bubar🦥 a écrit 6932 commentaires

En exclusivité voici les toutes premières traductions :
- Encore une tortue étranglée par un résidut de filet de pêche
- évitez le secteur 100nord, une pollution humaine en cours
- cessez de jouer avec les humains et leurs petits bateaux, ils tuent tout
- les fonds de 400, 500 et 600sud sont définitivement morts, la reproduction est déplacée au 300est

Depuis ces révélations subjugantes le DOGE a ordonné de couper les crédit à deepmind. Sans effet d'après Google.

C'était le cas il y a longtemps, oui, et la question se pose tjs de la même manière et avec la même pertinence que ton journal en apparence innocent (pardon si j'interprète trop ou trop vite)
En dehors du fait, et en plus, qu'au final le choix va reposer sur l'utilisateur, qui par facilité va accepter des permissions non nécessaires logiquement, de base, et en plus illégitimes, il y a les nouveautés :

Aujourd'hui des apps vont faire appel à l'integrity check, par exemple, sans raison légitime là non plus, mais c'est bien sûr pour notre sécurité https://developer.android.com/google/play/integrity?hl=fr

si Xposed était particulièrement intéressant, amusant et génial il y a qq années, aujourd'hui il n'est plus suffisant et/ou obsolète et/ou là où il était utile ne l'est plus.

Alors ça.. Miam. Élégante solution.
Adopté, malgré l'aes256 seul, malgré le prix de 160€ et malgré son indispo actuelle. J'espère que la liste d'attente ne sera pas un plouf car "Sold out since Feb 08, 2024"

"Rien ne se perds, rien ne se créait, tout se transforme."

Une image se compose peut être de 3 éléments :
- "l'angle de vue" : le sujet et sa représentation = la créativité
- "le savoir faire" : le souhait du rendu et la maitrise technique = le style
- "le référentiel" : la connaissance et l'inspiration = l'expérience culturelle

Les IA produisent actuellement, avec un certain brio, des images totalement dénuées "d'angle de vue", de créativité, se contentant de transcrire une idée, une demande en mots, sans aucun ajout d'intelligence quant à une représentation plus ou moins imagée, plus ou moins abstraite, plus ou moins créatrice de questionnement. C'est du basique. Ces images sont produites sur un usage particulier (et reconnaissable) du référentiel, tel des copiers/collers de bouts de découpe vus ailleurs et assemblées selon la compréhension du prompt. Enfin le style leur ai à la fois étranger en terme d'objectif ou d'apprentissage et parfaitement maitrisé en terme de technicité.
C'est cette combinaison qui mène aux accusations de plagiats : elles piquent des styles et reproduisent par morceaux, brutalement et sans création.

Alors que chez nous les 3 éléments s'entrechoquent, se chevauchent, grandissent ensemble, pour les IA actuelles le savoir-faire et référentiel semble n'être qu'un seul ensemble et de plus et surtout il n'y aucune réflexion qui retravaille un angle de vue. Elles livrent une production tels des automates.

Ça viendra peut être.
Après tout ça se modélise aussi, c'est juste que personne n'en a l'utilité, visiblement, et que la demande de vitesse à la réponse ne laisse pas la place au temps encore aujourd'hui nécessaire ?

J'ai l'impression de lire un papier, au mot près, sur Longene mais 20 après.

Je partage ce constat sur l'importance du mail et d'une adresse mail pérenne.

content warning : ma réflexion partagée ne vaut pas grand chose ou rien puisque la question de ce journal ne se pose pas à moi.

Plutôt que d'en discuter, ce qui obligerait la jeune personne a réfléchir maintenant, donc à un rythme qui n'est pas le sien, je poserais simplement une base sur laquelle elle pourra se reposer, comme elle le veut et quand elle le veut.

Donc un domaine personnel.
Avec un abonnement à un fournisseur tiers (exemple: infomaniak.)
Après tout on paie bien un compte bancaire, des abonnements divers, pourquoi pas ça aussi, vu l'importance que la vie numérique revêt de nos jours ?

Le domaine je le choisirai avec en critères :
- simple ;
- dépersonnalisé complètement (pas un "nom famille" ou "prénom + nom") ;
- non identifiable (rien de prime abord permettant de relier le domaine à la personne) ;
- sans charge émotive (pas de surnom, pas de mot lié au passé ni à la culture ni familiale ni même personnelle) ;
- unique (un enfant, un domaine) ;
- pas un mot existant ;
- facile à utiliser.

Et ensuite je lui confierai les clefs sans grand discours. Elle découvrira à son rythme selon ses besoins, envies, réflexions et avancées de maturité. Comme un compte bancaire. Elle n'a pas besoin de s'encombrer la tête maintenant avec une culture, une réflexion, des usages, etc .. même si on aimerait : ça doit être simple, fluide et un outil sur lequel elle peut compter, sans chichi sans blabla. La réflexion viendra plus tard, au moment où elle, elle en ressentira le besoin. Je ne ferai que l'accompagner sur les premiers usages, par exemple renseigner son mail personnel dans l'interface de son compte bancaire et dans celle de son école, les 2 3 premiers usages importants à faire de suite, et puis je lui lacherai la roue.

Moins que le journal car simplement bête : LeCoffreFortNumerique.

Sur téléphone leur application refuse très souvent l'empreinte digitale et exige de ré-entrer le mot de passe "pour notre sécurité." Et quelle sécurité amène ce mode de fonctionnement ?

Et bien j'ai fini par changer mon mot de passe, qui est passé d'une chaine normale genre LAloNgueNuméroPhraseMotVilleCaractèresEvènement à un PetitPasseDate. Pour que ça soit utilisable sur un clavier de téléphone.

Formidable bon en avant pour la sécurité grâce à ces bonnes pratiques !
Des génies.

✅ mon I.A a répondu à ce sondage pour moi

tes coordonnées bancaires

Voilà une solution globale et sûre : remplacer l'obligation du "nom prénoms" par un numéro bancaire dont le caractère unique est sûr, numéro que l'on rendra portable puisqu'il sera à l'individu. Les champs "nom prénoms" devenant facultatif et à identification secondaire, comme l'est une taille ou une couleur des yeux. Si on est de gauche on pourra préférer le numéro de sécurité sociale, et en débattre.

Comment ça c'est pas vendredi ? Ok, ok, poussez pas je sors

Ce screening se base sur très peu de critères : nom de famille, prénom, pays de naissance, et parfois la date de naissance.

C'est pourquoi on peut donner plusieurs prénoms à un enfant à sa naissance.
C'est un gage d'identification sûre, réduisant les probabilités d'homonymies et les ennuis venant avec.
C'est également une source d'identité et d'identification personnelle, je n'ai pas grandi en tant que Muny Bubar mais en tant que Muny Bubar Charcler Tankey.

Et ça matche très bien avec la solution élégante, ci-dessus, de ne pas séparer les champs "nom" et "prénom(s)", de n'avoir qu'un champ texte pour le tout.

Cela pourrait être, enfin, question ouverte, un levier de liberté : pourquoi ne pas pouvoir ajouter un prénom à sa majorité et en choisir l'ordre ? Sans paperasse compliquée, aujourd'hui c'est possible.

Du coup je ne comprends rien.
Les gens "engagés" nous disent que les patrons et les grands capitalistes mettent en avant l’extrême droite et cherchent de manière systématique à promouvoir au moins une partie de ce courant de pensée. OK.
D'un autre côté ils nous expliquent que les patrons et les grands capitalistes se sont rangés à postériori du côté du nouveau pouvoir, même s'ils n'étaient pas moteur au départ, que l'on peut qualifier d'extrême droite sur certains aspects. OK.

Du coup, c'est quoi finalement ? Les patrons et grands capitalistes se rangent par pragmatisme d'intérêt de manière globale derrière le pouvoir en place, ou plutôt que de manière générale ils la financent et la poussent ?

En regardant les chiffres des donations, qui sont plutôt simples aux USA, on pourrait identifier le discours mensonger. Mais finalement même pas besoin de prendre cette peine, il suffit de lire l'article pour comprendre qu'une majorité de ces patrons et grands capitalistes tendent plutôt du côté du progressisme.

Hop. Vous pouvez moinsser.

/*dredi

Pas plus tard qu'avant hier j'ai essayé d'expliquer pourquoi notre backdoor pouvait faire peser un risque juridique dans le cadre d'un échange commercial car elle ne respectait pas la licence du noyau.

+++

il est proposé en app installable et maintenable via le repos spécial de grapheneos, lorsque j'ai vu la proposition arrivée forcément ai vérifié, ce n'est pas un store libre et ce n'est pas un store d'apps libres. "Oualou." Pas touche. Ceci ne m'empêche nullement de ne pas l'installer :)

dans les grandes marques de smartphone seul la gamme Pixel de Google le permet. C’est d’ailleurs pour ça que GrapheneOS ne supporte officiellement que cette gamme de téléphone.

Oui mais/et ce n'est pas la seule raison, historiquement Google permet à la fois une grande sécurité avec des points là (idem sur les premiers chromebook en terme de logique, avec un mécanisme différent) et à la fois de pouvoir reverrouiller. Ceci est "ancien", dès les premiers appareils, téléphones et/ou portable, une personne physique ou morale peut installer une alternative ou des compléments sans compromettre la sécurité de l'appareil ensuite. Les mots choisis par ce journal concernant lineageos sur ce point "d'absence de sécurité" ne relève donc pas de lineageos lui même et ne doit pas devenir un argument pour lui taper dessus : lineageos supporte ce que les constructeurs font. Souvent, donc, de mauvais trucs, mal fait. Point, la "faute" n'incombe nullement au projet libre mais aux choix de la majorité des constructeurs.

L'autre raison GrapheneOS : la présence des puces Titan. Qui est une marotte du développeur principal historique de grapheneos déjà avant grapheneos.

Dit par le gars qui a ajouté une réponse moins bonne à la question, en mode "non nia nia"

C'était hautain.
De plus, cet ajout d'une autre réponse fait apparaitre que tu n'avais pas compris la première réponse.

On peut se permettre d'être hautain si on est bon. Là, ce n'était pas le cas, c'était juste hautain. Comme tes deux commentaires ici.

C'est ce que j'ai choisi pour mon laptop, un Apple Silicon (M1 air) parce que j'aime sa finesse, sa légèreté, son absence de bruit. J'y ai découvert un écran sans concurrence et un son excellent. Le tout est propulsé par Fedora Asahi SIG et c'est remarquable (j'ai dégagé totalement le système mac bien sûr, et utilise ext et non pas btrfs)

Bonus : la dernière version de Fedora Asahi inclue une intégration vraiment luxueuse de l'émulation x86 avec support GPU. Steam tourne impeccable en 2 clicks.

la machine de belle-maman sous Fedora et KDE

~500Mo de mises à jour par jour pour la version stable, et il est vivement recommandé de les suivre.
Ceci peut être un frein à l'usage de Fedora pour certains publics ? -> Il faut penser peut être à lui automatiser en les faisant systématiquement à chaque arrêt de la machine (ni lors d'un reboot ni lors d'un allumage) ?

l’avenir du desktop Linux passerait peut-être par le jeu et les gamers (..) SteamOS (..) c’est du Linux, Valve compte diffuser SteamOS comme solution pour tout PC

Il y a BAZZITE
C'est basé sur Fedora et "ça envoie du lourd" :-)

(..) toute autre personne autour, n’ont les compétences nécessaires. Et, si je devais conseiller un quidam au supermarché, qu’est-ce que je lui dirais ?

Il y a ChromiumOS, une Gentoo Based fignolée aux petits oignons.
C'est mon choix pour les personnes âgées de mon entourage, tant pour le côté 0 tracas que le côté Modernité et Apps Android disponibles facilement (banque, mutuelle, etc etc)

Je rejoins totalement ton propos et la mise en exergue que le LL est politique. Dans le sens noble du terme : la gestion de la cité. Je rejoins également le propos avant qui pointait la diversité de la représentation politique dans le logiciel libre, diversité que l'on retrouve ici, diversité que l'on retrouve sur la tribune.

Cette diversité doit être respectée. Car ici ce n'est ni lhumafr.org ni rivarolfr.org mais bien DLFP.

Malheureusement certains ne sont pas là pour ça, d'autres ne respectent pas les opinions de chacun, dans ce contexte. C'est un peu comme si, depuis 4 ans, l'intérêt principal avait changé : d'un "LL, discutons de fLims, de cycliMse, de politique" nous sommes passés sur la tribune à un "je t'impose ma vision et rentres toi bien ça dans le crane les autres sont des c…"

Avec la présence de la modération sur la tribune traitant Macron et ses gouvernements de nazis d'extrême droite (sic, la modération oui oui) tout cela s'enchaine au détriment de l'esprit initial qui était un "nous ne sommes pas d'accord sur tout, échangeons, dans tous les cas nous ne sommes pas des adversaires"

Les accrocs aux trolls truiteurs y prennent trop de place ? Ça va arriver (c'est déjà un peu le cas) sur le site à côté de la tribune.

ça c'est de ma faute, pour avoir proposé une rubrique "liens" qui a été acceptée.

Mettons à profit la situation pour tenter une analyse (incomplète, personnelle sans sources et biaisée, mais bon ..)

Le constat très personnel qui a mené à cette mini-analyse :
L'exode de twitter est réussi. De mes suivis ont disparu un grand nombre, plus qu'une majorité. Mon "fil d'actu" (ou mur ou machin, peu importe la dénomination marketting) s'est donc transformée. Au pifomètre il est passé de : 50% personnes suivies 40% comptes non suivis et bots plus ou moins intéressants 10% d'ovnis, vers 10% personnes suivies 70% de comptes non suivis et bots plus ou moins intéressants 20% de pubs. Ceci est la situation comparée entre avant octobre 24 et octobre 24.

La mini-analyse :
Elon Musk a un talent : identifier un bon achat. Pour twitter c'était un "too big to fail" probable. Et ça a fonctionné. Ça a fonctionné puisque malgré la critique sur sa gestion, malgré les premiers départs, malgré les dénonciations de l'augmentation du nombre de foutaises qui y sont relayées, malgré les hésitations des annonceurs, peu d'utilisateurs personnels ont fermé leur compte, et surtout peu d'utilisateurs institutionnels, enfin peu de médias. Un cercle vertueux existait bien. Twitter est resté twitter, même devenu x.
La seconde phase est plus délicate, celle de la transformation de la plateforme, qui, sans arrêter son service initial devient un média engagé. Engagé pour les intérêts personnels de Musk, et un outil intéressant pour ça, mais aussi engagé pour soutenir des idées politiques. Là, il y a eu exode massif d'utilisateurs personnels, dont certains en tiraient des revenus plus ou moins professionnels, des départs de quelques médias et pas de départ d'institutionnels ou à la marge.
Qu'est ce qui fait que le cercle vertueux existe toujours en bonne partie ? A mon humble avis ce n'est pas l'origine, souvent regrettée, à savoir les interactions de personnes à personnes essentiellement, qui ont construit twitter. Si on regarde à côté, cet exode a t il mené à un succès d'une autre plateforme ? En partie, oui : bluesky. Mais il ne semble que ni le nombre de lecteurs ni le nombre d'interactions rivalisent, il semble qu'on se situe nettement en deça du ratio d'une division des interactions par la multiplication des services, même en ne gardant que bluesky comme alternative. Pour les comptes ayant eu beaucoup d'interactions sur twitter cet exode est probablement douloureux. Respect mais interrogation : cela en valait il la chandelle, d'une part ? D'autre part, cela a participé autant voir plus que Musk lui même à faire de Twitter un média engagé où un seul volant d'opinions est représenté. Est-ce bien ? Est-ce mal ? Je n'ai pas de réponse à ça.

En tous cas, les journaux engagés ont toujours existé. Que les institutions les utilisent comme relais n'est pas un problème. En tous cas dans nos démocraties représentatives. Twitter n'est pas devenu un journal mais il est devenu le reflet d'une opinion.

Pour finir, retour sur le cercle vertueux : ne serait il pas porté aujourd'hui par les bots qui postent du contenu intéressant, rigolo, et ou qui sont des curateurs d'informations, sérieuses mais aussi et surtout récréatives ? Si j'étais un concurrent c'est là dessus que j’appuierai. Pour ne pas devenir moi aussi un média d'opinion mais resté ouvert à toustes et à la libre expression de chacun.

ps : depuis 1 semaine 'mon' twitter a encore changé puisque je constate une forte augmentation, pas juste un peu, de contenus manipulateurs et plus seulement d'opinions.

à mon humble avis c'est la question centrale à laquelle il faut répondre avant de se lancer dans une op telle qu'une "dégogolisation"

ma réponse :
a) que google n'ai pas mes photos
b) que google n'ai pas mes carnets d'adresses ni l'historique d'appels
c) que google ne soit pas root sur mon téléphone
Pour le reste, je suis OK : position mais quant je veux, donation d'informations de navigation et de préférences, partage d'information entre sites via un suivi.

Du coup j'ai opté pour GrapheneOS : les services google ne sont pas root sur mon téléphone (ni une ré-écriture de ceux-ci, ce qui, soyons honnête, revient au même.)
Ils sont installés dans un "profil pro" (plus pratique qu'un autre utilisateur) : lorsque ce profil pro est en pause pour google mon téléphone est comme éteint.
Il n'a pas d'accès ni mes photos, ni aux sms, historique des appels et contacts.
J'accepte que le repérage puisse se faire de manière croisé, il se contentera des infos que je suis ok pour partager. J'accepte qu'il me 'profile' lorsque je fais appel à Maps ou lorsque je lis, assidument, google-news
Et cela me permet également de profiter des apps se basant sur les gservices, telles que les apps bancaires, mutuelle, digiposte, citadel, free, tickets resto, etc ..
Je veux bien que mon téléphone se transforme en "carte d'identité" et "carte bleue" avec les avantages que cela m'apporte et les inconvénients que j'en supporte, mais je n'accepte pas pour cela devoir renoncer complètement à ma vie privée tel que nous l'impose le modèle android par défaut.

C'est ma réponse, elle ne reflète que mon besoin et mon choix. Des réponses plus radicales existent :)

Ahahaha vous êtes trop drôles avec votre linux sur le desktop, alors que multideskos est prêt depuis des années

Gouvernements du monde industriel, géants fatigués de chair et d’acier, je viens du cyberespace, nouvelle demeure de l’esprit. Au nom de l’avenir, je vous demande, à vous qui êtes du passé, de nous laisser tranquilles. Vous n’êtes pas les bienvenus parmi nous. Vous n’avez aucun droit de souveraineté sur nos lieux de rencontre.

Relire la déclaration d'indépendance du cyberespace en laissant de côté l'innocence ou le cheminement depuis, c'est selon, relire au regard de cette fin 2024

rappelez moi d'une cabine qui fonctionne