bubar🦥 a écrit 6943 commentaires

  • [^] # Re: À propos de la dette grecque...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Debtocracy. Évalué à 10.

    à cause de l'euro

    Méfiance.
    Ce n'est pas tant l'euro qui est à remettre en cause que la manière dont il est crée.
    déjà que les banques sont largement les principales créatrices de monnaies, en plus nous avons rendue totalement "indépendante" (touss fort) la bce.
    Résultat ? La création de l'euro est aux seules mains des besoins du marché. L'Europe n'a aucun contrôle sur la planche à billet de l'Euro. Ce n'est pas tant l'Euro en tant que monnaie qui est un problème (enfin, si, pour les américains, dont ce billet du nyt est une enième illustration) mais plutôt le fait que les politiques ont totalement cédés leur meilleur outil.

    Et là, on devrait entendre les perroquets libéraux s'exprimer "ouhai mais non , les politiques ne savent pas gérer une monnaie". Il n'est pas question de nationaliser ni de revenir à un contrôle total par l'état. Mais il n'est pas question non plus de continuer à accepter l'autre extrème. Il faut un équilibre des pouvoirs sur la planche à billet.

  • [^] # Re: À propos de la dette grecque...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Debtocracy. Évalué à 6.

    Intéressant.
    C'est le seul reproche que je formulerai sur le film debtocraty : l'absence totale de responsabilité interne. Toutes les fautes sont rejetées sur les acteurs d'autres pays, et contre le pouvoir politique corrompu. Ce qui laisse un gout amer de populisme pour le ton général du film. Mais sans abîmer les faits exposés par ailleurs.

    Rappeler que la fraude fiscale est là bas un sport national largement toléré, et pointer le patronnât local, ainsi que ses syndicats, comme en étant les principaux artisans et bénéficiaires n'aurait pas fait de mal... D'un autre côté, ce film étant destiné à la Grèce elle même avant tout, le risque de zizanie a dû être mesurer, à l'heure où les Grecs ont besoins d'une 'union sacrée'. Donc on peut comprendre que cela ne fasse l'objet qu'une d'une ou deux phrases au début du film. Surtout sans connaitre le poids de cela comparé au poids des marchés publiques truqués, fait à l'encontre des intérêts du pays.

    L'énorme point positif du film : mettre en avant une rébellion par le texte. Plutôt qu'un rejet global, qui ne serait que populisme, et souvent ensuite terreau du pire. Et c'est un réel espoir que nous montre la fin de ce film.

  • [^] # Re: Cycle de développement

    Posté par  . En réponse au journal Ubuntu : une nouvelle version tous les mois ?. Évalué à 0.

    Désolé pour les deux commentaires précédents. Inutiles.

  • # version politiquement incorrecte

    Posté par  . En réponse à la dépêche Conférence Hadopi Versus Licence Globale : quels enjeux ?. Évalué à 3.

    Acte 1)
    Les "majors" que certains accusent aujourd'hui de tout les maux de la terre, ont à la fois favoriser le développement d'une activité culturelle rémunérée et sa diffusion.
    C'était le boulot essentiel des producteurs et managers.

    Acte 2)
    Les conditions ont commencées a se re-serrer. Ceux, les artistes, y étant se la fermaient. Le bisness était pour eux très juteux. Ceux rejetés pour divers motifs constituaient les premiers labels indépendants. Les producteurs ont commencés à modifier la balance grosses-ventes équilibre pour diversité, vers celle de grosses-ventes équilibre pour nos actionnaires.

    Acte 3)
    Ceux, les artistes, qui se la sont fermée, voit leur bénéfice, au moins la progression de celui-ci, s'amoindrir. On leur explique que le grand méchant internet est très technique. Les labels indépendants sont tués : le contrôle des canaux de distributions a été concentré. En dehors de la distribution elle même indépendante les labels indépendants ne sont plus distribués. Maintenant c'est au tour de la diversité de diffusion de suivre exclusivement les règles du volume de vente.

    ça y est, l'exception culturelle à la Française est morte.

    Acte 4)
    On organise des débats, et on interpelle les politiques. La seule réponse est la possibilité d'une taxe globale, dont la réelle importance (la re-distribution) est élaguée. On juste le droit de débattre c'est bien, ou pas. Pour le contrôle, ciruclez y aura rien à voir. Et que économiquement le secteur privé, majors comme indé, s'en tirait assez bien dans acte 1 et 2 est totalement oublié. Zou, hop, à la trappe. Cela ne peut plus être que le public qui finance la diversité. Ben voyons.

    Acte 5)
    On fout tout en l'air.

  • [^] # Re: Affligeant

    Posté par  . En réponse à la dépêche Conférence Hadopi Versus Licence Globale : quels enjeux ?. Évalué à 2.

    deux trois gus dans une cave, une vaste fumisterie.

    allez, hop, un lien : le dernier journal de patrick.g (le . se prononce aussi), ça cause du blog d'un gars dans une cave, justement.

  • [^] # Re: Affligeant

    Posté par  . En réponse à la dépêche Conférence Hadopi Versus Licence Globale : quels enjeux ?. Évalué à 4.

    C'est très concret.
    La possibilité de modifier un logiciel peut s'appliquer en dehors du champ des sources. Directement sur le binaire. Mais le niveau de compétences requis va encore au delà.

    C'est donc non seulement concret légalement : on le droit de le faire. Mais c'est également concret pratiquement : de part la conception même des distributions il est possible facilement de se mettre à essayer de comprendre. Vraiment.

    On pourrais résumer avec une maxime du genre :
    "ce n'est pas parce que peu de monde franchit la porte que nous devons la fermer"

  • [^] # Re: Cycle de développement

    Posté par  . En réponse au journal Ubuntu : une nouvelle version tous les mois ?. Évalué à 3.

    sont une des grandes forces du libre

    C'est une des forces du libre, oui, il n'y a pas de contestation de cela dans mon commentaire. C'est une force plus pour y participer que pour l'utiliser, souvent.

    avec une conf système aux petits oignons

    Il y a besoin d'installer un système pour ça ? Non, le système de base sait le faire : être modifié pour être en adéquation avec l'usage, avec le domaine d'activité.

    Mais la musique est un bon exemple, toute distrib orientée audio fournira un noyau temps temps réel patché comme il faut

    Plus à jour. Plus besoin d'avoir le patch _rt depuis, pfiou... La majorité des avancées de ce patch ont été intégrées à la branche principale. Celles restantes concernent plus les électroniciens que les musiciens, il me semble bien (...). Enfin, l'usage du noyau RT avec Jack est un exemple kékés. La majorité des besoins dont l'usage de jack découle n'ont pas de nécessité de noyau RT, ni de configuration système fine. Le RT et Jack en RT ne concerne que quelques usages dans la vaste catégorie musique. C'est effectivement un bon exemple, tu vois ?

    Je ne comprends pas trop ta problématique. Tu voudrais

    Je ne voudrais rien. Je me contente très bien de ma distribution actuelle telle qu'elle est. Mais le personnel n'est en question ici.

    qu'une distrib spécialisée puisse être généraliste ? Ou l'inverse ?

    Non.
    Que l'utilisateur puisse installer une distribution standard, classique, genre Debian, et l'utiliser pour son domaine d'activité, avec les dernières versions stables des logiciels, tel que les projets eux mêmes les définissent comme stable. Que l'utilisateur de bureautique puisse avoir la dernière version de LibreOffice et de Scribus, sur son système stable, avec un empaquetage de qualité. C'est pas compliqué à comprendre ?
    Et cela se décline en secteur d'activité, effectivement : bureautique, musique, sysadmin, électronique, etc etc.

    Aujourd'hui l'utilisateur à trois choix :
    Installer une Debian stable, et ne jamais avoir les dernières versions des logiciels de son secteur d'activité.
    Installer une distribution spécialisée. Qui souvent n'apporte pas ce qu'apporte un système plus standard.
    Installer un système instable, pour quelques logiciels récents de son domaine d'activité.
    En plus des problèmes pour l'utilisateur (qu'on ne va pas re-lister encore une fois ici : switch vers de petites distros, ras le bol retour windows ou sur mac clique on installe, avoir un système instable, avoir des logiciels obsolètes, etc etc) il y a les inconvénients pour les distros (effritement des forces, multiplication des chemins de retour, etc etc).

    Chaque distro cherchent à répondre à cette problématique à sa façon. Debian en proposant les backports, comme d'autres. Fedora en mettant à jour ce type de logiciels tiers sans attendre la nouvelle version du système (...) Donc visiblement le problème est parfaitement identifié. La solution pas encore trouvée. Quoique Fedora est devenue exemplaire sur ça.

    Je ne sais pas si tu cherches à noyer le poisson, où a vraiment poser une question. Et je ne sais pas pourquoi j'ai remis cette question sur le tapis, tellement souvent il a été noyé que j'ai fini par abandonner.

  • [^] # Re: de la folie pure

    Posté par  . En réponse au journal Ubuntu : une nouvelle version tous les mois ?. Évalué à 2.

    Bien que tu ne le fasse pas dans ce commentaire directement, on ne peut s'empêcher en te lisant de lire aussi "fedora" entre les lignes.

    Et tout le monde ne pas suivre le rythme Fedora, surtout depuis presque deux ans (c'est ça ?). Un utilisateur comme moi qui installe une Fedora a de grandes chances d'être très satisfait : une distribution à la fois stable et à jour. Avec des logiciels tiers à jour et stable eux aussi (dépôts audio, électronique, sysadmin, etc etc). Et sans avoir besoin d'artifices tels que des mises à jour plus incrémentales ou un /opt transformé en \programfiles avec la remise en cause du fonctionnement même des _packages managers au final. Bref du bonheur, clairement, objectivement. Mais tout le monde ne peut pas suivre ce rythme en gardant cette qualité, visiblement.

    Les mises à jour plus incrémentales semblent être une solution sympa pour répondre à la même problématique, autrement et plus simplement : avoir un système stable et des logiciels tiers très à jour.

    ps : des dépôts de binaires statiques destinés à /opt permettraient d'augmenter drastiquement le nombres de testeurs, pour les retours au projet upstream. Le système reste stable, les utilisateurs ne sont pas obligés d'avoir un système cassé la moitié de l'année pour tester des logiciels de leur domaine d'activité. Ils pourraient même avoir des versions différentes du même logiciel, sans impact. M'enfin bon, c'est juste une idée ça, force est de reconnaître qu'allier les deux est mieux et possible : fedora y arrive.

  • [^] # Re: Marrant ça ...

    Posté par  . En réponse au journal Ubuntu : une nouvelle version tous les mois ?. Évalué à 1.

    Avec les backports disponibles mais pas en update automatique, ça permet aux gens de choisir s'il veulent la version plus récente ou s'ils s'en foute. C'est une solution mais ça demande beaucoup de boulot.

    ça demande beaucoup de boulot.
    ça frustre les utilisateurs parce que les backports n'ont pas la qualité de la distribution.
    ça épuise les contributeurs parce qu'ils n'ont pas la satisfaction des utilisateurs.

    bref, les backports, pour les avoir vu fonctionner pendant longtemps dans mandriva, je ne le recommenderais à personne, même pas à Debian (pour la touche d'humour)

    Ubuntu apporte sa réponse à la question, si elle suit l'idée de Scott James Remnant. Toujours proposer des logiciels très à jour, très proche de ce que les projets nomment eux même leur production comme stable. Tout en réduisant les impacts éventuels sur le système. Est ce meilleur que du static dans /opt : une séparation tranchée entre système et logiciels tiers ? En tout cas, ça semble mieux pour le desktop linux chez le particulier.

    moinssez moi, moinssez moi, moinssez moi, c'est le chant du commentaire

  • [^] # Re: Cycle de développement

    Posté par  . En réponse au journal Ubuntu : une nouvelle version tous les mois ?. Évalué à 2.

    et à force de pas trancher cette question, on va tous finir indagooglecloud

  • [^] # Re: Cycle de développement

    Posté par  . En réponse au journal Ubuntu : une nouvelle version tous les mois ?. Évalué à 1.

    J'imagine bien que les utilisateurs d'Ardour utilisent plutôt d'autres distributions orientées M.A.O, donc c'est pas si grave

    J'imagine que les utilisateurs de Ardour aimeraient bien pouvoir utiliser la même distribution que tout le monde. Donc c'est grave.

    J'rebondis sur ton commentaire parcequ'il est un bon exemple de la problématique du desktop linux Et, //mode évidence : je suis d'accord avec ton commentaire et on s'en fout.

    Pourquoi grave ? C'est vraiment un bon exemple du traitement des utilisateurs par les distributions (attention, le mot distribution sera remplacé, implicitement, au cours de ce commentaire). En fait, il est fort probable que la majorité des utilisateurs catégoriels aimerait aussi utiliser une distribution standard. Peut être même tous, hormis quelques kékés qui s'tapent la branlette de l'optimisation à tout prix. Or, actuellement ce n'est pas le cas. Les utilisateurs sont obligés d'utiliser des distributions "spécialisées". Et ça a un double impact : rarement satisfaits (à part les kékés) individuellement, et globalement un effritement des usages des grandes distributions, par un maintient d'un grand nombre de petites distributions spécialisées. (me faite pas dire ce que je ne dis pas : non la diversité n'est pas un problème.) Ce qui entraîne certainement aussi un effritement des compétences (par exemple, ce bug sur Ardour, il était présent dans Ubuntu mais pas dans Ubuntu Studio, est ce une situation normale ?)

    Un utilisateur de logiciels spécialisés musique est contraint d'utiliser une distribution spécialisée. Il ne peut pas installer une distribution classique et y ajouter un dépôt répondant à sa catégorie d'usage. Il n'a que le choix Debianesque de la stabilité absolue pour tout au détriment des mises à jour. Un utilisateur de logiciels musicaux n'installera pas Debian, parcequ'il serait contraint ne pas avoir l'avant dernière version de X apportant la fonctionnalité Y, dont il se faisait une joie d'utiliser...

    On peut décliner ça à l'infini : utilisateur de logiciels bureautiques (LibreOffice, Scribus), il sera contraint d'aller chercher le binaire, àlawindows, ou de compiler le bousin. Utilisateur de jeux libres, il va installer une distribution "spécialisée" ou utiliser des backports plus ou moins stables, et plus ou moins impactant sur son système. Un utilisateur de ... Bref à l'infini.

    Dès lors que l'on admet qu'il n'y a pas que deux catégories d'utilisateurs : ceux voulant du stable, et ceux voulant les dernières versions de tout, on admet qu'il y a un problème et on le regarde en face. Les utilisateurs fonctionnent par catégories. Oui il y a ceux qui veulent du stable à tout prix, et se fichent de la version qu'ils utilisent. Oui il y a ceux qui préfèrent "de vieilles versions qui marchent". Oui il y a les kékés qui veulent tout, l'argent du beurre et le sourire de la crémière. Mais ils y a aussi un grand nombre d'utilisateurs qui aimeraient sans doute utiliser le même système que tout le monde, et utiliser dessus leur choix de logiciels en fonctions de leur domaine d'activité sans que cela impacte leur système.

    Voilà le terme "distribution" a effectivement été remplacé implicitement. Mais je me garderai bien de lancer le troll du static dans /opt, avec des dépôts de la distribution, classés par catégories d'usage. Parceque ce n'est qu'une idée, et si elle n'a pas été retenue, il y a des raisons. Donc je me garderai bien de lancer "une idée de solution", juste poser le problème. Problème qui semble être assez central et majeur des "desktops linux", et qui impacte de manière nuisible un potentiel développement d'usages.

  • [^] # Re: Et en Ogg/Vorbis SVP!

    Posté par  . En réponse au journal Là bas si j'y suis. Évalué à 3.

    504, timeout
    le site s'est fait linuxfreezé on dirait

  • [^] # Re: Pluzun

    Posté par  . En réponse au journal Le domaine public et ses ennemis. Évalué à 6.

    C'est malheureusement un argumentaire que l'on lit de plus en plus souvent. C'est sur ça que portait ma tentative de commentaire. Pour reprendre ton exemple du vélo :

    "oui mais tu grilles des feux rouges, donc la ramènes pas sur la sécurité des vélos".

    C'est le danger, que l'on peut constater et relever très facilement dans les discours et argumentaires actuels. La mise en perspective étant de "toujours avoir une arme pour discréditer l'adversaire", appliqué globalement, à presque tout le monde.

  • [^] # Re: Sacré Denis

    Posté par  . En réponse au journal Le domaine public et ses ennemis. Évalué à 3.

    Cela rejoint ton commentaire ici. Où plutôt illustre ton commentaire. Lorsqu'on ne peux pas savoir être par soi même, basé sur son éducation, alors on fait des lois.

    Quiconque devrait intuitivement, humainement, savoir quant obéir et refuser d'obéir. Mais parfois l'histoire écrit les comportements. ici, un exemple pour se souvenir que désobéir dans l'armée, même pour des raisons légitimes, était puni de mort. Et est toujours puni, pernicieusement.

    Une phrase que j'aime bien, parcequ'elle illustre assez bien la dualité de la situation et les dangers de chaque extrême, par une récursivité à peine voilée : "ce n'est pas la loi qui fait l'homme, mais l'homme qui fait la loi".

  • [^] # Re: Pluzun

    Posté par  . En réponse au journal Le domaine public et ses ennemis. Évalué à 10.

    Répondre à vos billets est totalement impossible (lire ce billet sur le blog S.I.Lex fut assez long, avec tout les pointeurs), mais je tente un questionnement :

    Ne risque t on pas d'assister à une généralisation de la politique de l'excuse si on assistait à une généralisation de la désobéissance ? La politique de l'excuse est le moyen de discréditer/faire_taire/faire_arrêter quelqu'un, personne physique ou morale, lorsqu'il a enfreint délibérément une loi.

    Nous assistons déjà aux discrédits massifs de personnalité pour un seul fait. Aussi grave soit le fait, cela ne devrait pas remettre en cause la qualité du travail / de la réflexion, bref des actes précédents. Les médias télévisés en font souvent le relais, par un choix rédactionnel basé sur le sensationnalisme, ils jettent facilement un discrédit majeur et quasi permanent pour un fait bien précis.

    La politique de l'excuse est une arme redoutable, parfois utilisée à des fins légitimes. Lorsque par exemple la police arrête un homme pour trafic lorsqu'il n'a pu être arrêter pour d'autres faits, connus mais non prouvables. Ok. Mais il s'agit d'un périmètre bien défini. Or, on assiste clairement à une extension du domaine. Que l'on peut résumer en une phrase "il a dit ça un jour une fois, il n'est pas fiable".

    Ne sommes nous pas en train d'assister à une généralisation de l'illégalité ? Cet exemple n'est il pas un exemple de plus de la judiciarisation totale de la vie, sous l'angle non pas du droit mais uniquement du devoir. À terme, il sera facile de faire arrêter, ou faire taire, quelqu'un : tout le monde sera dans l'illégalité sur un ou plusieurs points, et sera une cible facile pour un discrédit général, si besoin.

    bon, j'vais m'coucher

  • [^] # Re: Et sinon, dans les média...

    Posté par  . En réponse au journal Nucléaire retraitement sud France boum. Évalué à 1.

    Si ou voulait passer dans le sensationnel on comparerait à AZF.

    Arg ! Tu va réveiller les bobos, qui vont encore nous dégueulasser, de leurs déchets, l'avenue de muret avec une manif "pour sauver la planète"

  • [^] # Re: pile (non pas à combustible) quand il faut....

    Posté par  . En réponse au journal Nucléaire retraitement sud France boum. Évalué à 2.

    Naan mais ça suffit de se focaliser sur des non-débats avec des non-problèmes, des non-morts et des non-malades. Ça suffit ! il y a de vraies questions à résoudre, autrement plus importantes !

  • [^] # Re: je tente ma chance !

    Posté par  . En réponse au journal Nucléaire retraitement sud France boum. Évalué à 1.

    jusqu'ici, tout va bien
    jusqu'ici, tout va bien

  • [^] # Re: Liberté de la presse et mensonge d'Etat

    Posté par  . En réponse au journal Liberté de la presse et mensonge d'Etat. Évalué à 2.

    Tiens, y a un article dans rue89 maintenant

  • [^] # Re: Très bonne émission

    Posté par  . En réponse au journal Là bas si j'y suis. Évalué à 3.

    "rois du pinard et du calendos,
    los carayos,
    los carayos"
    avec un tit jeune à la guitare, nommé manu chao.

    allez, hop, d'autres cousins qu'il est bon de ré-écouter.

  • [^] # Re: Censé

    Posté par  . En réponse au journal La guerre des brevets continue. Évalué à 3.

    Les brevets ne favorisent pas non plus la politique.

    c'est un #epicfail pour Obama, et faudrait vraiment être le dernier des cons pour voter encore une fois démocrate, ou avoir tellement d'intérêts à voter démocrate tels les "alimentaires" autres que ceux menant à ce vote normalement.

    si les politiques croient encore qu'ils peuvent peuvent soupoudrer en fonction du vent du moment, ils n'ont rien compris à la société actuelle. Obama avait dans son programme une réforme du système de brevets en informatique, et non seulement il trahi sa parole une fois au pouvoir, mais en plus fait à peu près l'inverse.

    democrate > /dev/null

  • [^] # Re: Qui ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Linux Foundation tombe à son tour. Évalué à 2.

    à propos de sécurité, on en pensera ce qu'on peut en penser, mais Wind River a obtenu au printemps dernier une certification EAL4+ pour son linux.
    Et hop

  • [^] # Re: Aie Aie Aie...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Linux Foundation tombe à son tour. Évalué à 3.

    C'est pas un peu juste moins bien les articles de kernel newbies, par rapport aux dépêches noyaux de dlfp ? Là, par exemple, cleancache n'est pas apparu avec 3.0, ce que semble dire cet article.
    (question)

  • [^] # Re: Titre racoleur

    Posté par  . En réponse au journal FreeBSD plus performant que GNU/Linux ?. Évalué à 2.

    ?
    non
    :)

  • [^] # Re: D'un autre coté

    Posté par  . En réponse au journal De l'importance d'un code libre: le cas d'école de couchsurfing. Évalué à -2.

    t'as raison sur le fond, comme toujours
    mais le "crétins" fait -1