zakharov a écrit 11 commentaires

  • [^] # Re: Wake On Lan

    Posté par  . En réponse au message Crontab Impossible de sortir de la veille mémoire. Évalué à 2.

    Salut,

    Voici une petite bafouille pour sortir de veille/remettre en veille une vieille bécane avec rtcwake plusieurs fois par jour.

    Son objet est à la base de faire des truc genre mise à jour et impression de docs envoyés (pilote de l'imprimante indispo sur architecture ARM du raspberry en frontal).

    C'est par ici: https://seb.lautre.net/git/seb/scripts/blob/master/rtcwake

    c'est du bash pas hyper propre, et à mon avis en 4 ans (date du dernier commit) j'ai du y faire des modifs pas commitées… (mais la bécane est actuellement en train de dormir :), elle se réveille à 9, 11, 16, 18 et 21h)

    Si ça peut être utile

    @+
    zakh

  • [^] # Re: Flightgear

    Posté par  . En réponse au message Les logiciels libres et l'aéronautique. Évalué à 2.

    Comme je n'ai jamais piloté un vrai coucou je ne peux pas être autant précis, mais le gros problème avec les multiples appareils disponibles, c'est la grande variabilité du modèle de vol entre eux.

    Il y a des créateurs (et peut-être des créatrices, je sais pas) prolifiques et connus d'appareils en 3D, mais qui se limitent à un modèle de vol (FDM pour Flight Dynamics Model) très basique, sans chercher à fignoler voir utilisant FG comme visualiseur de leur modèle genre "maquette". Bon après libre à chacun-e de modifier le FDM pour l'améliorer mais c'est un sacré boulot qui demande des heures de fignolages pour correspondre "aux nombres" sans perdre les capacités un peu limites genre décrochage asymétrique tout ça. Donc évidemment ça réduit drastiquement le nombre d'appareil avec un modèle de vol digne de ce nom.

    Quelques appareils ont des modèles de vol très aboutis. Après, comme on fait tourner tout ça sur de la bécane de bureau, le "vrai" comportement est une lointaine chimère, mais on se rapproche assez des valeurs réelles.

    @+
    bons vols
    zakh

  • [^] # Re: Préparateurs de vol

    Posté par  . En réponse au message Les logiciels libres et l'aéronautique. Évalué à 3.

    Il y a aussi Little NavMap

    Le code source est dispo ici: https://github.com/albar965, c'est du GPL3.0. Un bémol, il n'y a pas la possibilité de modifier l'altitude sur le plan de vol. Les infos sur les aérodromes et navaids doivent provenir de simulateurs de vol pas libres, mais je me propose un bricolage pour lui donner à manger celles libres de FlightGear: https://www.fr.flightgear.org/forums/viewtopic.php?id=5220

    Connecté avec FlightGear avec le petit addon kivabien, c'est très pratique. Avec connexion VATSIM c'est encore plus mieux (si t'as envie de faire de la phraséologie).

    @+
    bons vols
    zakh

  • [^] # Re: de mémoire il me semble que oui

    Posté par  . En réponse au message [awk] mettre une variable sur print. Évalué à 5.

    Oui c'est simple, et d'ailleurs si c'est toujours le dernier champs il y a la variable auto-alimentée à chaque ligne lue: NF (Number of Fields)

    print $NF

  • [^] # Re: Recette inverse

    Posté par  . En réponse au journal La cuisine du débat : recettes et récréation. Évalué à 0.

    C’est que dès qu’il y a des enjeux, pour beaucoup, la fin justifie les moyens

    Ici je pense qu'on parle de débat médiatisé, avec un format dans lequel la critique de la qualité du débat vient du ou de la spectatrice (qui n'est donc pas incluse dans le débat), et pas des personnes qui débattent. Le format du temps de parole limité dans le temps impose d'être le plus efficace en terme d'impact à la défaveur d'un contenu plus explicatif et démonstratif qui deviendrait rapidement rébarbatif pour un public blasé.

    Il y a aussi plein d'autres débats entre personnes «politisées», de bords différents ou pas, pas forcément d'envergure nationale, et sans public dans lesquels le débat est bien souvent plus serein, permet d'aiguiser les arguments, de combler les failles, de découvrir ses propres contradictions ou de faire éventuellement découvrir à la partie en face ses contradictions à elle.

    Il y a aussi plein de débats dans des tribunes de journaux et revues, ou pendant des événements spécialisés (genre fête de l'Huma ou même la droite et l'extrême-centre viennent aussi participer aux débats). Ces débats ne ressemblent en rien à la joute de petites phrases d'un pseudo-débat de chiffonniers sur une chaîne d'info en continu. Ils prennent le temps et sont aussi très instructifs sur ce qui est porté derrière les mots employés publiquement.

    Le problème du discrédit de la chose politique vient aussi de la diminution du temps de réflexion qu'on se donne (~ nous est laissé) sur ce qui nous semble être tout ou partie des solutions à nos problèmes. Le débat sous forme de joute assomme tellement le public, que trop souvent la pensée s'arrête sur la première certitude assénée sans chercher à voir ce qu'il y a derrière.

    Mais est-ce une volonté des personnalités politiques, ou un enjeu commercial ? Dans un monde où tout doit devenir marché j'ai ma petite idée sur la question :)

    Et finalement les débats qui parcourent le logiciel libre et la marchandisation de nos données ne sont pas mieux lotis… Quel public va se coltiner un débat avec des partisan·e·s du logiciel libre, de la sécurité des données, des moyens de stopper le flicage, etc. si ce n'est des personnes intéressées par le sujet alors que ça touche tout le monde, et que les enjeux sont immenses. Une petite phrase qui sortirait bien d'un débat façon joute verbale («je n'ai rien à cacher» à tout hasard) aurait de beaux jours devant elle, trouver la petite phrase inverse est déjà plus compliqué (hormis «ben donne-moi ton mot de passe» qui a, malgré tout, assez peu d'effet de mon côté).

  • [^] # Re: Comme qu'ils disent

    Posté par  . En réponse au journal Quelles sont vos motivations au travail ?. Évalué à 8. Dernière modification le 28 juillet 2020 à 15:42.

    Dans la vision marxiste, le travail n'est-il pas le seul moyen de créer de la richesse (avec la Nature) ? Dans la perte de repères autour de l'emploi, il y a justement l'utilité finale de la richesse créée: autant le produit fini que la plus-value rapportée à l'entité propriétaire des moyens de productions.

    Le problème avec le produit fini, c'est que bien souvent il ne va servir à rien d'utile, voire même être nocif à la Société. Le travail le plus utile à la Société, en France, est fait par les services publics, donc idéalement un service rendu pour tout le monde. Mais il y a aussi dans ces activités une grande perte de repères car toutes les politiques menées depuis des décennies, vont dans le sens de l'éloignement du service public du public lui-même. De nombreuses fonctionnaires (ou même contractuel-le-s) ne se retrouvent plus dans leurs missions quand il leur est imposé de ne plus être disponible, de chercher à facturer tout et n'importe qui, de sélectionner ce qui va rapporter, bref de devenir rentable non pas en terme de service rendu, mais de supposé coût. La police est un des exemples les plus criants amenant à un malaise profond entre la profession régalienne de sécurité et la population.
    Dans le privé c'est pareil, il y a un éloignement du projet global de l'entreprise pour laquelle on bosse (et encore plus quand on est "indépendant" ou prestataire), d'où une perte d'envie. Face à ces problèmes il a été tenté différentes solutions de "management" plus ou moins venteuses, mais qui n'ont qu'un seul but continuer à faire bosser plus, pour moins de sous investis et récupérer plus de plus-value.

    Ces plus-values sont justement un autre versant du problème. Plus précisément c'est leur captation in-fine par une poignée de personnes qui est problématique. Ces personnes n'ont qu'un objectif en tête: faire sortir la plus-value de l'économie dite "réelle". Pour ces personnes il est abomifreux de penser que l'argent de cette plus-value servent les intérêts d'une société dans son ensemble: crèches, bibliothèques, piscines, universités, hôpitaux, moyens de transports, etc. Ce sont d'ailleurs ces mêmes personnes qui inspirent les politiques menées depuis trop longtemps, et qui se caractérisent par une acception de l'exil fiscal, par des exonérations de cotisations et autres prélèvements obligatoires, par du chantage à l'emploi, par avoir réussi à faire croire que le travail est un coût alors qu'il rapporte, et par avoir réussi à faire croire que le capital rapporte alors qu'il nous coûte…

    Enfin il ne faut pas confondre le travail, l'emploi et le salaire, qui sont trois "choses" décorellées. Par exemple des bénévoles dans une association fournissent aussi du travail (souvent d'ailleurs pour pallier à une défaillance de l'Etat). Le codeur libre dans son garage qui écrit un pare-feu du style openoffice aussi, ainsi que celui ou celle qui répond à une question sur un forum d'entraide sur un jeu ou du parefeu cité. Mais il y a un fort intérêt à faire ces activités car la personne qui les rend sent que c'est utile, que la richesse créée par son travail ne va pas être captée par une tierce personne qui n'a que faire que la mise en gras par le parefeu soit pratique à faire ou pas.

    Pour rendre le travail utile il faut que les richesses créées soient utiles à la Société (à différentes échelles de la localité au monde entier), et donc reprendre le pouvoir dans les entreprises, et exercer un contrôle démocratique sur ce qui est produit, comment, et pour qui.

  • [^] # Re: Le logiciel libre c'est politique (sinon, on parlerait d'Open Source)

    Posté par  . En réponse au journal oh et puis merde.... dlfp, c'est vraiment censé être politique?. Évalué à -1.

    Reste le PCF, c'est-à-dire finalement un brave parti social-démocrate mais qui se traîne le boulet du mot «communiste» et donc Staline, Pol Pot, Castro et Kim Jung Un dans le même sac. Alors que franchement, nos communistes ne revendiquent même plus la révolution du prolétariat, ils sont par bien des aspects moins à gauche qu'un Tonton version 1981. Ils sont rendus inaudibles dans les médias. Mais bon, quand on vote FI, on n'est pas si loin des idées du PCF actuel (ils ont d'ailleurs partagés des programmes il n'y a pas si longtemps).

    Brave parti qui en 100 ans d'histoire a fait plein de conneries et d'erreurs d'analyse (mais c'est facile de juger a posteriori), il a surtout accompli de grandes choses quand il a été au pouvoir, ou a poussé à ce que des grandes choses se fassent. Ce n'est pas un parti social-démocrate, beaucoup moins que le PS actuel et ses filiales (dont la FI) qui ne le sont pas non plus en réalité (sauf un peu chez Hollande et beaucoup plus chez les LREM). Ce qui fait tenir ce genre de discours c'est l'attente du communiste avec le couteau entre les dents, qui mange des bébés de canards. Bref correspondant à l'image véhiculée par des décennies de propagande primaire anti-coco.

    Ce qui dérange aussi avec le PCF c'est qu'il n'a pas de think-tank pour sous-traiter sa réflexion, et que ce sont ses adhérent-e-s qui réfléchissent et produisent des idées. Après on peut ne pas être d'accord avec ces idées, mais elles sont loin d'être social-démocrates (entre Schroeder, vrai social-démocrate, et le PCF il y a un monde).

    Pour les communistes faire la révolution ne signifie pas "virez-les tous pour me mettre à la place", mais plutôt partons du réel, imaginons des mesures qui vont à contre-sens de la pensée libérale dominante, atteignables et pas à pas, pour qu'elles soient acceptées et qu'il devienne très difficile de revenir dessus. La vraie révolution réside dans la transformation de la société.

    Et justement tordre le cou à la pensée dominante communiste = Staline + Pol Pot + Kim Jung Un (en ne voyant que la part non-négligeable du totalitarisme qui va avec ces personnages sans contextualiser), ça fait aussi parti des actions révolutionnaires. D'ailleurs le PCF n'a pas de sang sur les mains. Je ne connais pas d'autre formation politique française ayant traversé le XXème siècle qui pourrait en dire autant.

    Mais la chasse au PCF reste d'actualité comme elle l'a été tout au long de son histoire. Rien de neuf sous le soleil. Une FI issue des rangs du PG/PS est bien plus acceptable aux yeux des médias et de la société pour asseoir une gauche revendicative (en rappelant tout de même que la FI a longtemps rejeté le clivage gauche/droite qui a fait sa renommée à l'époque où c'était à la mode).

  • [^] # Re: Qq remarques

    Posté par  . En réponse au journal Tous en télétravail le 31 mars. Évalué à 5. Dernière modification le 13 mars 2020 à 14:09.

    Le gouvernement a misé sa tête en procédant ainsi, si le Parlement était contre la manœuvre, elle pouvait le faire tomber

    Le gouvernement n'a pris absolument aucun risque. M. Philippe savait très bien que sa majorité ferait passer le texte, rejetterait tout ce qui n'irait pas dans son sens. Il savait aussi parfaitement qu'aucune motion de censure ne pouvait aboutir.
    En revanche il a pris un risque politique de se voir évincer lors des prochaines élections législatives et aussi de l'élection qui les précède (puisque malheureusement l'amendement GDR/CRCE pour la modification de la Constitution permettant la suppression de l'élection présidentielle au suffrage universel à deux tours octroyant les pleins pouvoir à une seule personne, a été balayé d'un revers de la main le 4 août 2017 par toutes les autres forces politiques).
    Même s'il y a de fortes chances qu'ils se fassent malmener aux prochaines municipales, retardant une implantation locale qui fait défaut au parti au pouvoir, ce n'est pas forcément lié à cette réforme des retraites.

    L'opposition a admis vouloir faire un blocage législatif du texte, comme souvent, en spammant d'amendements inutiles. On ne peut pas dire que cette démarche soit démocratique en bloquant le débat.

    L'opposition de gauche comme de droite est contre cette réforme, et leur objectif est clairement le retrait du projet. Ils ont utilisé les armes à leur disposition — leur nombre a considérablement chuté par les modifications réglementaires précédentes, et la procédure imposée par le gouvernement. Les amendements n'avaient pas d'autres objectif que la prise de parole pour parler des sujets de fond [1]. La virgule, ou le changement de mot n'étaient qu'un prétexte.

    Aussi il faut rappeler que les amendements sont souvent traités par paquet, mais qu'étonnamment cette fois-ci ce ne fut pas le cas. De là à y voir une manœuvre médiatique pour faire parler « d'obstruction » il n'y a qu'un pas que je franchi aisément.

    Je vous enjoins à les voir sur le site de l'Assemblée Nationale. L'opposition, de gauche comme de droite, a posé des question, amené des réflexions de haut niveau, auxquelles ni les député-e-s de la majorité, ni le gouvernement n'a pris la peine de répondre soit parce qu'ils sentait bien que l'opposition avait raison, soit par pur mépris (je passe sur l'emblématique « petites connes »).

    La démocratie, ce n'est pas que suivre ce qui est décidé par le gouvernement. C'est un combat permanent d'idées. Là il n'y a pas eu le moindre débat:

    • consultation citoyenne foulée au pied par le rapport Delevoye qui concède que les français-e-s sont attachées à leur système de retraites mais qu'il s'en moque,
    • négociations où aucune marge de manœuvre n'était acceptée,
    • procédure accélérée,
    • commission spéciale des lois dont les travaux n'ont servi à rien,
    • 29 ordonnances dans le texte dont les députés ne connaissent pas le contenu,
    • des décrets tout aussi inconnus,
    • le 49.3 après seulement 2 semaines de passage au Parlement sans risque pour la majorité et sur un texte aussi fondamental pour notre modèle social,
    • et je dois en oublier…

    Cette mascarade a commencé il y a 3 ans déjà, en ce moment elle continue avec la fameuse « conférence de financement » qui s'avère être un fiasco, même pour la CFDT qui la souhaitait.

    Bref le 31 mars, c'est pas du télétravail qu'il faut faire. C'est la grève. Et la plus massive possible. Non pas parce que le gouvernement va t'écouter, mais parce qu'il prêtera plus probablement l'oreille à ce que dit ton patron qui veut que tu retournes au boulot.

    [1] quelques exemples:
    http://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/amendements/2687/AN/1698
    http://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/amendements/2687/AN/1079
    http://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/amendements/2687/AN/1321

  • [^] # Re: Quels partis défendent officiellement les LL ?

    Posté par  . En réponse au journal 33 listes, est ce raisonnable ?. Évalué à 0.

    Avec le sentiment d'arriver un peu après la bataille, il y a aussi le PCF avec une analyse industrielle et une vision plus large sur l'interopérabilité et l'industrie du numérique
    http://www.pcf.fr/25_propositions_pour_une_europe_du_num_rique_humaine_et_ind_pendante

    On y lit par exemple:
    Faire de l’usage prioritaire des logiciels libres une des clauses sur l’obtention des fonds européens.

    En n'oubliant pas que ça ne peut être des promesses mais de combats à mener

  • [^] # Re: installer des paquets en simple utilisateur

    Posté par  . En réponse au journal Contre la phobie du root. Évalué à -1.

    Il existe aptdaemon:

    Aptdaemon permet aux utilisateurs non privilégiés d'effectuer des tâches de gestion de paquets comme le rafraîchissement du cache, la mise à jour du système ou l’installation et la suppression de paquets.

    Là où je l'ai vu utilisé il avait été modifié pour ne permettre l'installation que depuis le contenu d'une liste signée de paquets (pour éviter que les utilisateurs puissent installer tout et n'importe quoi), et il avait été aussi supprimé la possibilité de désinstaller un paquet (utile pour éviter qu'un utilisateur en pénalise un autre).

  • # Et il y a aussi

    Posté par  . En réponse au message Quoi lire maintenant ?. Évalué à 2.

    Dans le genre poétique on retrouve "Les Seigneurs de l'Instrumentalité" de Cordwainer Smith, c'est mon oeuvre de SF préférée, pitête que ce sera partagé.

    Si t'aimes bien les space opéra, façon bataille galactique: "Les Légions Immortelles" de Scott WESTERFELD (2 tomes), et aussi les 6 tomes (dont le dernier qui ferme l'opus est sorti il y a quelques mois à peine) de "La Flotte Perdue" de Jack Campbell. Ce sont des batailles navales avec les mêmes difficultés qu'ont rencontré il y a plusieurs siècles les grands amiraux sur l'océan.

    Y a du géopolitique ethnique dans ces trois visions de la colonisation et surtout de leurs conséquences: "Enfer", "Purgatoire" et "Paradis" de Mike Resnick.

    De Herbert, il n'y a pas que "Dune": "Destination Vide" et "L'incident Jésus" du cycle "Programme Conscience" m'ont beaucoup marqué. Quant aux préquelles et suites de Dune ils m'ont agréablement surpris et je me suis facilement laissé entraîné par les histoires du fiston.

    Une vision (plusieurs en fait) de l'anarchie qui m'a beaucoup plu: "Mars la rouge", "Mars la bleue" et "Mars la rouge" de Kim Stanley Robinson.

    Et impossible de terminer sans parler de la "Schismatrice" de Bruce Sterling.

    Bonne lecture