Vous rendez vous compte que vous êtes en train de nous dire que j'utilise quotidiennement ( et je ne suis pas le seul ) quelque chose qui n'existe pas ?
Je sais pas pour vous, mais je suis un peu choqué par la phrase
permettre à des enseignants contribuant à améliorer des logiciels libres de bénéficier d'une reconnaissance institutionnelle pour leurs efforts par une prise en compte dans leur salaire, dans leur carrière ;
Si on envisage les implications d'une telle phrase, ça laisse rèveur...
- On paye à la ligne de code ?
- On fait comment pour savoir qui a fait quoi dans un projet ?
- Les profs qui choisissent de mettre des cours en ligne plutôt que de les vendre à Hachette, on les rétribue aussi ?
- Et si je ne suis pas enseignant, et que je contribue à un projet éducatif, je suis rétribué ?
Je suis tout à fait d'accord pour pousser le logiciel libre dans l'Éducation Nationale, mais c'est un peu n'importe quoi, cette pétition.
Le problème, je crois, c'est que le terme anglais scalability a plusieurs sens.
Dans le cadre de l'article que tu cites, il y a effectivement un sens de « capacité à supporter la montée en charge ».
Dire que la liste des architectures suportées par LFS est la liste des plateformes de gcc est un peu rapide. Tellement rapide que ça ressemble fortement à une grosse erreur...
Tu peux postuler à un poste d'ingénieur et l'obtenir ( parfois ) quel que soit ton niveau d'études.
Tu abondes dans mon sens en disant qu'il vaut mieux refuser les postes qui ne sont pas des postes d'ingénieur, lorsqu'on a un diplome d'une école d'ingénieur.
Cela prouve bien que ce n'est pas le diplome qui donne le titre, mais le poste.
Quand aux grilles de salaires, c'est justement à cause d'elles qu'il faut dire et répeter qu'on peut être ingénieur sans sortir d'une école d'ingénieur. Je me suis souvent entendu dire que je ne pouvais pas prétendre à un poste d'ingénieur, malgrès une experience qui commence à être conséquente.
Ceci dit, je n'avais pas pris ton post aussi mal que le ton excessif de ma réponse pouvait le laisser croire, et je te remercie de ta civilité.
Le terme adéquat est « Ingénieur diplomé de telle école ».
Il y a une vraie différence entre, par exemple, docteur et ingénieur.
Une fois le doctorat obtenu, on est docteur, et on ne peut être docteur sans le doctorat. Point.
Ce n'est pas du tout vrai pour le titre d'Ingénieur, qui peut se gagner ou se perdre.
Ce genre de confusion est surtout dommageable pour les ingénieurs non issus d'école et confronté à des DRH obtus.
Et ça a quel sens, un diplôme d'ingénieur, à partir du moment ou tu peux être ingénieur sans l'avoir, et ou le fait de l'avoir n'implique pas que tu seras ingénieur ?
Une école d'ingénieurs délivre bien évidemment des diplômes, et est certainement soumise à un certain cahier des charges, mais le diplôme délivré n'est pas un diplôme d'ingénieur. C'est un diplôme sanctionnant la réussite dans la filière Ingénieur de telle école.
Et puis sois gentil, il m'arrive certainement de me tromper, mais pas de mentir.
Permets moi de prendre ta première phrase comme une insulte.
Tu sais, en France aussi ( et dans bien d'autres pays ) il est interdit de ne consulter qu'une seule entreprise lors d'un appel d'offre public.
Extrait du troisième lien :
Après enquête, il semble que le bureau des achats publics de la municipalité de Pékin a tenu des négociations en "tête-à-tête" avec Microsoft, bafouant le principe de concurrence entre plusieurs éditeurs, l'appel d'offres ayant pour seul prestataire Microsoft et les négociations étant limitées à une discussion sur le prix des licences.
Dans son sens originel, la démocratie du grec dèmokratia, « gouvernement du peuple » (de dèmos, « peuple » et kratos, « puissance », « souveraineté ») est un régime politique ou organisation sociale, où le peuple détient le pouvoir.
Et tu connais un exemple de système politique actuel répondant à cette définition ?
Faudrait peut-être arreter de dire n'importe quoi.
La diversité, donc le choix, sont une des grandes forces des LL.
Quand Gnome ou KDE ont commencé, il y avait surement des tas de gens qui pensaient que fvwm suffisait aux utilisateurs. On aurait développé pour qui, si les utilisateurs n'avaient pas eu le choix ?
Il ne faut pas oublier non plus que pour un projet, par exemple de gestionnaire de fenêtres, abouti et largement utilisé, il y en a de nombreux qui ne « prennent » pas. C'est aussi la liberté de choix des utilisateurs qui génère cette sorte de sélection naturelle qui est l'une des causes de la qualité des logiciels libres.
Je cite : Netscape était une entreprise commerciale et ce modèle ne lui a pas permis de concurrencer durablement la société de Bill Gates. C'est pourquoi Mozilla est une association indépendante, non lucrative et non commerciale […]. Nous sommes toutefois confrontés à d'autres difficultés, à savoir comment utiliser la marque que nous avons construite pour amener de l'argent dans notre organisation.
Si c’est le cas, leurs buts ne sont pas clairs et ça me gêne. Gagner de l’argent de son travail est parfaitement légitime, encore faut-il être très clair avec ses utilisateurs.
Je ne vois pas ce qui te gène, il n'y a pas d'incompatibilité entre le fait d'être une association non lucrative et l'action de chercher des fonds. Ce n'est pas par-ce qu'on cherche des fonds qu'on est une association commerciale. Regarde à peu près tout ce qui se fait comme ONG, par exemple, et tu verras qu'une part non négligeable de leur activité est la recherche de fonds.
Ceci dit, je suis pas du tout fan du RT sous NT, bien au contraire. Je penche beaucoup plus pour RTAI, et surtout pour Xenomai, dont j'ai même développé un ( petit ) bout.
Alors dans l'immédiat, où est l'intérêt d'avoir un système temps réel sur CD-Rom?
A mon avis, l'intérèt est surtout démonstratif, ça doit pas mal pousser dans le bon sens au moment de choisir un OS temps réel, ce genre de petit truc vite utilisable; et statistique, avec la base de données en ligne.
De plus, pourquoi est-ce qu'il faut patcher le noyau linux pour qu'il soit temps réel?
Ce la ne peut-il pas être intégré au noyau? (ça fait déjà un moment que j'en ai entendu parlé!)
Un système temps réel et un système généraliste poursuivent deux buts bien différents :
Le système généraliste souhaite une bonne performance dans le cas moyen et accepte un risque de surcharge ou de ralentissement, tandis qu'un système temps réel dur veut une performance garantie dans le pire des cas, en se souciant peu de la performance moyenne.
Pour les autres systèmes, il existe des OS temps réel sous NT, mais je ne connais pas, et FSMLabs a sorti RTCore/BSD. Le tout est du proprio, à ma connaissance.
Moi je veux rien configurer, je veux utiliser mon application de la même manière que j'utilise les autres applications de mon environnement, sans de voir m'adapter aux particularités "ergonomiques" issue de l'environnement initial de développement.
Tu es donc le client idéal pour GNUstep, la plateforme qui homogènise le plus l'ergonomie des applications.
On a tous été confrontés à des gens qui critiquent le Linux sans le connaitre.
Du genre « Linux c'est de l'UNIX, ça a 30 ans, il faut vivre avec son temps »; « C'est un joujou pour développeur »; « Ca fait pas tourner mes applications »; « c'est pas beau » ( Celle la, c'était il y a longtemps... )
Franchement, ça me gonfle un peu d'entendre les mêmes arguments ici, contre GNUstep.
Adeos est une implémentation du principe de bus d'interruptions.
En gros, il capte les interruptions matérielles, et les distribue à ses clients, qui peuvent être des OS généralistes ou temps-réel.
Les clients recoivent les interruptions chacun à leur tour, et peuvent décider de les laisser poursuivre ou pas.
Pour RTAI, le principe est qu'un micro-noyau temps-réel est client du bus, ainsi que le noyau linux.
Le noyau temps-réel étant placé avant linux sur le bus, il décide quelles interruptions laisser passer à linux, et quand, ce qui lui permet de respecter ses contraintes.
Pour mémoire, dans l'ancien RTAI, ( et dans RTLinux, beurk ) le noyau temps réel avait linux pour tâche de plus basse priorité, ce qui lui permettait aussi de ne donner la main à linux que dans la mesure où ses contraintes le lui permettaient.
L'inconvénient d'adeos, c'est que pour qu'un système puisse l'utiliser, il doit être modifié spécifiquement. Ce n'est pas un gros travail, mais ca exclut à priori les OS propriétaires.
Je crois que ce que tu ne comprends pas dans nos inquiétudes, c'est que si procès il y a, ce sera contre une personne morale ou physique.
Sans cet accord, la personne attaquée ( par exemple pour violation de brevet ) est naturellement Sun, contributeur, initiateur du projet OOo et propriétaire de StarOffice.
Avec cet accord, qui va trinquer ?
Et celui qui va se retrouver avec un procès sur les bras, pour, toujours par exemple, une violation de brevet, il aura peut-être un peu les nerfs de voir que Sun n'est pas dans le box avec lui, alors que la faute est a priori la même, non ?
Enfin, se sortir de la merde en y laissant les copains est rarement illégal, mais c'est souvent pas très élégant.
[^] # Re: Un grand oublié
Posté par Barnabé . En réponse au sondage Le vaporware de l'année 2004 :. Évalué à -7.
[^] # Re: 13 % de « code mort »
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche 985 bugs dans le noyau Linux. Évalué à 1.
# Encore un truc bizarre
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche Pétition pour soutenir le développement de logiciels libres pour l'éducation. Évalué à 4.
- On paye à la ligne de code ?
- On fait comment pour savoir qui a fait quoi dans un projet ?
- Les profs qui choisissent de mettre des cours en ligne plutôt que de les vendre à Hachette, on les rétribue aussi ?
- Et si je ne suis pas enseignant, et que je contribue à un projet éducatif, je suis rétribué ?
Je suis tout à fait d'accord pour pousser le logiciel libre dans l'Éducation Nationale, mais c'est un peu n'importe quoi, cette pétition.
[^] # Re: traduction
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche NetBSD 2.0 vient de sortir.. Évalué à 1.
Dans le cadre de l'article que tu cites, il y a effectivement un sens de « capacité à supporter la montée en charge ».
Par contre, ca peut aussi vouloir dire « capacité à s'adapter à des systèmes de tailles différentes », voir par exemple http://www.osnews.com/story.php?news_id=161(...)
[^] # Re: ça ou LFS
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche NetBSD 2.0 vient de sortir.. Évalué à 6.
[^] # Re: Balèse?
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche Prologin Edition 2005. Évalué à 2.
Tu abondes dans mon sens en disant qu'il vaut mieux refuser les postes qui ne sont pas des postes d'ingénieur, lorsqu'on a un diplome d'une école d'ingénieur.
Cela prouve bien que ce n'est pas le diplome qui donne le titre, mais le poste.
Quand aux grilles de salaires, c'est justement à cause d'elles qu'il faut dire et répeter qu'on peut être ingénieur sans sortir d'une école d'ingénieur. Je me suis souvent entendu dire que je ne pouvais pas prétendre à un poste d'ingénieur, malgrès une experience qui commence à être conséquente.
Ceci dit, je n'avais pas pris ton post aussi mal que le ton excessif de ma réponse pouvait le laisser croire, et je te remercie de ta civilité.
[^] # Re: Balèse?
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche Prologin Edition 2005. Évalué à 1.
Il y a une vraie différence entre, par exemple, docteur et ingénieur.
Une fois le doctorat obtenu, on est docteur, et on ne peut être docteur sans le doctorat. Point.
Ce n'est pas du tout vrai pour le titre d'Ingénieur, qui peut se gagner ou se perdre.
Ce genre de confusion est surtout dommageable pour les ingénieurs non issus d'école et confronté à des DRH obtus.
[^] # Re: Balèse?
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche Prologin Edition 2005. Évalué à -5.
Une école d'ingénieurs délivre bien évidemment des diplômes, et est certainement soumise à un certain cahier des charges, mais le diplôme délivré n'est pas un diplôme d'ingénieur. C'est un diplôme sanctionnant la réussite dans la filière Ingénieur de telle école.
Et puis sois gentil, il m'arrive certainement de me tromper, mais pas de mentir.
Permets moi de prendre ta première phrase comme une insulte.
[^] # Re: Balèse?
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche Prologin Edition 2005. Évalué à -5.
Les écoles d'ingénieur ne délivrent pas de diplômes d'ingénieurs.
Un diplôme d'ingénieur, ça n'existe simplement pas.
[^] # Re: Et la liberté dans tout ça
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche La municipalité de Pékin opte pour des logiciels "nationaux" libres et non libres. Évalué à 10.
Extrait du troisième lien :
[^] # Re: Et la liberté dans tout ça
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche La municipalité de Pékin opte pour des logiciels "nationaux" libres et non libres. Évalué à 5.
[^] # Re: C'était il y a 6 ans...
Posté par Barnabé . En réponse au sondage Linux est-il prêt pour le desktop ?. Évalué à 4.
C'est vrai que ca parait plus simple sous Windows, mais au moins là où je travaille, ce n'est pas le boulot des secrétaires.
Le problème des débats sur le desktop, c'est que le terme même de desktop n'a aucun sens. Ou alors il en a trop, autant que d'utilisateurs.
Tiens, un sondage express : pour vous, ça veut dire quoi, desktop ?
Lachez vous, je serais pas très étonné que les réponses divergent assez fortement.
[^] # Re: KDE et GNOME
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche LinuxFR, vainqueur du choix des lecteurs du Linux Journal. Évalué à -1.
La diversité, donc le choix, sont une des grandes forces des LL.
Quand Gnome ou KDE ont commencé, il y avait surement des tas de gens qui pensaient que fvwm suffisait aux utilisateurs. On aurait développé pour qui, si les utilisateurs n'avaient pas eu le choix ?
Il ne faut pas oublier non plus que pour un projet, par exemple de gestionnaire de fenêtres, abouti et largement utilisé, il y en a de nombreux qui ne « prennent » pas. C'est aussi la liberté de choix des utilisateurs qui génère cette sorte de sélection naturelle qui est l'une des causes de la qualité des logiciels libres.
[^] # Re: Trop de pragmatisme mène au statu quo
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche Firefox 1.0 RC1 et autres nouvelles de Mozilla. Évalué à 3.
[^] # Re: a propos du temps réel
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche Linux temps réel sur un Live CD. Évalué à 1.
Un petit coup d'oeuil sur http://www.tenasys.com/intime_dev.html(...) t'aurait montré que la partie temps-réel est quand même pas mal accessible depuis la partie NT.
Ceci dit, je suis pas du tout fan du RT sous NT, bien au contraire. Je penche beaucoup plus pour RTAI, et surtout pour Xenomai, dont j'ai même développé un ( petit ) bout.
[^] # Re: a propos du temps réel
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche Linux temps réel sur un Live CD. Évalué à 1.
# Une réponse amusante.
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche Peut-on se payer le noyau Linux ?. Évalué à 10.
http://www.ussg.iu.edu/hypermail/linux/kernel/0410.2/0866.html(...)
En gros :
J'offre arch/m68k/sun3/leds.c ( sous double licence GPL et BSD ) pour le prix de deux bières.
J'ai bien sûr regardé le code :
[^] # Re: a propos du temps réel
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche Linux temps réel sur un Live CD. Évalué à 1.
[^] # Re: a propos du temps réel
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche Linux temps réel sur un Live CD. Évalué à 2.
Un système temps réel et un système généraliste poursuivent deux buts bien différents :
Le système généraliste souhaite une bonne performance dans le cas moyen et accepte un risque de surcharge ou de ralentissement, tandis qu'un système temps réel dur veut une performance garantie dans le pire des cas, en se souciant peu de la performance moyenne.
Pour les autres systèmes, il existe des OS temps réel sous NT, mais je ne connais pas, et FSMLabs a sorti RTCore/BSD. Le tout est du proprio, à ma connaissance.
[^] # Re: Performances.. ?
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche Linux temps réel sur un Live CD. Évalué à 4.
Par contre, il a des performances garanties.
[^] # Re: enlarge your penis
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche 10 ans d'OpenStep. Évalué à 0.
Tu es donc le client idéal pour GNUstep, la plateforme qui homogènise le plus l'ergonomie des applications.
# Un peu de mémoire...
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche 10 ans d'OpenStep. Évalué à 5.
Du genre « Linux c'est de l'UNIX, ça a 30 ans, il faut vivre avec son temps »; « C'est un joujou pour développeur »; « Ca fait pas tourner mes applications »; « c'est pas beau » ( Celle la, c'était il y a longtemps... )
Franchement, ça me gonfle un peu d'entendre les mêmes arguments ici, contre GNUstep.
[^] # Re: différences avec uml et vservers
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche Adeos, des noyaux dans le noyau. Évalué à 8.
En gros, il capte les interruptions matérielles, et les distribue à ses clients, qui peuvent être des OS généralistes ou temps-réel.
Les clients recoivent les interruptions chacun à leur tour, et peuvent décider de les laisser poursuivre ou pas.
Pour RTAI, le principe est qu'un micro-noyau temps-réel est client du bus, ainsi que le noyau linux.
Le noyau temps-réel étant placé avant linux sur le bus, il décide quelles interruptions laisser passer à linux, et quand, ce qui lui permet de respecter ses contraintes.
Pour mémoire, dans l'ancien RTAI, ( et dans RTLinux, beurk ) le noyau temps réel avait linux pour tâche de plus basse priorité, ce qui lui permettait aussi de ne donner la main à linux que dans la mesure où ses contraintes le lui permettaient.
L'inconvénient d'adeos, c'est que pour qu'un système puisse l'utiliser, il doit être modifié spécifiquement. Ce n'est pas un gros travail, mais ca exclut à priori les OS propriétaires.
[^] # Re: Incompatibilité de licence?
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche Bruce Perens appelle les développeurs d'OpenOffice.org à ne plus fournir de code à Sun. Évalué à 2.
Sans cet accord, la personne attaquée ( par exemple pour violation de brevet ) est naturellement Sun, contributeur, initiateur du projet OOo et propriétaire de StarOffice.
Avec cet accord, qui va trinquer ?
Et celui qui va se retrouver avec un procès sur les bras, pour, toujours par exemple, une violation de brevet, il aura peut-être un peu les nerfs de voir que Sun n'est pas dans le box avec lui, alors que la faute est a priori la même, non ?
Enfin, se sortir de la merde en y laissant les copains est rarement illégal, mais c'est souvent pas très élégant.
[^] # Re: Le Libre
Posté par Barnabé . En réponse à la dépêche De l'Éducation nationale, de Microsoft, et des logiciels libres. Évalué à 3.
Quelle est la part des logiciels « tout en un » parfaitement adaptés aux besoins d'une entreprise ?
Pour ceux qui ne le sont pas, quel est le coût de la différence entre le besoin et la solution proposée ?
Je pense pour ma part que ce coût est généralement sous-estimé, car il est assez diffus.
Ceci dit, nous devrions faire attention, nous allons finir par avoir un vrai débat respectueux et constructif...