celui qui adopte une licence BSD a une démarche esthétique, c'est pourquoi il ne désire pas imposer de limites ; alors que celui qui adopte la GPL instrumentalise le droit afin de garantir une utilité maximale (dans le temps) à ses créations.
Ces deux visions sont-elles conciliables ? Je ne pense pas.
Toi tu ne lis pas assez ;)
Les licences s'appliquent parfaitement à des domaines différents. Les licenses BSD (j'inclu ici apache avec, comme d'hab) est idéale dès lors que tu souhaites promouvoir un standard. Si tu utilises la license BSD pour autre chose (genre un programme alacon python-qt) ben tu sais ce que tu fais.
Si les gens de BSD l'ont aussi mauvaise, faut essayer de se mettre à leur place : ils ont contribués et contribuent énormément à de nombreuses briques, pour plein de système. Pour l'instant le retour a toujours été équitable. Mais avec les derniers développements sur le noyau linux, il n'y a plus que deux solutions : ou on en profite pas ou on en profite. Or la deuxième solution implique des développements au-dessus qui vont faire chier les gens de BSD. Et la première n'est pas leur tasse de thé, vu que ce noyau ils ne l'utilisent que peu.
En bref, c'est une question d'échelle. Imagine toi à la place non pas d'un type comme toi et moi qui fait du java en bsd mais de quelqu'un travaillant plus bas. Là, la différence est très nette. Il risque fort de n'avoir aucun autre bénéfice que son travail en échange de son travail. Bon après on peut troller sur "peut être n'ont ils pas choisis la bonne licence dès le début si 1.ils ne font pas du réseau 2.ils ne font pas des trucs en java. Moui, on peut troller)
Les mecs clean ne sont jamais au pouvoir.
Parceque les mecs cleans ne fréquentent pas le pouvoir.
Et que de toute façon ils n'ont pas le caractère pour le pouvoir.
Au final, les mecs ont s'en bra**** un peu. L'essentiel c'est ce qu'ils vont faire. S'ils instaurent la liberté de parole, la liberté de presse, l'égalité homme femme, alors le reste n'a que peu d'importance.
Quant à l'indépendance de la justice et de la police, faut pas rêver, quand même. Mais s'ils instaure un début de société moderne et civilisée, et signent des accords avec d'autres pays, peut être que ceux là se retrouvaient en position d'être extradés pour être présentés devant la justice bulgare ? Non, faut pas rêver.
Prends plutôt en référence les gens du CNRS.
Ils ont l'avantage de ne pas publier pour justifier ;-)
Bon la recherche étant insupportable, je laisse tomber (il propose la page 9 de mes commentaires pour le mots clefs "cnrs 2018", et sur la page... ben c'est pas là. Pu****) l'espoir de retrouver les liens vers les articles du CNRS sans être obliger d'y passer une heure.
Après il y a le //modeévidence : je suis loin d'être un spécialiste. Je ne fais que souligner les contradictions de publications des spécialistes, et indique clairement _ma préférence pour les publications dénuées d'intérêts directs.
Je me demande pourquoi on est pas capable de produire des centrales nucléaires qui seraient construites pour plusieurs centaines d'années.
Parcequ'à un moment le coût d'entretien dépasse le coût de renouvellement.
Mais effectivement, il est plus sage certainement, d'entretenir correctement d'anciennes installations plutôt que de multiplier les nouvelles, tant que le rapport au dessus est bon. Mais faire gober ça au grand public c'est pas simple.
Tout doit être changer régulièrement, les joints toriques par exemple, sont de petits objets dont peu se pré-occuppent (bouh, ces bouts de plastoc) mais dont l'intérêt est primordial. Il en va ainsi pour chaque pièce, de la plus infime à la plus importante (point de vue production), et la classification se fait en fonction de son exposition aux rayonnements.
On peut plus utiliser l'uranium en dessous d'un certain niveau de radiation ?
Relis les précédents dépêches, si elles ne sont pas parfaitement claires, elles ont au moins le mérite de poser les bases assez simplement. Les crayons (les barres de combustibles) ont une durée de vie limité. Lorsqu'il s'agit d'uranium en tant que combustible, son usage produira naturellement du plutonium (et des éléments en plus faibles quantités mais plus difficiles encore à traiter). C'est de ce constat qu'est venu l'idée de recycler tout cela en un nouveau combustible : le MOX (ou plutôt les mox), mélange d'uranium et de plutonium. Mais à partir d'un certain niveau de plutonium (environ 30%) il n'est plus possible de l'utiliser dans les installations standards. A chaque cycle on obtiens un combustible de plus en plus dangereux, de plus en plus difficile et dont la demi-vie devient exponentielle. Mais là encore va faire comprendre au grand public que 2000 ans et 50 000 ans c'est pas pareil, à l'échelle d'une vie égoïste ça revient au même.
L'objectif serait de n'avoir que des déchets à vie ne dépassant pas 100 ans. Mais ça, c'est pas un epr rempli de mox qui nous l'apportera. Cela sera plutôt des sels-thorium dans un système à haute température.
Dites, quand est ce que spécialistes de la spécialité vont nous prouver qu'ils savent vraiment recycler totalement un site ? Parce qu'ils sont les meilleurs mondiaux, quant même, et ça serait un peu con que les meilleurs mondiaux ne sachent pas démonter et nettoyer une installation. Pour le moment absolument rien n'est venu prouver cette capacité là.
Dans le contexte actuel, continuerons nous à vendre ce savoir faire sans avoir prouvé que la chaîne complète de vie était maîtrisée ?
un monde bi-polaire, le blanc et le noir, toussa.
bullshit.
on pourrait faire un papier sur comment la position de cette entité a permis de s'assurer de la hierarchie réelle dans la rebellion, qui étaient les donneurs d'ordres, pour quoi, quel réseau. Et au final, comment cette entité a aidé à avoir des informations fiables.
Le subutex classique n'est pas fait du tout pour être injecté
Ouhaip. Et alors que la pharmacie dispose d'un produit efficace, son emploi est refusé par les instances politiques. Le skenan répond à ce besoin de disposer d'un outil légal correspondant à la phase où la personne se situe sur un premier stade de controle de sa consommation (ce que permet la propreté du produit, mais surtout sa disponibilité contrôlée) tout en continuant d'avoir un rapport à l'injection et au flash.
Bref, à chaque étape du traitement il existe une solution déjà prête.
Mais bizarrement ce type de solution est mal vue par (une frange de plus en plus minoritaire, mais à qui on a tellement menti pendant tellement longtemps que ça va être dur maintenant de changer les choses...). L'usage des subbutex (je vois qu'il existe maintenant des génériques, et -surtout- des variantes)
Croire qu'il suffit de donner un substitut sous une forme non-injectable est illusoire. Le rapport psychologique et social (induit plus par le cadre de consommation que par le produit) est bien plus fort que la réelle dépendance physique (bien que la buprénorphine présente un sevrage physique de un mois alors que l'héroïne c'est une semaine). L'aspect psychologique et social est le point le plus important. Et le mode de consommation (issu de la dépendance au marché noir) est une clef essentielle.
Les salles de shoot sont un excellent outil : elles ritualisent la consommation au delà du simple bénéfice de l'encadrement.
Pour élargir, on peut se demander ensuite s'il ne devrait pas y avoir un droit au delà de la réglementation dans le cadre de la réhabilitation. Les voitures peuvent aller à 170km/h, ce n'est pas pour cela qu'une majorité de gens roulent comme des fous. Pour boucler sur une touche d'humour geek : c'est parce qu'il n'existe pas d'howto fiable sur la consommation de ces produits que beaucoup de gens font n'importe quoi avec. Et ce n'est pas l'interdiction qui paliera à l'absence d'informations. ;)
Tu as lu wikipedia, toi :-) La buprénorphine est un (type de) sulfate de morphine. Mais toute précisions de chimie correcte éclaire mieux. Merci. j'emploi un vocabulaire "de la rue" et des w sociaux (ce qui résume, par exemple le sulfate de morphine) et effectivement merci de préciser pour le subboxone.
Après recherche, difficile de re-trouver des infos dessus de nos jours. Donc tu me met le doute sur la présence de coagulant dans les préparations de subbu. Par contre là où il n'y a aucun doute c'est sur le résultat, systématique, de l'injection de subbu sans préparation préalable. Si ce n'est pas des coagulants, il y a bien des ajouts dans les préparations de subbutex afin d'empêcher un usage détourné (nommé "usage de consommation" en opposition à "usage de substitution")
La précision du cadre (d'utilisation) permet de nettement différencier de l'usage courant pour lequel il est administré. Est ce une dérive de certains médecins ? une incompréhension ? je sais pas, je juge pas. Mais nous sommes bien en présence d'un outil correspondant à un type d'usage : celui utilisable lorsque la personne a déjà franchi les stades de : 1.contrôler sa consommation. 2.arrêter le shoot. 3.arrêter le flash. Ce qui est bien précis, et correspond parfaitement au produit. Malheureusement il n'est pas utilisé comme cela, et vient trop tôt. Il manque d'autres outils le précédant, typiquement le skenan lorsque la personne n'est pas encore au stade de laisser tomber le flash, et se situe entre le stade du contrôle de consommation et de l'arrêt du shoot (le sken' pouvant être utilisé dans ces deux cas)
C'est le plus difficile : décrocher des rituels et des habitudes. Plus encore que changer de fréquentations (secondaires, en général, cela se fait naturellement en phase terminale du traitement). C'est bien plus difficile cela que de décrocher de l'usage de confort. C'est pourquoi il manque un outil permettant de faire le lien entre la consommation ritualisée (autour des préparations, des gestes, etc) et la consommation de substitution.
Malheureusement dans ce type de pathologie (lorsque la dégradation médicale, psychologique et sociales sont installées) une substition immédiate ne suffit pas. Et l'usage intraveineux du subbu n'améliore pas la situation médicale.
Tu ne t'es pas mal exprimé! C'est moi qui est pris la perche de la conclusion :) (en sachant que tu ne mettais pas de côté l'humain, mais la perche était belle :p )
On a déjà à faire à une population fragile, et à tendance auto-destructrice (la consommation de produits aussi violents pour la santé dénotant plus qu'une recherche -un peu idiote de cette manière- de sensations fortes et de plaisirs). Ce type de consommation peut totalement être enraillée (voir les études en Suisse, les plus précises et parfois les plus choquantes, aussi, pour notre regard) dès lors que cette population a accès à des produits de qualité. On peut résumer la situation par un "ce n'est pas parcequ'ils sont un peu cons à un moment donné qu'ils ne méritent pas le temps de la réflexion et du changement", situation assez typique où la prise de contrôle n'ajoute que des bénéfices.
Ouhaip, et c'est la seule réussite attribuable à la répression et la criminalisation des drogues du sud. (réussite qu'on pourrait atteindre aussi par le contrôle, mais faut quant même pas oublier qu'il y a eu quant même eu cette réussite là. Unique, certes). Celle de l'absence de substance base directement importée. Pour la cocaïne, la pasta, qui n'est jamais arrivé en France sous cette forme, ce qui a préservé le marché du crack.
Le crack est inexistant en France (ou plutôt consommé quasiment exclusivement dans le milieu antillais) : c'est à dire que médicalement le crack français est le même qu'aux usa (ou aux antilles) mais socialement cela n'a rien à voir. Le crack français est préparé à partir de cocaïne (on la "base", ce qui produit un isomère du c17h21no4). Le prix sur le marché est donc sans commune mesure avec le crack préparé avec les résidus de purification de la pasta. Grâce à cela nous n'avons jamais connu de "déferlante crack" comme les usa l'ont connus à la fin des années 80.
Pareil pour les résidus de morphine lors de la préparation d'héroïne : la rachacha est fabriqué en europe de l'est puis importée. Ce qui la place en terme de prix dans une situation elle ne peut pas "déferler" sur le marché.
Les malades ayant de grandes douleurs récurantes ?
Ouhaip, mais c'est très minoritaire. Le skenan est typiquement un opiacé de confort. Le malade souffrant de grandes douleurs récurrentes passera par les divers paliers de morphinique (du stade 1 au stade 4). Et le skenan peut être avantageusement remplacé par d'autres types de préparations, plus efficaces. Par exemple celles diminuant l'effet de flash et allongeant l'effet anti-douleur.
C'est donc certainement l'usage classique le plus répandu : celui de la médication ambulatoire ou à domicile, mais c'est avantageusement -nettement- remplacé par d'autres morphiniques. Il est probable qu'il s'agisse d'une consommation bien moindre que la consommation de confort, récréative, accordée semble t il assez largement. Mais il est difficile, voire impossible, d'obtenir des chiffres précis mettant en rapport la production et les cadres de consommation, en France. C'est la question qui fache car il existe une consommation de confort de ce type de substances, qui est complètement tabou, ces gens ne sont jamais désignés comme des 'drogués', panache des consommateurs 'hors la loi'. C'est cette hypocrisie qui est surprenante. (Et dire que des gens conduisent avec ça ...)
Et il n'existe pas en France d'autorisation d'utilisation d'autres types d'anti-douleurs reconnus, malheureusement. C'est à dire qu'une personne souffrant d'une maladie chronique engendrant des douleurs récurrentes n'aurait accès qu'à des médications faibles puis directement aux opiacés. Or, entre les médications faibles et les opiacés de palier 2 et 3, il existe d'autres substances intéressantes. Le problème majeur des opiacés est l'effet d'accoutumance : il est rapide de devoir augmenter les doses pour produire le même effet. Le second est l'effet incapacitant : sous l'emprise initiale la personne ne peut pas faire grand chose à pas attendre dans un fauteuil... pas terrible. C'est dommage car d'autres pays (les USA dont la FDA est plutôt exemplaire, le Canada, la Suisse, l'Angleterre, etc etc) ont commencés l'utilisation des CBN et CBD, qui n'ont pas d'effet accoutumance : pas besoin d'augmenter les doses. Ni d'effet handicapant : la personne peut rester active. Mais ici la question reste tabou, trop lié à la culture, trop émotive, manquant de recul et d'objectivité, certainement.
ps : j'ai oublié le 'tem' (temgésic), et oui ces sujets m'ont passionnés, fut un temps.
La question qui tue :
le skenan n'est pas utilisé en milieu hospitalier, ou très très peu.
le skenan ne peut être prescrit dans un cadre d'un programme de réhabilitation (médicale, sociale)
le skenan est disponible partout, sur prescription
mais alors, qui achète le skenan ?
C'est le résultat classique des injections de produits contenant des coagulants.
Par exemple, en France il n'existe toujours pas de protocole complet de soin incluant au départ la prise contrôlé, pour travailler en premier lieu sur les effets sociaux. Le protocole ne commence qu'avec le substitut, qui se présente sous deux formes: méthadone ou subutex. La méthadone étant encadrée de manière particulière, elle est l'outil de la troisième phase. Le subbutex devant être celui de la seconde phase : celle du traitement des habitudes et du commencement des soins médicaux. Or le subbutux est détourné de son usage, car de nombreux toxicos ne sont pas prêts psychologiquement (ils leur faudrait la fameuse première phase), et beaucoup se retrouvent à s'injecter du subbutex.
Or le subbutex n'est rien d'autre que du sulfate de morphine, mais additionné de coagulant, justement pour éviter l'usage intraveineux. Faut être vraiment con, peu empathique, pour ne pas voir que ça ne va pas : on projette ce que nous ferions sur eux.
Donc, pour avoir vu défiler de nombreux bras et jambes ravagés par le subbutex, cela correspond parfaitement à la description journalistique des effets de cette "drogue" : une apparente nécrose de la peau, avec dé-sèchements des chairs, et des veines d'un bleu cobalt du plus bel effet : t'as l'impression que le bras va tomber tout seul ... C'est en fait le résultat des coagulants ajoutés à la drogue.
(alors que pour ces gens, pas encore prêts pour décrocher du rapport à l'injection, il existe le skenan : propre et controlable)
Donc ça pourrait tout aussi bien être une simple coupe, ajouté pour produire de manière volontaire cet effet là. Et ça ne peut avoir aucun intérêt commercial.
allez hop, dans le troll
ça pu la manipulation, ouhaip.
Et ce n'est pas la première fois qu'on voit apparaître des drogues dont les effets pour le corps sont extrèmement violents et rapides. C'est louche. Il faut savoir qu'en Russie, culturellement, les drogues ne sont pas prises comme un problème, et ne sont pas traitées tel un problème "à part". La consommation de toutes les drogues y est historiquement assez bien tolérés. Ce sont les effets médicaux et sociaux qui ne le sont pas, soit l'abus. Le toxico est alors plutôt considéré comme un malade mental, et selon les époques envoyés en camp ou en tôle ou à l'hôpital.
Une drogue qui détruit aussi vite ses consommateurs n'a aucun intérêt commercial. C'est très louche de voir apparaître encore une fois ce type de produit sur le marché (après la rachacha coupé à jesaisplusquoi, qui transforme les poumons en passoire en moins de dix prises). Ca ressemble fortement à une manipulation. De qui et pour quoi, ça ce sont les spéculations.
ps : pour la codéïne, faut être un peu "chtarbé" quant même :p alors que le big top c'est le sulfate de morphine (nom commercial français : skenan) Peu d'effets secondaires, un flash très clair, un contrôle facile, très pur donc très propre sur le corps, seul l'abus et l'usage irraisonné pose problème. Bon, ok, la codéïne est plus facilement accessible.
ps : pour ceux se posant la question, je ne suis ni pharmacien ni drogué :p juste ancien w social dans une autre vie :p
[^] # Re: Vous avez dit «partage» ?
Posté par bubar🦥 . En réponse à la dépêche Les serveurs de kernel.org ont été compromis. Évalué à 0.
heu, vous pouvez moinssez ce message au dessus, svp ? il correspond parfaitement à la définition "inutile"
désolé
[^] # Re: Ca c'est la meilleure
Posté par bubar🦥 . En réponse à la dépêche Les serveurs de kernel.org ont été compromis. Évalué à 4.
pas besoin d'être aigri pour trainer sur irc les forums et dlfp à raconter n'importe quoi :p
[^] # Re: Vous avez dit «partage» ?
Posté par bubar🦥 . En réponse à la dépêche Les serveurs de kernel.org ont été compromis. Évalué à -3.
Toi tu ne lis pas assez ;)
Les licences s'appliquent parfaitement à des domaines différents. Les licenses BSD (j'inclu ici apache avec, comme d'hab) est idéale dès lors que tu souhaites promouvoir un standard. Si tu utilises la license BSD pour autre chose (genre un programme alacon python-qt) ben tu sais ce que tu fais.
Si les gens de BSD l'ont aussi mauvaise, faut essayer de se mettre à leur place : ils ont contribués et contribuent énormément à de nombreuses briques, pour plein de système. Pour l'instant le retour a toujours été équitable. Mais avec les derniers développements sur le noyau linux, il n'y a plus que deux solutions : ou on en profite pas ou on en profite. Or la deuxième solution implique des développements au-dessus qui vont faire chier les gens de BSD. Et la première n'est pas leur tasse de thé, vu que ce noyau ils ne l'utilisent que peu.
En bref, c'est une question d'échelle. Imagine toi à la place non pas d'un type comme toi et moi qui fait du java en bsd mais de quelqu'un travaillant plus bas. Là, la différence est très nette. Il risque fort de n'avoir aucun autre bénéfice que son travail en échange de son travail. Bon après on peut troller sur "peut être n'ont ils pas choisis la bonne licence dès le début si 1.ils ne font pas du réseau 2.ils ne font pas des trucs en java. Moui, on peut troller)
[^] # Re: Interessant
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Répression et peines de prison. Évalué à 2.
Ben oui c'est ok. Et c'est même un métier.
Mais je suppose que tu sous-entendais "sans avertir le client" ;-)
[^] # Re: Nos technologies ??
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal La répression en Libye grâce à nos technologies. Évalué à 3.
Les mecs clean ne sont jamais au pouvoir.
Parceque les mecs cleans ne fréquentent pas le pouvoir.
Et que de toute façon ils n'ont pas le caractère pour le pouvoir.
Au final, les mecs ont s'en bra**** un peu. L'essentiel c'est ce qu'ils vont faire. S'ils instaurent la liberté de parole, la liberté de presse, l'égalité homme femme, alors le reste n'a que peu d'importance.
Quant à l'indépendance de la justice et de la police, faut pas rêver, quand même. Mais s'ils instaure un début de société moderne et civilisée, et signent des accords avec d'autres pays, peut être que ceux là se retrouvaient en position d'être extradés pour être présentés devant la justice bulgare ? Non, faut pas rêver.
[^] # Re: Tout ça pour la modique somme de...
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Flamanville ou Flaman rose ?. Évalué à 2.
Prends plutôt en référence les gens du CNRS.
Ils ont l'avantage de ne pas publier pour justifier ;-)
Bon la recherche étant insupportable, je laisse tomber (il propose la page 9 de mes commentaires pour le mots clefs "cnrs 2018", et sur la page... ben c'est pas là. Pu****) l'espoir de retrouver les liens vers les articles du CNRS sans être obliger d'y passer une heure.
Après il y a le //modeévidence : je suis loin d'être un spécialiste. Je ne fais que souligner les contradictions de publications des spécialistes, et indique clairement _ma préférence pour les publications dénuées d'intérêts directs.
[^] # Re: Numerama..
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Répression et peines de prison. Évalué à 2.
Et puis ce n'est pas inexact, dans la mesure où ici si aucune licence n'est spécifiée, alors le droit d'auteur s'applique par défaut.
non ?
[^] # Re: Il y a pire...
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Répression et peines de prison. Évalué à 2.
Ils ont parfois le chic pour les formules ... \o/
[^] # Re: Tout ça pour la modique somme de...
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Flamanville ou Flaman rose ?. Évalué à 5.
Parcequ'à un moment le coût d'entretien dépasse le coût de renouvellement.
Mais effectivement, il est plus sage certainement, d'entretenir correctement d'anciennes installations plutôt que de multiplier les nouvelles, tant que le rapport au dessus est bon. Mais faire gober ça au grand public c'est pas simple.
Tout doit être changer régulièrement, les joints toriques par exemple, sont de petits objets dont peu se pré-occuppent (bouh, ces bouts de plastoc) mais dont l'intérêt est primordial. Il en va ainsi pour chaque pièce, de la plus infime à la plus importante (point de vue production), et la classification se fait en fonction de son exposition aux rayonnements.
Relis les précédents dépêches, si elles ne sont pas parfaitement claires, elles ont au moins le mérite de poser les bases assez simplement. Les crayons (les barres de combustibles) ont une durée de vie limité. Lorsqu'il s'agit d'uranium en tant que combustible, son usage produira naturellement du plutonium (et des éléments en plus faibles quantités mais plus difficiles encore à traiter). C'est de ce constat qu'est venu l'idée de recycler tout cela en un nouveau combustible : le MOX (ou plutôt les mox), mélange d'uranium et de plutonium. Mais à partir d'un certain niveau de plutonium (environ 30%) il n'est plus possible de l'utiliser dans les installations standards. A chaque cycle on obtiens un combustible de plus en plus dangereux, de plus en plus difficile et dont la demi-vie devient exponentielle. Mais là encore va faire comprendre au grand public que 2000 ans et 50 000 ans c'est pas pareil, à l'échelle d'une vie égoïste ça revient au même.
L'objectif serait de n'avoir que des déchets à vie ne dépassant pas 100 ans. Mais ça, c'est pas un epr rempli de mox qui nous l'apportera. Cela sera plutôt des sels-thorium dans un système à haute température.
# Proposition pour un internet civilisé
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Interdiction des VPN chiffrés au Pakistan. A quand notre tour ?. Évalué à 4.
Interdiction du clavier sur les matériels grand public. Souris uniquement.
On sera tranquille en mode tv-souris.
[^] # Re: Troll
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Flamanville ou Flaman rose ?. Évalué à 4.
Et Tsu les n'amis
# Construction & Recyclage
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Flamanville ou Flaman rose ?. Évalué à 8.
Dites, quand est ce que spécialistes de la spécialité vont nous prouver qu'ils savent vraiment recycler totalement un site ? Parce qu'ils sont les meilleurs mondiaux, quant même, et ça serait un peu con que les meilleurs mondiaux ne sachent pas démonter et nettoyer une installation. Pour le moment absolument rien n'est venu prouver cette capacité là.
Dans le contexte actuel, continuerons nous à vendre ce savoir faire sans avoir prouvé que la chaîne complète de vie était maîtrisée ?
# i feel fantastic
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Besoin d'un détecteur de crocodiles. Évalué à 3.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=zidiWe9yq88
# blanc et noir
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal La répression en Libye grâce à nos technologies. Évalué à 6.
un monde bi-polaire, le blanc et le noir, toussa.
bullshit.
on pourrait faire un papier sur comment la position de cette entité a permis de s'assurer de la hierarchie réelle dans la rebellion, qui étaient les donneurs d'ordres, pour quoi, quel réseau. Et au final, comment cette entité a aidé à avoir des informations fiables.
Bizarre que ça ne paraisse pas, tiens (...)
[^] # Re: Ne jamais attribuer à la malveillance ce qui peut s'expliquer par la seule stupidité.
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Besoin d'un détecteur de crocodiles. Évalué à 3.
Ouhaip. Et alors que la pharmacie dispose d'un produit efficace, son emploi est refusé par les instances politiques. Le skenan répond à ce besoin de disposer d'un outil légal correspondant à la phase où la personne se situe sur un premier stade de controle de sa consommation (ce que permet la propreté du produit, mais surtout sa disponibilité contrôlée) tout en continuant d'avoir un rapport à l'injection et au flash.
Bref, à chaque étape du traitement il existe une solution déjà prête.
Mais bizarrement ce type de solution est mal vue par (une frange de plus en plus minoritaire, mais à qui on a tellement menti pendant tellement longtemps que ça va être dur maintenant de changer les choses...). L'usage des subbutex (je vois qu'il existe maintenant des génériques, et -surtout- des variantes)
Croire qu'il suffit de donner un substitut sous une forme non-injectable est illusoire. Le rapport psychologique et social (induit plus par le cadre de consommation que par le produit) est bien plus fort que la réelle dépendance physique (bien que la buprénorphine présente un sevrage physique de un mois alors que l'héroïne c'est une semaine). L'aspect psychologique et social est le point le plus important. Et le mode de consommation (issu de la dépendance au marché noir) est une clef essentielle.
Les salles de shoot sont un excellent outil : elles ritualisent la consommation au delà du simple bénéfice de l'encadrement.
Pour élargir, on peut se demander ensuite s'il ne devrait pas y avoir un droit au delà de la réglementation dans le cadre de la réhabilitation. Les voitures peuvent aller à 170km/h, ce n'est pas pour cela qu'une majorité de gens roulent comme des fous. Pour boucler sur une touche d'humour geek : c'est parce qu'il n'existe pas d'howto fiable sur la consommation de ces produits que beaucoup de gens font n'importe quoi avec. Et ce n'est pas l'interdiction qui paliera à l'absence d'informations. ;)
# say bô
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal La révolution est en marche !. Évalué à 4.
say bô les rubans.
[^] # Re: Ne jamais attribuer à la malveillance ce qui peut s'expliquer par la seule stupidité.
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Besoin d'un détecteur de crocodiles. Évalué à 2.
Tu as lu wikipedia, toi :-) La buprénorphine est un (type de) sulfate de morphine. Mais toute précisions de chimie correcte éclaire mieux. Merci. j'emploi un vocabulaire "de la rue" et des w sociaux (ce qui résume, par exemple le sulfate de morphine) et effectivement merci de préciser pour le subboxone.
Après recherche, difficile de re-trouver des infos dessus de nos jours. Donc tu me met le doute sur la présence de coagulant dans les préparations de subbu. Par contre là où il n'y a aucun doute c'est sur le résultat, systématique, de l'injection de subbu sans préparation préalable. Si ce n'est pas des coagulants, il y a bien des ajouts dans les préparations de subbutex afin d'empêcher un usage détourné (nommé "usage de consommation" en opposition à "usage de substitution")
La précision du cadre (d'utilisation) permet de nettement différencier de l'usage courant pour lequel il est administré. Est ce une dérive de certains médecins ? une incompréhension ? je sais pas, je juge pas. Mais nous sommes bien en présence d'un outil correspondant à un type d'usage : celui utilisable lorsque la personne a déjà franchi les stades de : 1.contrôler sa consommation. 2.arrêter le shoot. 3.arrêter le flash. Ce qui est bien précis, et correspond parfaitement au produit. Malheureusement il n'est pas utilisé comme cela, et vient trop tôt. Il manque d'autres outils le précédant, typiquement le skenan lorsque la personne n'est pas encore au stade de laisser tomber le flash, et se situe entre le stade du contrôle de consommation et de l'arrêt du shoot (le sken' pouvant être utilisé dans ces deux cas)
C'est le plus difficile : décrocher des rituels et des habitudes. Plus encore que changer de fréquentations (secondaires, en général, cela se fait naturellement en phase terminale du traitement). C'est bien plus difficile cela que de décrocher de l'usage de confort. C'est pourquoi il manque un outil permettant de faire le lien entre la consommation ritualisée (autour des préparations, des gestes, etc) et la consommation de substitution.
Malheureusement dans ce type de pathologie (lorsque la dégradation médicale, psychologique et sociales sont installées) une substition immédiate ne suffit pas. Et l'usage intraveineux du subbu n'améliore pas la situation médicale.
[^] # Re: gnome?
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Mandriva 2011. Évalué à 2.
ha ouhai ? j'ai utilisé "smooth tasks" pour son design, mais n'ai jamais trouvé les fonctionnalités de rocketbar ! Merci de l'info.
[^] # Re: Ma femme m'a séquestré ces 2 dernières années
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Mandriva 2011. Évalué à 2.
Tu ne t'es pas mal exprimé! C'est moi qui est pris la perche de la conclusion :) (en sachant que tu ne mettais pas de côté l'humain, mais la perche était belle :p )
[^] # Re: Ne jamais attribuer à la malveillance ce qui peut s'expliquer par la seule stupidité.
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Besoin d'un détecteur de crocodiles. Évalué à 3.
ha vi, avec cette lumière, ça change :
On a déjà à faire à une population fragile, et à tendance auto-destructrice (la consommation de produits aussi violents pour la santé dénotant plus qu'une recherche -un peu idiote de cette manière- de sensations fortes et de plaisirs). Ce type de consommation peut totalement être enraillée (voir les études en Suisse, les plus précises et parfois les plus choquantes, aussi, pour notre regard) dès lors que cette population a accès à des produits de qualité. On peut résumer la situation par un "ce n'est pas parcequ'ils sont un peu cons à un moment donné qu'ils ne méritent pas le temps de la réflexion et du changement", situation assez typique où la prise de contrôle n'ajoute que des bénéfices.
[^] # Re: Ne jamais attribuer à la malveillance ce qui peut s'expliquer par la seule stupidité.
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Besoin d'un détecteur de crocodiles. Évalué à 3.
Ouhaip, et c'est la seule réussite attribuable à la répression et la criminalisation des drogues du sud. (réussite qu'on pourrait atteindre aussi par le contrôle, mais faut quant même pas oublier qu'il y a eu quant même eu cette réussite là. Unique, certes). Celle de l'absence de substance base directement importée. Pour la cocaïne, la pasta, qui n'est jamais arrivé en France sous cette forme, ce qui a préservé le marché du crack.
Le crack est inexistant en France (ou plutôt consommé quasiment exclusivement dans le milieu antillais) : c'est à dire que médicalement le crack français est le même qu'aux usa (ou aux antilles) mais socialement cela n'a rien à voir. Le crack français est préparé à partir de cocaïne (on la "base", ce qui produit un isomère du c17h21no4). Le prix sur le marché est donc sans commune mesure avec le crack préparé avec les résidus de purification de la pasta. Grâce à cela nous n'avons jamais connu de "déferlante crack" comme les usa l'ont connus à la fin des années 80.
Pareil pour les résidus de morphine lors de la préparation d'héroïne : la rachacha est fabriqué en europe de l'est puis importée. Ce qui la place en terme de prix dans une situation elle ne peut pas "déferler" sur le marché.
[^] # Re: Ne jamais attribuer à la malveillance ce qui peut s'expliquer par la seule stupidité.
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Besoin d'un détecteur de crocodiles. Évalué à 8.
Ouhaip, mais c'est très minoritaire. Le skenan est typiquement un opiacé de confort. Le malade souffrant de grandes douleurs récurrentes passera par les divers paliers de morphinique (du stade 1 au stade 4). Et le skenan peut être avantageusement remplacé par d'autres types de préparations, plus efficaces. Par exemple celles diminuant l'effet de flash et allongeant l'effet anti-douleur.
C'est donc certainement l'usage classique le plus répandu : celui de la médication ambulatoire ou à domicile, mais c'est avantageusement -nettement- remplacé par d'autres morphiniques. Il est probable qu'il s'agisse d'une consommation bien moindre que la consommation de confort, récréative, accordée semble t il assez largement. Mais il est difficile, voire impossible, d'obtenir des chiffres précis mettant en rapport la production et les cadres de consommation, en France. C'est la question qui fache car il existe une consommation de confort de ce type de substances, qui est complètement tabou, ces gens ne sont jamais désignés comme des 'drogués', panache des consommateurs 'hors la loi'. C'est cette hypocrisie qui est surprenante. (Et dire que des gens conduisent avec ça ...)
Et il n'existe pas en France d'autorisation d'utilisation d'autres types d'anti-douleurs reconnus, malheureusement. C'est à dire qu'une personne souffrant d'une maladie chronique engendrant des douleurs récurrentes n'aurait accès qu'à des médications faibles puis directement aux opiacés. Or, entre les médications faibles et les opiacés de palier 2 et 3, il existe d'autres substances intéressantes. Le problème majeur des opiacés est l'effet d'accoutumance : il est rapide de devoir augmenter les doses pour produire le même effet. Le second est l'effet incapacitant : sous l'emprise initiale la personne ne peut pas faire grand chose à pas attendre dans un fauteuil... pas terrible. C'est dommage car d'autres pays (les USA dont la FDA est plutôt exemplaire, le Canada, la Suisse, l'Angleterre, etc etc) ont commencés l'utilisation des CBN et CBD, qui n'ont pas d'effet accoutumance : pas besoin d'augmenter les doses. Ni d'effet handicapant : la personne peut rester active. Mais ici la question reste tabou, trop lié à la culture, trop émotive, manquant de recul et d'objectivité, certainement.
ps : j'ai oublié le 'tem' (temgésic), et oui ces sujets m'ont passionnés, fut un temps.
[^] # Re: Ne jamais attribuer à la malveillance ce qui peut s'expliquer par la seule stupidité.
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Besoin d'un détecteur de crocodiles. Évalué à 5.
La question qui tue :
le skenan n'est pas utilisé en milieu hospitalier, ou très très peu.
le skenan ne peut être prescrit dans un cadre d'un programme de réhabilitation (médicale, sociale)
le skenan est disponible partout, sur prescription
mais alors, qui achète le skenan ?
zut, une question qui fache.
[^] # Re: Ne jamais attribuer à la malveillance ce qui peut s'expliquer par la seule stupidité.
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Besoin d'un détecteur de crocodiles. Évalué à 9.
C'est le résultat classique des injections de produits contenant des coagulants.
Par exemple, en France il n'existe toujours pas de protocole complet de soin incluant au départ la prise contrôlé, pour travailler en premier lieu sur les effets sociaux. Le protocole ne commence qu'avec le substitut, qui se présente sous deux formes: méthadone ou subutex. La méthadone étant encadrée de manière particulière, elle est l'outil de la troisième phase. Le subbutex devant être celui de la seconde phase : celle du traitement des habitudes et du commencement des soins médicaux. Or le subbutux est détourné de son usage, car de nombreux toxicos ne sont pas prêts psychologiquement (ils leur faudrait la fameuse première phase), et beaucoup se retrouvent à s'injecter du subbutex.
Or le subbutex n'est rien d'autre que du sulfate de morphine, mais additionné de coagulant, justement pour éviter l'usage intraveineux. Faut être vraiment con, peu empathique, pour ne pas voir que ça ne va pas : on projette ce que nous ferions sur eux.
Donc, pour avoir vu défiler de nombreux bras et jambes ravagés par le subbutex, cela correspond parfaitement à la description journalistique des effets de cette "drogue" : une apparente nécrose de la peau, avec dé-sèchements des chairs, et des veines d'un bleu cobalt du plus bel effet : t'as l'impression que le bras va tomber tout seul ... C'est en fait le résultat des coagulants ajoutés à la drogue.
(alors que pour ces gens, pas encore prêts pour décrocher du rapport à l'injection, il existe le skenan : propre et controlable)
Donc ça pourrait tout aussi bien être une simple coupe, ajouté pour produire de manière volontaire cet effet là. Et ça ne peut avoir aucun intérêt commercial.
[^] # Re: Ne jamais attribuer à la malveillance ce qui peut s'expliquer par la seule stupidité.
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Besoin d'un détecteur de crocodiles. Évalué à 4.
allez hop, dans le troll
ça pu la manipulation, ouhaip.
Et ce n'est pas la première fois qu'on voit apparaître des drogues dont les effets pour le corps sont extrèmement violents et rapides. C'est louche. Il faut savoir qu'en Russie, culturellement, les drogues ne sont pas prises comme un problème, et ne sont pas traitées tel un problème "à part". La consommation de toutes les drogues y est historiquement assez bien tolérés. Ce sont les effets médicaux et sociaux qui ne le sont pas, soit l'abus. Le toxico est alors plutôt considéré comme un malade mental, et selon les époques envoyés en camp ou en tôle ou à l'hôpital.
Une drogue qui détruit aussi vite ses consommateurs n'a aucun intérêt commercial. C'est très louche de voir apparaître encore une fois ce type de produit sur le marché (après la rachacha coupé à jesaisplusquoi, qui transforme les poumons en passoire en moins de dix prises). Ca ressemble fortement à une manipulation. De qui et pour quoi, ça ce sont les spéculations.
ps : pour la codéïne, faut être un peu "chtarbé" quant même :p alors que le big top c'est le sulfate de morphine (nom commercial français : skenan) Peu d'effets secondaires, un flash très clair, un contrôle facile, très pur donc très propre sur le corps, seul l'abus et l'usage irraisonné pose problème. Bon, ok, la codéïne est plus facilement accessible.
ps : pour ceux se posant la question, je ne suis ni pharmacien ni drogué :p juste ancien w social dans une autre vie :p