Le professeur a donc modifié Wikipedia et fournis des corrigés faux à des sites spécialisés, sur un obscure poème baroque, qu'il a donné à commenter à des élèves de 1er.
Il reproche donc à ses élèves (51 / 64) d'avoir recopier internet.
Il conclut :
"Leur servitude à l'égard d'internet va même à l'encontre de l'autonomie de pensée et de la culture personnelle que l'école est supposée leur donner. […] J'ai ensuite montré que tout contenu publié sur le web (…)