Scooby-Doo aime Linux !

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23
juin
2002
Audiovisuel
L'industrie du cinéma et plus particulièrement les studios d'effets spéciaux continuent d'adopter et d'utiliser du libre.
Ainsi, après par exemple les Harry Potter, Dr. Dolittle 2, The Grinch, La Planète des Singes, c'est Scooby-Doo qui sort prochainement en France qui s'est mis au libre.
Ce sont Linux et Film GIMP qui ont été entre autres utilisés.

Un homme sans passé

Posté par  (site web personnel) . Modéré par Pascal Terjan.
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9
nov.
2002
Cinema
Un homme arrive dans une ville par le train. A sa sortie de la gare, il se fait agresser par 3 délinquants. Peu après, il se reveille à l'hopital, ayant perdu la mémoire. Il ne se souvient plus qui il est, qui il était.

Laissé pour mort par les médecins, il se réveille miraculeusement et s'installe dans un container ... Le but de cette nouvelle n'étant pas de raconter toutes les aventures de cet homme, ce n'est qu'en allant voir ce film au cinéma que vous pourrez suivre les tribulations de cet homme sans passé.

Critique sans concessions du mode de vie capitaliste occidental, ce film finlandais est une véritable bouffée d'air frais. Loin de tromber dans le misérabilisme, chose simple quand on fait un film sur le quart monde, il remplit son rôle de comédie romantique douce amère. La bande originale est aussi pas mal du tout. Allez donc voir l'Homme Sans Passé, vous passerez un bon moment.

Mes enfants ne sont pas comme les autres

Posté par  (site web personnel) . Modéré par Nÿco.
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5
août
2003
Cinema
Voici un petit film français, réalisé par Denis Dercourt avec Richard Berry.

L'histoire est toute simple : dans la famille Debard, on est musicien. Donc, le grand père est chef d'orchestre, le père est violoncelliste dans un orchestre, la mère (décédée) etait violoncelliste soliste, l'oncle est compositeur (et sa femme chanteuse).

On suit donc la vie d'Adèle, la fille, violoncelliste, qui prépare des concours musicaux. A coté d'elle, son jeune frère cadet, est déjà excellent pianiste. Tous deux suivent la discipline de fer de leur père, prêt à tout pour qu'il réussissent.

Alors qu'elle tombe amoureuse de son accompagnateur, Adèle va se rebeller.

Je suis une légende

Posté par  . Modéré par rootix.
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28
déc.
2007
Culture
Malheureusement non je ne suis pas une légende (un jour peut être !), il s'agit du titre d'un film sorti en salle ce mercredi 19 décembre, film dont vous connaissez peut-être le roman éponyme, chef-d'oeuvre de Richard Matheson sorti en 1954, en pleine guerre froide.

Second film de Francis Lawrence ( son premier étant Constantine), il met en scène le célèbre Will Smith dans un contexte post-apocalyptique où il est le dernier survivant de la ville de New York et peut-être du monde entier. Coté casting, le moins qu'on puisse dire c'est que ça n'a pas du coûter trop cher, vu le peu d'acteurs qu'on y trouve.

Son synopsis est un grand classique du genre "zombie" : Un vaccin contre le cancer qui a muté et qui s'est propagé par voie aérienne a transformé tous les habitants en créatures asociales et très agressives qui veulent assouvir leur instinct de survie le plus primitif : manger. Will Smith interprète le scientifique de l'armée qui essayait de le vaincre. Le hasard a fait qu'il soit naturellement immunisé et le film retrace quelques tranches de vie, sa lutte contre les créatures et ses recherches pour fabriquer un vaccin.

Présenté comme un film catastrophe où un héros doit sauver le monde, il en ressort qu'il ne s'agit pas vraiment de cela, ce qui m'a réellement ravi. Contrairement au récent Resident Evil Extinction, on n'a pas affaire à un énième film où un soldat d'élite invincible et téméraire casse du zombie avec n'importe quel ustensile qui lui passe sous la main, et ce film s'éloigne heureusement de cette trame qui commençait un peu à me lasser.

Contrairement à ce que nous laisse penser la première scène (une course poursuite dans New York au volant d'une vrombissante Ford Mustang Shelby), nous avons pas affaire à un film 100% action mais plutôt à un anti-héro on ne peut plus humain (qui n'a quand même pas oublié comment faire des tractions ou comment se servir d'un fusil d'assaut, formation militaire oblige) et le film essaie de se focaliser sur ses faiblesses, sa sensibilité, sa peur, son désespoir, parfois son courage, bref tout ce qui fait de lui un humain par rapport aux créatures. Ponctuée de scènes sursautantes, ou d'autres humoristiques (parfois cyniques), ce film de "zombie" apporte une certaine fraîcheur au genre, qui nous avait plutôt habitué (ou même lassé) à des "slash'em all", tout en entretenant un certain suspense par moment.

Coté mise en scène, la désertion de New York est plutôt réussie, mais pas encore assez vertigineuse à mon goût, j'aurais aimé voir un peu plus le vide laissé par les habitants. Du coté des créatures, je trouve que leur "animalité" et déformations physiques ont été un peu exagérées, mais cela a permis d'appuyer sur l'impuissance du héros face à eux.

Mon sentiment final est donc qu'il s'agit d'un très bon film de zombie, qui nous change de ce à quoi on a été habitué, j'y ai passé un très bon moment, même si je suis un tout petit peu resté sur ma faim, sûrement à cause du final pas spécialement surprenant. Je le recommande à tous ceux qui veulent passer un bon moment de détente, qui aiment sursauter de temps en temps et qui aiment avant tous les films de zombies. Râleur en tout genre à la recherche de films d'auteurs à-la-festival de Cannes, bien évidemment, passez votre chemin !