http://linuxfr.org n'est pas accessible en IPv6.
C'est bien dommage pour un site de geek qui devrait montrer l'exemple
http://linuxfr.org n'est pas accessible en IPv6.
C'est bien dommage pour un site de geek qui devrait montrer l'exemple
Cher nal,
Il y a quelques années, on avait parlé (même ici, il me semble) de la loi obligeant les constructeurs à rendre les « équipements terminaux » compatibles IPv6 à partir de 2018. Cette loi, c'est la loi n° 2016-1321 du 7 octobre 2016 « pour une République numérique ». Je retrouve entre autres cette référence sur NextInpact : https://www.nextinpact.com/article/23904/101547-fibre-ipv6-neutralite-du-net-ce-que-loi-numerique-change-aux-telecoms.
Et bien l'article consacrant cette obligation, le n° 42 (!), vient d'être abrogé début décembre dernier par la (…)
Yo Nal, bien ou bien ?
Juste pour te dire qu'un cinglé s'est amusé à déployer un bot sur le /tmp de toutes les machines sur lesquelles il a pu se logger avec admin:admin, root:root, ou l'un des deux avec mot de passe vide.
Ben devine quoi : ça fait beaucoup de machines, mais alors beaucoup.
Le futur d'Internet est l'adressage IPv6 en lieu et place de l'actuel protocole IPv4, puisque nous sommes en train d'atteindre les limites de ce dernier.
Malgré ses indéniables atouts, le protocole IPv6 pose certaines questions sur le respect de la vie privée lors de sa configuration automatique. Nous proposons dans cette dépêche de passer en revue les problèmes et d'esquisser des solutions afin de mieux protéger sa vie privée avec IPv6.
Trop long, pas lu :
IPv6 est un excellent exemple de la différence entre la théorie et la pratique. Et le journal ne répond pas à la question du titre.
J'ai découvert ipv6 à la fin des années 90 dans mes cours à l'université où l'on m'a expliqué que ça réglerait le problème du nombre d'ip limité de ipv4 (oui, c'était une introduction au réseau, et on parlait encore de bus et d'étoile).
Mon premier vrai contact avec ipv6 a (…)
Un nouveau venu fait son apparition dans le monde des VPN peer-to-peer sur Internet : Freelan. Ce logiciel libre licencié sous GPL permet d'établir un réseau VPN entre différents hôtes selon, au choix, un modèle peer-to-peer, client-serveur ou hybride. N'importe quelle topologie réseau est possible.
Plus de détails dans la suite de la dépêche
IPv6 et ses mystères ! Ses RFC nombreuses et compliquées ! Ses mises en place de façon acrobatique pour cause de diçaïdeur pressay (« C’est dans le vent, on en parle, il faut qu’on y soit pour hier »), ou, au contraire, trop lentes (« C’est bon on a le temps, de toute façon, c’est compliqué, on n’y connaît rien et ça ne sert à rien »).
Tout ça et bien d’autres choses encore vous attendent dans le Lothaire YARDING (Yet Another Reference for Delivering IPv6 to the Next Generation).
Il s’agit d’un état de l’art sur l’IPv6 très récent (été 2012), avec des exemples d’expérimentations des différentes technologies environnantes. Ce contenu s’adresse à la fois aux personnes qui n’ont aucune connaissance en IPv6 et à ceux qui en ont déjà une bonne maîtrise, mais qui n’ont pas une idée claire de ce qui est réellement utilisable actuellement.
On le sait depuis longtemps, les adresses IPv4 sont en nombre trop limité pour subvenir aux besoins. C’est pour cela que l’on a créé IPv6. Leur mise en œuvre se fait toujours attendre et les problèmes qui se posent sont loin d’être tous résolus.
Devant le manque d’adresses IPv4, les FAI utilisent depuis longtemps les adresses dynamiques. Avec le développement de la fibre optique, Free a besoin de nouvelles adresses IPv4 car les adresses ADSL libérées ne peuvent pas être aussitôt réattribuées. Free a alors utilisé une même adresse IPv4 pour quatre utilisateurs, attribuant à chacun 16 384 ports, et ceci de façon transparente pour l’utilisateur… sauf pour certains.
En seconde partie de la dépêche nous verrons comment l’astuce utilisée par Free peut poser problème, comment vivre avec la pénurie des IPv4 en attendant de vraies solutions pérennes.
Malgré un peu de retard (la sortie était le 21 mai) sur LinuxFr.org, les développeurs du projet nmap sont heureux d'annoncer la sortie de la version 6.0 du célèbre scanner de ports et de sa suite d'outils compagnons ! La principale nouveauté est la prise en charge complète d'IPv6 : tous les types de scans sont dorénavant pris en charge. Un nouveau moteur de prise d'empreinte de pile TCP/IP a spécialement été écrit, utilisant des techniques d'apprentissage machine.
De nouveaux scripts pour l'analyse en détail des réseaux audités, des dizaines de nouvelles bibliothèques. À noter ici le travail incroyable de Patrik Karlsson qui est à lui seul l'auteur d'environ la moitié des 348 scripts du projet. De très nombreuses améliorations des scripts et bibliothèques existantes, ainsi que de l'interface du moteur de script.
Suit une description plus détaillée des principaux changements. Peut être celle-ci incitera Batman, utilisateur héroïque mais pas à jour, à mettre à jour pour la v6.0 !
NdM : merci à Nÿco, Christophe Turbout, Yves Bourguignon et Benoît pour leur participation à l'écriture de cet article.
$ ip addr show dev enp3s0 | sed -e's/^.*inet6 \([^ ]*\)\/.*$/\1/;t;d' | head -n 1 | tr -d : | tail -c 17 | xxd -r -p
SpaceFox
Facebook s'amuse depuis 2011, et il n'y a pas de raison qu'on ne puisse pas en faire autant.
Les adresses IPv6 sont virtuellement infinies : avec 2128 possibilités (les adresses font 128 bits de long), on peut coller, je cite Wikipédia, « 667 millions de milliards d'appareils connectés sur (…)
Bonjour,
Suite à un article de Linux Magazine à propos d'IPv6, je me suis souvenu que j'avais un document que j'avais fait durant mon cursus scolaire et que je m'étais toujours dit "un jour, il faudrait que je le diffuse, on sait jamais ça pourrait être utile à quelqu'un".
C'était, il y a déjà 6 ans et demi que j'ai rendu ce travail à mon collège !
(je ne sais pas à quoi ça correspond en France, mais en gros, avant (…)
Bonjour nal,
L'autre jour j'ai voulu ajouter un service de « cache » APT sur le réseau, et j'ai essayé de faire ça bien. J'ai une machine (sous Debian Stretch) déjà utilisée pour plusieurs choses, dont un serveur Web, et elle accueillerait bien ce service en plus, avec son honnête capacité de stockage disponible.
Je vais donc vous expliquer ma démarche, qui demande quand même quelques prérequis :
Cher journal,
Je t'écris peu mais ce n'est pas vraiment un bookmark. Au fosdem, où je suis pour le moment, ils ont mis le WiFi par défaut en IPv6 uniquement (avec DNS64 (donc des DNS menteurs) et NAT64 pour avoir quand même un minimum fonctionnel). Et c'est là qu'on se rend compte qu'on se rend compte que rien ne fonctionne si on n'a pas d'IPv4 (Android ne considère pas qu'il a un réseau s'il ne reçoit pas d'IPv4, ça a (…)
Grâce à la diffusion de la dépêche « IPv6 : Des poules et des hommes » proposée par Luc, mon travail sur IPv6 a eu l'opportunité d'être relu par bien plus de personnes que je n'aurais jamais pu l'espérer.
Principalement grâce aux nombreux retours venus de ici et ailleurs, on peut citer comme ajouts (en plus des typos corrigées) :