que certains commentateurs font de l'étude : ce n'est pas le neutre grammatical qui n'est pas neutre, c'est l'expérience individuelle de la réalité. Et elle, on ne peut pas la changer en changeant le langage.

  • [^] # Re: Ce n'est pas un biais linguistique, c'est un biais sémantique.

    Posté par  . En réponse au lien Langage inclusif, pour le cerveau le neutre n'est pas neutre. Évalué à 2.

    Quand on parle de biais linguistique, on se réfère à l'hypothèse de Sapir-Whorf, selon laquelle les représentations mentales dépendent des catégories linguistiques, ou, autrement dit la façon dont on perçoit le monde dépend du langage. Cette conception a été essentiellement réfutée, même si des influences faibles sont parfois mesurables.

    L'exemple "il fait beau" vise à illustrer qu'il existe bien un genre neutre en français, y compris lorsque l'on ne désigne pas des humains.

  • # TL;DR

    Posté par  . En réponse au lien Vols écolos, des promesses en l'air ? | Citizen Facts (2/5) | ARTE. Évalué à 10.

    TL;DR : La compensation carbone, à l'heure actuelle, c'est du flan.

    L'équipe qui a mené l'enquête aurait pu relever d'autres faiblesses :
    * Tous les arbres plantés n'arrivent pas à maturité.
    * Compenser un vol aérien en plantant un arbre, c'est contracter une dette carbone qui ne sera acquittée que dans les 10 à 20 années à venir. Or, le CO2 atmosphérique doit être réduit aujourd'hui, pas dans 20 ans.
    * Un arbre de haie est généralement entretenu, taillé. Le bois de taille est souvent brûlé pour produire de l'énergie. Cela libère le CO2 qui devait être fixé. On considère généralement que le bois-énergie a un bilan carbone nul. Mais, lorsqu'il s'agit de bois issu d'un programme de compensation carbone, ce n'est plus le cas.

  • # Ce n'est pas un biais linguistique, c'est un biais sémantique.

    Posté par  . En réponse au lien Langage inclusif, pour le cerveau le neutre n'est pas neutre. Évalué à 3. Dernière modification le 01 novembre 2023 à 02:25.

    Pour résumer l'étude en simplifiant beaucoup, les tests ont consisté à montrer à des sujets des nom épicènes désignant des personnes et à demander s'il est possible que ce soit un homme/une femme. On mesure alors le temps de réaction pour déterminer le genre de ces noms et l'exactitude des réponses. L'idée est de déterminer si le neutre français soufre d'un biais de genre. Et effectivement, un biais est mesuré.

    Mais ce biais est-il dû à l'imperfection du français, ou à l'expérience des personnes testées ? La liste des mots utilisés est disponible ici. Si je prends, au hasard "œnologue", le genre que je vais lui attribuer dépend des œnologues dont j'ai eu l'expérience. En l’occurrence, lorsque je tape "œnologue célèbre" sur mon moteur de recherche, le top 5 ne donne que des hommes (ensuite, ils ont des noms bizarres, j'ai pas cherché à savoir). A l'inverse, dans la liste, d'autres termes sont plus facilement attribués à des femmes, comme "hystérique" ou "interprète". Personnellement, cela correspond à mon expérience d'emploi de ces termes. Les auteurs de l'étude mentionnent bien cette possibilité : "Instead, due to our androcentric experiences and cultural influences, gender-neutral nouns may carry underlying masculine stereotypes."

    Dès lors, on n'est plus dans un biais linguistique, mais dans un biais sémantique. L'expérience ne contredit donc pas l'idée qu'il existe un neutre français qui a les mêmes formes que le masculin, mieux perceptible dans la phrase "Il fait beau".

  • # Entre le “pack Office” et les logiciels libres, les positions contrastées des agents publics

    Posté par  . En réponse à la dépêche Revue de presse de l’April pour la semaine 42 de l’année 2023. Évalué à 5.

    J'ai pas pu lire l'article en accès payant et le compte-rendu ne semble pas avoir été publié, mais l'article parle sans doute de la boîte à idée sur les outils numériques

    En gros, entre ceux qui réclament des doubles écrans 32" et ceux qui aimeraient bien passer à la feuille de paie numérique, on trouve ceux qui aimeraient une licence Office 365 par poste, ceux qui se préoccupent de souveraineté, ceux qui trouvent que LibreOffice Calc n'est pas aussi adapté qu'Excel pour le data mining, ceux qui aimeraient des mises à jour de LibreOffice plus fréquentes, etc.

  • [^] # Re: Précision

    Posté par  . En réponse au lien Face aux vols, le British Museum va numériser toutes ses collections pour un coût de 12,1 millions $. Évalué à 9.

    Ça donnerait un bon titre du Gorafi : "Face au pillage colonial, l’Égypte va numériser ses pyramides" :)

  • [^] # Re: L'école, ce lieu si accueillant

    Posté par  . En réponse au journal Vote électronique pour les parents d'élèves. Évalué à 2.

    Cette dernière phrase ressemble à un gros patch dégueu en mode "Faites nous pas ch*er avec la procédure". Le directeur peut désigner sa femme et son chien comme uniques membres du conseil d'école, il reste valablement constitué.

  • [^] # Re: Bof ...

    Posté par  . En réponse au lien Que peut le design pour qu’on se mette (enfin) à lire les études ?. Évalué à 1.

    Je ne connaissais pas le terme mais, oui, c'est ça.